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00:00 [Musique]
00:17 Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver ici même sur le plateau de Sports 7,
00:21 42 minutes de pure bonheur nigérien.
00:24 Eh oui, une actualité très très très très très chargée.
00:27 On va faire 42 minutes, je vous le promets.
00:29 - Sure ? - Non.
00:30 Moi j'ai dit, cette année je fais pas de promesses.
00:33 Exactement. Je vous demanderai public, chéri, d'applaudir très fort notre invité de la semaine,
00:37 Maxime Larue, manager de l'Excel.
00:40 Avec vous on va parler de quoi ?
00:41 On va parler de notre académie, de notre nouveau vélo, nouveau maillot et nouvelle saison.
00:46 - Une actualité très chargée. - Très chargée.
00:48 Exactement, ça fait un an pile poil que vous étiez ici même sur le plateau.
00:51 Oui c'est ça, en février l'année passée.
00:53 - Exactement. Non, c'était en janvier même je crois. - Janvier ?
00:55 Ouais, janvier, ça piloche.
00:57 En face de vous, l'excellentissime Lilian Bart, on peut l'applaudir bien fort.
01:00 - Bonsoir à tous. - Parlons club cette semaine.
01:02 Parlons club de la semaine, on va du côté d'André Zieugboutéan, on va parler du FAC,
01:06 le club d'athlétisme d'André Zieugboutéan.
01:10 Vous allez voir, c'est presque 50 ans d'histoire, 50 ans de club avec des belles personnalités,
01:14 - surtout un état d'esprit, un état... - Et vous avez pris plaisir ?
01:17 Alors j'ai pas couru.
01:19 Non, non, je suis allé me renseigner sur toutes les informations,
01:22 il y a de belles histoires en 50 ans d'histoire.
01:25 Et voilà, celle qui est en face de vous, celle qui fait danser toute la loi,
01:28 ça va de la polka à la bachata, et c'est le sujet de cette semaine avec vous, Catarina.
01:33 Bachata !
01:35 Aujourd'hui, direction la Terre-Neuvière pour découvrir la bachata avec Brice, le maître des danses latines.
01:41 - Voilà. - Une petite démo à la fin.
01:43 - Voilà la petite démo. - Dans laquelle je vais danser.
01:44 Parce que Maxime m'a dit "j'adore la bachata", c'est vrai ?
01:46 C'est vrai, Maxime ?
01:48 Mais vous êtes...
01:50 Un autre grand danseur en face de vous, on peut l'applaudir bien fort, c'était Thomas !
01:54 - Merci. - Merci, oui.
01:56 Comme Lilian, ce soir, on ira du côté d'André Zieux.
01:59 - Ah, vous allez m'utiliser au déplacement ! - À la rencontre, presque.
02:02 On ira à la rencontre du rugby club André Zieux Boutéon
02:04 pour faire un point à mi-saison et découvrir leurs nouvelles infrastructures.
02:08 Exactement, très belles infrastructures, vous allez voir dans le reportage.
02:11 - C'est une bonne histoire, apparemment, "infrastructures". - C'est pas venu tout de suite, comme ça.
02:14 - Mais j'étais sur mon vélo, déjà. - Bien sûr.
02:16 Maxime Larue, l'Excel, pour ceux qui ne connaissent pas, qu'est-ce que c'est ?
02:20 Pour Catarina, vous connaissez l'Excel ou pas ?
02:23 - Et pas l'Excel, qui est le dossier de... - Oui, oui, j'entends bien, oui.
02:27 - Vous savez ce que c'est ou pas ? - Non, dites-moi.
02:29 Donc, c'est l'Espoir Cycliste Saint-Etienne-Noir,
02:31 et donc on est une structure qui fait faire du vélo à des enfants de 6 ans jusqu'à 30 ans.
02:37 Et en fait, on a une particularité, on fait de l'école du cyclisme
02:40 jusqu'à la National 1, le plus haut niveau français amateur.
02:42 Et la particularité, d'ailleurs, on pourra envoyer les spectateurs
02:46 qui ne connaissent pas encore l'Excel sur un magnifique reportage qui a été fait au mois de mai,
02:50 c'est qu'effectivement, d'autres écoles...
02:52 Vous êtes l'une des seules écoles de France, on peut dire ?
02:55 Oui, on fait toutes les strates du cyclisme, en fait,
02:59 des tout petits jusqu'aux grands, pour après atteindre le monde du pédagogie.
03:02 - C'est combien de licenciés ? - Plus de 220 licenciés,
03:05 et après, notre particularité, c'est qu'on a plus de 110 jeunes de moins de 18 ans.
03:08 - Et combien de professionnels sont passés chez vous ?
03:11 - Ça fait presque 25 professionnels, et ces dernières années, 7 professionnels.
03:16 - Et un maillot jaune ? - Et un maillot jaune avec série de décès.
03:18 - Donc vous prenez des débutants, du coup ? - Oui, c'est ça, oui.
03:21 - Tu peux y aller. - Tu peux y aller, ça, ça y est.
03:22 - On veut développer la féminisation, donc avec plaisir.
03:25 - Et vous ne faites que le cyclisme sur route ou... ?
03:26 - C'est le cyclisme traditionnel, donc c'est route, pistes et cyclocross.
03:31 - Et avec pas mal de compétition, mais avant...
03:33 Bah tiens, on a préparé comme quoi ?
03:35 C'est ce qui m'avait surpris quand j'avais fait le reportage au mois de mai chez vous,
03:38 c'est qu'on devient professionnel, mais on n'oublie pas d'où on vient et ses racines.
03:42 C'est un peu la loi, en général. La loi, on l'adore.
03:44 - C'est comme Sandy du Jardin qui est chez Total...
03:48 - Énergie, oui, c'est ça. - Total Energy.
03:50 - C'est pas moi qui l'ai dit, mais c'est celui qui me fournit mon électricité à la maison,
03:52 si je peux avoir un rabais.
03:54 Et du coup, il est passé chez vous.
03:56 - Oui, il est passé chez nous. Il a fait quatre années chez nous,
03:59 il est passé donc professionnel.
04:01 Et on a de forts liens avec Sandy qui n'oublie pas d'où il est passé.
04:06 - Mais attendez, il a donné des maillots, ça va être dans l'illustration suivante,
04:10 à toute l'école.
04:11 - Voilà, toute l'école de cyclisme. Donc il a dédicacé des cartes
04:14 et puis des maillots.
04:16 Et comme ses enfants, Sandy a commencé à l'école de cyclisme,
04:20 donc il a atteint l'ermitage.
04:21 Et puis après, il nous a rejoints pour finir son cursus avant de passer professionnel.
04:24 - Ça fait plaisir. Vous, vous êtes passé à l'école, vous aussi, pour signer des autographes ?
04:27 - Non, non, non. Et j'ai jamais personne qui est venu m'en signer non plus.
04:32 - Non, mais c'est bien ça, Thomas, de ne pas oublier d'où on vient.
04:34 - C'est essentiel de revenir à ses racines.
04:37 Et je trouve qu'il y a de plus en plus de professionnels qui reviennent
04:40 vers leur club d'origine dans n'importe quel sport.
04:42 Et c'est hyper important pour les gamins et pour les faire rêver.
04:45 - Et c'est pas que les coureurs.
04:47 Quand on avait fait le reportage, justement, lors du Grand Prix de Saint-Étienne,
04:51 il y avait même un dététicien.
04:54 - Un assistant sportif. - Un assistant sportif.
04:57 Grosse écurie en plus.
04:59 - Oui, qui est chez Tudor en Suisse, mais qui est venu donner un coup de main.
05:02 - Au copain. - Au copain.
05:03 Et puis après, le club est tout le temps ouvert.
05:06 Il y a des moments où il y a des personnes qui passent
05:07 et qui interviennent dans le milieu du World Tour.
05:10 - C'est énorme, ça.
05:10 - Est-ce que ce côté humanité, on l'a parce qu'on est dans un sport
05:14 qui est à un certain niveau, qui reste encore ultra accessible à tous ?
05:18 - Oui, ultra accessible à tous.
05:20 Mais après, c'est sûr que c'est une marque de fabrique quand même de notre structure
05:23 où on attache beaucoup d'importance à l'humain.
05:26 - On ne le voit pas aujourd'hui dans le foot, dans le basket.
05:28 On le voit, mais c'est de plus en plus rare et ça se fait de moins en moins.
