Vendredi 13 : quelles sont les origines de la superstition ?

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00:00 Ce vendredi 13, est-ce qu'il porte chance d'abord ou est-ce qu'il porte malchance ?
00:03 Il y a deux versions. Est-ce qu'on le sait ?
00:05 – Après je dirais, c'est ce qu'on va y mettre dans notre propre croyance,
00:09 parce qu'on a la capacité aussi d'induire quelque chose.
00:12 On a une force de l'esprit et quand on y croit profondément,
00:15 on peut créer en fait ce qui peut se passer.
00:18 Après bien sûr, le vendredi 13, il y a toute une histoire autour de ce jour.
00:22 Il y a une histoire qui date aussi de l'Antiquité,
00:25 il y a une histoire qui date des Romains,
00:27 où pour eux le 13 était un chiffre qui amenait le déséquilibre.
00:33 Et en même temps dans la religion chrétienne, on parle du vendredi 13,
00:36 parce que c'est le jour où le Christ est mort sur la croix,
00:38 et que les apôtres étaient très à table.
00:41 Donc il y a eu Judas qui a quelque part trahi.
00:44 Donc c'est un jour qui a toute une connotation.
00:47 Il y a eu d'ailleurs dans l'an 1000 à peu près,
00:53 un massacre en fait qui a été très très important.
00:57 Il y a eu un événement très important qui a fait que ce jour a été marqué par le sang,
01:04 par le massacre, par la peur.
01:07 – Vous savez quoi Annabelle, Jamy l'a expliqué,
01:09 revenu effectivement sur les origines de ce vendredi 13, regardez cet extrait.
01:14 – Aujourd'hui nous sommes vendredi 13.
01:17 Pour certains, c'est un jour maudit.
01:20 Cette superstition remonterait à la Bible.
01:23 Il y est dit que Jésus a été crucifié un vendredi,
01:28 peu après un repas qui réunissait 13 personnes, lui-même et ses 12 apôtres.
01:34 Le vendredi 13 serait donc annonciateur de grands malveurs.
01:38 Alors pour d'autres, ce jour est perçu au contraire comme un jour de chance.
01:43 La mort de Jésus n'est plus interprétée comme un malheur,
01:46 mais comme un sacrifice divin dans le but de sauver l'humanité.
01:50 [Applaudissements]
01:52 – Ça tu l'as contrôlé, c'est un peu voir le verre à moitié plein ou à moitié vide.
01:56 Chacun son interprétation, c'est ça ?
01:58 – C'est vrai, soit on voit le verre à moitié plein, soit à moitié vide.
02:01 – Oui c'est une façon d'appréhender.
02:03 Après il y a comme une mémoire collective.
02:05 Donc si chaque personne se met à penser la même chose au même moment,
02:08 on induit quelque chose avec une force de la pensée.
02:10 Donc on peut en effet créer des événements.
02:12 – Il paraît que ça a un nom, la peur du vendredi 13 a un nom,
02:15 je ne vais pas le prononcer, ce serait un peu long.
02:16 – Je l'ai, je l'ai, "parce que vide quadriophobie".
02:20 – Pas mal, pas mal, regardez !
02:22 [Applaudissements]
02:23 "Parce que vide quadriophobie", je n'avais jamais entendu ce nom.
02:27 Donc c'est un vrai terme, il y a une peur irraisonnée et non fondée du vendredi 13.
02:30 Est-ce que vous, à travers peut-être ce que vous recevez, avec qui vous échangez,
02:35 il y a effectivement des personnes qui ont très peur aujourd'hui,
02:38 qui ne se lèvent pas, ils restent chez eux ?
02:40 – Ah ben oui, oui, tout à fait.
02:41 Et puis après ça peut devenir une phobie en fait.
02:42 C'est-à-dire qu'on ne fait plus rien sans poser un acte
02:45 qui va nous permettre de nous rassurer, etc.
02:47 Donc ça peut être en effet quelque chose qui peut être très compliqué
02:51 pour certaines personnes en tout cas, à vivre.
