• il y a 2 mois

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Transcription
00:00— C'est sévère de la présenter comme un produit. Elle a peut-être ses ressources propres, ses capacités propres, qui se sont exprimées lors de ce débat.
00:07— Si vous me permettez... — Ça a été un procureur dans son état...
00:10— Olivier d'Artigolle. — Oui, parce que... Mais j'ai pas pu en parler, donc...
00:13— Non mais Olivier... Non mais Olivier d'Artigolle... Non, dites pas pourquoi vous êtes devenu...
00:19— Si. — L'expertise de Gérard Carreyrou sur les États-Unis, je lui donne plus de crédibilité...
00:24— Non, mais chacun en a fait ça. — Bah oui, parce que vous...
00:26— Le principe de l'émission, c'est qu'on peut en débattre. — Ah bah oui, on peut en débattre.
00:30— Et ne me prenez pas pour un simplet sur la question du suivi de l'émission présidentielle.
00:34— Mais je vous prends pas pour un simplet ! — J'ai aussi quelques petites idées.
00:37— Mais... — Et quand j'aurais aimé, par exemple... Vous voyez ?
00:40— Ha ha ha ! — Mon cher Pascal Proulx. Voilà. J'arrive pas, là, comme... Parce que j'ai vu de la lumière.
00:46— Mais non, mais... — C'est marrant aussi de brousser un peu certains sujets.
00:48— Mais c'est entendu. Mais... — Et je trouve cher...
00:51— Non mais je suis prêt à en débattre avec toi, Gérard. — Et bah vous allez parler après, félicité. Vous avez raison.
00:55C'est vous qui aurez la parole. Vous aurez 2 ou 3 minutes pour donner votre avis. Comme ça...
00:59— Non. — Bah non. Voilà. Et puis votre avis, excusez-moi. J'ai appris que vous piquez les idées des autres.
01:06Donc maintenant, je me méfie.

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