05:30 - C'est vrai que ça se fait de moins en moins,
05:32 parce que voilà, on s'est devenu très, très professionnels,
05:34 mais on garde quand même cette âme d'humain.
05:36 Et puis après, les liens forts...
05:39 - Et la cafetière est toujours chaude pour le café.
05:41 - Voilà, si vous voulez, il n'y a pas de problème avec une bonne cafetière.
05:44 - Et une grosse culture de l'effort dans le cyclisme.
05:46 - Oui, après, c'est un sport qui est difficile.
05:49 Puis après, chaque sport de haut niveau est difficile aussi,
05:51 mais après, ce sont vélos, il y a des moments où on se retrouve tout seul.
05:54 - La question qu'on a jamais posée, c'est un sport d'équipe ou un sport individuel ?
05:58 - C'est un sport individuel pratiqué en équipe.
06:00 Tout seul, on ne peut rien faire.
06:02 On a besoin d'une équipe, des fois pour défendre un maillot.
06:04 - Alors, à propos de maillot, hop là, il est là, c'était celui de l'année dernière.
06:08 - Oui, c'était celui des trois dernières années.
06:11 - Mais ce n'est plus le même. Il faudra m'amener le prochain.
06:13 - Oui, on devra le savoir la semaine prochaine.
06:18 - Qu'est-ce qui change ?
06:19 - Ce qui change, c'est les couleurs prédominantes.
06:23 - Alors là, c'est celui de l'année dernière. On va voir des images, justement.
06:25 - Voilà, donc normalement, c'est le bordeaux et le jaune qui vont reprendre le pas.
06:28 Après, on a les mêmes sponsors, mais il fallait repartir sur un nouveau cycle.
06:32 Et donc, voilà, les nouvelles couleurs pour cette année 2024.
06:36 - Je n'ai pas reçu la photo officielle, donc c'est peut-être ça qui m'a fait penser.
06:40 Vous n'étiez peut-être pas passé en janvier, mais peut-être en février.
06:43 - La photo officielle, on la fait toujours fin janvier.
06:46 Cette année, on va la faire le samedi 27 janvier
06:49 et dans un lieu important pour la ville de Saint-Etienne, au musée des Verts.
06:53 - Exactement. On va se lever, parce que ce qui est important dans le cyclisme, c'est quoi, Lian ?
06:58 - D'être en danseuse.
06:59 - C'est surtout être en vélo.
07:02 Il est tout neuf. Regardez, vous n'avez pas de micro, on y va.
07:05 Tenez, je vous donne votre perso.
07:06 Je dois me le rendre, parce qu'après, c'est un quatarien.
07:08 Il est là.
07:09 - Alors, vous allez me dire, "Ouais, ça reste vélo."
07:12 - Oui, donc après, c'est un vélo qui est fourni par Culture Vélo
07:16 à Saint-Etienne de Bruno Chaudin.
07:17 - Très local. - Oui, très local.
07:20 Donc, même par rapport à ça, peut-être un petit scoop aussi.
07:22 On va faire des développements avec une société stéphanoise, Strong Light.
07:28 - Ça, c'est énorme. Pour ceux qui aiment le vélo, Strong Light, c'était...
07:31 - C'est une référence au niveau des plateaux.
07:34 Je ne sais pas si vous... Chris Froome ou même Lance Armstrong
07:37 les ont utilisés à l'époque sur le Tour de France.
07:39 - Alors, ce qui est intéressant, on a l'impression d'avoir un vélo du Tour de France.
07:42 Presque, quasi. On regarde, parce que le diamètre, il est énorme.
07:46 On est à quoi ? 50... - Là, c'est...
07:49 Après, pour les puristes, c'est 54 dents.
07:51 - Excusez-moi, 54 dents. Je n'ai pas eu le temps tout de suite de les compter,
07:54 mais 54 dents. - Il y a deux plateaux à l'avant, oui.
07:56 - Et surtout, maintenant, on... - Et maintenant, on passe sur du...
07:58 - Regardez, 12 vitesses. - S'il y a un fil, là,
07:59 ce n'est pas un câble, mais électrique. - Non, c'est un fil électrique, en fait,
08:03 parce que vous avez une batterie qui est à l'intérieur du cadre
08:05 et qui nourrit le dérailleur arrière, qui fait office de cerveau, en fait,
08:12 pour changer la vitesse. Maintenant, les changements de vitesse
08:14 se font par Bluetooth, en fait, par impulsion,
08:16 et c'est ce qui permet de changer ça. - On parle qu'à terrain à Bluetooth.
08:19 - Oui, bien sûr. - C'est des normes de professionnels,
08:21 aujourd'hui. On est obligés d'avoir ça pour être professionnels.
08:23 - Non, c'est la technologie qui évolue beaucoup, et même maintenant,
08:26 ça fait la troisième année où on passe à disque.
08:28 Maintenant, les vélos patins sont moins utilisés.
08:30 - Oui, ça, vous l'aviez. Ça se finit, patins.
08:32 - Mais maintenant, c'est vrai qu'il faut vraiment devenir un expert
08:35 pour s'occuper des vélos, surtout nos mécaniciens.
08:37 - C'est ça, parce que c'est des bénévoles, quand même, chez vous.
08:39 - Voilà, c'est ça. - Il va falloir que les bénévoles
08:41 soient très, très... - Très calés, déjà,
08:43 pour effectuer des réglages comme ça.
08:45 Puis après, comme c'est des freins à disque aussi,
08:47 avec... Vous avez à la purge, avec de l'huile et tout ça,
08:50 c'est assez compliqué.
08:52 - Juste avant, vous étiez accueillis comment par les équipes ?
08:54 - Au départ, très stressant, parce que c'est surtout en termes de dépannage.
08:58 Voilà, nos mécanos sont obligés de sortir assez vite,
09:01 même qu'ils ont des...
09:03 - Parce qu'il n'y a pas le changement rapide.
09:05 - Non, on n'a pas de serrage rapide, donc c'est...
09:07 - Faut le mettre, si tu veux, je peux t'en prendre.
09:09 - Une clé à laine. - Donc, ça se fait à clé à laine.
09:12 Et c'est vrai qu'après, on n'est pas équipés comme les professionnels
09:14 qui ont plusieurs vélos sur la galerie.
09:16 Donc, nous, il faut se dépêcher pour changer la roue.
09:18 - Thomas ? - On y gagne quoi,
09:20 avec ces nouveaux changements de vitesse, notamment ?
09:22 - Est-ce qu'on gagne en efficacité ?
09:25 Est-ce qu'on poids sur le vélo ?
09:27 - Après, au niveau du poids, c'est un vélo qui fait entre 8,4 kg, 8,3 kg.
09:32 - Avec la batterie ? - Oui, voilà, tout entier.
09:35 - Elle est pleine, la batterie, je la sens, elle est un peu lourde.
09:37 - Après, il y a une énorme ICI où les vélos doivent faire plus de 6,8 kg.
09:41 Mais après, ça permet vraiment d'avoir un panel de vitesse, en fait,
09:46 pour exploiter au mieux ces... - Parce qu'on l'a dit,
09:48 ça y est, ils ont une 12e vitesse, que vous n'aviez pas l'année dernière.
09:50 - C'est ça, oui, 12 vitesses. - Ça permet d'utiliser...
09:53 - D'utiliser, en fait, tous les rapports possibles
09:55 pour exploiter au mieux ses qualités physiques.
09:57 - Ça, c'est impressionnant. On peut applaudir,
09:59 parce que c'est un vélo quand même de dingue.
10:01 Venez, venez vous installer. Je récupère.
10:03 Est-ce qu'il fallait ça, Maxime, pour rivaliser ?
10:09 Parce que les dernières, en trophée...
10:11 Alors, vous avez fait le bêtisier du vélo.
10:15 - Ah, oui, on a fait un bug. - Un buzz.
10:19 - Oui, c'est bien, vous avez une belle visibilité.
10:21 - Un buzz international, malgré...
10:23 - Pour ceux qui ne le savaient pas,
10:25 ils ont levé les bras un peu trop vite.
10:27 - Oui, en fait, dans une course régionale,
10:29 on avait deux jeunes qui étaient échappés,
10:31 et pour fêter leur victoire... - Ensemble.
10:33 - Ensemble, en fait, ils se sont un petit peu relâchés sur le final,
10:36 et en fait, la personne qui l'emporte...
