• il y a 10 mois
Le réalisateur Alassane Diago est resté plus de vingt-cinq ans sans voir son père. Dans "Les Larmes de l'émigration" (2010), il racontait l'histoire de sa mère qui attendait depuis vingt ans son mari parti vivre à l'étranger. Son père, s'étant senti humilié par ce film vu à la télévision gabonaise, a par la suite cherché à entrer en contact avec sa famille abandonnée. Diago veut aujourd'hui savoir ce qui le retient à l'étranger depuis de nombreuses années, pourquoi il n'a jamais donné signe de vie ni subvenu aux besoins de ses enfants, de sa femme, pourquoi il n'est pas revenu...
Transcription
00:00 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
00:08 C'est ce que je disais, les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
00:16 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
00:20 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
00:25 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
00:39 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
00:44 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
00:48 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
00:51 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
00:56 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
01:00 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
01:10 Les enfants de la terre sont les enfants de la terre.
01:15 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
01:20 Je ne suis pas un homme, je suis un homme.
01:24 Je suis un homme.
01:27 Je suis un homme.
01:32 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
01:38 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
01:43 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
01:48 "Les enfants de la terre sont les enfants de la terre" (P.S. 2)
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