• l’année dernière
Manchester City s'est fait reprendre à la surprise générale, malgré deux buts d'avance, ce samedi face à Crystal Palace (2-2). Les Citizens, qui ont déjà connu des scénarios similaires cette saison en Premier League, commencent à s'impatienter, à l'image de leur coach, Pep Guardiola.

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Transcription
00:00 Non, ce n'est pas de la malchance.
00:02 On donne deux points.
00:04 Pour soi, tu donnes ce pénalty, tu le mérites.
00:09 Tu vois les chances que nous créons, les chances que nous concèdons.
00:13 C'est assez similaire, sauf que Chelsea a joué toute la saison.
00:16 Mais nous n'avons pas pu fermer le match.
00:19 Ils ne font pas.
00:21 C'est ce que je ressens.
00:23 On a 10 joueurs dans la boîte à 80 mètres avec 10 mètres de space.
00:30 Il faut être patient.
00:32 Il faut arriver et croiser le jeu au bon rythme.
00:35 On n'a pas considéré les résultats de ce match.
00:38 Il y a eu une chance dans la première partie.
00:40 Deux joueurs sont libres.
00:42 Josco et Nederson pour le carré jaune.
00:46 Parfois, ils ne l'ont pas fait.
00:48 Jusqu'à ce que le but soit au 75 minutes, ils n'ont rien fait.
00:51 Le team était vraiment très bon.
00:53 Mais à la fin, quand on donne la pénalité,
00:56 on donne la pénalité au Crystal Palace, mais on ne la mérite pas.
01:00 C'est comme la pénalité à Chelsea.
01:02 On ne la mérite pas.
01:04 On a regardé les matchs contre les Spurs, Liverpool, aujourd'hui.
01:07 C'était excellent.
01:09 Mais on n'a pas pu gagner le match.
01:11 C'est ce qui s'est passé.
01:13 C'est parce qu'on n'est pas assez consistant pour fermer le match.
01:16 Il y a beaucoup de raisons.

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