10:38 - Ils se sont fait coiffer sur le point de vol.
10:40 - Ils se sont fait coiffer sur la ligne, oui.
10:42 - Les résultats cette année, on espère quoi ?
10:44 Parce qu'il y a un beau vivier chez les U19, je crois.
10:47 - Oui, on a toujours une bonne formation,
10:51 mais après, au niveau de notre équipe élite aussi,
10:53 on a effectué un recrutement assez important,
10:57 donc avec des personnes expérimentées,
11:01 et puis avec un ancien pro aussi, un Estonien,
11:04 qui va nous rejoindre, donc voilà,
11:06 on a étoffé notre effectif, oui.
11:08 - Donc cette année, on peut s'attendre à des victoires ?
11:10 - Oui, à des victoires, et puis après,
11:12 avoir un bon ranking, comme maintenant, on parle de ranking.
11:14 - Là, on voit, c'est des images du cyclocross
11:16 de la championnate de France, d'ailleurs.
11:18 - Là, c'est une image du cyclocross de Méon,
11:20 donc ça a grimpé le mat' cette année.
11:22 - J'ai reconnu, j'ai reconnu.
11:24 - Et en fait, on essaie de développer un peu
11:26 cette fervor qui se passe un petit peu en Belgique,
11:28 et la ramener en France, et c'est vrai qu'on a une partie
11:30 qu'on appelle ça la "fan zone",
11:32 et là, il y a une communion entre les cyclistes,
11:34 et puis après, les jeunes coureurs,
11:36 et là, vous pouvez voir, il y a un des aînés,
11:38 en fait, qui court, et puis au bord,
11:40 vous avez tous les anciens, enfin, les jeunes coureurs
11:42 qui espèrent... - Ça fait ambiance transprofessionnelle, quoi.
11:44 - Voilà, c'est ça, oui. - Catharina,
11:46 vous savez qu'il y avait ça dans la loi ?
11:48 À Saint-Etienne ? - Bah, après...
11:50 - À côté de chez vous, presque. - À côté de chez moi,
11:52 non, je ne savais pas, non.
11:54 Mais oui, ça se développe de plus en plus.
11:56 - Il y a un petit air de Tour de France
11:58 quand on voit ça. - Ah oui.
12:00 - C'est le virage des Hollandais, là, on est monté US.
12:02 - Ouais, c'est US, là, exactement.
12:04 - Au niveau fervor, oui, c'est pas mal, ouais.
12:06 - Et là, pour montrer que vous avez changé de braquet,
12:08 c'est qu'à de le dire, une académie,
12:10 je me suis dit quand même, vous avez mis le temps à créer cette académie,
12:12 c'était si compliqué ? - Non, on a...
12:14 En fait, on avait déjà un petit sport-études
12:16 qui s'était mis en place depuis 2-3 ans
12:18 avec 5-6 éléments. - 5-6 éléments,
12:20 c'est pas... - Voilà, mais cette année,
12:22 en fait, on a créé vraiment
12:24 une académie depuis septembre
12:26 avec 15 jeunes.
12:28 Et en fait, c'est pour accompagner
12:30 ces jeunes à concilier,
12:32 dans une démarche de haut niveau, le sport
12:34 cycliste et les études, quoi, avec...
12:36 - Sur quelle catégorie d'âge ? - Eh bien, en fait,
12:38 on commence de U15, parce que maintenant,
12:40 on parle comme les sport-co, donc U15,
12:42 jusqu'à U19. - Et tout ce
12:44 professionnalisme... - Donc,
12:46 TESNA du Mont-Sel ? - Donc, on a
12:48 un partenariat privilégié avec TESNA
12:50 du Mont-Sel, et après, on peut le développer aussi
12:52 avec d'autres écoles, mais...
12:54 - Pour l'instant, y a que TESNA. - Y a que...
12:56 Y a TESNA, ouais. - Vous voulez sortir des petites pépites,
12:58 c'est le but, ou vous mettez pas de pression ?
13:00 - En fait, c'est pour créer déjà
13:02 une émulation, pour sortir bien sûr des petites pépites,
13:04 puis après, pourquoi pas, des futurs aussi entraîneurs.
13:06 - Ah, des futurs entraîneurs aussi ?
13:08 - Oui, des futurs entraîneurs ou des moments chercheurs aussi,
13:10 et puis c'est vraiment pour avoir une démarche de haut niveau,
13:12 et que ça leur serve après dans leur vie de tous les jours,
13:14 s'ils sont chefs d'entreprise ou...
13:16 des choses comme ça. - Très bien, c'était Maxime Larue,
13:18 on peut l'applaudir. Merci à vous,
13:20 restez avec nous, hein ! On va revenir.
13:22 Comme tous sport-co,
13:24 on est obligés aujourd'hui,
13:26 pour vivre, de créer des événements.
13:28 Forcément, vous en faites, vous aussi, des événements,
13:30 pour pouvoir avoir un peu plus de données,
13:32 pour acheter des bicyclettes, entre autres.
13:34 - Ah, la vedette, très importante !
13:36 - Oui, je suis où ? - Ils boivent rien, ils boivent que des badoises.
13:38 C'est pas eux qui consomment le plus, hein ?
13:40 - Non, c'est vrai. - Exactement.
13:42 Et on va prendre la direction, si vous voulez bien,
13:44 du Chambon-Feugerol, où il y avait un tournoi de foot en salle.
13:46 Chambon-Feugerol, la salle que vous connaissez bien.
13:48 La première chose que vous m'avez dit, Thomas, c'est ?
13:50 - Ils ont un super complexe sportif,
13:52 un super gymnase. - Waouh, la salle, exactement.
13:54 Nos caméras étaient présentes,
13:56 et Adrien Ponçart, qu'on embrasse qu'en convalescence,
13:58 était sur le terrain.
14:00 [Générique]
14:02 - Aujourd'hui, nous le rendons
14:04 sur le gymnase Guy Alain pour assister à un tournoi.
14:06 Ce tournoi qui va permettre
14:08 à un club de financer un petit peu sa saison
14:10 au niveau des équipements, du matériel pour les jeunes.
14:12 Vous me suivez, et on va se rendre tout de suite
14:14 sur les lieux de ce tournoi.
14:16 [Générique]
14:18 - Alors, le fonctionnement, il est simple.
14:20 Deux mois avant le tournoi, je me mets à chercher les équipes.
14:22 Ensuite, ils me disent sur quelle catégorie ils veulent partir.
14:24 U8, U9, U10 ou U11.
14:26 Sur deux jours, le samedi, on a un tournoi U8, U9 séparé.
14:28 Et le dimanche,
14:30 un tournoi U10, U11 séparé aussi.
14:32 [Générique]
14:34 - Alors, toutes les années,
14:36 on organise ce type de tournoi
14:38 dans le but de pouvoir récolter
14:40 un petit peu des fonds pour notre club.
14:42 Ça permet
14:44 de pouvoir équiper
14:46 nos jeunes et bien sûr
14:48 nos moins jeunes, parce qu'il y a des catégories
14:50 qui vont des U6 jusqu'à
14:52 vétérans, en équipement,
14:54 en maillot, en survêtement.
14:56 - Le fonctionnement est simple.
14:58 Il y a 4 personnes à la table de marque qui s'occupent
15:00 du fonctionnement des deux terrains.
15:02 Moi, je m'occupe un peu de la logistique,
15:04 pour faire entrer les équipes et faire sortir les équipes.
15:06 Le but d'organiser un tournoi aujourd'hui, c'est de faire plaisir
15:08 aux enfants avant tout, que les enfants puissent
15:10 se retrouver et puissent jouer au ballon
15:12 sans se prendre vraiment la tête.
15:14 - Le fonctionnement, donc, toutes les personnes qui sont là derrière nous,
15:16 sont bénévoles au club, c'est ça ?
15:18 - Effectivement, c'est l'équipe Intendance,
15:20 parce qu'on a l'équipe sportive qui s'occupe
15:22 tous les week-ends de tout ce qui est
15:24 organisation de championnat.
15:26 On a des belles installations au champ de buge-roll,
15:28 dans un beau gymnase, deux beaux gymnases.
15:30 Donc, on remercie aussi la municipalité.
15:32 Et aussi, c'est aussi un but lucratif,
15:34 pour essayer d'avoir un peu d'argent
15:36 pour pouvoir faire des choses au sein du club,
15:38 que ce soit pour les jeunes ou pour les un peu plus grands.
