Retrouvez les temps forts de la petite finale masculine, ainsi que la finale féminine de la Ligue des Champions à Belgrade.
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00:00 Allez Teddy, allez !
00:01 Perte à gauche.
00:02 - Ce sont deux morphologies très distinctes, très opposées.
00:06 Avec ce gouret-chisé là qui est petit, trapu, musculeux et qui est puissant.
00:11 - Attention !
00:12 - Deux pénalités pour Riner.
00:14 - C'est typiquement les combats où il faut se faire mal.
00:17 Voilà, il y est, il y est, il y est !
00:18 Voilà, allez envoie maintenant, envoie, envoie !
00:20 - Allez, quand il a cette main droite là, bien placée, c'est là qu'il peut envoyer
00:23 ses mouvements de coups.
00:24 - Il est bien placé, il est bien placé.
00:25 - Il est bien placé, il est bien placé.
00:26 - Il est bien placé, il est bien placé.
00:27 - Quand il a cette main droite là, bien placée, c'est là qu'il peut envoyer ses mouvements fétiches.
00:30 - Allez, sur l'avant, sur l'avant encore, sur l'avant encore.
00:33 Allez, de la vitesse de pied, de l'ouverture.
00:35 Pas trop appuyer, le laisser respirer pour le laisser réagir vers le haut.
00:38 Et envoyez fort, envoyez fort en jambe, encore une fois.
00:41 Allez, ça aura fait une belle journée malgré tout, pourquoi pas voir ?
00:44 Voilà la réponse.
00:45 - Et c'est ce qu'on appelle ce pourri oisard de Teddy Riner.
00:48 - Il l'appelle comme ça.
00:49 - Ce sont ses mots.
00:50 - Voilà, voilà, c'est lui qui l'a intitulé comme ça.
00:52 - Et c'est le mouvement qui lui fait gagner la finale des championnats du monde.
00:56 - C'est un mouvement qui déclenche quand il a du mal à exprimer avec des garçons,
00:59 comme c'est le cas comme Goréchidze, qui sont un peu fesses en arrière, un peu tendus.
01:03 Bras gauche à l'intérieur, il nous a inventé ce truc-là parce que c'est une carte à gauche, loin derrière.
01:07 Et c'est vrai que ça a résolu beaucoup, beaucoup de problèmes, notamment ici,
01:11 puisque Goréchidze dans la descente est venu récupérer la jambe.
01:15 Donc pénalité pour Goréchidze, plus le oisarier.
01:17 Autant dire que tout est revenu dans l'ordre.
01:19 Le patron.
01:21 - Et là maintenant, c'est lui qui a tout le loisir d'installer ses mains.
01:25 - Et tout est là, regarde.
01:27 - Voilà, il se jette, Goréchidze est complètement dominé au Kumikata.
01:31 - Et Teddy franchement, il nous rassure. Enfin, il se rassure lui aussi, surtout.
01:36 Mais c'est surtout qu'on voit tout ce qu'on attendait de lui, de l'explosivité sur les jambes, de la lucidité.
01:40 Là, il fait le mouvement au bon moment pour récupérer la situation.
01:44 On a une minute de la fin, tout est sous contrôle dans un combat où forcément ça va être un peu dur, un peu amer.
01:48 Parce qu'on le sait, il voulait gagner l'or.
01:50 Et puis là, Goréchidze qui s'effondre.
01:52 Et Teddy Rayner qui devrait remporter ce combat.
01:55 Une dernière pénalité sûrement pour le géorgien.
01:57 Pas encore, pas encore.
01:59 - Allez, à Jime, 45 secondes avant une dernière victoire pour conclure.
02:03 Cette année qu'il a vu remporter son 11e titre de champion du monde.
02:07 - Grosse attaque encore. Grosse attaque, une dernière.
02:09 Il reste 30 secondes. Voilà, c'est l'objectif.
02:11 On est en mode aussi entraînement pour Teddy Rayner.
02:13 Voilà, l'objectif, une dernière attaque ou une dernière pénalité.
02:16 Et à mon avis, Goréchidze, là, il va la prendre parce que...
02:21 L'objectif de Teddy, c'est de gagner clairement.
02:24 Soit les trois pénalités, soit le hip-hop.
02:26 Et il reste 28 secondes.
02:28 Allez, encore, encore, encore.
02:29 Allez dessus, même s'il mène.
02:30 Voilà, c'est des informations.
