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Zoom Extra : Rétrospectives : Que faut-il retenir des grandes mesures annoncées en 2023?
Zahirah Radha reçoit :
- Éric Ng Ping Cheun, économiste
- Amar Deerpalsing, président de la Fédération des PME
- Narendranath Gopee, syndicaliste
Vos appels sur le 213 7777
Transcription
00:00:00 Zoom extra.
00:00:03 Zoom extra. Bon après-midi à
00:00:14 l'invitation de Zoom Extra alors que cette année, fière à sa fin, qui nous a retenu devant de grandes mesures économiques qui finiront au cours de 2023. C'est le thème qui nous peut aborder avec nos invités aujourd'hui. Nous avons le plaisir d'accueillir sur le plateau Eric Ninh-Pinh-Chuan, économiste, Narendra Nath Gopi, président de National Trade Union Confederation et Amadia Palcing, président de la Fédération des PME.
00:00:43 Messieurs, bon après-midi et merci pour votre présence.
00:00:47 Bon après-midi.
00:00:49 Je vous appelle sur le 213 77 77 à partir de 18h30. Vous êtes capables de nous suivre en direct sur notre page Facebook de Top FM, Top TV Mauritius et également sur Top TV.
00:01:02 Nous commençons d'abord par un annonce qui finit de faire tout récemment concernant les salaires. Le salaire minimum peut passer à partir de 15 000 rupees à partir de janvier 2024. Le revenu minimum garanti passe à 18 500 rupees incluant la compensation salariale.
00:01:23 Cette hausse du salaire minimum lui-même a été faite le 1er décembre sans passer par le budget. Le timing choisi en cette fin d'année visiblement pour donner l'effet d'un feel-good factor.
00:01:38 Nous commençons avec une question pour les syndicalistes. Le but est surtout d'amener un certain soulagement pour les travailleurs et les ménages qui souffrent beaucoup de la perte du pouvoir d'achat. Mais est-ce qu'il y a un effet à ce pouvoir sachant que la rupee est perdue sur la valeur?
00:02:01 La perte du pouvoir d'achat est couverte par la compensation salariale. Le salaire minimum est pour la perte par rapport à la dépréciation de la rupee.
00:02:19 Pour connaître le salaire minimum déprécié, nous avons une course sur la dépréciation de la rupee, donc la dépréciation du dollar. Ils ont dit que le dollar dépéché environ 43 rupees.
00:02:34 Si l'on prend la période de 2018 à 2022, la rupee finit dépréciée par presque 23%. Et si l'on met 2023, la dépréciation de 2% devient 25%.
00:02:54 Donc, c'est la dépréciation du salaire, l'indexer directement au salaire qui ne peut pas être gagné. L'Italia pourrait voir le salaire minimum. De ce fait, nous connaissons que le gouvernement met en place un council,
00:03:09 le National Wage Consultative Council, pour pouvoir voir le salaire minimum périodiquement. Le premier salaire est proposé en 2020 et l'autre salaire, d'après la loi du National Consultative Council,
00:03:28 est le nouveau salaire minimum qui est proposé par le council en 2025. Entre-temps, on ne sait pas pour quelles raisons le gouvernement a fait une précipité.
00:03:41 Le 13 novembre, le ministre tient la règle. Suite à un amendement qui a été nominé dans le Consultative Council Act sous le Financial Miscellaneous Act,
00:04:01 il y a eu un changement minor dans la législation, mais qui a une répercussion assez profonde. Et donc, le finalement, la section 6 du Minimum Wage Council Act,
00:04:18 qui prévoit jusqu'au salaire minimum pour être revu chaque 5 ans, il y a une nouvelle boute là-dedans, ou soit un an, selon le ministre. Il y a un amendement là-dedans.
00:04:33 Donc, qui fait un amendement comme ça, on ne le sait pas. Parce que comme on dit, c'est la règle, la règle 12 de 2023, on ne trouve aucune préambule là-dedans.
00:04:46 Pas de papier diagnostique qui fait que l'IP est pressée pour tirer ce salaire minimum là, mais simplement la règle qui donne l'instruction au Council pour tirer le salaire minimum avant le 30 novembre.
00:05:03 Et on sait bien que quand on a le National Consultative Council Act, la section 6, il y a plusieurs responsabilités avant qu'il ne tienne le salaire minimum.
00:05:17 Par exemple, il faut collecter et analyser les données, il y a un coût de salaire, comme vous le voyez, dans différents secteurs, et même par rapport au secteur public, le POB.
00:05:27 Donc, plusieurs études sont faites, et je pense qu'il y a une autre section, le gouvernement, quand il passe son National Consultative Council Act,
00:05:37 je crois qu'il y a une autre section où tu connais qu'il y a une quantité de responsables qui est dans ce Council-là, exactement, qui prend plus de cinq ans pour faire toute cette étude-là.
00:05:47 Alors, c'est pour cette raison-là qu'ils viennent dans la loi pour voir le salaire minimum chaque cinq ans.
00:05:53 Donc, ça, c'est pour Mathieu en 2025, parce que c'est là.
00:05:57 Alors, le 13 novembre, le ministre du Travail tient une regulation, donne l'instruction au Council de tirer le minimum salaire avant le 30 novembre, au plus tard.
00:06:08 Il y a un chiffre qui est dans l'air, comme ça, je ne connaissais pas ce qu'il faisait par esprit.
00:06:15 Le chiffre 15 000, tu peux battre partout, et je trouve ça surprenant que quand le Council fait une proposition, il me propose 15 000.
00:06:24 Est-ce qu'il me donne l'instruction pour aller dans cette direction-là?
00:06:27 Parce que je ne trouve pas le Council supposé qui a un rapport, tout le temps, l'étude qu'il fait, je ne trouve aucun rapport.
00:06:34 Mais comment il a donné ce chiffre 15 000?
00:06:36 Donc, qui est la base? Je ne la connais pas.
00:06:38 Ce n'est pas qu'il me compte le salaire minimum, mais simplement, il me compte l'interférence, l'intrusion de la politique dans l'administration d'institutions supposément indépendantes.
00:06:52 Pas Tipoui Zin, il ne donne aucune instruction, il a du travail.
00:06:56 Je ne sais pas pour quelle raison il fait un salaire de 15 000 rupees, si peu que ça.
00:07:02 Et donc, peut-être que le ministre Tipoui Zin vient donner une explication, qu'il faille prendre une mesure comme ça.
00:07:11 Et je remarque que quelque part, quand il fait défendre le JAB, je fais défendre le JAB.
00:07:17 Je trouve que dans le secteur privé, en dépit de l'accompagnement financier que j'ai gagné avec le gouvernement, ça fait un impact sur eux.
00:07:29 Ce n'est pas qu'il me fait défendre le JAB, mais aussi je trouve très objectivement qu'il impacte les capablenons en général de la société, dans le business of the country, les problèmes capables d'y vivre.
00:07:41 Nous ne sommes pas là pour dire que la paix gagne la paix.
00:07:43 Oui, nous sommes contents de dire que la paix gagne la paix, nous sommes contents de travailler pour gagner la paix, mais quelque part, nous nous inquiétons aussi de l'impact sur le business of the country.
00:07:49 Je vous pose la question à Eric Ninh, qui est économiste.
00:07:52 Narendra Nath Gopi soulève sa question par rapport à National Wage Consultative Council.
00:08:00 Le ministre des Finances, l'ILIPP dit que ce n'est pas un coup, mais c'est un investissement qu'ILIPP fait.
00:08:09 Qui est-il, qui s'est représenté sur le plan économique?
00:08:14 Je vais répondre à cette question, mais je vais vous donner deux précisions, et après vous pourrez répondre à la question de l'ILIPP.
00:08:21 Nous devons bien comprendre les choses.
00:08:25 Ce n'est pas nous qui mélange tout.
00:08:27 Salaire, dépéchage sur la rupee, et l'inflation.
00:08:31 Dans le tout de l'inflation, nous désintégrons l'effet de dépéchage sur la rupee.
00:08:37 Ce ne sont pas des affaires différentes.
00:08:41 Parce que quand la rupee est dépréciée, le prix monte.
00:08:46 Et quand le prix monte, il y a l'inflation.
00:08:48 Dans le tout de l'inflation, nous désintégrons l'effet de dépéchage.
00:08:53 Deuxièmement, nous ne pouvons pas comparer la progression du salaire avec la dépréciation de la rupee.
00:09:04 Ni même avec l'inflation.
00:09:06 Parce que quand nous avons un haut salaire, et même le National Wage Council,
00:09:12 Michel Apana, ancien commissaire du PIB, l'écoute bien, comment on calcule un haut salaire dans le cadre du PIB,
00:09:20 ils disent que l'évolution du PIB, le Produit Intérieur Brut, c'est-à-dire la production nationale,
00:09:29 c'est ça qui vous inquiète. Parce que c'est le gâteau national qui fait le gâteau pour nous permettre de partager et d'augmenter le salaire.
00:09:40 Alors, qui nous trouvons?
00:09:43 Le salaire minimum national qui débutait, je crois, en 2000 rupees.
00:09:48 En 2018, en janvier 2018.
00:09:52 Et en janvier 2024, vous avez bien compris, ça a diminué de 16 500.
00:09:59 C'est ce qui est maintenant le plus payé possible.
00:10:01 J'ajoute ça à 1 500 rupees de compensation.
00:10:03 La compensation est payée par notre entreprise.
00:10:05 Oui, mais il n'y a pas intégré de salaire.
00:10:07 15 000, c'est le minimum salaire.
00:10:10 Là, nous avons l'autre qui nous appelle le minimum revenu.
00:10:13 Non, non, non, non, non, le revenu garanti, c'est 18 500.
00:10:15 Là, le gouvernement ajoute 2 000.
00:10:17 Il aura 16 500. Là, il fait 18 500.
00:10:20 Ça, c'est le revenu garanti.
00:10:22 Quand le gouvernement ajoute sa allocation de 2 000 rupees, là,
00:10:25 le revenu garanti est de 18 500.
00:10:27 Nous n'avons pas de salaire minimum payé par l'entreprise, tiré dans les fonds de l'entreprise.
00:10:33 C'est 16 500 parce qu'il nous a de toute compensation.
00:10:35 Oui, oui.
00:10:36 Ok, nous, bien d'accord.