15:40 - Eh, le bleué que c'est ! C'est tout mignon !
15:48 - C'est tout mignon, et je suis bleué,
15:50 parce qu'il y a beaucoup de parents qui accompagnent.
15:52 - Ah bah, à propos de parents,
15:54 on va parler d'un parent qui s'engage.
15:56 Est-ce que vous êtes engagé, vous, avec vos enfants ?
15:58 Comme ça, comme ces parents qu'on a vus ?
16:00 - Je suis mes enfants, mais...
16:02 - Parce que ce week-end, t'étais où ?
16:04 - J'ai suivi ma fille au hand, à Riorge.
16:06 - C'est vrai ? Ah ! Bon papa !
16:08 - C'est juste à côté, en plus.
16:10 - Un à Riorge, et l'autre...
16:12 - A Pélussard.
16:14 - L'autre ne jouait pas ce week-end, donc...
16:16 - C'est compliqué, mais c'est bien de s'investir, quand même.
16:18 - Ah oui, c'est bien, il faut suivre les enfants,
16:20 et puis tous les clubs recherchent des bénévoles,
16:22 et c'est important, quand même.
16:24 - Exactement.
16:26 - À la buvette, mais aussi dans la salle.
16:28 - Ah bah oui ! C'est pareil, vous ?
16:30 Les bénévoles, c'est important, chez vous ?
16:32 - Après, on essaie de faire un mix
16:34 entre les salariés et les bénévoles,
16:36 mais l'un sans l'autre, on peut pas faire grand-chose,
16:38 mais on a besoin de ces ressources-là.
16:40 - Vous avez besoin de gens qui font des crêpes ?
16:42 - Bien sûr, oui.
16:44 - Je te fais des tonnes de crêpes,
16:46 j'ai la crêpière, ça va super vite.
16:48 - Ah bah, oui.
16:50 - Je fais ça, mais dans les événements de mon école.
16:52 - Ah !
16:54 - C'est une sorte de vie.
16:56 - Ah bah non, je prends ça comme un...
16:58 - C'est du bénévole.
17:00 - Du bénévole, voilà.
17:02 On reste dans le foot, si vous voulez bien,
17:04 puisqu'il y avait la Gambardella,
17:06 on va voir l'affiche, c'était ce week-end,
17:08 le club d'Andrézur rencontrait quand même
17:10 une équipe pro en 32ème de finale de la Coupe Gambardella,
17:12 et bah, vous savez quoi ? Victoire à zéro.
17:14 Incroyable, ça s'applaudit pas, ça, quand même.
17:16 - Exactement, la jeunesse.
17:18 - On risque de les avoir sur le plateau la semaine prochaine,
17:20 un joli parcours pour la 6ème de finale, c'est pas mal, ça.
17:22 - Non, c'est bien.
17:24 - Une équipe pro, c'est un peu...
17:26 - Ligériens, anti-ligériens, d'ailleurs, que des bons résultats.
17:28 - Que des bons résultats. Vous donnez votre ballon de basket,
17:30 parce que vous êtes traumatisé des résultats de week-end ?
17:32 - Alors moi, c'est l'inverse, j'ai les boules un peu pour Saint-Chamond...
17:34 - Ah, bah, dis-le.
17:36 - Non, je vous parlais pétanque, c'est pour ça que je dis
17:38 que j'ai les boules la semaine dernière.
17:40 Non, Saint-Chamond qui se sont inclinés contre Vichy en derby.
17:42 - Il y a pas que Saint-Chamond, il y a Rouen aussi.
17:44 - Rouen aussi. - Relégable.
17:46 - Rouen est relégable, Saint-Chamond qui perd à la maison.
17:48 - Voilà, mais c'est le début, on n'aime pas trop l'entrée hivernale,
17:50 après, ça se passera mieux.
17:52 - On espère. - Exactement.
17:54 Katharina, vous êtes là pour redresser un petit peu la barre
17:56 et mettre un peu de chaleur, parce qu'après, c'est résultat un peu négatif.
17:58 Vous, vous nous amenez où ?
18:00 - Là, on va direction la Talaudière
18:02 pour découvrir la Bachata.
18:04 - Et bah après, cette petite viagule.
18:06 - Et oui, bien sûr.
18:08 *Musique*
18:10 *Applaudissements*
18:12 - Merci, on est bien un peu énervés.
18:14 Alors, Katharina.
18:16 - Si, seigneur. - La Bachata,
18:18 moi j'ai cru que c'était un plat de pommes de terre.
18:20 - Non, non, non. Franchement, je suis ravie
18:22 de commencer l'année avec une danse latine,
18:24 en plus la Bachata, que j'adore.
18:26 Donc, c'est une danse avec des pas sensuels,
18:28 romantique,
18:30 des mouvements de hanches.
18:32 - Mais c'est tout moi, ça. - Mais oui.
18:34 Et puis, c'est une danse qui est facile à faire.
18:36 - Non, mais vraiment, je suis un piètre danseur.
18:38 - Tu vas voir à la fin. - Vraiment ?
18:40 - Maxime, gros danseur ou qu'au moins dyslexique
18:42 du piètre danseur ?
18:44 - Non, non, piètre danseur, ouais.
18:46 - Mais avec Driss, tout change.
18:48 - Avec Driss, c'est le maître des danses latines.
18:50 - C'est le maître de la Bachata.
18:52 - D'accord, ok.
18:54 - Non, mais c'est très facile.
18:56 Souvent, les débutants,
18:58 entre plusieurs danses latines,
19:00 ils vont choisir la Bachata, puisque c'est quelque chose
19:02 qui est relativement simple, les premiers pas à prendre,
19:04 mais qui est relativement bien dansée, rapidement.
19:06 - Donc accessible à tout le monde. - Accessible à tout le monde.
19:08 - Ça vous intéresse, Thomas ?
19:10 - Un peu plus tard.
19:12 - Un peu plus tard.
19:14 - Alors direction Lattalo pour la Bachata.
19:16 - Lattalo, à l'esprit latine. - Ça vient d'où, la Bachata ?
19:18 - La Bachata, c'est de la République dominicaine.
19:20 C'est dans les quartiers populaires
19:22 dans les années 1960.
19:24 Et à la base,
19:26 c'était un genre musical.
19:28 - Un genre musical ? - Exactement.
19:30 - C'est qui, un genre ? - Un genre musical.
19:32 Donc instruments traditionnels, maracas,
19:34 des basses, de la guitare.
19:36 Et après, ça a évolué
19:38 en devenant une danse qui est appréciée
19:40 dans le monde entier. - On a hâte de vous voir.
19:42 Direction Lattalo dière.
19:44 Pour la Bachata, 16 danses, hein ?
19:46 Combien de temps ? - 8 ans.
19:48 - 8 ans, elle était pas chère. - Je n'ai pas su que j'avais un douche.
19:50 - 4, 8, 12.
19:52 Allez, on va regarder.
19:54 - 1, 2, 3.
19:58 1, 2, 3. Bonjour à tous.
20:00 On se retrouve pour danser sur l'énergie sensuelle
20:02 de la Bachata. Direction Lattalo dière
20:04 à l'Escuela Latina,
20:06 dans laquelle Driss, le maître des danses latinas,
20:08 nous attend. C'est parti.
20:10 Il est là, Driss, le maître
20:18 des danses latinas. - C'est gentil de moi.
20:20 - Explique-nous alors, c'est le cas, hein.
20:22 Explique-nous alors ce que c'est la Bachata,
20:24 en quoi ça se différencie des autres danses latines ?
20:26 - Alors, la Bachata, c'est une danse
20:28 qui vient de la République Dominicaine,
20:30 donc c'est une danse qui se danse sur 8 ans.
20:32 Et donc c'est une danse latino,
20:34 par excellence. Donc très à la mode
20:36 depuis quelques années, avec
20:38 plusieurs danses, comme la salsa aussi, qui est plus d'origine
20:40 cubaine. - Ça a combien de temps,
20:42 la Bachata ? - 8 ans.
20:44 Ça se danse sur 8 ans, donc voilà.
20:46 - Bon, on va essayer. - On va essayer.
20:48 - Seule, 1.
20:50 La fille toute seule, taille, prenez les 2
20:52 mains doucement. 1, 2,
20:54 3, elle tourne, 5, 6, pas de base.
