Les services secrets russes à la municipalité de Biarritz.
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00:00 Bonjour, vous êtes déjà trois à suivre l'émission.
00:05 Je vous salue tous, je salue également tous ceux qui vont venir
00:09 et nous allons vous parler de choses interdites,
00:12 des services secrets russes dans la mairie de Biaris.
00:16 Dites-le si vous entendez bien, je pense que le son est bon.
00:19 C'est un sujet interdit.
00:25 Pour les révélations que je vais vous faire maintenant,
00:29 j'ai eu mon appartement perquisitionné par six policiers français,
00:35 je précise,
00:38 qui m'ont saisi pour ensevoir tout mon matériel informatique
00:44 de communication, y compris à ma femme.
00:48 J'ai été convoqué au commissariat de police de Biaris.
00:52 On m'a pris les empreintes digitales,
00:55 en fait tout un tas de mesures pour me faire taire.
00:58 Alors je vous dis, je ne me tairai pas.
01:01 Nous commençons de suite.
01:04 J'avance toutes les preuves de ce que j'affirme.
01:10 On va changer la disposition de l'écran.
01:15 En novembre 2021, j'ai vu sur la page Facebook d'Alexei Loujnikov
01:23 cette photo qui est prise dans la mairie de Biaris.
01:28 Madame Hélène Koutouzov, qui est à gauche des conseillères municipales,
01:33 a amené M. Loujnikov.
01:36 Elle a d'abord présenté à la maire adjointe Anna Pénatelle,
01:41 qui est à droite, au café La Coupole à Biaris.
01:45 Et ensuite, ils sont allés à la mairie de Biaris rencontrer la maire
01:50 pour présenter un programme culturel.
01:54 C'est le grand classique en colline.
01:57 Et ce que j'ai révélé, c'est que M. Loujnikov,
02:00 c'est un agent des services secrets russes.
02:03 Et que Mme Koutouzov, conseillère municipale,
02:06 binationale russe-française, comme M. Loujnikov également,
02:13 conseillère municipale, a présenté à la mairie de Biaris
02:18 un agent des services secrets russes.
02:22 Ici, nous avons M. Loujnikov sur une base,
02:27 alors chaque mot que je dis est à son poids,
02:31 sur une base militaire du FSB, l'ancien KGB,
02:36 avec deux Kalashnikovs.
02:39 Ici, nous l'avons entre deux colonels du FESB,
02:47 entre deux colonels du FESB,
02:52 toujours sur la base militaire du FESB à Grozny.
02:57 Donc M. Loujnikov est également colonel des services secrets russes.
03:02 Comme on voit, il est encadré de deux colonels,
03:05 c'est-à-dire que lui, il a le rang de colonel.
03:08 Il aura l'estime de colonel.
03:13 Sur une base militaire qui est parsemée de charniers
03:18 où l'on retrouve, selon les rapports de mémorials,
03:21 aujourd'hui interdits en Russie, des corps,
03:24 les mêmes attachés dans le dos avec du fil de fer barbelé
03:28 et accrocement mutilés.
03:30 M. Loujnikov était sur un centre de torture
03:35 des services secrets russes à Grozny.
03:39 Il pose ici, toujours sur cette base,
03:48 toutes les personnes que l'on voit ici sont des agents du FESB
03:53 qui sont identifiés.
03:56 On voit par exemple M. Bogdanov de Bourg-Mastre.
03:59 Les autres également sont identifiés.
04:02 Ces gens-là sont des criminels
04:05 qui agissaient sur ce centre de torture,
04:08 ce centre d'extermination des services secrets russes à Grozny.
04:13 Nous avons une belle vidéo
04:16 où M. Loujnikov, colonel,
04:19 est décoré par un grade supérieur, comme il se doit,
04:22 donc par un général, le général Yuriy Rougin,
04:25 qui a fait toute sa carrière dans le FESB,
04:32 dans les services secrets russes,
04:34 avec le grade de général,
04:36 et ensuite qui a été nommé par Poutine,
04:39 gouverneur de la région de Samara,
04:41 puisqu'on sait que Poutine nomme gouverneurs
04:45 les agents des services secrets russes.