00:10:37 Le salaire minimum, en l'espace de 6 ans, de 2018 à début 2024,
00:10:44 nous avons presque doublé.
00:10:46 C'est-à-dire 8 500 quelque chose pour 16 500.
00:10:50 Oh, là, la production nationale, c'est qu'on appelle le PIB, ça gâte tout là.
00:10:54 Il n'est pas doublé en 6 ans.
00:10:57 Mauvaise cause, PIB nominal.
00:11:00 Ça veut dire que vous pouvez prendre en considération l'inflation.
00:11:03 Parce qu'il ne comprend pas qu'il y ait dans l'inflation une compensation salariale
00:11:06 qui, supposément, la compensation suffisamment, ça existe pour couvrir l'inflation officielle qui est là.
00:11:12 Donc, mauvaise cause, PIB réel.
00:11:14 Le PIB nominal, même, qui n'est pas augmenté par 100 % en 6 ans.
00:11:19 Donc, certainement, il nous a reconnu qu'il y a une belle progression.
00:11:27 Votre business, moi, je le cherche, mais c'est vraiment disproportionné du salaire minimum,
00:11:32 en l'espace de quelques années.
00:11:35 Donc, voilà, c'est des procédures qu'on vient amener.
00:11:39 On va nous confondre, on ne va pas nous comparer salaire avec de dépréciation.
00:11:45 Rodger nous disait qu'il y a une progression du salaire minimum par rapport à la progression de la production nationale PIB,
00:11:54 mais aussi par rapport au pourcentage salaire médian.
00:11:58 Parce que le salaire médian, c'est quoi?
00:12:00 C'est que 50 % des gens ont moins que le salaire médian, et 50 % des gens ont plus que le salaire médian.
00:12:06 Il ne peut pas dire salaire moyen, il peut dire salaire médian.
00:12:09 Et qu'après les derniers chiffres disponibles en 2022, d'après Statistique de la Recherche, le salaire médian est de 18 000 Rp.
00:12:16 C'est-à-dire, quand on fait un salaire minimum de 16 500 Rp, alors que le salaire médian est de 18 000,
00:12:22 le salaire minimum repose sur 90 % du salaire médian.
00:12:26 C'est qu'il est très élevé, c'est un taux très élevé.
00:12:29 Dans le monde, partout dans le monde, en général, il est 60 % du salaire médian.
00:12:33 Il y a quelques pays qui font 70 %, mais ici on fait 90 %.
00:12:38 Et quand on fait les proches du salaire médian, le salaire minimum, quand on fait les proches du salaire médian,
00:12:42 là où il y a tout ce problème, là où il y a ce problème, c'est que la hiérarchie salariale, la créativité salariale, elle est bousculée.
00:12:51 Parce que c'est à 10 personnes que tu peux avoir 10 Rp au-dessus, et tu peux avoir 17 000, 18 000 Rp.
00:12:59 Donc là, il y en a 4-5 ans d'expérience, il y a des qualifications, mais il se trouve presque au même niveau que les jeunes sans expérience,
00:13:09 sans qualification, qui ont les grandes données de travail, mais ils sont pratiquement pareils.
00:13:16 Là, je suis à mort de dire ça, parce que je peux expliquer ça un peu plus bien dans une entreprise.
00:13:20 Donc, c'est tellement beaucoup plus de frustration, parce qu'on peut déstabiliser,
00:13:26 on peut bousculer toute la relativité salariale qu'il y a entre quelqu'un qui peut rentrer, c'est-à-dire le starting salary,
00:13:33 sans expérience, sans qualification, qui faisait une formation sur le temps, et ça, il y a des gens qui l'ont depuis plusieurs années.
00:13:40 Donc, voilà que vous m'auriez un peu précisé par rapport à comment nous pouvons analyser, comment nous économistes, du moins,
00:13:47 nous ne sommes pas la première politique ou ça, mais comment nous économistes, nous analysons la production salariale.
00:13:53 Maintenant, vous pouvez l'aurez marqué, le ministre des Finances qui l'a dit, c'était un investissement.
00:13:58 Bon, un investissement, ce n'est pas donner du monde dans un an pour consommer.
00:14:04 Un investissement, c'est qui ou investir dans l'équipement d'une entreprise pour qu'elle gagne un return dans cinq ans, dans six ans.
00:14:16 D'ailleurs, il y a une grande distinction entre consommation et investissement.
00:14:23 Et investissement fait par l'entreprise, investissement pas fait par des ménages.
00:14:28 Ménage, il est là pour consommer.
00:14:30 Investissement, c'est l'entreprise qui investit dans le capital et évidemment dans l'innovation, dans la technologie.
00:14:39 Ça, c'est investissement. Et nous essayons, nous guider plus tard, si ça peut rapporter.
00:14:44 Donc, au moins, ça a un minimum. Ce n'est pas un investissement.
00:14:49 De toute façon, le gouvernement baissait.
00:14:51 Ce n'est pas un investissement. Techniquement, ce n'est pas un investissement.
00:14:57 Investir dans du monde, si on veut.
00:15:01 Ça, c'est un terme général. Investir dans du monde, investir dans le vote, investir dans ça.
00:15:08 Mais, moi, je ne peux pas dire que c'est un investissement économique.
00:15:11 Amadia Patin, ça, mes yeux là, quand même, il paraît qu'il n'y a pas un coup dur pour le PME, n'est-ce pas?
00:15:20 Définitivement, parce que vous savez, quand vous faites un business, c'est que vous avez besoin d'un plan et que vous devez connaître où vous pouvez aller.
00:15:32 Et normalement, vous faites une bonne analyse et vous faites une bonne projection dans le business, ce qui vous peut atteindre devant.
00:15:40 Et, comme vous le savez, la dernière fois qu'ils mettent un salaire minimum, c'était en 2020.
00:15:46 Donc, nous ne pouvions pas attendre qu'ils prennent une révision du salaire minimum, comme M. Poupine dit, en 2025, d'après la loi.
00:15:53 Nous ne pouvions pas attendre du tout que le salaire minimum puisse être révisé cette année-ci.
00:16:00 Donc, tout le monde est assez, surtout le PME, enfin, il est bien surpris par ça et surtout, il n'y a qu'une fée à dire.
00:16:10 Et du jour au lendemain, il annonce un chiffre comme ça.
00:16:14 Et donc, ce qui fait qu'il n'est pas préparé pour pouvoir faire face dans cette situation-là.
00:16:22 Maintenant, quand il annonce sa mesure là aussi, il annonce qu'il a le salaire minimum qui doit être applicable à partir du 1er janvier.
00:16:29 Donc, nous poursuivons le 1er janvier, nous voulons une compensation du salaire minimum déjà en décembre.
00:16:36 Normalement, une compensation salariale est applicable à une perte de pouvoir d'achat.
00:16:43 Ça veut dire une compensation pour ce qui est une perte.
00:16:47 Normalement, chaque année qu'on fait cette réunion tripartite-là, c'est normalement de servir comme base le taux d'inflation.
00:16:54 Et là, baser le taux d'inflation-là, le gouvernement trancher, et si on peut donner une full compensation,
00:17:01 ou des fois, plus qu'une full compensation pour les gens au bas de l'échelle,
00:17:05 ou moins pour les gens qui se trouvent avec un salaire quand même élevé.
00:17:10 Mais cette fois-ci, il annonce un salaire minimum qui peut être applicable en janvier.
00:17:15 Nous, pendant qu'il arrive janvier, nous désappelons une compensation salariale,
00:17:20 là, un salaire qui peut commencer en janvier.
00:17:24 Donc, nous pensons qu'il arrive décembre l'année prochaine.
00:17:26 Donc, pour moi, ça c'est... je ne vais pas comprendre comment faire ça.
00:17:30 Donc, comment on peut compenser un salaire minimum là-là?
00:17:33 Quand? Nous finissons par prévoir que le 1er janvier, le 2 janvier, jusqu'à le 31 janvier,
00:17:37 pour déjà, il faut finir, il autre sa 15 000 rupees-là, pour que le 31 janvier ou le 30 janvier,
00:17:45 il a un minimum pour tout le salaire et qu'il finit par compenser sa 15 000 rupees-là pour 1500 rupees.
00:17:52 Ça, ça étonne moi beaucoup, Maïer peut faire ça.
00:17:56 Et vous connaissez le problème. Le problème, ce n'est pas essentiellement qu'il...
00:18:02 déjà, comment vous connaissez, le taux d'inflation ces dernières années, il est infernal.
00:18:08 Et ça, tout le monde reconnaît. Nous, ici, nous travaillons, nous, ici, nous allons consommer,
00:18:12 nous allons dans la base, nous, ici, nous allons dans le supermarché.
00:18:16 Mais ce qu'il est obligé de comprendre, c'est que ça, l'inflation qui fait que du monde gagne
00:18:23 toutes les qualités et transpiration là, ce n'est pas de l'inflation qui est causée
00:18:30 par les produits ou par les entrepreneurs amoureux.
00:18:36 En France, comme on le connaît, nous déjà, on consomme plus de 75% des produits importés.
00:18:43 Maintenant, si la rupee est dépréciée constamment et vertigineusement,
00:18:48 donc ce qui fait que naturellement, le produit peut augmenter par rapport à sa dévaluation,
00:18:56 à sa dépréciation de la rupee là. Mais qui est-ce qui est responsable de ça?
00:19:01 Si un entrepreneur, dans ce pays là, est responsable de la dépréciation de la rupee?
00:19:06 Et c'est la question. Maintenant, à chaque fois que vous venez, vous avez une compréhension salariale,
00:19:11 et vous avez à compenser votre achat, votre pouvoir d'achat, mais qui n'est pas causé par l'inflation,
00:19:18 par l'importation, mais qui est causé éventuellement par la dépréciation de la rupee.
00:19:25 Donc, ce qui fait qu'aujourd'hui, nous ne nous accompagnons pas à travailler,
00:19:30 mais le problème c'est que nos coûts de production sont tellement élevés,
00:19:36 qu'il est déjà annoncé dans un passé pas lointain,
00:19:41 que nous avons perdu à peu près 25% de notre exploitation, le chiffre de l'exploitation.
00:19:48 Donc, ce qui fait que nous avons perdu parce qu'il n'est pas compétitif,
00:19:52 et que nous avons déjà un problème d'un mouvement aussi traditionnel,
00:19:55 et nous avons perdu le pouvoir d'achat là-bas.
