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Jean-Pierre Pernaut est-il décédé à la suite de sa 3e vaccination contre le Covid ? Regardez la mise au point du Dr Cohen ce matin dans "Morandini Live" - VIDEO

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Transcription
00:00 - Docteur Jean-Michel Cohen, bonjour. Merci d'être avec nous.
00:03 Nathalie Marquet, elle dit ça sur plusieurs plateaux.
00:06 Là, c'était chez Pascal Praud sur Europe.
00:08 Elle a dit ça chez Cyril Hanouna. Elle a dit ça dans 7 à 8 et également sur TF1.
00:13 Elle nous explique en fait que Jean-Pierre Pernaut n'est pas mort du cancer,
00:16 mais serait mort des suites de son troisième vaccin contre le Covid.
00:19 Est-ce que c'est possible ?
00:21 - Alors, il y a eu beaucoup de rumeurs à propos de la relation qu'il y avait
00:24 entre le vaccin d'une façon générale et les accidents cardiovasculaires.
00:27 La première rumeur, elle remonte à 2012 avec les vaccins contre la grippe
00:31 où l'Académie de neurologie avait relevé quelques cas d'accidents vasculaires cérébraux.
00:36 Mais en fait, ça a été démenti par la suite et ils ont dit non, finalement, il n'y a pas de relation.
00:40 En janvier 2023, les Américains ont rapporté des cas d'accidents vasculaires cérébraux
00:46 qui étaient en relation avec ce qu'on appelle le vaccin bivalent
00:49 qui fonctionnait sur plusieurs variants associés au vaccin antigrippe.
00:52 Donc, ils ont relevé ces cas. Et quelque temps plus tard,
00:55 d'autres études scientifiques ont infirmé cela en disant non, il n'y a pas de relation.
01:00 Donc, en fait, on n'aura jamais la preuve en ce qui concerne Pernaud.
01:03 - À part qu'elle dit quelque chose d'assez précis, elle dit quand même
01:05 il avait fait un PET scan quelques jours avant, il n'avait plus de cancer.
01:09 - Oui, il était... - Il était guéri du cancer.
01:10 Et en revanche, il a eu son AVC, 12 AVC, 12 ou 13 AVC.
01:16 Elle explique, 8 jours après son troisième vaccin.
01:19 - Alors, il y a deux choses.
01:19 La première chose, quand vous êtes en deuil et que vous venez de perdre quelqu'un,
01:22 il y a une certaine forme de culpabilité qui fait qu'on se demande
01:25 ce qu'on aurait pu éviter pour que la personne ne décède pas.
01:29 C'est la tragédie que vit Nathalie en ce moment.
01:31 La deuxième chose, c'est que les traitements contre le cancer
01:34 ne sont absolument pas anodins.
01:36 Et quand on dit être guéri d'un cancer à la taille à laquelle on le voit, c'est vrai.
01:41 Mais en fait, il reste des cellules cancéreuses vraisemblablement souvent.
01:44 Et donc, après les traitements qu'on subit contre les cancers,
01:47 les tissus et les vaisseaux sont particulièrement fragilisés.
01:50 Donc, il n'est pas rare que des gens développent un cancer
01:53 et beaucoup de gens, en fin de parcours, vont déclarer une embolie.
01:57 Une embolie pulmonaire massive, un accident vasculaire cérébral.
02:00 Donc, on ne peut pas...
02:02 C'est une femme en détresse, donc on peut l'éviter, etc.
02:05 - C'est intéressant votre explication, parce que moi,
02:06 c'est la première fois que j'entends une explication logique à ce qu'elle dit.
02:10 C'est-à-dire que vous, vous dites, c'est vrai, quand on est traité contre le cancer,
02:14 ça affaiblit le corps. - Considérablement.
02:17 - Ça affaiblit également les vaisseaux sanguins. - Oui.
02:20 - Donc, ils deviennent plus fins et donc, ça peut provoquer, à ce moment-là,
02:23 des embolies, des AVC et donc, ça peut être ça aussi.
02:27 - Oui, oui, bien sûr, bien sûr.
02:29 Et je pense que c'est une parole malheureuse du médecin de dire,
02:32 "Dites qu'il n'est pas mort du cancer."