04:48 Donc nous sommes ici à Anglette,
04:52 cette route de Saint-Pé à Anglette,
04:55 devant la villa Lua-Gora,
04:57 dont le propriétaire est Alexei Loujnikov.
05:00 Alors moi j'habite également à Anglette,
05:03 à côté de Garis, donc ce sont mes voisins.
05:06 Et j'ai remarqué cette voiture,
05:09 immatriculée à Saint-Pétermour,
05:12 ici on voit sur le site de cette voiture,
05:15 elle a le même propriétaire, Alexei Loujnikov,
05:18 que la villa que nous voyons derrière.
05:21 Si on regarde les pages de monsieur Alexei Loujnikov,
05:26 les pages de Facebook ou VK,
05:28 on voit que en 2016,
05:32 madame Hélène Koutsoum conduisait cette voiture.
05:37 Ce véhicule, le Mercedes Viano,
05:39 avait le même numéro que nous venons de voir.
05:43 Il y a d'autres vidéos qui montrent madame Koutsoum,
05:45 et également le numéro de cette voiture.
05:48 Donc madame Koutsoum doit connaître monsieur Loujnikov.
05:52 Et également il y a des vidéos où on voit madame Koutsoum,
05:56 dans la villa Lua-Gora à Anglette,
05:59 et comme nous allons le voir,
06:01 cette villa c'est le repère des services secrets russes,
06:06 sur la côte Bastin.
06:08 Fréquentée également par madame Koutsoum.
06:11 Donc madame Koutsoum, elle savait beaucoup de choses.
06:14 Et ainsi, nous les voici tous les deux dans la voiture.
06:19 Et si on va sur le Facebook de monsieur Loujnikov,
06:25 le 19 janvier 2017, il publie cette vidéo,
06:29 une vidéo qui date de 2004,
06:31 et là, en bon russe, monsieur Loujnikov,
06:34 en 2017, il écrit qu'il était à nouveau en service
06:39 sur une base du FSB.
06:42 Et si on va dans les commentaires,
06:45 le lendemain, le 20 janvier, il a écrit que
06:49 on va continuer à travailler, les missions se poursuivent.
06:53 Et cette page, cette vidéo a été vue en 2017
06:59 par madame Hélène Koutsoum, alias Hélène Béthézède,
07:03 puisque elle a laissé une pension.
07:06 Donc madame Koutsoum, dès 2017,
07:09 savait que monsieur Alexei Loujnikov
07:12 était un agent des services secrets russes,
07:15 et malgré cela, elle l'a introduit,
07:19 sans le dire, à la mairie de Biarritz.
07:22 Alors, comme elle manque pas d'audace,
07:24 moi, je lis que madame Koutsoum
07:27 m'a introduit à l'agent des services secrets russes
07:29 à la mairie de Biarritz.
07:31 Et elle m'accuse, elle le poursuit pour dire
07:35 ce qu'elle savait elle-même.
07:38 Il faut quand même avoir une certaine audace.
07:43 Indignation.
07:46 Les activités à mairie, des élus et d'honneur à madame Koutsoum,
07:53 ce n'est pas leur petite cuisine.
07:55 Il s'agit des affaires publiques.
07:57 Dans la mairie, on est dans la maison de la République.
08:01 Et le citoyen doit savoir ce qui se passe.
08:06 Il ne doit pas avoir uniquement la version des services secrets
08:12 ou la version de madame Koutsoum.
08:14 Il doit savoir toute la réalité.
08:17 Et en disant que madame Koutsoum avait introduit
08:20 un agent des services russes à la mairie de Biarritz,
08:24 j'ai dit ce qu'elle savait elle-même,
08:26 et j'ai fait mon devoir.
08:28 Je mets mes connaissances à la disposition de mes concitoyens.
08:33 Donc ici nous sommes dans cette villa Luagoura en Angleterre
08:41 et nous voyons deux hommes, vous avez reconnu à gauche Alexei Lyuzhnikov,
08:44 qui fêtait son anniversaire le 19 juin 2021
08:49 et qui l'avait invité, venu de Saint-Péterbourg,
08:54 spécialement pour cela ses collègues des services secrets russes
08:59 et d'autres personnes, dont Alexandre Malkovich.