00:19:57 Et maintenant, ajoute ça à un fordou, qui me rappelle ça,
00:20:01 un fordou extrêmement lourd à portée là maintenant,
00:20:05 et donc, on a l'avenir quand même assez sombre.
00:20:10 Quand vous dites l'avenir assez sombre, vous direz que risquez-vous qu'il y ait un PME qui peut fermer encore là?
00:20:18 Je crois que le PME peut déjà commencer à dégraisser.
00:20:22 Je connais quand même pas mal de PME qui peut dégraisser déjà.
00:20:26 Si vous ne pas dégraisser...
00:20:29 Avant qu'il n'arrive en janvier, pourquoi pas vous en donner ça?
00:20:32 Non, non, c'est-à-dire que vous en donner une préavis avant le jour de l'aujourd'hui,
00:20:37 avant le jour de l'aujourd'hui, le jour du lendemain.
00:20:39 Vous suivez les procédures légaux, vous faites tout ce que vous devez faire,
00:20:42 mais pour qu'ils n'aient pas perdu l'entreprise complètement,
00:20:46 et qu'ils n'aient pas perdu tous les emplois dans l'entreprise,
00:20:49 mais il y a une amende majeure qu'ils ont besoin de prendre.
00:20:51 Parce que vous par rapport à augmenter le "wage bill" d'une façon draconienne,
00:20:58 parce qu'ils ont leur code pouce haut aussi.
00:21:00 Vous savez, tout le monde, quand on fait un business, tout le monde sait qu'il faut faire "forward selling",
00:21:06 c'est-à-dire qu'on finit vendant des affaires qu'on ne peut pas reproduire,
00:21:10 parce que le client-là, il finit par se commander.
00:21:12 Ou on finit négociant des prix là-haut.
00:21:14 Ou on finit en signant un contrat pour livrer ça à ce prix-là.
00:21:18 Maintenant quand on augmente le salaire, soit-tu 12 000 rupières, 26 500,
00:21:22 nous ne pouvons pas causer 10 % là.
00:21:24 43 %
00:21:26 Nous ne pouvons pas causer 43 %, nous pouvons causer 40 %,
00:21:29 mais que de l'argent là-bas, pour sortir ?
00:21:31 Moi, moi, quand je demande à l'entreprise de me fermer,
00:21:33 nous, on me dit, soit nous dégraisser et nous garder le niveau de production,
00:21:39 soit nous fermer, parce qu'il n'y a pas 50 solutions.
00:21:42 Il n'y a aucune institution financière dans Maurice
00:21:44 qui puisse supporter sa maman l'entreprise,
00:21:46 qui peut faire la paix,
00:21:48 mais qui peut aussi visibiliser qu'elle est capable
00:21:51 de refaire son entreprise profitable.
00:21:54 Il n'y a aucune institution, parce qu'il n'y a aucune solution.
00:21:58 Le gouvernement dit qu'il y a une emplace avec bonne mesure d'aide financière,
00:22:02 mais peut-être ça, nous devons attendre après cette pause
00:22:05 pour nous continuer avec ça,
00:22:07 pour tout de suite nous marquer le temporaire
00:22:09 et nous retrouver juste après.
00:22:12 Procare
00:22:14 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile
00:22:19 pour des prises de sang à travers l'île
00:22:21 et dans nos points de collecte à Forestside,
00:22:23 Aucoulé, Ménil et Larosa.
00:22:26 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
00:22:30 avec des résultats bien détaillés et précis,
00:22:32 dans un délai raisonnable.
00:22:34 Pour tous vos renseignements,
00:22:36 appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60,
00:22:41 660 60 60.
00:22:43 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30 jusqu'à 20h30,
00:22:47 7 jours sur 7.
00:22:48 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile
00:22:52 pour des prises de sang à travers l'île
00:22:54 et dans nos points de collecte à Forestside,
00:22:56 Aucoulé, Ménil et Larosa.
00:22:58 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
00:23:02 avec des résultats bien détaillés et précis,
00:23:05 dans un délai raisonnable.
00:23:07 Pour tous vos renseignements,
00:23:08 appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60,
00:23:13 660 60 60.
00:23:15 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30 jusqu'à 20h30,
00:23:19 7 jours sur 7.
00:23:20 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile
00:23:24 pour des prises de sang à travers l'île
00:23:26 et dans nos points de collecte à Forestside,
00:23:28 Aucoulé, Ménil et Larosa.
00:23:30 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
00:23:34 avec des résultats bien détaillés et précis,
00:23:37 dans un délai raisonnable.
00:23:39 Pour tous vos renseignements,
00:23:40 appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60,
00:23:45 660 60 60.
00:23:47 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30 jusqu'à 20h30,
00:23:51 7 jours sur 7.
00:23:52 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile
00:23:54 pour des prises de sang à travers l'île
00:23:56 et dans nos points de collecte à Forestside,
00:23:58 Aucoulé, Ménil et Larosa.
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00:24:06 maintenant chez Lolo.
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00:24:11 Morcellement Satandré et le Valentina Mall Phoenix.
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00:24:45 Tepfen, la radio liberté.
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00:26:11 Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île et dans nos points de collecte à Forestside,
00:26:17 Aucoulé, Menil et Larosa.
00:26:20 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies avec des résultats bien détaillés et précis dans un délai raisonnable.
00:26:28 Pour tous vos renseignements, appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60, 660 60 60.
00:26:37 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:26:42 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île et dans nos points de collecte à Forestside, Aucoulé, Menil et Larosa.
00:26:52 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies avec des résultats bien détaillés et précis dans un délai raisonnable.
00:27:01 Pour tous vos renseignements, appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60, 660 60 60.
00:27:09 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:27:14 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île et dans nos points de collecte à Forestside, Aucoulé, Menil et Larosa.
00:27:18 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:27:21 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
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00:27:36 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
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00:28:30 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:28:32 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:28:34 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:28:36 Le téléphone est ouvert de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:28:38 Le gouvernement a dit qu'il pouvait en aider à travers la MAE, avec une aide financière pour aider le PME à donner son salaire minimum. Est-ce que ça pourrait l'aider?
00:28:52 Nous ne connaissons pas exactement quel genre d'aide le gouvernement pourrait donner.
00:28:59 Mais je suis très content de rappeler aux auditeurs que dans le passé, le gouvernement a aidé le PME pour payer la compensation salariale.
00:29:07 En 2020, quand il annonce la compensation salariale de 315 euros, qui est applicable en 2021, le gouvernement a aidé le PME.
00:29:16 En décembre 2021, il annonce 500 euros, qui est applicable à partir de 2022.
00:29:24 Donc, en juillet 2022, quand on passe le budget, le gouvernement n'a plus fait donner aucune aide au PME.
00:29:32 Donc, le PME nous a casqué, à partir de juillet 2022, les 875 euros que le gouvernement peut aider.
00:29:41 Et maintenant, arrivé à la fin de 2022, la compensation salariale est de 1000 euros.
00:29:45 Ça veut dire que dans une période de 6 mois, le PME peut trouver 1875 euros pour la compensation salariale qui est nécessaire pour un employé.
00:29:58 Maintenant, aujourd'hui, le gouvernement peut aider le PME, comment peut-il aider le PME?
00:30:04 Ça c'est la grande question, parce que le gouvernement peut aider, mais il ne peut pas dire quand ça va arrêter.
00:30:10 Il ne peut pas dire où on avance si on peut arrêter.
00:30:13 Donc, si le gouvernement peut l'aider pour 5 ans, un entrepreneur peut-il, si il n'est pas capable,
00:30:19 avec sa aide-là, retourner sur le business pour faire ce business bien productif à telle mesure qu'il n'y a pas, dans le futur,
00:30:26 de pays, de grands choses, qui seront moins salariales.
00:30:30 Mais il y a une visibilité. Tout business a une visibilité.
00:30:33 Le business n'a pas qu'à faire du jour au lendemain devant un modèle qui n'est pas viable dans le temps.
00:30:40 Donc, là aussi, il ne peut pas dire dans quelle manière ça va arriver et quels sont les critères,
00:30:47 quelle est la visibilité que le PME doit avoir pour qu'il soit capable de bénéficier de sa aide-là.
00:30:53 Donc, tout ça là, pour nous, il y a encore...
00:30:55 Est-ce qu'il y a des consultations qu'il peut faire avec vous à ce niveau?
00:30:58 Non, il ne peut pas faire de consultation.
00:31:00 D'ailleurs, il ne peut pas représenter sur le panel de reportage qui décide la compensation salariale,
00:31:07 ni le National Wage Consultative Council. Ils n'ont jamais fait de consultation à aucune institution ou à aucune...
00:31:14 Pourtant, ils représentent combien?
00:31:17 Vous savez, nous, un petit peu en déclin, longtemps, nous, avant COVID, là,
00:31:23 nous étions l'employé majoritaire, Maurice, dans le secteur privé.
00:31:27 Nous étions représentant 55% de l'emploi.
00:31:30 Là, en mosse, nous, déclaré, nous représentons 44%.
00:31:34 Ça veut dire que nous avons perdu 11% d'emploi dans le secteur PME.
00:31:39 Et au niveau de contribution aux produits intérieurs bruts, nous étions 40%.
00:31:44 Là, nous sommes 35%, donc nous avons perdu 5%.
00:31:49 Malgré qu'il y a eu un plan qui s'y posait en application au ministère du PME,
00:31:57 qui s'y posait, nous nous sommes posés, comment dire, 55%.
00:32:00 Là, l'emploi, là, il s'est fait grandir, il s'est fait à 2062. Au lieu de 2062, il s'est baissé.
00:32:05 Et GDP, là aussi, il s'est fait augmenter. Contribution, là, du CDI, il s'est baissé.
00:32:10 Mais on ne peut pas continuer avec ce plan-là.
00:32:12 Il y a une assise qu'ils font en mosse, cette année-ci, avec l'apport de UNDP.
00:32:19 Et il s'y posait, il y a un plan stratégique qui s'y posait, dégagé,
00:32:22 et il s'y posait, portagé avec le PME, dans quelle direction nous pouvons aller, nous perdons.
00:32:28 Quand est-ce qu'on va y arriver?