20:56 1, 2, 3,
20:58 1, 2, 5.
21:00 - Je suis en train de danser avec Roberto.
21:02 Regardez là, c'est un pas qui puisse s'apprendre
21:04 en 5 minutes. Vous voyez comme quoi c'est possible.
21:06 - Cindy, ça fait
21:08 combien de temps que vous faites de la Bachata ? - Alors moi,
21:10 du coup, ça fait... Ouh là, ça fait un petit moment que je fais
21:12 de la Bachata avec Driss. J'avais arrêté, pendant le
21:14 Covid, j'ai repris. - Des cours particuliers aussi ?
21:16 - Oui, j'ai pris des cours particuliers, parce que mon niveau était
21:18 bien descendu, mais sinon, ça fait 5 ans, ouais.
21:20 - Et on sait qu'il existe plein de danses latines.
21:22 Il y a le Fli zomba, il y a la
21:24 Salsa. Qu'est-ce qui vous a poussé à choisir
21:26 la Bachata, finalement ? - Alors,
21:28 clairement, la Bachata, au début, c'est la chose
21:30 qui est la plus facile, parce que vous savez que moi, j'ai pas
21:32 du tout le rythme. Donc du coup, c'était la
21:34 chose la plus facile, mais après, quand il y a des
21:36 niveaux au-dessus, ça devient très
21:38 difficile, parce qu'il y a un peu plus de chorégraphie que
21:40 la Salsa, par exemple. Mais au début,
21:42 pour apprendre une danse latine et sentir un petit
21:44 peu à l'aise pour danser, moi, je conseille la Bachata.
21:46 - Et qu'est-ce
21:48 qui vous plaît dans la Bachata ?
21:50 - Ah, c'est de danser avec une femme.
21:52 - Ah, c'est ça ! - C'est mousser.
21:54 - D'accord, je comprends mieux
21:56 maintenant, du coup. Est-ce que c'est une bonne technique de
21:58 drague de savoir danser la Bachata ? - Très, très bonne.
22:00 Très, très bonne.
22:02 - Comment ça se fait qu'on change de partenaire ? - Eh bien, justement,
22:04 c'est pour obliger les garçons à
22:06 guider à chaque fois une nouvelle danseuse.
22:08 Sinon, on s'habitue, et après, on devient
22:10 un mauvais danseur, un mauvais guideur, en fait. - Et c'est
22:12 que ici ? On se tape dans les mains, à la fin ?
22:14 - Ah, mais se taper dans les mains, c'est normal, c'est habituel, ça.
22:16 En Bachata, dès qu'on change de partenaire, on check,
22:18 c'est qu'on est content. Voilà, si on check, c'est qu'on est content.
22:20 - Vous l'aurez compris,
22:22 la Bachata est une danse pour tous les âges, mais surtout
22:24 tous les niveaux. En 5 minutes, on peut apprendre une chorégraphie
22:26 de base et se sentir comme Shakira.
22:28 (musique)
22:30 (applaudissements)
22:32 - En combien de temps ça se danse ?
22:34 - 8 ans !
22:36 - C'est une technique de drague !
22:38 - Mais oui, vous voyez, comme quoi. Donc, messieurs,
22:40 si jamais vous avez envie de faire
22:42 de nouvelles conquêtes, inscrivez-vous à la Bachata.
22:44 Voilà, ça vous sert. - Thomas ?
22:46 - Non, mais rien pour ça,
22:48 vous en pensez quoi de la danse, vous ?
22:50 - La danse, c'est très bien.
22:52 - Mais c'est très bien !
22:54 - Excellente activité. - Non, mais c'est vrai, c'est filé
22:56 quand même de dire "je sais danser la Bachata".
22:58 - Là, comme ça, je sais pas si je le mettrais
23:00 sur un CV, mais peut-être. - Oui, oui. - Regarde, à la fin,
23:02 tu verras. - Alors, tu l'as dit tout à l'heure, effectivement,
23:04 c'est vrai que la Bachata est un peu plus facile.
23:06 On parle aussi souvent
23:08 de sa cousine, la Salsa,
23:10 qui est un peu plus compliquée. - Ah, Salsa, c'est sa cousine ?
23:12 - C'est plus technique. - Peut-être que Driss nous en parlait tout à l'heure,
23:14 dans la seconde partie, quand il aura le micro,
23:16 mais que, effectivement, la Salsa a beaucoup plus
23:18 de technique que la Bachata, où, justement,
23:20 il n'y a que des pas un peu plus... - Oui, c'est pour ça
23:22 que les gens s'orientent directement,
23:24 plus volontiers vers la Bachata.
23:26 - Alors, déjà, Driss, prépare une adhésion pour moi.
23:28 J'ai essayé de... En plus, j'ai appris
23:30 que vous faites des cours particuliers. Comme ça,
23:32 j'aime pas être observé, en fait, c'est pour ça.
23:34 Je suis timide, ça se voit pas. - T'es un gars de l'ombre, là.
23:36 - Oui, exactement.
23:38 Vous m'avez vraiment
23:40 terni. - Exactement. Dans quelques instants,
23:42 on vous verra, ici même,
23:44 cours de Bachata. - Un petit cours.
23:46 - Si vous êtes devant votre télé, en direct,
23:48 ou les 12 réflèches. - Vous pouvez le faire avec nous.
23:50 - Faites écarter un petit peu. Ça bouge beaucoup ou pas ?
23:52 - C'est... Alors, il faut avoir
23:54 un mouvement déhanché, mais ça va, c'est tranquille.
23:56 - C'est tranquille. - Pas besoin de bouger tous les meubles
23:58 à la maison. - Non, non, non. Un petit...
24:00 - Voilà, exactement. - Une petite place.
24:02 - Juste, pourquoi on change de partenaire aussi souvent ?
24:04 C'est presque épileptique pour moi.
24:06 - Eh ben, déjà, parce que... - C'est comme si un gars changeait de vélo
24:08 toutes les 15 secondes. C'est dur, comme sport.
24:10 - Oui, parce que c'est une danse qui est conviviale. La Bachata, c'est comme ça.
24:12 La danse latine... - C'est comme ça !
24:14 - Oui, la danse latine, et puis c'est pour que les personnes
24:16 s'habituent à danser avec n'importe qui.
24:18 - D'accord. OK.
24:20 - Voilà. - Eh ben, on dansera avec n'importe qui, vous allez voir.
24:22 - C'est vrai. - C'est vrai.
24:24 - Alors, on y va !
24:26 On change de... Direction André-Jupe Boutéon.
24:28 - Encore ? - Mais il se passe des choses
24:30 en André-Jupe Boutéon. - Décidément. - Exactement.
24:32 - Ça doit être une commune de sport. - Exactement.
24:34 Et je crois que c'est la seule fois où vous avez mis
24:36 votre pied à la fac. Ou le fac.
24:38 La fac ? Le fac ? - Alors, la fac, j'ai jamais
24:40 mis les pieds. Le fac, du coup, j'ai mis les pieds.
24:42 - Tu es déjà venu. - Je suis déjà venu.
24:44 - Alors, c'est quoi, le fac ? - Ah, je pensais que vous alliez mettre une virgule.
24:46 En fait, non. Vous avez pas envie. - Oui ! Ah oui, il me dit
24:48 "virgule, virgule". Ah là là, c'est "virgule", je vous jure.
24:50 "Virgule".
24:52 (musique)
24:54 (applaudissements)
24:56 - Alors, le fac ?
24:58 - On n'a pas l'habitude, Julien.
25:00 - Ouais, ouais. - Bon, direction Andrézieux.
25:02 - Forêt. - Encore.
25:04 On parle du Forêt Athletique
25:06 Club. On est à Andrézieux-Boutéon,
25:08 on va parler athlétisme. Donc, on est presque
25:10 à 50 ans d'existence
25:12 pour le fac. - Ah, moitié
25:14 moins que...
25:16 Les Coquelicots. - Que le Coquelicots. Qui a déjà fêté ses
25:18 100 ans, les Coquelicots. - Oh, bien. - Donc,
25:20 ça reste quand même l'un des clubs
25:22 d'athlétisme le plus gros de la Loire,
25:24 avec des gros noms qui ont pu
25:26 sortir, avec des partenariats que ce soit avec...
25:28 - Titille avec son ballon de basket, sur le coude.
