Dans l’émission Sept à huit, ce dimanche sur TF 1, le ministre de l’Éducation nationale a révélé avoir vécu « un déferlement d’insultes et d’injures » lorsqu’il fréquentait l’École alsacienne à Paris. Un harcèlement qui s’est poursuivi lors de son entrée en politique. Sans le nommer, Gabriel Attal vise l’avocat franco-espagnol Juan Branco.
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00:00 Gabriel Attal, le ministre de l'éducation nationale, révèle avoir été harcelé au collège.
00:04 Il l'a dit ce dimanche dans l'émission 7 à 8 sur TF1.
00:07 Ce harcèlement a commencé quand il fréquentait l'école alsacienne à Paris,
00:10 et s'est même poursuivi quand il est entré en politique.
00:13 J'étais à la fin du collège, j'avais 14-15 ans.
00:16 Il y avait un élève de l'établissement qui avait ouvert ce site internet,
00:19 où il fallait mettre des commentaires sur le physique des élèves.
00:22 À cette occasion, j'ai vécu un déferlement d'insultes et d'injures.
00:25 À l'époque, le ministre reçoit aussi des commentaires homophobes.
00:28 Les commentaires postés, c'était "pédale, tafiole, tarlouze".
00:31 Le ministre vise sans le nommer l'avocat Juan Branco.
00:35 Celui-ci a réagi sur X dans la foulée de l'entretien.
00:38 Juan Branco affirme que Gabriel Attal a monté une opération de victimisation sur TF1,
00:43 et qu'il n'a jamais été harcelé.