09:04 Alexandre Malkovich est venu ici à différentes reprises,
09:14 on l'a vu pour les anniversaires, pour fêter les premiers de l'an.
09:19 Là c'est le 1er janvier 2018,
09:25 on voit qu'ils sont habillés chaudement.
09:28 Cette photo est également prise en Angleterre.
09:32 Et là, maintenant nous sommes en Ukraine,
09:36 sur les territoires occupés par l'envahisseur russe
09:41 et vous voyez M. Lyuzhnikov avec une arme.
09:45 M. Malkovich avec une arme.
09:51 Alexandre Malkovich est recherché par le FBI,
09:56 la prime offerte est de 10 millions de dollars.
10:01 Alors ils veulent l'attraper.
10:03 Si vous comparez, la prime offerte pour Eugène Prigozhin
10:08 n'était que de 250 000 dollars.
10:13 Donc le FBI est prêt à offrir 40 fois plus
10:17 pour attraper M. Alexandre Malkovich,
10:21 qui vient faire la fête ou des opérations de renseignement
10:28 ici en France à la boite des services français
10:33 qui laissent tout ce monde avoir les activités qu'il désire.
10:39 Là nous voyons Alexandre Malkovich
10:43 avec une associée qui s'appelle Ramzan Kadyrov.
10:50 Un homme qui dit qu'il a tué son premier homme à l'âge de 16 ans.
10:58 Pour lui c'est comme pour nous la première communion.
11:02 Ça montre qu'il est devenu un adulte.
11:06 Malkovich, vous voyez ici, avec le cèdre,
11:10 envahisseur russe sur les territoires ukrainiens.
11:16 Ici nous voyons Malkovich au centre,
11:21 entre deux personnes qui ont été complanées aux Etats-Unis pour espionnage.
11:28 Donc la profession est confirmée par une condamnation aux Etats-Unis.
11:34 Une jeune femme de Roche, Anna Chapman,
11:38 qu'on appelle aussi la "matarie russe",
11:42 agent de corde, ce sont ses maturations,
11:46 ses 90, ses 60, ses 90, quand elle est en maillot de veille.
11:49 Elle a été condamnée à 16 ans de prison.
11:53 Et elles ont été échangées.
11:55 C'est le plus grand échange d'espion depuis la guerre froide.
12:00 Et d'ailleurs Anna Chapman a été échangée
12:04 contre des personnages importants du renseignement britannique,
12:08 dont Sergueï Skripal.
12:11 Et ensuite les Russes ont eu des remords
12:14 d'avoir libéré Sergueï Skripal
12:20 et ils sont allés l'empoisonner en Grande-Bretagne.
12:24 Nous sommes ici au cœur, au centre de l'espionnage russe
12:29 qui a sa base ici à Angleterre
12:32 et qui a été introduit par Mme Hélène Coutuzov-Bidegain,
12:38 aïeuse BTZ, conseillère municipale à la mairie de Biarritz.
12:43 Voilà ce que je vous dis.
12:45 Poutine a tué 260 journalistes.
12:53 Les autres sont en prison, comme Vladimir Karamurza,
12:57 qui en a pris pour 25 ans, et beaucoup d'autres.
13:00 D'autres sont exilés ici, en Europe.
13:04 Je pourrais citer beaucoup de noms, dont Elgin et Kislyaev.
13:08 Et Poutine a remplacé les journalistes assassinés,
13:13 emprisonnés ou exilés par ses agents.
13:17 C'est à ce moment-là que Alexei Ljubinkov a ouvert ses médias
13:23 et il a embauché ses collègues des services secrets.
13:27 On en a déjà parlé d'un, Alexandre Malkovich.
13:32 Et ensuite, Malkovich est allé travailler dans les structures Wagner
13:38 pour Eugène Prigojine, contre les États-Unis.
13:41 Il s'était viré. Maintenant, on l'a vu y rechercher.
13:45 Et ensuite, il est allé travailler, toujours pour Prigojine,
13:50 mais contre la France.
13:52 Et il a été chargé de répandre la haine en Afrique
13:59 contre la France et contre l'armée française.
14:03 Pour cela, il a créé des instituts.
14:06 Un institut s'appelle le Club Africain de Discussion,
14:11 que l'on voit ici.
