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Transcription
00:00 Voilà c'est le moment de se dire au revoir.
00:02 Ça fait longtemps que je suis sur cette chaîne, je suis arrivé en 99 ici, c'est la chaîne où j'ai tout appris.
00:08 Je voulais remercier notamment Fabien Namias et Thierry Tuy de m'avoir fait confiance et de m'avoir permis de revenir sur LCI
00:15 après avoir fait du divertissement de la télé-réalité.
00:17 Tout le monde n'aurait pas eu cette ouverture d'esprit, cette intelligence franchement.
00:20 Donc merci beaucoup, j'ai vécu 6 années exceptionnelles de retour à LCI ici.
00:24 Ça a été un plaisir aussi de vous présenter cette matinale avec Anne-Chloé qui nous regarde peut-être, qui n'est pas là ce matin.
00:30 Venez vous mettre autour de lui parce qu'il n'a pas gagné.
00:32 Et merci à toute cette équipe, une équipe géniale.
00:35 C'était un plaisir de travailler avec vous tous les matins, avec Catherine, avec Mathieu.
00:38 Vous avez gardé ce portrait ?
00:39 Je vais garder ça évidemment.
00:40 Et vous connaissez notre cri de guerre, "Ah, le police il est beau, il est vieux".
00:44 Il est beau !
00:46 Je pense que les gens ne peuvent pas se rendre compte à quel point c'est beaucoup d'affect et de sentiments la télévision, mine de rien.
00:52 Les gens s'aiment et travaillent ensemble.
00:55 J'ai été très fier de porter le travail de la rédaction pendant des années.
00:58 J'embrasse particulièrement la régie également parce que je sais que je les ai beaucoup fait souffrir avec mes chansons insupportables.
01:04 J'ai toujours fait beaucoup de bruit.
01:06 Merci parce que sans tous les techniciens, tous les équipements en régie, on ne serait pas grand-chose.
01:10 Merci à Pierre Beretsch qui est à l'oreillette.
01:13 Voilà, il y a une aventure qui se termine mais l'histoire continue pas si loin.
01:17 Donc dans "Bonjour" avec notamment Garence Pardigon, avec Bruce Toussaint.
01:21 Merci, continuez à regarder El Sist, une chaîne extraordinaire.
01:24 Cette équipe est dingue, c'est une équipe de rêve.
01:27 On s'apprêtera à en regarder.
01:29 Et vous savez quoi ? On avait dit qu'on ferait comme ça.
01:32 Donc Pierre, on fait comme on a dit.
01:35 J'ai une peine infinie mais bon, on fait une Gisca.
01:38 Française, français, au revoir.
01:42 Allez-vous partir ?
01:44 Ils nous laissent !
01:46 (Applaudissements)

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