00:32:30 Eric Nguyen, qui a bien annoncé pour nous l'économie?
00:32:35 Bon, enfin, d'abord, si l'apport du PME dans l'emploi et dans la production, PBI, PBC,
00:32:42 ça a montré que le PME peut souffrir.
00:32:46 Et moi, je me demande même si ce n'est pas à cause de l'introduction du salaire minimum en 2018,
00:32:51 parce qu'il y a eu une trousse à baisser, là, justement, ces dernières années.
00:32:54 Donc, je pense que le National Wage Credit, s'il faisait une étude, là, précisément,
00:32:59 qu'est-ce qui cause l'apport du PME dans l'économie péritricienne?
00:33:06 Je vais vous donner une cause intérieure de sa aide financière accordée par l'État.
00:33:12 Bon, d'abord, on va parler de sa aide financière, là, de bien rembourser ça,
00:33:17 ou de le garder comme un don, comme un grand.
00:33:20 Bien rembourser, donc, c'est une aide financière, oui, mais bien remboursée.
00:33:25 Ce n'est pas pareil comme une grande qui te paye des cadeaux gratuits, OK?
00:33:29 Deuxièmement, moi, je vous ai déjà dit que je vais vous donner un livre, un peu long, là,
00:33:34 aide financière, d'une aide financière pour que l'entreprise-là paie le salaire du monde,
00:33:42 c'est pas quelque chose qui est concevable, ça, OK?
00:33:46 On voit qu'à part, le gouvernement, lui, impose au salarié de l'entreprise,
00:33:51 après, il dit, vous savez, eh, mais, mais, mais, moi, je vous donne une aide financière pour payer du monde.
00:33:55 Non, mais ça, c'est pas de la bonne pratique, ça, OK?
00:33:58 On peut concevoir que le gouvernement, l'État, donne une subvention à l'exportation
00:34:04 pour être une entreprise, un PME exportée, amener plus de l'argent dans le pays,
00:34:09 augmenter sa production, son chiffre d'affaires.
00:34:11 On peut concevoir que le gouvernement, lui, donne une incitation fiscale à l'entreprise
00:34:16 pour qu'elle puisse investir dans la technologie, pour qu'elle soit plus compétitive,
00:34:20 pour qu'elle puisse investir dans la production, dans le marketing.
00:34:24 Mais, lui, il donne une aide à l'entreprise pour lui payer le salaire du monde,
00:34:28 c'est pas concevable, ça.
00:34:30 C'est comme ça, nous, nous, on faisait la PME dans le pays,
00:34:33 le gouvernement, là, il faisait business, OK?
00:34:36 Donc nous devons comprendre qu'ils ne nous convient pas d'être financiers au PME. Nous devons être une incitation, je dirais.
00:34:48 Peut-être même subvention à l'exportation pour trouver de nouveaux marchés, pour expander les marchés.
00:34:53 Mais pas d'impôts salariales dans l'entreprise, l'institution d'entreprise, après vous dire "vous savez, moi je vais payer ça, je vais payer ça".
00:35:00 Donc c'est pas une bonne pratique. Mais c'est une mesure, on ne peut pas croire, y réfléchir, c'est probablement plus stratégique à un an des prochaines élections.
00:35:12 Mais est-ce que ça peut pas faire au détriment de l'économie?
00:35:17 Vous connaissez le problème, c'est qu'il y a un petit peu une aberration. On annonce un salaire minimum. Un salaire minimum, il est calculé par la capacité de l'entreprise pour payer ce salaire-là.
00:35:40 C'est basé là-bas. Parce que si l'entreprise n'est pas capable de payer ce salaire-là, l'entreprise va être fermée.
00:35:51 Maintenant, ajoutez une compensation salariale qui pour moi est honnête parce qu'il n'est pas si bizarre.
00:35:59 Et consiste-t-il à dire que le gouvernement doit donner un support au gouvernement à son employé-là?
00:36:09 Pour moi, ça n'a pas fait aucun sens. Parce que vous pouvez dire "je pose une compensation salariale pour l'entreprise, mais l'entreprise n'est pas capable de supporter ça".
00:36:21 Ça n'a pas fait aucun sens. Ce qu'il s'est bien fait, c'est que nous comprenons qu'il y a des gens qui font face à la chaleur de la vie, mais il faut déterminer un salaire qui est supportable pour l'entreprise.
00:36:34 Et de là, s'il y a des gens, certaines catégories d'employés dans le Maurice qui veulent venir à leur besoin avec ce salaire-là, le gouvernement doit être à ce genre de gens-là à travers une mesure fiscale dans le budget
00:36:56 pour qu'ils soient capables de retrouver les moyens nécessaires pour qu'ils soient capables de vivre la vie correcte.
00:37:05 Mais mettre un burden sur l'entreprise, après dire qu'on veut donner un lait à l'entreprise, je trouve ça bien à l'envers de ce qu'il faisait.
00:37:19 Tu es d'accord avec moi?
00:37:22 C'est vrai. Je suis d'accord avec le fait que certaines entreprises sont très fragiles à Maurice.
00:37:30 Pas plus qu'à faire business et pas au mieux que les PME ou les SME.
00:37:34 Parce que c'est des gens qui ne veulent pas que les autres viennent faire business.
00:37:39 Mais par contre, si le gouvernement peut dire qu'il est capable de tirer dans la caisse publique, d'être capable d'aider les gens,
00:37:49 avec un salaire minimum de 18 500, minimum de revenus de 18 500,
00:37:54 je ne suis pas totalement d'accord avec le principe du gouvernement pour qu'il défonce la caisse publique, pour qu'il aide l'entreprise pour réduire les coûts.
00:38:06 Je donne ces chiffres pour qu'il trouve qu'il ne faut pas que certaines entreprises gagnent de l'aide du gouvernement.
00:38:14 Il y a plusieurs entreprises comme Food Services, Agriculture, Bank, Construction, Insurance, Manufacturing, etc.
00:38:22 Télécommunications, Trading.
00:38:25 Le Wage Assistance Scheme qui a été débouché par le gouvernement en 2020, c'était 12 milliards que le gouvernement a débouché.
00:38:34 En 2021, la COVID a commencé à faiblir un peu, il a débouché de 8 milliards et en 2022, il a débouché de 3,9 milliards, presque 4 milliards.
00:38:45 Cela veut dire que pour ces trois ans-là, la caisse publique a dévidé pour 24 milliards de dollars.
00:38:52 Combien de compagnies ont-elles fait penser qu'ils allaient déboucher du gouvernement en termes de COVID-19 ?
00:39:02 2,6 milliards.
00:39:04 Cela veut dire que le doigt du gouvernement est de 21,5 milliards.
00:39:10 Et quand on fait ça, on va déboucher de ça.
00:39:14 Dans le budget de 2023-2024, on va tout rétablir.
00:39:19 Cela veut dire que ces compagnies-là ont gagné le support financier du gouvernement.
00:39:24 Ces compagnies-là n'ont pas une capacité à payer.
00:39:29 Quand il y a besoin d'aide, on aide.
00:39:31 Et là aussi, le gouvernement, dans tout ce qu'il peut faire, a une dette.
00:39:37 Mais le ministre ne va pas connaître l'équilibre basé pour dire que le gouvernement peut faire support à ces compagnies qui ne peuvent pas payer.
00:39:48 Oui, nous avons certaines compagnies, mais pas toutes.
00:39:52 Parce que quand on a de l'aide de l'État, on trouve beaucoup de compagnies qui ne peuvent pas payer.
00:39:59 Et c'est faux.
00:40:00 Peut-être que Eric Ninkapave réagit par rapport à ça.
00:40:04 Est-ce qu'il faut un peu plus de réglementation ?
00:40:11 Bon, certainement, je ne comprends pas un hôtelier qui peut faire très bien, extrêmement bien, depuis des ans,
00:40:21 pas être capable de rembourser le chasse-neige.
00:40:24 Oui.
00:40:25 Je comprends qu'il y a une circonstance exceptionnelle, contre le PME, qui est un peu faisante,
00:40:36 et qui, pour garantir l'emploi, pour protéger l'emploi, le gouvernement a envie de nourrir ce système pour préserver l'emploi.
00:40:46 Maintenant, seulement, les PME ne sont pas encore vraiment sortis de cette crise.
00:40:54 Peut-être que du point de vue de santé, ils ne sont pas encore vraiment sortis.
00:40:57 Et que, pour l'instant, si le gouvernement accepte un write-off, c'est parce que les PME sont encore dans la crise.
00:41:10 Mais je pense que ce n'est pas suffisamment de write-off pour un secteur qui peut vraiment faire bien,
00:41:25 qui trouve des services financiers, professionnels, touristes, qui quand même reprend depuis l'affaire de la pandémie.
00:41:34 Donc, voilà. Et ça, il ne fallait pas que ce qui a été exceptionnel ne vienne dans les affaires normales.
00:41:45 Vous savez, le gouvernement annonce la fin de la pandémie, l'année dernière.
00:41:51 Il dit la fin de la pandémie.
00:41:54 Vous avez aussi la fin de toutes sortes d'aides publiques que vous avez créées pendant la COVID.
00:41:59 Il ne faut pas qu'à courtier avec ça au détriment des finances publiques.
00:42:02 Vous devez commencer à mettre un lot. Un assainissement.
00:42:05 Donc, il y a aussi des allocations, parce qu'il y a une grande mesure qui fait le problème,
00:42:10 des allocations au CSG, pour mettre un revenu minimum.
00:42:17 Pour avoir 2 000 rupees du CSG.
00:42:21 Et il y a aussi les autres allocations, comme le lot, qui nous font trouver.
00:42:26 On a en sus de notre travailleur 20 000 rupees pour une jeune de 18 ans qui peut gagner.
00:42:31 C'est une mesure qui nous prend dans le budget.
00:42:33 On a des enfants de bas âge allant jusqu'à 3 ans qui peuvent gagner.
00:42:37 Et en conséquence, nous nous retrouvons avec la caisse vide.
00:42:40 Donc, tout ça, les peines, risques, surtout pour les pensionniers à l'avenir,
00:42:45 qui en passant nous rappellent de ne pas concerner la compensation.
00:42:50 Ça, le ministre indien atteint le budget.
00:42:52 Une fois de plus, oui.
