بسبب التقصير... إقالات بالجملة... و تحوير وزاري جذري في حكومة أحمد الحشاني.. قائمة الوزراء الذين قرر الرئيس قيس سعيد إقالتهم

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بسبب التقصير... إقالات بالجملة... و تحوير وزاري جذري في حكومة أحمد الحشاني.. قائمة الوزراء الذين قرر الرئيس قيس سعيد إقالتهم

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00:00 Il est obligé, Abdelaziz Al Qouti, aujourd'hui, de rencontrer le président de la République,
00:03 pour qu'il se déplace et critique un certain domaine,
00:05 et annoncer qu'il y a des lobbyistes qui se déplaçent pour le robberie du secteur des lois de l'échange,
00:09 par exemple, au stade Abib Saadoun.
00:11 Aujourd'hui, il faut trouver des mesures.
00:13 C'est pourquoi nous, comme des journalistes et comme une équipe de prêts,
00:17 nous allons nous rappeler de la direction qui a donné la réponse à cette question,
00:22 qui est la question que propose le président de la République.
00:23 Le président de la République a toujours été en charge de faire des visites comme celle-ci,
00:29 et il a été en charge de déclencher et de montrer à la population tunise
00:33 et de déclencher sur tous les sites les lobbyistes et le robberie qui se déplace.
00:39 C'est ce qui est le rôle du président de la République,
00:43 ce n'est pas le rôle d'un gouvernement monarque, ni...
00:47 Ce n'est pas le rôle d'un président de la République, ce n'est pas le rôle d'un président de la République,
00:50 ce sont les qualités de chacun.
00:51 Laisse-moi finir par le dire,
00:52 pour que nous puissions comprendre l'idée.
00:56 Non, c'est le contraire, c'est le rôle dont nous devons faire face.
00:59 Le rôle de la politique publique, qui est le plus important,
01:04 qui demande des groupes pour l'exécution,
01:10 qui est certain que le président de la République sait et a vu le faillite de nombreux ministres,
01:21 et qui parle de l'administration qui est aujourd'hui compliquée,
01:25 que ce soit par les lobbyistes, les cartels, les cartels,
01:30 et c'est vrai, c'est vrai,
01:32 que aujourd'hui...
01:34 - A la base, toutes les administrations du Tunisie ont des lobbyistes.
01:39 - Oui, il y a des perversions et des perversions dans tout.
01:42 Et nous le savons, nous les avons examinés, nous les avons évoqués...
01:45 - Mais au nom de chaque ministre, il y a un ministre...
01:48 - C'est sûr que le président de la République...
01:49 - Mais mon cher, c'est le rôle de la politique publique.
01:52 Je veux te demander, la politique publique dans le secteur des sucres,
01:55 la politique publique dans le secteur des pains,
01:58 et les visites de la président de la République,
02:00 qui ont été découvertes par certains éléments des décisions de la République,
02:03 mais la politique publique dans le secteur des fruits,
02:05 dans le secteur des pains, dans le secteur des pains,
02:07 où est-elle, la politique publique ?
02:08 - Je vais te le dire.
02:09 Je vais te le dire, je vais te le dire.
02:10 Je vais te le dire.
02:11 Tout cela demande d'abord de la précaution et de l'apprentissage.
02:17 Il y a un côté politique qui a été un peu contrôlé,
02:22 et c'est grâce aux changements sur le plan politique qui ont eu lieu,
02:26 et qui sont en fait liés à l'économie.
02:28 Ensuite, il y a l'autre sujet,
02:30 qui est la révision des demandes,
02:34 la réconciliation avec les hommes de travail,
02:38 et la réconciliation des finances.
02:40 Je ne vais pas vous parler des principes en général,
02:43 mais je vais vous parler de la manière dont on parle.
02:45 L'autre sujet est la réconciliation avec les propriétaires économiques,
02:51 avec certains chèques pour les acheter,
02:53 et ainsi de suite, et le dialogue.
02:56 - On va en parler plus tard.
02:57 - Je vais continuer.
02:59 - Attends, Abdelaziz, c'est important de le dire à la fin.
03:02 Je veux que tu parles de ce que tu dis,
03:04 de la réconciliation avec les propriétaires,
03:06 avec les chèques,
03:07 et que nous parlions de ce que nous disions,
03:08 de la Banque mondiale,
03:10 et d'autres choses.
03:11 On a trouvé l'exemple aujourd'hui.
03:12 Le président a dit qu'il ne pouvait pas le faire.
03:14 Et le dialogue sur la réconciliation avec les propriétaires,
03:18 et la réconciliation avec les finances,
03:20 et la création de l'argent à l'intérieur de la Tunisie,
03:23 et la création de l'argent pour les enfants de la Tunisie,
03:26 tout cela...
03:27 - C'est un très beau discours.
03:29 - Oui, oui.
03:30 - Je vais continuer.
03:31 - Tout cela,
03:33 pour que l'analyse,
03:38 la description et la détermination de tout cela,
03:41 puisse être faite.
03:42 Je suis d'accord avec toi,
03:45 il est temps de l'amener à la foule,
03:49 qui peut appliquer cela.
03:53 Je te dis que le visite du président de la République,
03:56 et qu'il indique à l'inverse
03:58 les violations qui existent à l'heure actuelle,
04:00 sans l'appartenance de ses ministères,
04:02 et leur critique de façon indirecte,
04:04 est un indice qu'il n'est pas satisfait
04:07 de la performance de ces ministères.
04:09 - Il y a des violations à l'heure actuelle,
04:11 Abdelaziz Khodjadi ?
04:12 - Je suis sûr que...
04:13 - Il y a des violations ?
04:14 - Laissez-moi continuer.
04:15 - Laissez-moi vous demander.
04:16 - Bien sûr.
04:17 - Abdelaziz, nous allons réagir.
04:18 - Nous allons réagir.
04:19 - Mais c'est lui qui a demandé,
04:20 Abdelaziz Khodjadi.
04:21 - Mais si vous avez demandé,
04:22 laissez-moi répondre.
04:23 Il y a des violations à l'heure actuelle,
04:24 peut-être dans la gouvernement ?
04:25 - Bien sûr qu'il y a des changements fondamentaux
04:26 qui vont être faits par le président de la République,
04:28 au niveau des ministères,
04:29 et des changements au niveau des gouvernements.
04:31 Je suis sûr de cela.
04:33 Il n'est pas possible que le président de la République
04:38 ne se rende pas compte de ces efforts,
04:40 et qu'il n'y ait pas de travail
04:43 pour faire face à ces violations,
04:45 sans avoir un équipe capable de réparer ce problème.
04:50 C'est clair,
04:51 grâce à ce que vous dites,
04:53 que le ministre et les responsables
04:55 ne sont pas satisfaits de l'effort.
04:57 C'est clair.

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