Il figure sur les armoiries de Vitrolles. Dans le centre historique, le rocher porte en son sommet depuis mille ans deux monuments chers aux Vitrollais. À 30 mètres de hauteur, la Tour Sarrasine et de la Chapelle Notre-Dame-de-Vie ont été bâties toutes deux entre le Xe et XIe siècle. Aujourd’hui, elles nécessitent d’urgentes restaurations. La commune qui a candidaté auprès de la Mission Patrimoine portée par Stéphane Bern a eu la joie de découvrir en septembre que son « roucas » figurait parmi les 100 sites départementaux retenus qui bénéficieront du soutien financier de la sixième édition de l’offre de jeux.
Des travaux ont régulièrement été menés ces dernières décennies comme ceux qui ont permis à la Vierge au dessus de la chapelle d’être redorée après sa dégradation lors d’un orage. La dernière réhabilitation d’importance date des années 1960 mais concerne uniquement la tour dont les murs ont été consolidés bien qu’elle n’ait pas été mise à l’abris de la pluie.
Aujourd’hui, cela constitue le principal objectif selon Michel Piquet, conseiller municipal délégué au patrimoine culturel : « L’eau qui entre à l’intérieur est source de dégradations des pierres ». Ce dernier précise par ailleurs que l’objectif est de la laisser dans l’état actuel : « Il n’est pas question de reconstituer des créneaux au sommet ».
Du côté de la chapelle, cette dernière a besoin d’une réfection de sa toiture, de ses huisseries, de ses vitraux et de sa sacristie en très mauvais état. En plus d’une restauration, une mise en valeur permettrait également de refaire les peintures du plafond.
En tout, les retombées de la Mission Patrimoine pourrait financer 20% de coût total des travaux. En parallèle la commune a lancé une souscription via la Fondation du Patrimoine pour associer la population et les entreprises du territoire à ce financement. Selon la mairie, au total, 800 000 à 1 000 000 d’euros sont nécessaires.
Pour soutenir le projet :
https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/tour-sarrasine-chapelle-nd-de-vie-vitrolles
Des travaux ont régulièrement été menés ces dernières décennies comme ceux qui ont permis à la Vierge au dessus de la chapelle d’être redorée après sa dégradation lors d’un orage. La dernière réhabilitation d’importance date des années 1960 mais concerne uniquement la tour dont les murs ont été consolidés bien qu’elle n’ait pas été mise à l’abris de la pluie.
Aujourd’hui, cela constitue le principal objectif selon Michel Piquet, conseiller municipal délégué au patrimoine culturel : « L’eau qui entre à l’intérieur est source de dégradations des pierres ». Ce dernier précise par ailleurs que l’objectif est de la laisser dans l’état actuel : « Il n’est pas question de reconstituer des créneaux au sommet ».
Du côté de la chapelle, cette dernière a besoin d’une réfection de sa toiture, de ses huisseries, de ses vitraux et de sa sacristie en très mauvais état. En plus d’une restauration, une mise en valeur permettrait également de refaire les peintures du plafond.
En tout, les retombées de la Mission Patrimoine pourrait financer 20% de coût total des travaux. En parallèle la commune a lancé une souscription via la Fondation du Patrimoine pour associer la population et les entreprises du territoire à ce financement. Selon la mairie, au total, 800 000 à 1 000 000 d’euros sont nécessaires.
Pour soutenir le projet :
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