25:30 - Mais, mais, mais, vous savez, moi j'aime bien être
25:32 autour du plateau avec quelque chose. - Ah, mais tu peux aller avec ta chronique.
25:34 - Voilà, d'habitude. - Avec le doudou. Avec le doudou. - Je peux tenir ça
25:36 si vous voulez ? Ça fait plus running.
25:38 - Ludovic. - C'est mon doudou.
25:40 Voilà, autour de la table, j'aime bien avoir quelque chose.
25:42 En tout cas, non, j'ai eu
25:44 la chance d'aller voir ses infrastructures aussi. - Mais fais-vous, Thomas,
25:46 dans quelques instants, il va peut-être vous... - Il va nous parler tout à l'heure,
25:48 Thomas, également, sur la partie rugby de belles infrastructures.
25:50 On est à Andrézieux, il y a aussi de très belles infrastructures,
25:52 avec une piste qui est assez incroyable.
25:54 Ils ont commencé, il y a 50 ans,
25:56 avec une piste qui n'était pas du tout comme ça.
25:58 Elle a bien évolué, elle a évolué à
26:00 trois reprises. Là, on voit, on a la chance
26:02 de voir un grand nom
26:04 du sport français.
26:06 Il faudra le découvrir dans le sujet. - Tu chantes ! - En tout cas,
26:08 une très belle histoire, presque 50 ans, pour le
26:10 FAC que je vous laisse découvrir. - Parlons club,
26:12 direction Andrézieux-Moutillon, pour le FAC. - Let's go !
26:14 - Bienvenue au FAC,
26:16 le Forest Athletic Club. Nos couleurs
26:18 oranges sont connues dans la France entière,
26:20 et nous sommes l'un des meilleurs clubs d'athlétisme de la Loire
26:22 et de Rhin-en-Dale.
26:24 - Alors, toi, Jean-Marc, tu es aujourd'hui président d'honneur
26:32 du Forest Athletic Club. Tu as quand même
26:34 été président pendant 22 ans, mais alors
26:36 à quand remonte la création du FAC ?
26:38 - Le FAC a été créé en 1975, par
26:40 Michel Machon. Il a
26:42 bientôt 50 ans, et
26:44 notre devise, c'est "du sport pour tous,
26:46 chacun à son niveau". - OK, donc Michel Machon
26:48 crée le club, mais c'est compliqué l'athlétisme.
26:50 Il y a plusieurs disciplines. Comment est-ce qu'il
26:52 a fait pour attirer les licenciés ?
26:54 - Il a été obligé de faire le tour de toutes les
26:56 écoles de la région, d'Andrézieux,
26:58 même de Saint-Justin-Rembert, Saint-Galmier, et tout,
27:00 pour expliquer aux
27:02 enfants qu'est-ce que c'était que l'athlétisme,
27:04 qu'est-ce qu'ils pouvaient en faire, leur expliquer
27:06 l'université de l'athlétisme, et du coup
27:08 les intéresser. - Avant les années 90,
27:10 il y avait une piste encendrée.
27:12 Le FAC faisait donc essentiellement de la course
27:14 à pied. Et puis après, il y a eu la piste
27:16 synthétique, ainsi que tous les équipements.
27:18 Ils sont passés de 100 à 400
27:20 licenciés en 10 ans. - On a
27:22 un nombre d'adhérents, parce qu'il y a
27:24 des adhérents des sports entreprises,
27:26 on a des baby-athlètes, on est
27:28 aux alentours de 600. - Et alors, la première
27:30 fille licenciée au club s'appelle Annick Michon.
27:32 C'est son nom de jeune fille, parce qu'aujourd'hui,
27:34 elle a un nom un peu plus connu. - Ah oui,
27:36 c'est quand même quelqu'un dont le nom
27:38 est bien connu, puisque c'est la maman
27:40 d'Élodie Clouel, qui a quand même été
27:42 vice-championne du monde...
27:44 vice-championne olympique, pardon, en 2016,
27:46 à Rio, grâce à sa maman et son papa aussi,
27:48 Pascal Clouel,
27:50 qui a été champion de France tous les deux
27:52 d'athlétisme.
27:54 - Vous avez même un club partenaire
27:56 dans le Yorkshire, en Angleterre, et vous
27:58 vous êtes rendu à une date un peu spéciale,
28:00 en juillet 98. - On a fait
28:02 un déplacement en car, et c'était
28:04 juste le jour de la finale
28:06 de la Coupe du Monde
28:08 98, et on a
28:10 chanté la Marseillaise
28:12 sur Trafalgar Square
28:14 à Londres,
28:16 c'était un souvenir
28:18 magique pour nous. - Alors il y a un partenariat
28:20 aussi très important avec la doyenne
28:22 des doyennes, la Saint-Hélion. - Depuis 30 ans,
28:24 on a vu passer cette course
28:26 de quelques 2-3 000 participants
28:28 à maintenant plus de 17 000,
28:30 18 000 peut-être cette année, donc c'est vraiment
28:32 quelque chose d'important, ce partenariat.
28:34 - Et du coup, c'est entre autres le FAC
28:36 qui s'occupe de l'espace départ de la Saint-Hélion
28:38 au Parc Expo de Saint-Etienne.
28:40 - Ah oui, c'est vraiment une chance énorme, là,
28:42 on peut vraiment remercier la municipalité d'Andrézieux-Gouthéon
28:44 d'avoir fait ces investissements,
28:46 parce qu'on a vraiment tous les moyens
28:48 de pratiquer dans des très bonnes conditions.
28:50 - Ah bah ça, c'est le moins qu'on puisse dire.
28:52 En tout cas, que ce soit pour les novices ou les compétiteurs,
28:54 on souhaite longue vie au FAC
28:56 et que les bonnes valeurs du sport perdurent.
28:58 - Mais dis donc, c'est qu'on apprend des choses,
29:00 on... - Toujours d'en parler au coeur.
29:02 - La piste encendrée,
29:04 c'est Maxime qui nous a dit. - Oui, c'est un mélange
29:06 de sable et de cendre. - De sendre, oui.
29:08 - Pour les chevaux. - Sur les hippodromes.
29:10 - Exact. Pour l'athlétisme et pour les hippodromes.
29:12 - Et la Saint-Hélion, c'est eux qui organisaient,
29:14 mais tout au début... - Alors, ils organisaient pas.
29:16 - Non, pardon. - Ils prennent en charge
29:18 toute la partie départ. A l'époque, il y avait même
29:20 les dossards de la Saint-Hélion qui se récupèrent à côté
29:22 du Parc Expo, alors qu'aujourd'hui, ça se fait
29:24 à la Alto-Nigarnier à Lyon, parce qu'il y a le village running.
29:26 Mais en tout cas, ils prenaient
29:28 cette phase-là en charge également.
29:30 Mais vous avez vu les infrastructures qui sont
29:32 présentes là au fac. - La piste, elle est magnifique.
29:34 - La piste, elle est toute neuve. Ils ont
29:36 tout pour évoluer et pour faire
29:38 de belles choses. On a vu
29:40 Madame Clouvel, qui était
29:42 toute jeune et qui courait
29:44 au fac, l'une des premières licenciées...
29:46 - Je la connais, je lui dirai prochainement
29:48 Madame Michon. - Madame Michon.
29:50 L'une des premières licenciées féminines du club.
29:52 Donc, une belle histoire. - Je crois même qu'elle était
29:54 plus titrée que son mari, d'ailleurs.
29:56 - Pascal. - Ouais, que Pascal.
29:58 Qui ne connaît pas Pascal ?
30:00 - Thomas, vous ne le savez pas ?
30:02 - Je ne connais pas le palmarès des deux.
30:04 Les deux ont été titrés, c'est sûr. - C'est sûr.
30:06 - En tout cas, vous avez vu qu'à chaque Parlons Club,
30:08 on découvre de belles choses, que ce soit
30:10 avec de grands noms de la Loire,
30:12 avec de belles histoires,
30:14 comme on a dit, Yorkshire en
30:16 1998 pour la finale
30:18 de l'équipe de France qui gagne
30:20 cette première Coupe du Monde. - On voit bien que Parlons Club grandit
30:22 de plus en plus en temps. - Le Parlons Club nous apprend encore plein de choses.
30:24 - De 1 minute 30, on est à 2 minutes 58.
30:26 - Mais parce que vous me donnez du temps, Julien.
30:28 - On est bien, on passe un bon moment.
