• l’année dernière
Lucas Hernandez, nouveau joueur du PSG, nous raconte son parcours atypique, lié à celui de son frère Théo !

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Transcription
00:00 Tiens ton carré, tu l'as ou pas ? Tu l'as dans la boîte le carré ?
00:05 Je suis Lucas Hernandez, je suis né le 14/02/96.
00:09 À l'âge de 4 ans, en 2000, je suis parti en Espagne.
00:16 C'est là où j'ai commencé vraiment à rentrer dans le monde du foot.
00:19 J'ai commencé dans un petit club qui s'appelle Rallye Maja de Honda.
00:22 Après ce petit club, c'est mon frère que l'Alec Tchego recrute.
00:26 Moi, je vais le voir à l'entraînement et le directeur sportif était présent.
00:32 Je commençais à jouer sur le côté avec un ballon.
00:35 Le directeur sportif va voir ma mère et il demande "c'est qui ?"
00:38 Ma mère dit "c'est le frère de Théo qui joue au Rallye Maja de Honda et ils ont un tournoi".
00:44 Un recruteur vient voir le tournoi et il décide de me recruter aussi.
00:49 Je commence à l'Alec Tchego. J'ai commencé par les U11, 12, 13, 14, 15, 16, 17.
01:01 Et après à 17 ans, c'est quand j'ai commencé avec les pros.
01:05 C'est à l'Âge de 4 ans que tu es devenu un collectionneur ?
01:07 Oui, mais quand j'ai commencé avec les pros, je n'étais pas comme ça.
01:12 C'est vrai que grâce à mon premier coach, Simeone, c'est lui qui m'a vraiment montré comment il fallait jouer,
01:20 comment il fallait tout donner sur le terrain, avoir cette gritta, que cette gritta dans le futur allait payer.
01:26 Dès que j'arrive en pro, je commence à jouer vraiment agressif et vraiment avoir envie de, à chaque entraînement, à chaque match, tout donner.
01:36 Il a changé ta vie, Simeone ?
01:37 Oui, bien sûr. J'ai toujours dit à Simeone que je lui donnais tout, parce que c'est vraiment lui qui m'a fait confiance de jouer avec lui,
01:45 de me monter pour m'entraîner avec eux. C'est avec lui que je fais mon premier match en pro.
01:51 Coupe du Roi contre Hospitalet. C'est une équipe qui, à l'époque, était en national.
01:57 Et le deuxième match, on joue contre le Real Madrid en Coupe du Roi. Ce match-là, je m'en souviens.
02:03 C'était vraiment à la 80 et quelques. Mes mollets, je pense qu'ils étaient là.
02:08 Après ça, j'ai commencé à m'intégrer avec l'équipe. L'année d'après, ils font mon contrat pro. Je reste avec eux.
02:17 Et c'est où je commence aussi avec l'équipe de France U19,
02:24 avec qui je fais l'Euro 19, qu'on perd contre l'Espagne en demi-finale. Et après, je passe en U20, en Espoir.
02:32 Alors que tu aurais pu jouer avec l'Espagne ?
02:34 Alors que j'aurais pu jouer avec l'Espagne. Mais en février 2018, quand l'Espagne se met en contact avec moi,
02:40 pour voir si je pouvais jouer avec l'Espagne. Après, c'est vrai que je parlais avec ma famille, avec ma mère, avec toute ma famille.
02:47 Et aussi, moi je me dis que ce serait incroyable que toute ma famille, qui est française, me voit jouer pour la France, bien sûr.
02:54 Tu as été récompensé quelques mois après ?
02:56 Deux mois après, c'est vrai qu'on a eu la chance de gagner cette Coupe du Monde.
03:00 Et après la Coupe du Monde, en 2019, c'est quand le Bayern arrive.
03:04 Il me fait cette super offre, laquelle je ne pouvais pas dire non.
03:10 L'Héthiko non plus.
03:12 Et l'Héthiko non plus. J'arrive au Bayern.
03:15 Sans oublier que l'année dernière, j'avais gagné l'Europa League contre Marseille.
03:20 Mon premier trophée en tant que professeur, c'était l'Europa League.
03:23 Après, je gagne la Coupe du Monde. Et après, je gagne la Super Coupe d'Europe.
03:26 Après, tu prends ton.
03:27 Après, j'arrive au Bayern. Mais c'est vrai que la première saison au Bayern, c'est là où on a tout gagné.
03:31 On a gagné les six titres. On a tout gagné.
03:33 On a gagné le championnat, la Coupe, la Super Coupe, la Ligue des Champions, la Super Coupe d'Europe et le Mondial des Clubs.
03:41 Après, voilà, tous les ans, on a gagné ce championnat, la Bundesliga.
03:46 Il y avait une petite équipe de France aussi quand même au Bayern.
03:48 C'est vrai qu'au Bayern, il y a une époque, quand il y avait Coco, Keen, Benji.
03:55 Il y avait plus de Français que d'Allemands dans l'équipe du Bayern. Alors que ça, c'était incroyable.
04:00 Et des bons.
04:01 Et des bons. Et des bons. Des très bons, même.
04:04 Sur le terrain et en dehors.
04:05 Oui, c'est vrai. Franchement, j'ai eu beaucoup de chance parce que j'ai eu un vestiaire.
04:11 Toute ma carrière, que ce soit auético, au Bayern ou même ici à Paris, que je viens d'arriver, j'ai eu la chance de tomber dans un super vestiaire.
04:17 Avec des super coquilliers.
04:19 Et cette année-là, j'arrive ici à Paris avec beaucoup d'ambition. J'ai envie de faire beaucoup de bonnes choses.

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