02:33 Enfin, franchement... - Non, non, dites bien qu'il est mort du cancer.
02:35 - Dites bien qu'il est mort du cancer.
02:36 Enfin, franchement, c'est aberrant de dire ça.
02:38 Mais ça peut être les conséquences d'un traitement qui ne serait pas le vaccin,
02:42 mais qui serait la radiothérapie, peut-être les drogues qu'on lui a données.
02:45 Et le fait que Jean-Pierre, il avait quand même 70 ans, il était fatigué,
02:48 c'est-à-dire qu'il avait beaucoup travaillé.
02:49 Donc, il y a plein de raisons qui font que personne n'aura l'assurance de quoi que ce soit.
02:53 - Mais c'est vrai que le discours de Nathalie Marquet,
02:57 c'est énormément commenté sur les réseaux sociaux.
02:59 Parce qu'aujourd'hui, il y a une question qu'on se pose tous,
03:01 c'est, est-ce que s'il y avait des effets secondaires graves à ce vaccin ?
03:05 Est-ce qu'on le dirait ou pas ?
03:07 Beaucoup disent, on essaie de tout nous cacher.
03:09 On l'a entendu, il y a eu énormément de témoignages de gens qui disent,
03:12 "On a eu des effets secondaires terribles sur le vaccin."
03:14 Mais j'ai le sentiment qu'on essaie de mettre ça sous le tapis.
03:17 - Non, alors ça, c'est des théories qu'on entend beaucoup sur les réseaux sociaux.
03:21 La réalité, c'est que même chez les médecins, il y a des lanceurs d'alerte.
03:24 Et au niveau duquel toute la pathologie du Covid et du vaccin est étudiée,
03:28 même si quelques-uns avaient la volonté de cacher les choses,
03:31 il y en aurait d'autres qui les dénonceraient.
03:33 Donc, je pense qu'il ne faut pas rentrer là-dedans.
03:35 La réalité, c'est qu'il y a quand même une certaine transparence là-dessus.
03:38 Par contre, ce qui est vrai, c'est qu'on n'a pas vraiment tout compris
03:42 sur le Covid et les suites du Covid.
03:45 - Non, mais là, vous parlez du Covid, moi, je vous parle du vaccin.
03:48 - Mais même le vaccin !
03:49 - Je pose la question autrement. Est-ce que ce vaccin est inoffensif ?
03:52 Est-ce qu'on en est sûr ?
03:53 - Non, moi, je ne peux pas vous répondre à cette question.
03:55 Moi, en tout cas, je n'ai pas la compétence pour répondre à cette question.
03:58 Si j'en crois tout ce qui est écrit scientifiquement là-dessus,
04:01 le rapport bénéfice-risque va en faveur de la vaccination.
04:05 Mais je ne peux pas répondre sur une question dont je ne suis pas spécialiste.
04:08 - Mais aujourd'hui, c'est vrai qu'on se demande clairement
04:11 s'il fallait faire vacciner tout le monde.
04:13 C'est ça le problème. C'est une des questions qui s'est posée.
04:16 Toutes ces obligations qui ont été imposées à ce moment-là,
04:19 est-ce qu'on n'en a pas trop fait ?
04:21 Est-ce qu'il ne fallait pas ?
04:23 Et moi, c'était la position que j'avais à l'époque en disant
04:25 peut-être obligeons les gens qui ont plus de 70 ans à se vacciner
04:29 pour ne pas surcharger les services d'urgence ensuite.
04:31 Mais est-ce que les plus jeunes, est-ce qu'on a eu raison de les faire vacciner ?
04:34 Est-ce qu'ils n'ont pas pris plus de risques en se faisant vacciner
04:37 que le gain avec cette vaccination ?
04:39 C'est tout ça qui est reposé aujourd'hui.
04:41 C'est difficile de remonter le temps en arrière.
04:43 C'était une maladie nouvelle qui arrivait.