14:13 Et il travaille avec des agents de Prigojine, de Wagner,
14:19 sur le continent noir, dont Nathalie Liam.
14:24 Il faut aller sur la télé suisse. Nathalie Liam donne une interview
14:29 et elle dit qu'elle ne pleure pas la mort des soldats français en Afrique.
14:35 Traduite, elle s'en réjouit.
14:38 Et Nathalie Liam rencontre, à différentes reprises, à Sochi, à Berlin, à Saint-Péterbourg,
14:48 elle rencontre Alexandre Malkovich.
14:51 Ce sont deux hommes des structures Wagner qui agissent contre la France,
14:56 contre les Français et contre l'armée française en Afrique.
15:00 Ce sont eux, et en particulier Alexandre Malkovich,
15:05 qui ont tout fait pour nous chasser d'Afrique.
15:08 Et entre-temps, où s'est mené ce reposé Alexandre Malkovich ?
15:14 En France, en Angleterre.
15:17 Et qui s'est qu'a été ennuyé ?
15:19 C'est Pierre Raffner, parce qu'il a dit ce que je viens de vous dire.
15:23 Il a été ennuyé, pourchassé par l'État français.
15:27 Ici nous avons un organigramme qui est fait par un chercheur,
15:39 Anton Tchéhoff, pour la communauté européenne.
15:44 Les structures Afrique de Prigogin, de Wagner.
15:49 Dans "Anno Amo" nous avons Prigogine.
15:52 La ligne verticale représente l'intrusion d'Afrique,
15:56 cet institut dans l'Afrique,
16:00 cet institut dont le but est de chasser l'Occident et la France du continent africain.
16:13 Prigogine est mort, il était dans l'avion.
16:16 Sur la droite, on a Utke, qui lui aussi est mort,
16:20 qui était dans l'avion, c'était le chef de Wagner.
16:23 A droite, nous avons, dépendant de Prigogine, de ses structures,
16:30 les usines de trolls, pour faire des civils attaques.
16:34 Et en dessous, nous avons Alexandre Malkovich.
16:37 Et une de ces instituts, la Fondation de protection des valeurs nationales,
16:44 destinée à semer la haine contre la France et contre l'armée française en Afrique.
16:51 L'autre institut dont je vais parler, c'est le Club Africain des discussions,
16:54 et l'institut Afrique que nous venons de voir maintenant de Prigogine.
16:59 Mais en fait, c'est la même chose.
17:02 Vous retrouvez les mêmes personnes, Nathalie Iamb, Alexandre Malkovich,
17:07 et les subordonnés de Prigogine dans tous ces instituts.
17:11 C'est la même chose.
17:13 Cette personne s'appelle Myra Terada.
17:24 Comme les deux espionnes précédentes,
17:28 elle a fait de la prison aux Etats-Unis et est revenue en Russie.
17:32 Elle est devenue une héroïne.
17:34 Et elle a fait au fond, également, de lutte contre la répression, contre l'injustice.
17:41 Alors, de l'injustice, comme vous le savez, je plaisante bien sûr,
17:45 il n'y en a pas en Russie, mais il y en a chez nous.
17:48 Et elle a décidé de soutenir tous ceux qui se sont fait tabasser par la police française.
17:56 Et là, il y a de la manière à travailler.
18:01 Et tous ceux qui peuvent s'estimer victimes, brûlées, par quelque chose en Occident,
18:06 et particulièrement en France.
18:08 Et elle travaille pour Prigogine, il est mort maintenant, et pour Barner.
18:16 Alors, elle ne s'en cache pas, vous l'avez écrit ici, le W de Barner.
18:21 Et en russe, il est écrit "Compagnie militaire privée, Compagnie Cheveka,
18:27 Chassnaya Uyenaya Kupraya, Compagnie militaire privée, Barner Centre".
18:32 C'est Barner.
18:34 Et ici, vous voyez une prise d'écran d'une conversation publique entre FBR,
18:46 dont c'est le fond de "Borbi protive repressis", le fond de "Lutte contre la répression",
18:51 de Mirat Terad, que je vous ai montré.
18:54 Et Mirat Terad est en grande conversation avec l'avocat français d'Ager, Édouard Martial.
