#Sexisme #JournalismeSportif #PriseDeConscience #Évolution
Des propos irritants entre journalistes
Le 22 octobre, lors de son passage dans l'émission C Médiatique sur France 5, l'animatrice de TF1, Isabelle Ithurburu, a été interrogée sur l'évolution du sexisme dans le journalisme sportif depuis le célèbre documentaire de Marie Portolano. En réponse, Isabelle Ithurburu a estimé que la situation s'était améliorée et que les rédactions sportives étaient désormais habituées à la présence des femmes. Cependant, cette déclaration a suscité l'irritation du journaliste Bernard de la Villardière qui a tenu à défendre les générations précédentes, arguant qu'il n'avait jamais été témoin de tels comportements.
Vers une nouvelle génération plus ouverte
Malgré l'interruption de Bernard de la Villardière, Isabelle Ithurburu a continué son propos en soulignant les progrès réalisés et en mettant l'accent sur l'éducation et la nouvelle génération d'hommes plus ouverte aux problématiques de sexisme. Elle a notamment affirmé que les réflexes sexistes étaient moins présents chez les jeunes générations. Soucieuse de ne pas froisser Bernard de la Villardière, elle a précisé qu'elle ne visait pas les hommes plus âgés que lui, mais plutôt les hommes travaillant dans le milieu du sport en général.
Une prise de conscience nécessaire
Isabelle Ithurburu a également souligné que la misogynie ne concernait heureusement pas la majorité des journalistes masculins, mais qu'il subsistait tout de même des améliorations à faire. Elle a évoqué une prise de conscience positive chez les jeunes générations, qui sont davantage habituées à travailler aux côtés des femmes. Ces propos ont été salués par le présentateur de M6, qui a reconnu qu'il y avait effectivement par le passé une certaine vulgarité, même si cela faisait partie de la culture de l'époque.
Vers un journalisme sportif plus égalitaire
La discussion animée entre Isabelle Ithurburu et Bernard de la Villardière met en lumière la question du sexisme dans le journalisme sportif. Alors que l'animatrice de TF1 estime que des progrès ont été réalisés, le journaliste de M6 souligne qu'il n'a jamais été témoin de tels comportements. Ces échanges mettent en évidence la nécessité d'une prise de conscience collective et d'un travail continu pour garantir l'égalité et mettre fin aux discriminations sexistes dans le milieu journalistique. #Sexisme #JournalismeSportif #PriseDeConscience #Évolution
Des propos irritants entre journalistes
Le 22 octobre, lors de son passage dans l'émission C Médiatique sur France 5, l'animatrice de TF1, Isabelle Ithurburu, a été interrogée sur l'évolution du sexisme dans le journalisme sportif depuis le célèbre documentaire de Marie Portolano. En réponse, Isabelle Ithurburu a estimé que la situation s'était améliorée et que les rédactions sportives étaient désormais habituées à la présence des femmes. Cependant, cette déclaration a suscité l'irritation du journaliste Bernard de la Villardière qui a tenu à défendre les générations précédentes, arguant qu'il n'avait jamais été témoin de tels comportements.
Vers une nouvelle génération plus ouverte
Malgré l'interruption de Bernard de la Villardière, Isabelle Ithurburu a continué son propos en soulignant les progrès réalisés et en mettant l'accent sur l'éducation et la nouvelle génération d'hommes plus ouverte aux problématiques de sexisme. Elle a notamment affirmé que les réflexes sexistes étaient moins présents chez les jeunes générations. Soucieuse de ne pas froisser Bernard de la Villardière, elle a précisé qu'elle ne visait pas les hommes plus âgés que lui, mais plutôt les hommes travaillant dans le milieu du sport en général.
Une prise de conscience nécessaire
Isabelle Ithurburu a également souligné que la misogynie ne concernait heureusement pas la majorité des journalistes masculins, mais qu'il subsistait tout de même des améliorations à faire. Elle a évoqué une prise de conscience positive chez les jeunes générations, qui sont davantage habituées à travailler aux côtés des femmes. Ces propos ont été salués par le présentateur de M6, qui a reconnu qu'il y avait effectivement par le passé une certaine vulgarité, même si cela faisait partie de la culture de l'époque.
Vers un journalisme sportif plus égalitaire
La discussion animée entre Isabelle Ithurburu et Bernard de la Villardière met en lumière la question du sexisme dans le journalisme sportif. Alors que l'animatrice de TF1 estime que des progrès ont été réalisés, le journaliste de M6 souligne qu'il n'a jamais été témoin de tels comportements. Ces échanges mettent en évidence la nécessité d'une prise de conscience collective et d'un travail continu pour garantir l'égalité et mettre fin aux discriminations sexistes dans le milieu journalistique. #Sexisme #JournalismeSportif #PriseDeConscience #Évolution
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00:00 Le 22 octobre lors de son passage dans l'émission C-Médiatique sur France 5, l'animatrice
00:05 de TF1 Isabelle Ibujo a été interrogée sur l'évolution
00:09 du sexisme dans le journalisme sportif depuis le célèbre documentaire de Marie Portolano.
00:14 En réponse, Isabelle Ibujo a estimé que « la situation s'était améliorée et
00:19 que les rédactions sportives étaient désormais habituées à la présence des femmes ». Cependant,
00:25 cette déclaration a suscité l'irritation du journaliste Bernard de la Villardière
00:29 qui a tenu à défendre les générations précédentes arguant qu'il n'avait jamais
00:33 été témoin de tel comportement, malgré l'interruption de Bernard de la Villardière.
00:37 Isabelle Ibujo a continué son propos en soulignant les progrès réalisés et en
00:42 étant l'accent sur l'éducation et la nouvelle génération d'hommes plus ouvertes
00:46 aux problématiques de sexisme.
00:48 Elle a notamment affirmé que les réflexes sexistes étaient moins présents chez les
00:51 jeunes génération, soucieuse de ne pas froisser Bernard de la Villardière.
00:56 Elle a précisé qu'elle ne visait pas les hommes plus âgés que lui, mais plutôt les
01:00 hommes travaillant dans le milieu du sport en général.
01:02 Isabelle Ibujo a également souligné que « la misogynie ne concernait heureusement
01:07 pas la majorité des journalistes masculins » mais qu'il subsistait tout de même des
01:11 améliorations à faire.
01:12 Elle a évoqué une prise de conscience positive chez les jeunes générations, qui sont davantage
01:17 habituées à travailler aux côtés des femmes.
01:18 Ces propos ont été salués par le présentateur de Zéro, qui a reconnu qu'il y avait effectivement
01:24 par le passé une certaine vulgarité.
01:26 Même si cela faisait partie de la culture de l'époque, la discussion animée entre
01:30 Isabelle Ibujo et Bernard de la Villardière met en lumière la question du sexisme dans
01:35 le journalisme sportif, alors que l'animatrice de Zéro sans estime que des progrès ont été
01:39 réalisés.
01:40 Le journaliste de Zéro souligne qu'il n'a jamais été témoin de tel comportement.
01:44 Ses échanges mettent en évidence la nécessité d'une prise de conscience collective et
01:49 d'un travail.
01:50 Continue pour garantir l'égalité et mettre fin aux discriminations sexistes dans le milieu
01:54 journalistique.
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