00:42:54 Mais le ministre, en ce moment, la boussine d'un parlement, la caisse CSG est vide.
00:43:00 Défoncée totalement.
00:43:02 Et le CSG, quand on calcule ce chiffre qu'il amène dans la caisse CSG par an,
00:43:08 il est d'environ 7 milliards, 7,5 milliards.
00:43:11 Ça, quand on regarde ce chiffre budget, on peut trouver ça.
00:43:14 Est-ce que les pouvoirs de service à 7,5 milliards par an,
00:43:19 vous faites travers le salaire minimum, puis vous le faites en janvier.
00:43:26 Ou 2 000 roupies qui vous produisent l'an dernier sur le CSG.
00:43:30 500 roupies aussi sur le plan.
00:43:32 Et le differential qu'il y a, budgétement, est-ce que la CSG est capable de supporter cette coûte-là?
00:43:42 Parce que vous pensez que presque 7 milliards dans un an.
00:43:46 Il n'est pas encore arrivé un an, là.
00:43:48 Il n'est pas encore arrivé un an, il doit arriver un an près septembre 2024.
00:43:53 Il prend pour budget pour venir ici, là, il fait 6 mois, veut dire,
00:43:58 où il a ramassé presque 3 milliards, 3,5 milliards, pas plus.
00:44:01 Quand tu vois la caisse CSG, le ministre ne peut pas dire,
00:44:04 qui coffe la caisse CSG pour mettre toutes ces dépenses?
00:44:08 Est-ce qu'il est capable de consolider tout ça?
00:44:11 Il y a une bonne raison pour laquelle nous, nous pensons, en tant que syndicalistes,
00:44:17 nous pensons que le ministre qui prend la CSG, qui se trouve sous MRE,
00:44:24 il prend l'une, mélange l'autre, et consolide tout ça.
00:44:27 Pourquoi? Pour jouer avec ce fonds-là, défoncer, personne ne parle de ce fonds-là, il le défonce.
00:44:32 Parce que quand on prend un fonds pour consolider toutes les dépenses, il veut dire consolider toutes les dépenses.
00:44:37 Quand on tire la caisse là-dedans, on peut la mettre dans le fonds pour consolider toutes les dépenses.
00:44:40 On peut tirer, on ne peut pas tirer dans le CSG.
00:44:43 Alors pourquoi on aime le CSG quand on finit de défoncer?
00:44:46 Ça, il y a une coup de flou que nous pensons, le ministre finit de dire CSG, il va défoncer.
00:44:49 Ou sinon, ça aussi, on ne peut pas tirer.
00:44:52 Oui, oui, c'est simplement une misuse du CSG Fund.
00:44:57 Parce que le CSG Fund, c'est créé pour financer la pension de vieillesse à 13,500 roupies.
00:45:04 C'est-à-dire ça, 4,500 en plus, ce qui ajoute les 9000 roupies, fait 13,500 roupies.
00:45:09 Mais il n'y a pas besoin de faire ça, le Social Protection Act 2021.
00:45:12 Social Contribution Act.
00:45:13 Oui, le Social Contribution Act.
00:45:14 Mais il n'y a pas besoin de le dire clairement.
00:45:16 Il ne faut pas le faire pour ça.
00:45:18 Mais, on servit ça, là, pour des allocations de 10 000 roupies pour un installat.
00:45:25 20 000 roupies.
00:45:26 Un installat de 20 000 roupies, ou bien, pour un enfant de 3 ans, tout ça.
00:45:30 Mais, il est normal, finalement, qu'il va faire des différences, qu'il va faire le CSG Fund, le Conseil des dépenses,
00:45:37 mais, il n'y a pas besoin de le dire, il n'y a pas besoin de le dire de toute façon.
00:45:40 Et d'ailleurs, le CSG, c'est une taxe.
00:45:44 L'anonymat, quand on dit "contribution sociale", il n'y a pas une contribution, ça.
00:45:49 C'est une taxe, carrément.
00:45:51 Au début, le gouvernement s'est accepté qu'il appelait ça une taxe,
00:45:54 mais finalement, il a accepté ça devant la Cour, quand ils ont testé ça,
00:45:57 quand le gouvernement a testé ça devant la Cour.
00:45:59 Ils ont accepté que le CSG, c'est ni plus ni moins une taxe.
00:46:02 Donc, une taxe, c'est le Conseil des dépenses.
00:46:04 De toute façon, si le CSG Fund, le Conseil des dépenses, vous êtes roulant, vous allez renflouer le fonds
00:46:11 pour pouvoir payer la penche de vieillesse à 13 500 roublons.
00:46:15 Et tout ça, alors que, il n'y a pas même un nouveau secteur qui finit.
00:46:24 Avant, il y avait un nouveau secteur, il y avait diverses secteurs, mais, bizarre.
00:46:28 Mais, maintenant, la croissance économique, c'est la croissance économique,
00:46:31 où vous avez des revenus fiscaux, des recettes fiscales pour le gouvernement.
00:46:35 Et, avec une croissance économique de 5-6%, on ne peut pas croire qu'il y a suffisamment de recettes fiscales.
00:46:43 Vous devez réformer.
00:46:45 Vous devez faire une réforme culturelle dans le régime de retraite.
00:46:50 Vous devez faire des changements paramétriques, c'est-à-dire, la sécurité paramétrique.
00:46:56 Et, ce qui nous fait poser la question, même si il est politiquement sensible,
00:47:01 est-ce que l'âge d'éligibilité de la penche de vieillesse, il nous faut que ça soit autant ?
00:47:06 Et, il ne faut pas qu'il nous relève à 65 ans, parce que l'âge légal de la retraite, c'est 65 ans.
00:47:12 C'est ma question, il nous faut poser ça.
00:47:15 Parce que, depuis 10 ans, quand la penche de vieillesse, c'est à 5 000 roublons en 2014,
00:47:21 le FMI, à l'époque même, dit que ce n'est pas soutenable.
00:47:24 Il nous faut commencer à réformer. Mais, nous ne pouvons pas faire aucune réforme.
00:47:28 Nous n'hésitons pas à abolir le NPF et mettre le CLG.
00:47:33 Parce que la population peut vieillir.
00:47:36 Quand on dit vieillir sur la population, c'est-à-dire, pas seulement qu'il y a du monde qui vive plus longtemps,
00:47:41 mais aussi qu'on ne peut pas faire assez d'enfants.
00:47:45 Je crois que le taux de fécondité, c'est 1,4 enfant pour femme en âge de procré.
00:47:53 Tout ça, ce n'est pas une structure qui nous a été créé.
00:47:58 C'est déjà fini, ça a commencé il y a 5 ans, depuis 10 ans.
00:48:02 Mais, simplement, nous pouvons donner nos enfants à l'allocation à l'âge de gosses,
00:48:06 à la saleté, pour faire du bien consommé.
00:48:10 Voilà.
00:48:11 Moi, je pense que cette allocation de 20 000 roublons à des jeunes qui atteignent l'âge de 18 ans,
00:48:19 est-ce que c'est un moyen que je suis capable de donner comme un incentive pour que vous fassiez une entreprise,
00:48:26 pour aider dans l'entrepreneuriat?
00:48:30 Est-ce que c'est possible?
00:48:33 Le problème, c'est que ça dépend de qui but ou de l'aide financière,
00:48:40 qu'il y ait un jeune ou un moins jeune.
00:48:43 Comme il y a une cause, un investissement, quand il y a une cause, compréhension salariale et minimum wage,
00:48:50 moi, je pense que le gros problème aujourd'hui dans le monde de l'entreprise,
00:48:56 c'est que nous nous retrouvons avec des jeunes qui, soit pas réussis de parcours scolaire,
00:49:04 ou bien qui viennent sortir d'habiter dans une institution, devenir avec une qualification académique,
00:49:15 et aujourd'hui, avec ce salaire-là, ils sont quasiment impossibles, surtout pour un PMU,
00:49:20 de payer ce salaire pendant leur formation.
00:49:22 Moi, je pense que le gouvernement, pour mieux inspirer,
00:49:28 c'est qu'il est capable d'investir dans ces jeunes-là d'une façon différente.
00:49:32 C'est-à-dire qu'il équipe ces jeunes-là, surtout à ce salaire sensible-là,
00:49:39 à travers une formation qui peut aider dans leur carrière professionnelle,
00:49:45 que ce soit à l'entreprise ou ailleurs.
00:49:48 Donc, pour moi, ça, c'est un investissement intelligent,
00:49:52 un investissement dans nos capitales humaines, comme on appelle ça,
00:49:55 et qui nous le retrouve, nous, dimanche, avec des jeunes bien formés.
00:49:59 Aujourd'hui, qu'est-ce qui se passe et qui fait que nous avons un problème pour faire face à ce salaire minimum-là?
00:50:05 C'est parce qu'aujourd'hui, quand on regarde le taux d'échec dans le système d'éducation, il est allô, moi.
00:50:11 Et très souvent, beaucoup de ces jeunes-là se retrouvent dans un PMU,
00:50:15 parce que dans une grande entreprise, il y a tendance à recruter,
00:50:20 il y a une possibilité de tâcher des jeunes pour venir vers eux,
00:50:24 donc c'est des gens qui sont mieux qualifiés, normalement, à travailler dans une grosse entreprise,
00:50:29 dans une conglomérat qui a beaucoup plus de prospects en termes de carrière,
00:50:35 et le reste, normalement, est absorbé par le PMU.
00:50:39 Donc, ce qui fait que pour un PMU, pour devenir plus performant aujourd'hui,
00:50:43 il dépend de l'autre choix qu'il investisse dans un système de production plus performant,
00:50:51 pour qu'il devienne plus productif.
00:50:53 Et pour faire ça, il faut qu'il y ait des gens qui sont capables de faire ces outils-là.
00:50:57 Donc, il faut des gens formés.
00:50:59 Et très souvent, aujourd'hui, quand il y a des gens qui viennent retravailler,
00:51:04 malheureusement, ils n'ont pas d'expérience et ils n'ont pas d'information.
00:51:09 Donc maintenant, nous posons la question, est-ce qu'un PMU est capable de permettre aujourd'hui
00:51:14 de payer des gens 16 500 rupees qui n'ont aucune expérience, qui n'ont aucune information?
00:51:20 Est-ce qu'il est faisable aujourd'hui?
