Le premier vice-président de la Région Réunion s'exprime sur la situation du chantier de la NRL.
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00:03 Sur le contentieux, on laissera les choses venir.
00:08 Nous, il y a un rapport dans un instant qui passe sur un rapport de la Chambre régionale des comptes,
00:13 qui a donné des préconisations, mais qui a fait surtout une analyse.
00:16 Nous, on doit retenir quoi ? C'est qu'on a un héritage.
00:20 Quand on a été élu, on ne savait pas de combien il était.
00:23 Aujourd'hui, on le sait.
00:25 Et en plus de cela, il y a ceux qui ont fait les travaux et qui réclament aujourd'hui,
00:29 donc qui font des réclamations outrancières, je dis.
00:32 Les réclamations outrancières, c'est que si on réalise pour 600 millions de travaux,
00:35 on réclame 680 millions, quelque part, on peut être particulièrement inquiet.
00:39 Donc nous, on ne veut pas aujourd'hui annoncer de chiffre.
00:42 Nous, certes, on prévoit de provisionner, on travaille à, mais on veut être responsable.
00:47 Et là-dedans, ce qu'on veut dire tout simplement, c'est que nous, demain,
00:51 on veut arriver, je dirais, à la meilleure médiation possible,
00:54 au meilleur résultat pour pouvoir, je dirais, payer, peut-être,
00:57 régler ce qui ne devra pas être réglé.
01:00 Et nous attendons, bien évidemment, que les choses avancent dans la matière.
01:03 — Est-ce que c'est le projet que vous disez à la réalisation du deuxième viaduc ?
01:07 — Nous aimerions que ce ne soit pas le cas.
01:09 C'est pour ça qu'on se montre sérieux sur ce travail, que certains peuvent dire en temps masqué,
01:14 et dans le même temps avancer le plus rapidement possible
01:17 pour que, justement, d'ici 2025-2026, nous puissions lancer, justement,
01:21 c'est les 3 à 4 ans, le deuxième viaduc qui nous mène jusqu'à la procession.
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