02:32 - Des informations, des sensations surtout aussi importantes.
02:37 Parce qu'on l'a dit, il n'avait plus combattu depuis le mois de mai le championnat de France à Laval.
02:41 - Avant lui, avant lui. Allez, encore une dernière.
02:43 Bien installer les mains, peut-être récupérer la manche, faire l'effort.
02:45 Il contrôle tout, il contrôle tout. Attention.
02:48 - Dernière attaque et c'est stable.
02:49 - Et le contre, c'est arrivé.
02:51 - Teddy Riner qui enchaîne derrière. Le contre.
02:52 Et il n'y aura pas besoin d'attendre le décompte final.
02:55 Victoire sur ripond de Teddy Riner qui lance le PSG dans cette finale pour le bronze.
03:00 Et qui conclut parfaitement cette année 2023.
03:03 - Parce qu'il le sait, là, on est dans le monnay time.
03:06 On n'a plus de jockey, on n'a plus rien.
03:07 De partout, de partout, Jean-Charles toujours entre cette équipe géorgienne et cette équipe du Paris Saint-Germain
03:12 qui n'est pas encore sur le podium.
03:14 Et Bekaori, ça dure, ça dure.
03:16 Une minute de temps additionnel, cinq minutes de temps effectif.
03:19 - Ce serait une immense désillusion de voir cette équipe parisienne avec toute ses stars.
03:23 - Il faut du réalisme, il faut du réalisme.
03:24 - Du réalisme sur ce podium.
03:25 - Oh là là là là là là là là.
03:26 - Cette fois, il n'y aura pas de doute.
03:28 - Paris. Paris est magique.
03:30 - De l'achat Bekaori qui offre la médaille de bronze au Paris Saint-Germain.
03:35 Paris prend rendez-vous.
03:37 Et on espère que l'an prochain, cette constellation de stars parisiennes pourra aller chercher ce rêve.
03:44 La victoire en Ligue des champions, cette victoire que vont tenter d'aller chercher dans quelques instants les filles du Paris Saint-Germain.
03:50 - C'est une finale de Ligue des champions ce soir.
03:53 Les garçons de Tédérénay ont pris la médaille de bronze.
03:55 Les filles du Paris Saint-Germain, elles peuvent aller chercher la Ligue des champions face à Ponton-Cobo.
04:00 - Attention, attention.
04:01 - Et peut-être dès maintenant.
04:02 - Attention, attention, ça peut aller très vite.
04:03 La jambe extérieure, il y a une ouverture sur Roussotoc.
04:05 - Oh, il est tout de suite là.
04:06 - Oh là là.
04:07 - Oui.
04:08 - Elle connaît cet empérament explosif, ce judo incisif de la part de Marie-Eve Gaillet
04:13 qui a brillé cette année au championnat d'Europe pour remporter sa deuxième bronze.
04:17 - Il y a une ouverture, il y a une ouverture sur Roussotoc-Garay.
04:19 Excusez-moi, mais regardez, elle est jambe droite très avancée.
04:22 Il y a une grosse ouverture sur Roussotoc-Garay.
04:23 Attention, attention.
04:24 Elle y est, Koichi Garay.
04:25 Roussotoc, c'est terminé.
04:26 - Oh là là.
04:27 - C'est terminé.
04:28 - C'est terrible.
04:29 - C'est terminé.
04:30 - C'est le pont de Marie-Eve Gaillet en 26 secondes seulement.
04:32 Le PSG féminin est champion d'Europe.
04:35 - Oh là là, quelle technique encore avec cette main droite puissante.
04:41 - Et là, derrière le makikomi, on vient enrouler avec le haut du corps, la jambe.
04:45 Coordination du haut et du bas du corps, mais surtout coordination d'une équipe.
04:48 Jean-Charles, regardez, en mandiko, qui n'aura pas beaucoup souffert sur cette journée.
04:53 Elle a eu un combat au compteur aujourd'hui, mais qui était important face à ses riches lacerbes.
04:57 Et puis derrière, la joie du Paris Saint-Germain chez les féminines.
05:00 Les garçons ramènent le bronze, les filles ramènent l'or, l'argent
05:04 pour cette très, très belle équipe de Pont-au-Combo
05:06 qui s'est vraiment battue en demi-finale face à une autre très belle équipe de Champigny
05:10 qui finit troisième. Voilà des clubs qui sont vraiment incroyables.
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