00:51:23 Et, deuxièmement, comment vous connaissez, vous pouvez même prendre le risque d'investir dans ce matériel-là,
00:51:28 mais vous n'avez aucune garantie de ce matériel-là pour rester?
00:51:32 Est-ce que ça allait pour vous permettre ainsi de devenir PMU,
00:51:35 pour vous tourner plus vers la main-d'œuvre étrangère?
00:51:39 Bien, c'est pourquoi, qui vous trouvez aujourd'hui, beaucoup d'entreprises
00:51:46 qui peuvent investir dans l'équipement performant, surtout quand on parle de robotique, etc.,
00:51:52 on parle de l'équipement qui servit la haute technologie, qui servit moins la main-d'œuvre,
00:51:59 et donc qui est très performant, qui rend l'entreprise plus viable pour faire la compétition.
00:52:05 Malheureusement, cette main-d'œuvre-là n'a pas existé, Maurice.
00:52:10 Il y a beaucoup de monde qui a besoin de cette compétence pour pouvoir opérer cette machine,
00:52:17 faire la maintenance de cette machine de haute performance-là,
00:52:21 et ce n'est pas disponible sur le marché.
00:52:24 Donc, ce n'est pas un souhait, mais il y a une obligation aujourd'hui,
00:52:28 et ce n'est pas à cause que des PMU, mais à cause de pratiquement toutes les entreprises,
00:52:33 à cause de faire face à cette situation-là.
00:52:36 Je pense que le gouvernement peut mieux aviser et qu'il nous régle notre système d'éducation
00:52:42 et qu'il ne peut pas faire tout le même avec les qualifications académiques,
00:52:48 parce qu'il y a une grande demande pour une compétence technique dans l'entreprise
00:52:53 qui malheureusement aujourd'hui fait un gros défaut qu'il n'a pas trouvé
00:52:56 et qu'il ne peut pas récruter à l'extérieur.
00:52:59 Et quand on récrute à l'extérieur, le gros problème c'est que vous êtes venu à un contrat
00:53:05 et vous êtes continuellement à la fin du contrat, à la route des autres du monde,
00:53:10 refait à venir avec toutes les paperasseries que vous avez fait,
00:53:14 avec toutes les difficultés pour faire ce récrutement-là.
00:53:17 Ce n'est pas aussi le souhait de notre entreprise à Maurice.
00:53:21 Donc, je suis pour que le gouvernement, à travers les institutions qui déjà existent,
00:53:26 donne un incentive à ce genre d'entreprises, à travers les stipends, etc.,
00:53:31 de faire le renforcement technique nécessaire pour qu'ils assurent l'entreprise d'éléments.
00:53:37 Voilà, pour tout de suite, nous marquons une pause et nous retrouvons juste après.
00:53:43 ... difficile pour des prises de sang à travers l'île
00:53:46 et dans nos points de collecte à Forestside, Aucoulé, Ménil et Larosa.
00:53:51 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
00:53:55 avec des résultats bien détaillés et précis dans un délai raisonnable.
00:54:00 Pour tous vos renseignements, appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60,
00:54:06 660 60 60.
00:54:08 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:54:13 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île
00:54:19 et dans nos points de collecte à Forestside, Aucoulé, Ménil et Larosa.
00:54:24 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
00:54:28 avec des résultats bien détaillés et précis dans un délai raisonnable.
00:54:33 Pour tous vos renseignements, appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60.
00:54:38 660 60 60, 660 60 60.
00:54:42 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:54:47 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île
00:54:50 et dans un point de collecte à Forestside, Aucoulé, Ménil et Larosa.
00:54:54 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
00:54:58 avec des résultats bien détaillés et précis dans un délai raisonnable.
00:55:02 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île
00:55:06 et dans un point de collecte à Forestside, Aucoulé, Ménil et Larosa.
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00:55:47 Zoom Extra
00:56:00 Retour dans Zoom Extra, vous appellez sur le 213 77 77.
00:56:05 Nous partageons vos questions, vos commentaires.
00:56:09 Nous vous rappellons que nous avons de grandes mesures à prendre au cours de 2023,
00:56:15 surtout dans les dernières mesures concernant le salaire minimal.
00:56:19 Nous finissons aussi avec les allocations CSG.
00:56:22 Et là, Eric Ling, il y a aussi une mesure forte qui finit de retenir l'attention à cette fin d'année.
00:56:28 Il y a même apporté un chemin, un autopont qui finit de construire au cours de l'année.
00:56:34 Hier, il y a eu sa inauguration du Paul Lee Cruise Terminal au coût de 900 millions de roupies.
00:56:41 Vous pensez que ça peut aider le tourisme?
00:56:44 Enfin, mon pensée, c'est un avenu, c'est un chemin qui nous carre d'explorer.
00:56:52 Et quoi qu'il y ait de très faible, nous avons seulement quelques milliers de touristes qui viennent par bateau, par course.
00:57:01 Mais il n'y a pas de mauvaise chose, mon pensée, il n'y a pas de mauvaise chose qui nous développe ce secteur touristique
00:57:12 dans la région et qui nous aide beaucoup pour le secteur touristique.
00:57:21 Mais nous remarquons aussi qu'encore une fois, le secteur touristique, il y a beaucoup d'employés de l'hôtellerie,
00:57:30 surtout qui payent davantage pour les bâtons de croisière, le travail, alors que beaucoup d'hôtels, apparemment,
00:57:37 ils ont besoin de recrutement d'étrangers. Là aussi, il y a quelque chose qui peut être trop rond dans ce secteur?
00:57:45 Oui, vous voyez, il y a de la compétition dans ce secteur en termes de ressources humaines.
00:57:52 Évidemment, les gens ne sont pas capables d'être mieux traités, d'avoir un meilleur salaire qu'après leurs compétences.
00:58:03 Si ils trouvaient qu'ils pouvaient plus travailler au bateau qu'à l'hôtel, ils pourraient travailler au bateau.
00:58:10 Quoiqu'il en soit, c'est un travail aussi dur. Mais dans ce cas-là, le secteur hôtelier, il faut bien revoir cette politique salariale.
00:58:22 Pourquoi pas retenir Mademoiselle Mauritien? Parce que mon pensée, moi, je comprends que le secteur Mademoiselle Mauritien,
00:58:31 le bateau, de plus en plus de travailleurs étrangers dans le secteur hôtelier, pour moi, je crois que le sourire mauritien, c'est quelque chose d'important.
00:58:44 Et en même temps, une anecdote, la fois dernière, je me suis rendu avec ma touriste régionale,
00:58:52 et nous avons rencontré un restaurant qui avait tellement de choses, que j'ai rencontré plusieurs anglais.
00:58:58 Donc, il y a une stratégie que nous visons le marché français, francophone, à la région,
00:59:05 prendre au moins un tiers de nos touristes, voire jusqu'à 40%, si nous comptons la région et la France ensemble, à Vinamauris,
00:59:12 mais nous pouvons prendre des travailleurs qui ne parlent que une cause française.
00:59:17 Et surtout beaucoup d'étudiants étrangers recrutés dans le secteur de restauration.
00:59:22 Oui, c'est le secteur de restauration, c'est ça. Donc, vous vous reconnaissez, quelle est votre politique en termes de ressources humaines?
00:59:33 Et moi, mon pensée, le Mauritien, il est à cause de l'anglais et le français, au moins dans la langue parlée.
00:59:42 Et c'est un atout qui nous permettra de jouer le rôle dans le secteur touristique.
00:59:48 Donc, pour ça, il ne fallait pas que nous puissions trouver un travail normal, mais aussi, nous devons respecter certaines libertés,
00:59:58 pour l'employé de choisir le travail qui lui convient.
01:00:03 Est-ce que nous faisons un petit bilan pour le secteur touristique?
01:00:06 Le gouvernement dit qu'il finira par atteindre un objectif de 1,3 millions de touristes. Donc, l'objectif, c'était 1,3 millions de touristes?
01:00:22 Oui, ça signifie que c'est l'objectif, c'était 1,3 millions, mais avant la COVID...
01:00:29 Est-ce qu'il nous finira, justement, sa tour qui nous était avant la COVID?
01:00:35 Avant la COVID, on était à 1,4 si on ne m'a pas trompé. Donc, on est presque arrivé, mais mon pensée, il est en cause de la marche.
01:00:48 Et mon pensée, pour ça, nous devons revoir nos politiques d'accès aériens, mais aussi, nous devons...
01:01:01 nos politiques de promotion, nous devons viser nos stratégies, parce que moi, je préfère que nous gagnons nos "high spenders" à mon risque, au terme des touristes.
01:01:14 Donc, vous envisagez plus la qualité au lieu de la quantité?
01:01:16 Moi, mon pensée, nous envisageons plus la qualité que la quantité, parce que ça met beaucoup de pression sur nos ressources, sur l'environnement,
01:01:24 et aussi parce que c'est l'accueil, c'est l'accueil, c'est les ressources humaines.
01:01:30 Oui, c'est clair, autorisément, je peux plaigner, je peux dire que j'ai moins beau travail, je peux arrêter de dire le mot riche.
01:01:38 Mais à quoi sert, on voit qu'il y a des millions de touristes, qu'on ne peut pas donner l'accueil qu'il nous faut.
01:01:43 Donc, nous, on doit être au service. La qualité de nos services, on ne peut pas nous perdre de ça.
01:01:50 D'accord. Est-ce qu'il y a des mesures concrètes que vous prenez au cours de cette année-là pour relancer le tourisme?
01:02:03 Enfin, mesures concrètes, je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de mesures.
01:02:09 Même le budget de la promotion, il reste dans les 400 millions d'euros.
01:02:15 Mais si vous regardez en termes de rôle, il n'est pas augmenté parce que l'euro est de 50 euros.
01:02:20 Avant, l'euro était de 40. Quand l'euro était de 40, le budget était de 400 millions, 450 millions.
01:02:25 Là, l'euro est de 50 euros. Donc, en termes réels, il n'est pas vraiment augmenté.
01:02:29 Et, bon, mes pensées, ce que je pense, il faut au niveau de la politique d'accès à rien, au niveau des Air Mauritius et les autres avions.
01:02:45 Mais moi, mes pensées, nous devons mettre beaucoup d'accent sur l'environnement, sur la propreté.
