• l’année dernière
Le consultant en relations internationales Richard Abitbol a détaillé sur CNEWS l’ampleur du traumatisme vécu par les otages israéliens retenus par le Hamas depuis plus d’un mois. Il a indiqué que cette épreuve allait les poursuivre même après leur libération, attendue ce vendredi après-midi.

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Transcription
00:00 - Les enfants israéliens sont quand même aussi éduqués à tout ça, parce que malheureusement ils vivent ça tous les jours,
00:06 et on leur enseigne dès l'école primaire comment se comporter en période de guerre et tout.
00:11 Donc ils peuvent avoir des éléments d'information qui peuvent être utiles au service de renseignement.
00:18 Mais ce que je voulais dire quand même, c'est qu'on a l'impression d'être soulagé que ces enfants, ces personnes,
00:24 soient aujourd'hui libérés et vivants. Mais il ne faut pas oublier que ces personnes seront traumatisées à vie.
00:34 Ce sont des traumatismes tellement forts que les années ne pourront jamais effacer ce...
00:40 que ce soit pour les jeunes enfants ou les femmes, si en plus elles ont été abusées, c'est des choses qui sont marquées à vie.
00:47 Et donc ce sont des survivants et non pas des otages libérés en fait que nous allons recevoir aujourd'hui.
00:54 Le vrai problème aujourd'hui c'est de peut-être aussi, avec les premiers des otages qui sont libérés, de faire une traçabilité.
01:02 Et peut-être pour les Israéliens de trouver des pistes pour où sont cachés les otages.
01:09 Le fait même par exemple qu'ils n'ont pas pu se mettre d'accord tout de suite sur l'addice des otages,
01:14 c'est que le Hamas ne connaissait pas où étaient tous les otages.
01:17 Puisque tous les otages ne sont pas entre les mains du Hamas, mais aussi du djihad islamique, des gens de l'Istanbul, etc.
01:24 [Musique]
01:26 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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