30:30 Il reste encore une chronique rugby.
30:32 Il nous reste 12 minutes d'émission.
30:34 - Vous avez fait du couvoiturage, vous les deux, ou pas ?
30:36 - Non, ce n'était même pas le même jour.
30:38 - C'est ton service.
30:40 - Ce n'est pas le même jour, ce n'est pas la même heure.
30:42 - Non, mais vous avez la même température.
30:44 - Exactement. Allez, dans quelques instants, on va parler rugby
30:46 avec Thomas.
30:48 - Exactement.
30:54 C'est vrai que c'est la période pour faire un petit
30:56 point de nos équipes phares,
30:58 entre autres vous, l'ERC AB.
31:00 - Tout à fait, le Rugby Club André Dieu Bouteillon.
31:02 On était à mi-saison. On est allé les rencontrer.
31:04 Alors à mi-saison, pas tout à fait pour André Dieu
31:06 puisqu'ils avaient un match en retard,
31:08 qui n'avait pas pu se jouer avant les vacances de Noël.
31:10 - À cause du gel, non ? - À cause du gel.
31:12 15 jours avant les vacances de Noël.
31:14 Donc match en retard contre Pontarlier
31:16 qui sera rejoué prochainement.
31:18 - Pontarlier qui est un concurrent direct.
31:20 - Oui, un adversaire direct.
31:22 Pour le maintien, pour l'instant,
31:24 puisque après les matchs de ce week-end...
31:26 - Peu de bonnes nouvelles aujourd'hui.
31:28 On parle beaucoup maintien.
31:30 - On parle maintien. Après avoir parlé maintien pour le basket,
31:32 on parle maintien pour le rugby.
31:34 Et effectivement André Dieu a eu un début de saison compliqué.
31:36 On y reviendra avec Clément Vidal,
31:38 le manager du club.
31:40 - Katarinaï, ils sont en quelle catégorie ?
31:42 - En Fédéral 2. Ça fait combien de temps ?
31:44 - Tout à fait. C'est leur deuxième saison en Fédéral 2.
31:46 Donc le deuxième niveau amateur.
31:48 - Compliqué ?
31:50 - Plus compliqué que la saison dernière.
31:52 - En général, c'est toujours la deuxième saison.
31:54 - Il faut confirmer.
31:56 - Ça vient de quoi ?
31:58 Parce que ça ne vient pas des infrastructures.
32:00 Vous allez voir dans quelques instants, c'est un truc de fou.
32:02 - On ne voit pas ça.
32:04 Même à haut niveau, on ne voit pas ça.
32:06 - On ne voit pas de partout.
32:08 - C'est incroyable. Les infrastructures qu'André Dieu...
32:10 - C'est ça qui vous a surpris
32:12 quand vous avez fait cette petite visite ?
32:14 - Oui. Après, la ville d'André Dieu...
32:16 - Est réputée pour ça.
32:18 - Tout les clubs d'André Dieu
32:20 ont de superbes infrastructures.
32:22 Le rugby a de très belles installations.
32:24 - Ils ont parlé sans langue de bois.
32:26 Vous avez pu voir le président ?
32:28 - On a discuté avec le président.
32:30 Avec Eric Trouillet, qui est président
32:32 depuis plus de 15 ans maintenant
32:34 sur un club qui a seulement 21 ans.
32:36 Président emblématique du club.
32:38 Et Clément Vidal, le manager général du club
32:40 et entraîneur de l'équipe première.
32:42 - Prenez une petite polaire
32:44 parce qu'il fait frisquer.
32:46 - Ce soir, je vous emmène en immersion
32:48 au RCAB, le rugby club André Dieu Boutéon.
32:50 Nous visiterons les infrastructures
32:52 avec le président et nous prendrons
32:54 des nouvelles de la Fédérale 2
32:56 avec le manager Clément Vidal.
32:58 - On va parler un petit peu
33:00 des résultats de cette équipe première.
33:02 Qu'en est-il ?
33:04 - Ils ne sont pas au niveau des attentats
33:06 et des objectifs qui ont été fixés
33:08 en début de saison.
33:10 On pointe à une mauvaise 11e place
33:12 sur 12. Les gars sont très bien
33:14 dans la salle. On peut expliquer
33:16 par rapport au calendrier qu'on a eu
33:18 en début de saison, par rapport à la Coupe du Monde
33:20 et la présence australienne ici.
33:22 Il y a ça qui rentre en compte,
33:24 mais il y a d'autres facteurs aussi.
33:26 - Quel est l'objectif de ce week-end ?
33:28 - Dimanche, c'est la victoire impérative.
33:30 On reçoit Saint-Claude qui est dernier
33:32 du classement. On a perdu de chez eux
33:34 2 points au match allé. Maintenant,
33:36 si on veut atteindre l'objectif
33:38 de sauver le club, de se maintenir,
33:40 voire plus si on est gourmand,
33:42 on doit gagner.
33:44 - Vous êtes un président heureux
33:46 avec ces nouvelles infrastructures ?
33:48 - Tout à fait. On a la chance
33:50 que la mairie nous a offert
33:52 ces infrastructures aujourd'hui.
33:54 Une vraie infrastructure pour que les gens
33:56 puissent travailler.
33:58 - Tout ça livré juste après la Coupe du Monde ?
34:00 - Tout ça livré juste après la Coupe du Monde.
34:02 La pelouse avant, parce que les Australiens
34:04 s'entraînent. On a fini nos installations
34:06 réellement en octobre.
34:08 Quand ils sont partis, tout était fini.
34:10 - Au-delà de ces belles infrastructures,
34:12 vous développez aussi le club
34:14 avec un centre d'entraînement jeune
34:16 qui est amené à évoluer en attente ?
34:18 - Tout à fait.
34:20 On a mis en place avec Clément Vidal
34:22 et Bruce Mathieu un projet
34:24 de faire un centre
34:26 d'entraînement jeune
34:28 qui plus tard, ça fera un centre
34:30 décolonialisé si on a la validation
34:32 de la part de la Fédération.
34:34 - Pour accentuer cette dynamique, vous avez
34:36 un partenariat avec le Loup Rugby ?
34:38 - Pourquoi ce côté-là
34:40 plutôt que le côté Auvergne ?
34:42 Parce que de toute façon, c'est plus pratique
34:44 en termes de direction.
34:46 On a des affinités avec le Loup
34:48 par rapport aux actions
34:50 qu'il nous propose.
34:52 On a vraiment froid et on veut
34:54 être leur locomotive
34:56 sur la Loire.
34:58 - Sur vert, Marceau, vert, les appuis sont nés,
35:00 Maud sur la poêle !
35:02 - Clément, qu'est-ce qui vous manque maintenant
35:04 pour prendre des points et bien finir la saison ?
35:06 - C'est de retrouver le caractère
35:08 qu'on avait sur les deux dernières saisons.
35:10 La saison exceptionnelle qu'on fait pour la montée
35:12 de Fedra, le 3, Fedra le 2.
35:14 Et surtout, trouver un match référent,
35:16 ce qu'on n'a pas depuis le début de saison.
35:18 - Malgré le fait que tu aies le même effectif que la saison dernière,
35:20 voire qu'il soit un peu meilleur ?
35:22 - Il est un peu meilleur que la saison dernière,
35:24 même s'il y a eu quelques départs importants.
35:26 - Clément, j'espère que vous allez vite retrouver cette rage
35:28 et cette envie de gagner pour une belle fin de saison
35:30 à l'RCAB. En tout cas, on vous souhaite
35:32 bonne chance pour le maintien et la suite de la saison.
35:34 - Merci beaucoup Thomas.
35:36 - Pour rentrer dans le jeu,
35:38 t'as pas envie de tomber avec ce temps.
35:40 - Après,
35:42 il s'entraînait sur terrain synthétique.
35:44 - Bon, alors, le résultat du week-end.
35:46 - C'était ce qui était important, c'est vrai.
35:48 - C'était important, la victoire est là contre Saint-Claude.
35:50 - C'est bien ça, non ?
35:52 - C'est bien parce que ça permet de lancer la deuxième partie de saison.
35:54 - Pourquoi je sens qu'il y a un "men" en ce moment ?
35:56 - Ils ont pris 4 points, ils n'ont pas pris le point du bonus.
35:58 Le petit point négatif du week-end
36:00 pour eux, c'est que devant,
36:02 Grandol a gagné.