01:02:54 Et nous retrouvons beaucoup de chiens et gants sur les routes, même sur les plages, maintenant.
01:03:01 Et nous ne bésons qu'en capacité, en termes de ressources.
01:03:06 Les ressources en termes de l'eau. Parce que le problème de l'eau est de niveau aigu pour les Mauritiens.
01:03:15 Même parce qu'il y a beaucoup de villas qui sont construites.
01:03:18 Nous avons un paquet d'eau à 1,4 ou 1,5 million. Nous avons beaucoup reçu de l'eau sur l'eau et même sur l'énergie.
01:03:25 C'est ça. Bon, pour l'instant, nous n'avons pas pris un coup de courant comme en Afrique du Sud, mais nous avons une bonne capacité.
01:03:32 Même en termes de l'économisation, nous avons un système d'alimentation.
01:03:36 Oui, ça aussi.
01:03:37 En termes de diversification de produits pour les touristes, est-ce qu'il y a finalement un changement à ce niveau? Parce que très souvent...
01:03:44 Il n'y a pas vraiment de changement. Peut-être qu'il est assez difficile, mais nous bésons à considérer que nous avons beaucoup de touristes culturels.
01:03:54 Encore, nous trouvons certains concerts bien annulés de façon interpestive.
01:03:59 Mais nous avons la voie au niveau des touristes culturels, des touristes intérieurs.
01:04:05 Et nous avons développé un peu plus, c'est-à-dire au-delà de la plage.
01:04:11 Mais bon, parfois... Il y a un segment, il y a une clientèle qui en veut juste la plage aussi. Il ne faut pas oublier ça.
01:04:18 Nous faisons un peu plus de démocratisation, c'est-à-dire qu'on ne parle juste, centré seulement sur le "all inclusive".
01:04:27 Et la société clientèle, elle ne peut pas dire non.
01:04:30 Mais nous faisons quand même revoir comment nous sommes capables d'encourager les touristes à sortir de l'hôtel et visiter.
01:04:38 Et c'est comme ça, visiter le pays. Et c'est comme ça que toute l'économie, notre petite entrepreneurie, est capable de bénéficier de ce bon touristique, nous veux dire.
01:04:51 Et à moi, je pense au niveau des PME. Est-ce qu'il y a une bonne mesure concrète?
01:04:56 À l'élan, nous connaissons un peu la situation. Au lieu qu'il augmente le secteur, il y a un déclin, on peut dire.
01:05:06 Mais est-ce qu'il y a une bonne mesure au cours de cette année, ou même des années précédentes, pour redynamiser les PME?
01:05:18 Bon, je suis pas au courant qu'il y ait une bonne mesure qui est vraiment capable de choper les esprits, de matcher l'attention de la population, qu'il y ait une bonne nouvelle d'opportunité pour les PME.
01:05:37 Mais d'ailleurs, nous trouvons de moins en moins même des "role models", des réussites spectaculaires qui font l'actualité.
01:05:45 Nous trouvons de moins en moins.
01:05:48 Maintenant, la question qui se pose, c'est que, comme vous le connaissez, le secteur de l'entrepreneuriat, très souvent, il y en a beaucoup qui sont chutés en coup de route.
01:05:59 Comme on a un chiffre là, assez éloquent, c'est un chiffre indiscutable, parce qu'il est sorti du bureau statistique.
01:06:08 Donc, normalement, dans tout le monde, même à Maurice, il y a toujours une entreprise qui est en difficulté, qui ne fait pas sa fermeture, mais il y a toujours un vivrier,
01:06:19 c'est-à-dire qu'il y a un vivrier, quand il y a beaucoup de nouveaux acteurs qui rentrent en jeu et qui sont les entrepreneurs de demain ou du futur.
01:06:31 Aujourd'hui, malheureusement, avec l'écosystème qui nous a été à Maurice, moi, personnellement, je ne trouve pas beaucoup de monde dans l'entrepreneuriat aujourd'hui.
01:06:44 Et non seulement, je ne trouve pas de nouveaux acteurs émergés, mais même je trouve peu de repreneurs de mon business, c'est-à-dire peu d'entrepreneurs qui peuvent même faire mon "succession plan",
01:06:56 c'est-à-dire qui l'entreprise pour moi, avec, quand je pourrais aller, je le ferais. C'est-à-dire qu'ils n'ont pas pu faire aucun plan pour que les autres enfants découvrent le business.
01:07:09 Et ça, c'est très mauvais, parce que moi, je connais beaucoup de business qui est très viable, très profitable, mais il y a un désintéressement total des ventes aujourd'hui.
01:07:23 Il y en a beaucoup qui peuvent quitter Maurice pour y aller, il y en a beaucoup qui préfèrent faire autre chose que l'entrepreneuriat parce qu'il y a une tension permanente, il y a un stress permanent.
01:07:32 Et aussi, il y a un autre phénomène qui nous peut observer ces temps-ci, c'est qu'il y a beaucoup de business qui font commencer avec "from scratch", de zéro.
01:07:47 Et une entreprise moyenne, aujourd'hui, elle ne peut pas "bouffer" dans son conglomérat, c'est-à-dire qu'elle ne peut pas rester dans son conglomérat parce qu'elle peut faire face à des difficultés et ne l'aide pas à venir.
01:08:04 À cause du problème d'endettement qu'ils ont subi depuis l'avènement de la COVID, ils ont réussi à vivre des dépenses à l'endettement et aujourd'hui, ils sont toujours dans de grosses difficultés pour faire un service de la dette.
01:08:19 Suite à une montée drastique du répondre, aujourd'hui, le service de la dette est énorme pour, surtout, une entreprise moyenne.
01:08:30 Et donc, au lieu de perdre du tout, c'est-à-dire qu'à un moment donné, je ne pourrais aller en faillite ou je pourrais aller en administration, la seule voie, c'est de vendre l'entreprise.
01:08:40 Et bien sûr, il n'y a que le conglomérat qui a les moyens pour acheter son entreprise.
01:08:45 En parlant d'endettement, l'endettement du pays même, Eric Nîmes, il est très élevé. Il arrive à environ combien? 600 milliards?
01:08:58 Non, 400 millions, 500 millions. Oui, c'est un montant absolu. C'est vrai qu'il est élevé. En termes de paye, il est 79%. Il est quand même élevé pour un pays qui n'a pas la ressource naturelle.
01:09:17 Comment nous faire pour financer? Parce que nous faisons une chose un peu, le pays n'a pas de réforme structurelle, de productivité, pas d'augmentation.
01:09:30 Mais si on veut, d'abord, on doit baisser le déficit budgétaire. Parce que c'est le déficit budgétaire qui fait qu'on doit en détaux pour financer le déficit.
01:09:42 Parce que là, il y a une gaffe entre revenus et dépenses. On dépense plus que le revenu, on a un déficit et on doit l'emprunter. Donc d'abord, il faut baisser le déficit budgétaire.
01:09:54 Et deuxièmement, il faut la croissance économique pour générer plus de revenus. Et troisièmement, évidemment, il faut jouer beaucoup sur l'inflation parce qu'on connaît que l'inflation déprécie la valeur de la dette.
01:10:12 Et comme ça, et après, évidemment, il faut tout revoir, il faut ne pas gaspillage dans le secteur public. On connaît qu'il y a un grand problème dans l'entreprise publique qui doit beaucoup d'argent.
01:10:34 Il y a beaucoup de canards boiteux. Vous reconnaissez comment amènent les réformes ou même ferment ces entreprises publiques qui vivent un poids sur l'État.
01:10:46 On appelle ça des entreprises zombies. Ça veut dire que je dépense de l'État pour ne pas avoir de dette. Donc il y a beaucoup de réformes, beaucoup de mesures à prendre si on veut alléger le fardeau de la dette publique.
01:10:59 Bon, on a une cause un peu malmésure qui ne prend pas tout, certaines malmésures qui ne prennent, une cause un petit peu malmésure qui ne prend pas aussi.
01:11:08 Pour résumer la situation, est-ce qu'il ne nous faut pas dire qu'il y a des priorités économiques qui sont reléguées au second plan, qu'il y a des défis pour nous pour l'avenir?
01:11:26 Le gouvernement met en avant sa pilier touriste. On dit qu'on a 1,3 ou 1,4 millions de touristes dans le pays. Ça ne veut rien dire qu'on a une défaillance dans le service à la couture.
01:11:44 On a un service qui donne 1,4 millions de touristes. Quand ça n'a pas pu fonctionner, on a mis tout ça en avant pour que les touristes viennent ici.
01:11:58 Et n'oublions pas que nous péguins sommes un pays qui permet aux touristes beaucoup plus qu'aux Mauritius, ou comme on dit.
01:12:05 Nous avons une compétition avec des pays voisins. Et pour rentrer dans cette compétition, nous avons un service qui est très efficace.
01:12:19 Là-même, nous avons trouvé, Eric et Amor, le problème de service qu'il nous fait gagner devant l'hôtel. Je me sens que le gouvernement peut promouvoir un système de "drain" de Mauritius.
01:12:34 Jamais il n'est arrivé dans le passé que le gouvernement...
01:12:38 Il n'y a pas de mesures qui nous font remarquer pour retenir les jeunes qui peuvent venir ici.
01:12:43 Le gouvernement peut venir avec un système qui nous permet de les laisser rester. Il préfère que nous les laissons rester.
01:12:49 Il n'y a pas de type de veste qu'il peut amener dans l'hôtel et qu'il ne mette pas au-dessus du travail.
01:12:53 Et un des gros problèmes de ces étrangers qu'il va amener là, c'est ce qu'il nous fait mentionner.
01:13:00 On ne parle pas qu'une cause française, on ne parle pas qu'une cause créole.
01:13:03 Mais, bon, français, pour la majorité des touristes, c'est la France, la Réunion, Sud-Afrique, les causes anglaises.
01:13:10 Mais ce problème-là est provoqué en 2014 quand le système d'éducation est totalement dysfonctionnel.
01:13:22 Le peuple n'est pas capable de mettre ses expectations en place quand il essaie de développer le système éducatif.
01:13:33 Le système éducatif est dysfonctionnel. Il n'y a pas de training dans le channel technique qui peut être demandé.
01:13:47 Le channel technique est totalement bourgeois. Il n'y a pas de connaissance de ce qu'il peut faire.
