Un dimanche à la campagne (France 2) : Patrick Bruel fond en larmes en évoquant le temps qui passe (VIDEO)

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00:00 intranquille. Non, non, j'aimerais bien avoir un peu plus de sérénité, d'être un peu plus sûr,

00:11 dire bon allez c'est bon ça va, c'est bon, tu vois les images là, ça va, arrête, détends-toi quoi.

00:16 Non parce que la barre est haute et qu'il faut que être à la hauteur des attentes. Moi si j'ai

00:23 envie que les gens continuent, il faut que je les étonne. Comme je dis toujours, l'amour dure le

00:28 temps de l'étonnement. Vous savez il y a peut-être un ouvrage qui pourrait résumer ces deux jours

00:35 qu'on vient de passer avec ce qu'Athènes nous a dit, ce qu'Alex nous a dit, ce que je vous dis. Il y a un ouvrage

00:41 d'un philosophe suédois qui s'appelle Stig Dagerson qui s'appelle "Notre besoin de consolation est

00:46 impossible à rassasier". Patrick vous nous avez raconté plein d'expériences, la vie est une

00:52 somme d'expériences. Qu'est ce que la vie vous a appris ? Que tout est possible mais c'est surtout

01:00 que ça va vite, que ça va très très vite et qu'il faut prendre un peu plus son temps et profiter.

01:08 -Oui. -Merci.

01:09 -Au revoir. -Au revoir.