• il y a 11 mois
Lors de sa conférence de presse, Emmanuel Macron a brassé large en matière de politique intérieure. Au point qu’une partie de l’opposition ironise sur la place laissée au Premier ministre.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 C'était la conférence de presse d'un premier ministre.
00:02 J'ai eu le sentiment dans un premier temps d'un président de la République
00:20 qui n'était pas président de la République mais qui était un premier ministre,
00:24 qui faisait une déclaration de politique générale en prenant un peu tout un tas de sujets,
00:30 en rentrant parfois dans des micro détails.
00:32 C'était la conférence de presse d'un premier ministre.
00:36 Je ne sais pas ce que va faire Gabriel Attal.
00:39 Beaucoup de bavardage.
00:40 (Générique)
00:55 Ce n'est pas couper l'herbe sous le pied à Gabriel Attal qui a besoin de lui de s'affirmer en tant que premier ministre.
01:00 Vous avez vraiment l'impression que Gabriel Attal manque d'affirmation
01:03 et manque de capacité à faire peser et exister sa voix ?
01:06 Non.
01:06 Quand vous dites répondre à tout et en permanence, qu'est-ce qui va rester après au premier ministre ?
01:10 C'est ça la question.
01:11 Il ne s'agit pas d'opposer les prises de parole, il ne s'agit pas d'opposer les mots.
01:15 Nous faisons partie de la même équipe.
01:18 Mais au regard et au respect de nos institutions, oui, nous avons un président de la République
01:22 qui fixe le cap et un premier ministre et l'entièreté de son gouvernement,
01:26 dont je fais partie, qui appliquent les modalités d'exécution de ce projet
01:30 au regard de ce cap fixé par le président de la République
01:32 qui, rappelons-le, est un cap fixé et connu de tous depuis pas 2022, 2017.
01:36 [Musique]
01:42 Merci à tous !

Recommandations