01:13:51 On ne sait pas ce qu'il peut faire. Il n'y a pas de connaissance de ce qu'il peut faire.
01:13:55 On peut gagner toute sa jeunesse chaque année. On peut dévider sa vie de mort aussi.
01:14:01 On peut gagner un système éducatif qui, pendant trois ans, est académiquement ou pas bon.
01:14:07 Et ces trois ans-là, ils doivent être servis pour faire venir techniquement bon.
01:14:12 On peut ajouter une quatrième année d'un "extended scheme" là-dedans.
01:14:16 Et après quatre ans, quand on dit que les élèves de trois ans ne sont pas capables de venir avec un certificat académique,
01:14:25 on leur donne une quatrième année pour dire qu'ils ont un certificat académique et qu'ils n'ont pas de méthode académique.
01:14:31 Mais le système éducatif n'est pas capable de mettre ses expectations au marché.
01:14:37 Il n'y a pas de plan pour ça. Là, nous ne savons pas.
01:14:40 Le ministre ne veut pas un nouveau plan technologique.
01:14:43 On ne sait pas comment les autres vont venir avec ce plan.
01:14:46 Qui peut faire l'unanimité aussi.
01:14:48 Exactement. Mais est-ce qu'ils ont un plan là?
01:14:51 Ils viennent dans le rêve après, du jour au lendemain, ils viennent nous annoncer.
01:14:55 Il n'y a pas de staff dans l'éducatif qui permet de faire un nouveau plan.
01:15:00 Il faut que ça soit un "training" pour qu'on puisse faire ça.
01:15:03 Il n'y a pas quelqu'un qui va nous permettre de faire un plan, un plan technologique.
01:15:06 On va commencer par un plan AI, quand le pays a assez de formatés en bas.
01:15:12 Donc le plus gros problème de développement dans ce pays-là, c'est le dysfonctionnement du système éducatif.
01:15:20 Eric Nguyen, est-ce que nous l'économie, pardon, les sous-pressions...
01:15:25 Oui, mon pensée est pour les sous-pressions l'année prochaine, avec cette hausse très conséquente du salaire minimum.
01:15:39 Qui va d'entreprise, qui va amener beaucoup de réajustements.
01:15:43 Et moi je crois que les conséquences, d'abord, ce qui est tout à l'heure, à moitié possible, est cause de robotisation.
01:15:51 Et moi je crois que cette hausse salariale est pour accélérer l'automatisation de la production des entreprises.
01:15:57 C'est-à-dire que je peux substituer le capital au travail, parce que le travail est bien plus coûté.
01:16:04 Donc je peux plus fonctionner avec ma machine d'équipement.
01:16:09 Donc je ne pars pas pour recruter, voire, pire, je vais en licencier.
01:16:15 Ça c'est une.
01:16:16 Deuxième, je vais commencer ma entreprise pour gérer mon recrutement.
01:16:21 Je peux gérer ma promotion, si j'ai la promotion à faire, parce qu'on fait une promotion, au moins ça va aider mes employés.
01:16:29 Je peux gérer ma documentation interne, parce que ma entreprise, elle a de propres politiques salariales.
01:16:36 Parfois je termine ma documentation, mon employé qui mérite.
01:16:43 Donc, parce que l'entreprise a un "wage bill".
01:16:48 Il faut respecter son "wage bill".
01:16:51 Si le "wage bill" est augmenté, évidemment le coût salarial va être élevé.
01:16:58 Soit il passe ça au consommateur, on appelle ça l'inflation, soit il déposera le licencier, ou il amène ce type de mesures qui vont être faites.
01:17:07 Donc je pense que dès janvier, à moyenne possible, dès maintenant, ma entreprise pourra amener beaucoup de réajustements.
01:17:16 Ce qui fait qu'avec ces mesures-là, le paradoxe c'est qu'on augmente les salaires, parce que vous pouvez penser que ça peut stimuler la consommation, l'alimentation et la croissance.
01:17:27 Quand en fait, au final, la consommation pourrait disparaître en termes de volume.
01:17:34 Parce que si, il y a du monde qui a perdu l'emploi, l'entreprise ne peut pas récruter, les pays gèlent des promotions, les pays gèlent des salaires,
01:17:43 les pays situent le capital au travail, c'est-à-dire les pays accélèrent l'automatisation de ceux qui produisent,
01:17:50 et finalement, le niveau global général de la consommation au niveau national, il pourrait disparaître.
01:17:58 Ah, moi j'ai pensé, je l'ai su le mot de la fin, où on dit au commencement que l'avenir est pour les PME.
01:18:06 Qu'est-ce que tu as souhaité voir?
01:18:09 Enfin, c'est juste un constat dans le sens qu'il me connait qu'il y a beaucoup de PME, ils n'ont pas les moyens financiers.
01:18:18 Il y a beaucoup de PME qui ont un bon business, mais malheureusement avec l'endettement de ce fichier à l'AMCIB,
01:18:26 je n'ai plus l'éligible pour gagner de l'aide financière, je n'ai plus l'éligible pour qu'ils gagnent les capitaux nécessaires pour investir dans les outils modernes de production.
01:18:36 Donc je pratiquement vois un échec, sans ce support-là.
01:18:40 Moi je pense que c'est là que le gouvernement doit venir aider pour que ces PME-là puissent acquérir les technologies nécessaires,
01:18:46 les outils modernes nécessaires pour qu'ils assirent la pérennité de l'entreprise.
01:18:49 Assir la pérennité de l'entreprise aussi veut dire assir l'emploi à l'intérieur de l'entreprise.
01:18:55 Et bien souvent, les PME donnent beaucoup plus d'opportunités à des employés qui sont rentrés au bas de l'échelle de notre formation,
01:19:02 et après nous tous connaissons comment ça a passé dans Maurice, qui aujourd'hui est un ouvrier très performant.
01:19:08 La plupart d'entre eux passent de PME quand ils ont l'occasion d'apprendre tous les rouages du métier et progresser,
01:19:16 qu'il y ait des plombiers, qu'il y ait des menuisiers, qu'il y ait des champs-à-pontiers, qu'il y ait des maçons, enfin vous savez, tout ça là, et PME, et quoi faire, etc.
01:19:26 Donc ils nous donnent l'opportunité à des gens d'acquérir un métier.
01:19:30 Aujourd'hui ce qu'ils nous faisaient faire, c'est qu'ils nous faisaient valoriser ce métier-là.
01:19:34 C'est-à-dire qu'ils, comme un docteur, ingénieur, etc., ils connaissent qu'il y a une valeur, parce qu'il y a dans sa qualification-là.
01:19:42 Mais aujourd'hui, très souvent, nous avons un très bon ouvrier à Maurice, mais juste parce qu'il est académiquement pas performant,
01:19:49 il n'a pas un bagage académique, et très souvent, il est marginalisé dans la société.
01:19:55 Il ne va pas reconnaître ses compétences, alors qu'il est dans les autres pays, il a ce qu'on appelle la chambre des métiers.
01:19:59 Il est dans l'association des ingénieurs, l'association des docteurs, etc., il est dans les autres pays, et il a ça.
01:20:05 Donc, ce n'est pas pour valoriser ça, mais malheureusement, ce qui peut arriver, c'est qu'il se rende du monde là pour se marginaliser dans la société.
01:20:14 Et donc, vous pourrez trouver vous-même en difficulté, et à chaque fois le gouvernement vous a mis en aide,
01:20:20 et maintenant l'entreprise peut vous assurer de venir, de redonner le gouvernement pour qu'elle puisse continuer l'entreprise.
01:20:25 Donc moi, ce que je souhaite, c'est qu'il y ait une prise de conscience qu'un pays n'est pas capable d'être un pays développé,
01:20:36 n'est pas capable d'avoir un pays à haut revenu, mais c'est moi sur le secteur PME, on déclare, parce qu'il y a des phases complètes.
01:20:43 Quand vous avez un pays développé, le PME contribue à plus de 70% de PIB.
01:20:49 Donc, Maurice, nous on déclare, quand vous avez de l'emploi, plus de 90% de l'emploi dans un pays développé, c'est dans un PME.
01:20:57 Donc, Maurice, nous on déclare, donc si nous avons envie de progresser à Maurice, nous prenons l'optimisme pour qu'il nous soutienne dans ce secteur là,
01:21:07 parce que c'est un secteur de l'avenir, c'est un secteur pour l'auteur, et moi je crois que c'est tout l'intérêt du pays même,
01:21:15 de la population, qu'il nous a un secteur performant et aussi, ça permet de la démocratisation de l'économie,
01:21:22 c'est-à-dire que quand vous avez de l'économie, ce n'est pas 4-5 gros arbres, mais une forêt quand même homogène,
01:21:29 que tu viennes de la toute qualité, l'orbis il va plus joli avoir.
01:21:32 Et aussi, on donne l'opportunité, seulement à des gens qui peuvent réussir académiquement,
01:21:37 ou qui prennent le risque dans l'entreprise, il y a de la lumière au bout du tunnel, il y a de l'espoir qui va nous aider à sortir dans le cycle infernal de la pauvreté.
01:21:48 Donc moi je pense qu'il est nécessaire dans n'importe quel pays, de donner ça l'opportunité à la population,
01:21:54 parce que là tout le monde est égal, et dépendant, l'effort que le monde a fait dépend de la capacité entrepreneurial que le monde a,
01:22:05 donc l'opportunité elle est pour pareil pour tout le monde.
01:22:08 Donc qui fait à du monde riche, je veux une plus riche, pour moi ce n'est pas une société juste.
01:22:13 Donc ça donne l'opportunité à tout le monde, pour moi, c'est le secteur qui permet de rêver.
01:22:20 Voilà, ceci nous arrive à la fin de l'émission, nous remercions nos bonnes invités d'avoir été des nôtres,
01:22:27 merci aux auditeurs pour votre fidélité, ce sera ma dernière émission pour cette année-ci,
01:22:34 je profite de l'occasion pour vous souhaiter une bonne et heureuse année 2024,
01:22:41 je vous retrouve l'année prochaine pour de nouvelles émissions,
01:22:45 sur ce, passez une bonne soirée sur les ondes de Top FM.
01:22:49 Zoom Extra
01:22:51 *Bruit de la porte qui s'ouvre*
01:22:52 *Bruit de la porte qui s'ouvre*
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