19:01 Vous voyez, il y a les sous-titres "Martial pour le français", c'est sous-titré en russe.
19:09 Et Martial explique à Mirat Terad les 10 fonctionnements de la justice française.
19:20 Et Mirat Terad, sur ses pages, se bat que grâce à elle, en France, il y aura enfin la justice.
19:27 Et c'est les personnes qui l'aideront.
19:33 Donc, nous reprenons au centre l'organigramme d'Anton Shcheroff,
19:38 fait pour la Communauté européenne, les réseaux Barner et l'Institut Afrique, qui est au centre.
19:46 Ici, nous avons Malkiewicz, subordonné de Prigozhin, également subordonné de Lusikoff,
19:56 ami de longue date et collègue dans les services secrets russes de longue date de Lusikoff,
20:03 colonel du FSB.
20:05 Et madame Hélène Kutuzov, elle prend Lusikoff et elle l'amène tout tranquillement à la mairie de Paris.
20:13 Et à gauche, nous voyons donc Mirat Terad.
20:18 Mirat Terad avait Maxime Shugach, qui est le président de l'organisme de l'Agence de l'État.
20:25 Et Maxime Shuganieff, sur fond de Fondation de Protection des Voleurs Nationales, c'est l'Institut de Malkiewicz,
20:35 avec Maxime Shuganieff, qui est l'employé d'Alexandre Malkiewicz, puisqu'il est directeur,
20:45 il a été nommé par Malkiewicz, et il est directeur de cette Fondation de Protection des Voleurs Nationales, ici.
20:52 De plus bas, on est rue de Biaris, rue de Russie à Biaris.
20:58 Donc moi, je tiens une affiche et je me suis fait agresser par cette personne qui est en face de moi,
21:04 qui est sortie de l'église orthodoxe et qui nous a littéralement sauté dessus, et qui nous a menacé et insulté.
21:13 Et en bas, nous avons l'avocat français, qui, tout tranquillement du monde,
21:18 est en train de discuter publiquement avec une terroriste, parce que Myra Tirad de Wagner, c'est une terroriste.
21:26 Alors je ne sais pas si monsieur, je pense que l'avocat ne comprenait pas bien ce qu'il faisait, je pense.
21:46 Alors, je m'en vais à la suite.
21:48 Ici, nous avons Alexei Lushnikov à droite, qui embrasse Hélène Babich.
21:59 Hélène Babich, elle dit que depuis plus de dix ans, elle est l'invitée d'Alexei Lushnikov à Angleterre,
22:07 pour fêter le premier de l'an et les anniversaires.
22:10 Alors si on va sur les pages de Facebook de Lushnikov et de Babich, des photos,
22:17 on en a des dizaines où ils sont en train de s'embrasser et de faire la fête ensemble.
22:23 Et Babich, Hélène Babich, comme Malkovich, est une employée de Lushnikov.
22:31 Lushnikov a ouvert ses médias, comme je l'ai dit, et il a embauché des agents secrets.
22:42 Un c'était Alexandre Malkovich et l'autre c'était cette Hélène Babich.
22:49 Ce sont les subordonnés de Lushnikov.
22:53 Cette photo, elle est pas ancienne, puisque elle date du 7 octobre 2023,
23:02 c'est le jour de l'anniversaire de Poutine, et vous voyez Hélène Babich,
23:08 qui est en train de se congratuler, de s'éteindre avec Poutine.
23:17 Donc on est au plus haut des services secrets russes et du pouvoir russe.
23:26 Parce que supérieur à Poutine, en Russie, ça n'existe pas.
23:31 Et là nous avons une photo, Hélène Babich, qui pénètre dans le centre Wagner à Péterbourg.
23:40 Vous avez les superbes W, Wagner, et à nouveau Cheveka, compagnie militaire privée, Wagner 7.
23:47 Ce sont les gens de Wagner qui se réunissent ici à Angleterre, chez Lushnikov.
23:53 Et ce sont les gens de Wagner que Mme Kutuzov a introduits à la mairie de Biarritz,
23:58 en introduisant Alexei Lushnikov.
24:01 Ce sont les plus proches collaborateurs de Lushnikov, les subordonnés de Lushnikov.
