#diamants #industrie #écologie #alternatives
À la découverte de la provenance du diamant
La recherche du début de la chaîne d'approvisionnement du diamant conduit le journaliste Hugo Clément chez un bijoutier à Avignon. Malheureusement, ce dernier dispose de peu d'informations sur la provenance de la pierre précieuse. Toutefois, il révèle que la bague a été achetée auprès d'un grossiste à Anvers, en Belgique, considérée comme la plaque tournante européenne du diamant. Après avoir retracé la piste jusqu'à Anvers, Hugo Clément tente de découvrir où exactement la pierre a été taillée en Inde.
Une industrie diamantaire florissante en Inde
Hugo Clément se rend à Surate, une ville de 10 millions d'habitants située dans l'ouest de l'Inde, où il découvre l'importance de l'industrie du diamant. Près de 95 % des diamants bruts dans le monde sont taillés au laser et polis facette par facette à Surate. Les pierres proviennent des différentes régions du monde, comme l'Afrique, le Canada ou la Russie, avant d'être envoyées dans les bijouteries du monde entier. Intrigué par la source des diamants bruts, le journaliste décide de se rendre au Botswana, où se trouve la plus grande mine de diamants à ciel ouvert et en activité.
À la découverte d'Orapa, ville minière
Au Botswana, la ville d'Orapa a été spécialement créée autour du gisement de diamants et est gérée par l'État et par De Beers, un géant qui contrôle une part de 20 % du marché mondial. Cette mine, qui extrait 9 millions de carats de diamants chaque année, est gigantesque avec une profondeur de 330 mètres. Elle fonctionne sans interruption, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et 365 jours par an. La mine, qui s'agrandit régulièrement grâce à des explosifs, utilise également d'énormes camions pour récupérer la terre retournée contenant les diamants. Cependant, l'impact écologique de cette activité est indéniable, notamment en termes de consommation d'eau et de carburant.
Une alternative : le diamant de synthèse
Depuis plusieurs années, le diamant de synthèse constitue une alternative au diamant naturel. La différence entre les deux est impossible à voir à l'œil nu ou à la loupe, mais le prix d'un diamant de synthèse est deux fois moins élevé. Alix Giquel, ancienne chercheuse du CNRS, a créé le premier laboratoire de diamants de synthèse français à Jouy-en-Josas. Le processus de création de ces diamants implique l'utilisation d'un grand four à micro-ondes ultra puissant, dans lequel un germe diamantaire minuscu
À la découverte de la provenance du diamant
La recherche du début de la chaîne d'approvisionnement du diamant conduit le journaliste Hugo Clément chez un bijoutier à Avignon. Malheureusement, ce dernier dispose de peu d'informations sur la provenance de la pierre précieuse. Toutefois, il révèle que la bague a été achetée auprès d'un grossiste à Anvers, en Belgique, considérée comme la plaque tournante européenne du diamant. Après avoir retracé la piste jusqu'à Anvers, Hugo Clément tente de découvrir où exactement la pierre a été taillée en Inde.
Une industrie diamantaire florissante en Inde
Hugo Clément se rend à Surate, une ville de 10 millions d'habitants située dans l'ouest de l'Inde, où il découvre l'importance de l'industrie du diamant. Près de 95 % des diamants bruts dans le monde sont taillés au laser et polis facette par facette à Surate. Les pierres proviennent des différentes régions du monde, comme l'Afrique, le Canada ou la Russie, avant d'être envoyées dans les bijouteries du monde entier. Intrigué par la source des diamants bruts, le journaliste décide de se rendre au Botswana, où se trouve la plus grande mine de diamants à ciel ouvert et en activité.
À la découverte d'Orapa, ville minière
Au Botswana, la ville d'Orapa a été spécialement créée autour du gisement de diamants et est gérée par l'État et par De Beers, un géant qui contrôle une part de 20 % du marché mondial. Cette mine, qui extrait 9 millions de carats de diamants chaque année, est gigantesque avec une profondeur de 330 mètres. Elle fonctionne sans interruption, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et 365 jours par an. La mine, qui s'agrandit régulièrement grâce à des explosifs, utilise également d'énormes camions pour récupérer la terre retournée contenant les diamants. Cependant, l'impact écologique de cette activité est indéniable, notamment en termes de consommation d'eau et de carburant.
Une alternative : le diamant de synthèse
Depuis plusieurs années, le diamant de synthèse constitue une alternative au diamant naturel. La différence entre les deux est impossible à voir à l'œil nu ou à la loupe, mais le prix d'un diamant de synthèse est deux fois moins élevé. Alix Giquel, ancienne chercheuse du CNRS, a créé le premier laboratoire de diamants de synthèse français à Jouy-en-Josas. Le processus de création de ces diamants implique l'utilisation d'un grand four à micro-ondes ultra puissant, dans lequel un germe diamantaire minuscu
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