36:04 Donc, il reste à 5 points de Pontarlier.
36:06 - Non mais il faut gagner !
36:08 - Et Pontarlier, ça se joue quand ?
36:10 - J'ai plus la date.
36:12 - Vous savez pas, mais...
36:14 - Là, ils ont encore 2 matchs de suite à la maison.
36:16 - Ah, ça c'est bien à la maison.
36:18 - Il faut y aller.
36:20 - C'est République Bachata, on y va tous.
36:22 On va chauffer l'ambiance des tribunes.
36:24 - Les 2 prochains dimanches à 15h15.
36:26 - C'est un peu dans l'oriental ce que je me dis.
36:28 - Le président, il disait que
36:30 il y a un loup rugby dans la Loire.
36:32 - Il a dit qu'il y a un loup dans la Loire.
36:34 - C'est pour faire des échanges de joueurs ?
36:36 - C'est quoi le lien avec le loup rugby ?
36:38 - C'est ça, non ?
36:40 - C'est pas fait directement pour faire des échanges de joueurs.
36:42 - Pour récupérer un chabal ?
36:44 - Potentiellement, ce serait ça.
36:46 - Le loup rugby ne se porte pas très bien en ce moment.
36:48 - Oui, non plus.
36:50 - Le loup rugby ne se porte pas très bien.
36:52 Les Australiens sont venus à Andrézieux, ils ne se portent pas très bien.
36:54 - Il y a un petit truc, là.
36:56 - Les gens qui passent ici, on leur porte chance, normalement.
36:58 - On va avoir une réponse, quand même ?
37:00 - Très bonne question, Lilian.
37:02 - C'est de la voir poser.
37:04 - Merci.
37:06 - Non, c'est pas directement pour faire des échanges de joueurs,
37:08 mais créer des passerelles et faciliter
37:10 le passage des joueurs
37:12 et du centre de formation d'Andrézieux
37:14 vers le loup rugby, ou des entraînements en commun,
37:16 comme ce que vont faire les buteurs d'Andrézieux
37:18 qui vont aller au loup rugby.
37:20 - Des quenelles peuvent venir à Andrézieux ?
37:22 - Des loups ?
37:24 - Ça ne s'est pas fait encore, c'est le début du partenariat.
37:26 - C'est le début du partenariat.
37:28 - C'est surtout dans l'autre sens.
37:30 - Les joueurs du RCAB vont monter au loup
37:32 pour faire des formations, des entraînements.
37:34 - Progresser, exactement, dans un premier temps.
37:36 - À suivre. Très bon reportage.
37:38 - Merci.
37:40 - Et les fauteuils Sportset, bien joué, Lilian.
37:42 - Il faut les emmener.
37:44 - Dans quelques instants, ça y est, c'est le cours.
37:46 - La démonstration.
37:48 - On a un Maxime, t'es tout excité.
37:50 - Je peux danser ?
37:52 - Comme un âme, on le retient pas,
37:54 il fait la démo.
37:56 - Allez, on y va, Driss.
38:02 - On ne dit pas trop de bêtises, Driss.
38:08 - C'est parfait.
38:10 - On va faire une petite démonstration.
38:12 - Julien ?
38:14 - Il me faut un cavalier ?
38:16 - Maxime ?
38:18 - Moi, je vais danser avec Driss.
38:20 - Tu ne me laisses pas tout seul.
38:22 - Pas de base.
38:24 - C'est quoi un pas de base ?
38:26 - Je vais vous montrer le pas de base de la bachata.
38:28 - Tu ne veux pas danser avec une danseuse ?
38:30 - C'est vrai ?
38:32 - Je ne voudrais pas les blesser.
38:34 - C'est vrai que je suis danseuse ?
38:36 - Bien, Cyriane.
38:38 - Vous êtes suicidaire, vous.
38:40 - Alexia, viens.
38:42 - J'ai entendu, elle a fait "Oh putain".
38:44 - Les garçons, vous vous mettez comme moi.
38:46 - Déjà ?
38:48 - Ça va être très simple.
38:50 - Juste, tu fais ce que je dis.
38:52 - On va écarter sur le côté, pied gauche.
38:54 - On ramène.
38:56 - On écarte à nouveau.
38:58 - C'est tout grasse quand il fait ça.
39:00 - Et on pointe.
39:02 - Pareil à droite.
39:04 - Ouvert, fermé, ouvert, pointé.
39:06 - A gauche.
39:08 - Elle joue avec les...
39:10 - Deux pas sur le côté.
39:12 - Tu te calmes, je regarde les hanches.
39:14 - On y va. Trois, quatre.
39:16 - Sur le côté.
39:18 - Ça va ?
39:20 - Ça se compte sur 8 ans.
39:22 - Elle m'a dit que j'étais son miroir.
39:24 - Trois, quatre.
39:26 - Et un, deux, trois, quatre,
39:28 - et cinq, six, sept, huit.
39:30 - Pas mal.
39:32 - Tu prends les mains de ta danseuse.
39:34 - Pas mal, mais ça me semble un peu raide.
39:36 - Comment ça "raide" ?
39:38 - On fait pareil avec les bases.
39:40 - Attends, fais quoi avec les mains ?
39:42 - Trois, quatre, cinq, six, sept.
39:44 - Tu peux faire ça aussi.
39:46 - Un peu d'autonomie.
39:48 - Cinq, six, sept, huit.
39:50 - Un, deux, trois.
39:52 - Levez la main droite, les garçons.
39:54 - La fille va tourner dans ce sens.
39:56 - Tout seul ?
39:58 - Oui, c'est fait.
40:00 - Il me disait qu'on veut de la musique.
40:02 - Il faut qu'on soit dans le "move".
40:04 - Si vous voulez.
40:06 - Je lève la main droite.
40:08 - Ça va ? C'est trop ?
40:10 - Vous allez dans quel sens ?
40:12 - On fait juste du fort comme ça.
40:14 - Fais vite, après il faut voir des pros.
40:16 - Attends, je pèse le bras, c'est bon ?
40:18 - Cinq, six, sept, huit.
40:20 - Il est con ce mec.
40:22 - Un, deux, trois.
40:24 - Pointe.
40:26 - Un, deux, trois, cent.
40:28 - Vous savez où vous êtes ?
40:30 - Pas de base.
40:32 - Levez la main droite.
40:34 - Un, deux, trois.
40:36 - C'est catastrophique.
40:38 - C'est pas mal.
40:40 - C'est bon au début.
40:42 - On est des pros quand même.
40:44 - Ça vous dérange pas ?
40:46 - C'était vraiment très agréable.
40:48 - C'est pas chiant, c'est la démo.
40:50 - On y va, des vrais.
40:52 - C'est horrible.
40:54 - C'est dur pour nous.
40:56 - Faites voir ce que ça donne, une vraie troupe.
40:58 - On y va.
41:00 - Trois, quatre, c'est parti, musique.
41:02 - L'ignore ou la bachata, ça vous parle ?
41:06 - Pas trop.
41:08 - Moi non plus.
41:10 - On peut pas poser des questions.
41:12 - C'est très beau.
41:14 - Je pense que c'est sur ces images-là
41:16 qu'on va rendre l'antenne.
41:18 - Sauf si Thomas voulait essayer.
41:20 - Je vois depuis tout à l'heure
41:22 sa trépidité d'envie.
41:24 - Ils sont partis, ça sera pour une prochaine fois.
41:26 - Une prochaine fois, voilà.
41:28 - Catharina va rendre l'antenne.
41:30 - Continuez, c'est très beau.
41:32 - On rend l'antenne là-dessus, c'est magnifique.
41:34 - Merci à toutes et à tous d'avoir regardé.
41:36 - Merci à vous.
41:38 - Merci à vous, on va vous suivre.
41:40 - Qu'est-ce qui vous attend ?
41:42 - Le début de saison, le début février.
41:44 - Et après notre grand prix de Saint-Etienne le 23 mars.
41:46 - Et surtout, ça continue la bachata.
41:48 - Vous pourrez vous échauffer un peu.
41:50 - Ça peut être un nouveau concept.
41:52 - A la semaine prochaine.
41:54 - Ciao, bye, bye.
41:56 - Un, deux, trois, bachata.
41:58 - On vous dit à la semaine prochaine.
42:00 - Ciao, bye, bye.
42:02 - Un, deux, trois, bachata.
42:04 - Bachata.
42:06 ...

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