24:08 Ici, sur ces proches Cheveka, Hélène Babich dit qu'elle est agent des services secrets russes,
24:17 qu'elle est spécialiste principale de sécurité.
24:21 Alors pourquoi ? Je vous dirai à l'écriture.
24:23 Parce qu'aujourd'hui, le président est un ancien, et est toujours un agent des services secrets russes, Poutine.
24:32 Et c'est une profession prestigieuse.
24:38 Et chacun se vante, s'il le peut, d'être un agent des services secrets russes.
24:46 Mais c'est fait en russe, ce n'est pas fait pour vous.
24:49 Vous le savez parce que je comprends le russe et que je vous transmets l'information.
24:54 Sinon, vous n'aurez jamais su que les agents des services secrets russes de Weiner viennent ici à Angleterre.
25:03 Vous voyez la médaille que montre Babich, et vous avez la chauve-souris.
25:08 La chauve-souris, c'est le symbole des services secrets russes.
25:12 Chauve-souris noire.
25:17 Et ici, vous avez deux à l'orner à Angleterre.
25:22 Vous avez à droite Hélène Babich et à gauche Alexandre Malkovich.
25:27 Deux hommes des services secrets russes de Weiner, subordonnés d'Alexei Loujikov,
25:35 dans la maison d'Alexei Loujikov, pour fêter le 1er de l'an, on va le s'appeler de Noël derrière.
25:42 On est au cœur du système du KGB russe.
25:52 Alors des photos où Hélène Babich s'embrasse avec Loujikov.
25:59 Là c'est à Angleterre, vous reconnaissez l'architecture basque derrière vous.
26:04 Ça aussi c'est à Angleterre, d'ailleurs on reconnaît les gens derrière.
26:08 Ça c'est Choukoussé, il est encore là.
26:13 Et vous avez la Vierge.
26:15 Alors la Vierge, elle est sur le rocher, je précise, parce qu'en dessous c'est Hélène Babich, agent des services secrets russes à Biarritz.
26:23 Ça m'éloigne. Alors, sur la grande plage de Biarritz, là il se débêtisse.
26:37 J'ai photographié des russes, des costauds, un russe avec des muscles, avec un cheveux souris noir tatoué sur l'épaule droite.
26:49 C'est un agent du GRU sur la plage de Biarritz.
26:56 Ensuite je suis passé de l'autre côté, j'ai photographié l'homme avec qui il parlait, et comme par hasard c'était un banquier russe.
27:03 Moi j'ai vu les agents des services secrets russes sur la plage de Biarritz.
27:10 Mais ils ne sont pas que là, je viens de vous dire un autre endroit où on peut les retrouver, c'est à Angleterre.
27:15 A 2014, Poutine a commencé à envahir l'Ukraine, la Crimée et le Donbass.
27:25 Et si la guerre s'enlise, l'armée russe a besoin de beaucoup de munitions de standard soviétique.
27:32 Et ces munitions se trouvent également dans les arsenaux nord-coréens.
27:39 Donc Poutine, dès 2014, il a pensé qu'il fallait améliorer au maximum les relations amicales entre la Russie et la Corée du Nord.
27:51 Et qui c'est qui a été chargé de cela ? C'est Hélène Babitch.
27:55 Les dirigeants nord-coréens... Non, la Corée c'est le pays du bonheur absolu, c'est Babitch qui le dit.
28:03 Les dirigeants coréens sont des génies. Leur idéologie mène les peuples au bonheur.
28:09 Et cette idéologie s'appelle, on le voit écrit en mots, elle s'appelle "Juche-Ideia".
28:14 Et il a été fait des instituts pour faire de l'intrusion, de l'influence, pour diffuser cette idée, y compris en Europe.
28:23 En avril 2014, c'est écrit ici, et pour diffuser cette idéologie nord-coréenne, une personne, c'est Hélène Babitch.
28:34 Vous l'avez là.
28:37 Elle dit avoir fait beaucoup de voyages en Corée, que la Corée c'est le pays merveilleux.
28:43 Elle se fait photographier sur forme des symboles du pouvoir nord-coréen.