04:45 Avec, souvenez-vous, tous les jours, on avait une molécule nouvelle
04:48 qu'on nous proposait. On nous avait proposé même des anticholestérols
04:52 pour traiter le Covid. Et après, dans la foulée,
04:55 ayant peur des conséquences du vaccin,
04:57 ayant peur des conséquences de la maladie,
04:59 je vous rappelle qu'à un moment donné, on a eu peur
05:01 d'une extrême saturation des hôpitaux
05:03 et du fait de ne pas pouvoir hospitaliser les gens.
05:05 Il y a eu une espèce de furia qui s'est mise en place
05:08 où on s'est mis à vacciner à tour de bras.
05:10 Qu'on n'ait pas été obligé de faire des vaccinations,
05:13 revaccinations, revaccinations.
05:15 J'ai l'impression qu'aujourd'hui, on commence à se poser la question.
05:18 Par contre, à un moment donné, on a été content de l'avoir
05:21 et ça a libéré la population.
05:23 Aujourd'hui, on peut refaire le match à l'envers.
05:26 Comment vous expliquez qu'aujourd'hui, quand on fait le bilan,
05:28 par exemple, des pays comme la Suède,
05:30 qui n'ont pas imposé toutes ces choses-là,
05:32 qui n'ont pas imposé de contraintes, ont eu moins de morts que nous ?
05:35 C'est le débat. Il y a des gens aujourd'hui qui disent,
05:38 il y a beaucoup de scientifiques qui disent,
05:40 on aurait dû accepter l'immunisation progressive de la population.
05:44 Mais au moment où on a discuté, parce que c'est facile d'en parler aujourd'hui,
05:47 les morts s'accumulent tous les jours.
05:49 Et nous faisons, dans les médias, le bilan des morts.
05:52 Rester les bras sans rien faire, c'était quelque chose de difficile.
05:55 La Suède l'a fait. Il y a moins de morts que nous en Suède.
05:57 C'est une population qui l'a accepté. En France, je ne suis pas persuadé
06:00 qu'on ait accepté ce genre de choses.
06:02 De dire, on va accepter une maladie et on va voir des gens mourir,
06:05 je ne suis pas persuadé que les Français étaient prêts à ça.
06:07 – Une autre question, Dr Cohen, est-ce que pour vous,
06:09 il y a des gens qui sont morts à cause du vaccin ?
06:11 – Probablement, probablement, comme avec tous les vaccins.
06:14 Vous voulez m'orienter sur le terrain de dire le vaccin est dangereux ?
06:18 – Non, parce que honnêtement, je vais vous dire le fond de ma pensée.
06:22 Je suis pour la vaccination et je trouve que ce vaccin, c'était très bien.
06:26 Il fallait simplement laisser les gens qui voulaient se faire vacciner.
06:29 Et je pense aussi, ce qu'on n'a pas peut-être assez expliqué,
06:31 c'est que dans tout, et ce n'est pas vous qui allez me dire le contraire,
06:33 dans tout médicament, dans tout vaccin, il y a des effets secondaires.
06:36 Et ça n'a pas été bien expliqué.
06:37 Donc peut-être qu'il y a des gens qui sont morts, moi je pense…
06:39 – Ce n'était pas audible.
06:40 – Je pense qu'il y a peut-être des gens qui sont morts à cause du vaccin,
06:42 parce que c'est un effet secondaire, mais comme des gens peuvent mourir
06:44 en prenant de l'aspirine, en prenant certaines choses.
06:47 – Ce n'était pas audible.
06:48 Souvenez-vous, à l'époque, ce n'était pas audible.
06:50 On avait, je veux dire, on avait le choix entre dire
06:53 "il faut se vacciner" ou "choisissez de vous faire vacciner".
06:55 Et on a fait la priorité de dire le vaccin,
06:58 simplement parce qu'on se disait "on va protéger plus de gens".
07:01 Ce n'était pas audible à ce moment-là.
07:02 Quand on expliquait que n'importe quel produit pouvait donner n'importe quel type d'effet,
07:07 les gens n'étaient pas prêts à l'entendre.
07:08 – Merci beaucoup Dr Jean-Michel Cohen.
07:09 On regarde votre tout nouveau livre
07:11 "Tout le monde n'a pas la chance d'avoir un ami nutritionniste"
07:13 et c'est aux éditions FERS.

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