28:50 A gauche, vous voyez la photo d'Hélène Babitch, d'ailleurs c'est écrit en russe, de revoir Kim Jong-un.
28:59 Cher Kim Jong-un, et vous voyez les enfants heureux. La Corée c'est le pays des enfants heureux.
29:05 Et pour symboliser cette idéologie qui mène au bonheur, il y a une tour qui s'élève vers le ciel,
29:15 devant le symbole de son surréalisme, le statut stalinien.
29:22 Et quand l'on monte en haut de cette tour, on est vraiment au sommet du bonheur et de l'idéologie qui permet de l'atteindre.
29:30 Et là, Hélène Babitch prend des selfies sur foc d'un podium qui est derrière.
29:40 Hélène Babitch participe au séminaire pour diffuser cette idée nord-coréenne.
29:45 Ici, c'est Juche-Idie, c'était à Sofia, en Bulgarie, le 14 septembre 2019.
29:56 On la voit à la tribune, et elle est avec l'italien Matteo Carboni, qui lui diffuse également avec Babitch cette idéologie ici, en Europe.
30:11 Là vous les voyez ensemble, parce qu'il diffuse aussi en Afrique, il n'y a pas que Trigogine et Malkovich, il y a aussi Babitch.
30:18 Vous la voyez ici, il y avait des Africains, il y avait Matteo Carboni.
30:23 Et là, Matteo Carboni, vous la voyez ici, je l'encadre en rouge, en dessous, les portraits gigantesques des dirigeants nord-coréens.
30:35 Je vous dis ici, en Angleterre, on a Garis, on a non seulement les services secrets russes, on a Wagner, et on a les agents d'influence nord-coréens, représentés par Hélène Babitch.
30:56 Et c'est ça que Mme Kutuzov a introduit à la mairie de Garis.
31:07 Voilà mes amis, quand je vous ai dit ça, j'ai fait mon devoir.
31:13 Et je ne me tairai pas. Le FSB a fait un attentat contre moi en Russie, j'ai été arrêté plusieurs fois, il ne m'a pas fait taire en Russie, il ne me fera pas taire en France.
31:26 Même avec l'aide de la police et de la justice française, et des médias français, qui ont refusé de me recevoir pour que je puisse leur dire ce qui se passe dans la mairie de Garis.
31:42 Par exemple, le Sud-Ouest, qui m'a évincé au FR3, d'où j'ai été évincé également.
31:53 Ces informations ne sont pas pour vous d'appréhender.
31:59 Ici on les a télépolées.
32:05 Les réseaux de Poutine soutiennent les partis d'extrême droite en Allemagne, en Italie et en France.
32:16 Et ici vous avez Mme Kutuzov, agent d'influence des services secrets russes sur la côte Brasque, qui soutient le fasciste que vous voyez avec elle.
32:34 J'ai tenu Mme Lamer au courant de tout. J'ai porté les informations à la réception de la mairie de Garis.
32:45 Dès que j'ai donné les papiers, de suite ils s'étaient mis sous enveloppe et cachetés pour Mme Lamer.
32:53 J'ai porté également ces informations à la mairie de Bayonne.
32:57 Et là quand j'arrive à la réception, je dis j'ai quelque chose pour M. Lamer. On me dit déposez-le dans la corbeille.
33:03 Il y a une corbeille ouverte et je le mets là. Mais par contre, à Garis, c'est cacheté immédiatement.
33:10 Pour que personne ne le voie. Alors j'ai demandé à Mme Lamer de me recevoir. Je lui ai écrit "recevez-moi, je vais vous expliquer".
33:17 Elle ne m'a jamais répondu.
33:19 Par contre, en juillet, ça c'est pour les fêtes de Bayonne, sur sa page Facebook, Mme Lamer montre toute son amitié avec Seb qui lui a introduit les services secrets russes à la mairie de Garis.
33:39 Et là, qu'est-ce qui se passe ?
33:47 Ici vous avez une photo qui est prise dans l'université fédérale russe de Lourald.
33:55 Et la personne qui est sous la flèche, c'est le fils de Mme Lamer de Garis qui a fait ses études en Russie au moment où Mme Lamer a pris Hélène Coutouzot dans sa liste et où elle s'est présentée avec elle à la mairie de Garis, bien après.
34:18 Ceci c'est la page de cette université. Ce n'est pas mon montage, c'est ce que présente l'université. Le français c'est moi qui l'ai écrit.
34:28 C'est une université militarisée, c'est-à-dire qu'il y a une chaire militaire qui forme des militaires qui vont combattre en Ukraine.
34:39 On y apprend le monument des armes. Et sur la photo en dessous, ici, on revoit la photo précédente avec la flèche et le fils de Mme Lamer de Garis.
34:57 La traduction ici est faite par Goguen, mais Goguen n'a pas traduit ce qu'il y a au-dessus. Ce sont les nouvelles de Lourald, Lourald et de Rosti, qui datent du 15 avril 2022.
35:10 Et on retrouve cette photo avec Roméo à Rostelli. Moi j'ai appris le russe à l'époque de la France URSS.
35:27 Et je peux vous dire que toute personne qui apprend le russe est abordée par les services secrets russes. A l'époque c'était soviétiques.
35:38 Moi j'ai été abordé par les gens du KGB qui m'ont invité à manger, qui m'ont posé beaucoup de questions. C'était les gens du KGB.
35:49 Et une question que m'a posée, c'était dans un groupe où il y avait des jeunes, et une question que m'a posée l'homme qui m'a invité à manger, j'ai bien mangé,
35:57 il m'a dit "parmi les jeunes qui sont avec vous, quel est celui qui pourrait être invité pour faire des études en Russie ?"
36:06 Les choix des candidats sont faits uniquement sur des critères politiques, de et de leurs proches et de leurs parents.
36:16 Et en fait il y a un contrat, il y a un contrat tacite. On aide votre fils, mais il ne faut pas nous embêter.
36:25 Et la madame à la mère elle comprend qu'elle peut être accouchée. Il y a des choses qu'elle ne pouvait pas faire parce que son fils était en Russie.
36:33 Par contre il y a des choses qu'elle pouvait faire pour aider son fils. En France ça s'appelle le conflit d'intérêts.
36:40 Et c'est une explication, c'est mon explication sur pourquoi la mère n'a jamais répondu.
36:48 Voilà mes amis. J'ai fait mon devoir, je continuerai à le faire.
36:58 Alors je vais finir en vous donnant cette information. Les plaintes de madame Koutsouzov m'ont beaucoup dérangé.
37:08 J'ai été convoqué deux fois à la police, on m'a pris mes emplaintes digitales.
37:14 Mme Koutsouzov a fait des dénonciations calomnieuses contre moi et contre des personnes qui n'ont rien à voir dans nos affaires en commun, je dirais.
37:26 Ces trois réfugiés russes en Paris.
37:34 J'ai préparé ma défense comme il le faut. En tout, l'argent liquide, j'ai payé 15 000 euros pour me défendre, près d'avocat.
37:43 L'avocat m'a conseillé de faire confirmer par huissier ce que je savais ou une partie de mes informations.
37:51 J'ai embauché des interprètes assermentées pour le jugement, privés de tous mes moyens de communication.
38:01 J'ai été obligé de racheter de nouveaux matériels et en fait mes dépenses réelles avoisinent les 30 000 euros.
38:11 Ça a été une procédure répressive à mon encontre. Mais j'étais prêt, avec le maître Tougas, on a fait ce qu'il fallait, on était prêt à aborder sur le fond.
38:26 Mais quand ils ont vu comment l'affaire s'est développée, ils n'ont pas voulu avoir un procès sur le fond pour ne pas passer.
38:38 Peut-être pour les imbéciles et surtout pour ne pas qu'on entende ce que je viens de vous dire maintenant.
38:44 Et en fait j'ai été convoqué 8 mois après que les dites de déformation soient prescrites.
38:53 C'est-à-dire qu'ils ont reporté l'audience 8 mois plus tard afin qu'on ne puisse pas débattre sur le fond, il n'y a pas eu de débat sur le fond.
39:04 C'est une nouvelle manœuvre pour écraser l'affaire.
39:09 Voilà mes amis, je vous dis à bientôt. Faites circuler, au revoir. Si vous voulez des explications, je suis à votre disposition.
39:19 Bonne journée, à bientôt.