02:53 – Vous savez, Pascal, il y a eu énormément de catastrophes dès vendredi 13.
02:56 Alors au XXe siècle, c'était beaucoup des catastrophes météorologiques, des tueries,
03:01 mais même au XXIe siècle, on en a eu, par exemple en 2006,
03:03 à Buffalo, dans l'état de New York, tempête de neige énorme,
03:07 400 000 personnes privées d'électricité et des événements plus dramatiques.
03:10 En 2012, vous savez, le fameux Costa Concordia, le paquebot,
03:14 eh bien c'était le vendredi 13 janvier 2012, 4200 personnes à bord, 32 morts.
03:19 Et puis malheureusement, on a tous en tête le Bataclan,
03:21 c'était un vendredi 13 aussi, 2015, avec le bilan qu'on connaît, 130 morts.
03:26 Donc il y a eu des drames les 13 novembre.
03:29 Et d'ailleurs, il y a même des assureurs de véhicules
03:33 qui remarquent qu'il y a un peu plus d'accidents les vendredi 13.
03:36 – C'est incroyable !
03:37 – Oui, il y a un assureur dont je te dirais le nom,
03:40 qui lui relève 8% d'accidents en plus par rapport à un vendredi normal.
03:45 – Incroyable, mais Annabelle, comment ça s'explique ça ?
03:48 – Parce que justement, les gens se mettent dans une peur
03:50 et du coup ils créent quelque part l'événement un vendredi en fait.
03:52 – Oui, ils grignent les feux quoi.
03:53 – Non mais il y a quand même eu des choses joyeuses les vendredi 13, non ?
03:56 – Ah oui, après ça dépend ce qu'on y met, bien sûr.
03:59 Dans la spiritualité, on va parler des 13 lunes, des 13 mers originelles,
04:04 donc c'est une énergie qui peut être le renouveau,
04:06 qui peut être quelque chose de l'amour.
04:08 Voilà, et oui, dans certains pays, ce n'est pas le 13.
04:10 – En Pékin, c'est le 4, au Japon c'est le 49.
04:12 – Et en Italie, c'est le 17.
04:14 – Voilà, et en Espagne, j'ai noté, c'était… moi je ne l'ai pas noté.
04:17 – En fait, c'est des valeurs tous les jours dans tous les pays.
04:19 – Oui, ça change.
04:20 – C'est les chiffres du loto pour ce soir.
04:22 – Bah oui, c'est ça, c'est ça, Sacha,
04:23 en fait 34% des Français sont davantage amenés à jouer un vendredi 13
04:27 et que 57% des gagnants sont davantage amenés à jouer aussi un vendredi 13.
04:32 Bon, très bien, il faut jouer au loto, c'est ça en fait aujourd'hui, Annabelle.
04:34 – Il suffit de croire, c'est tout.
04:35 – Non, vous n'avez pas les numéros, bien sûr, non, vous n'avez pas…
04:38 je ne sais pas, vous pourriez les deviner, les numéros.
04:42 – Après, c'est possible d'avoir des informations, mais…
04:44 – Oui, mais c'est des valeurs.
04:45 – Mais pour soi, par exemple, non, en fait, c'est plus pour donner aux autres.
04:48 – Pour les autres.
04:49 – Ginda ?
04:50 – Mais non, mais ce que vous disiez, c'est important,
04:51 c'est-à-dire qu'on peut très bien se lever un jeudi 12, du coup,
04:55 et casser un miroir, avoir un accident de voiture,
04:58 et on ne va pas y faire attention, et un vendredi 13,
05:00 on va y faire plus attention.
05:01 Et en venant, par exemple, je me suis dit, ah oui, c'est vrai qu'on est vendredi 13,
05:05 c'est ma première dans PAF, c'est cool, c'est-à-dire que c'est…
05:08 – Ça se passe bien.
05:09 – C'est de la chance, c'est parfait, sauf qu'en arrivant, accident de voiture,
05:13 je me suis dit, bon, bah zut.
05:14 – Mais pas vous.
05:15 – Non, non, non, Dieu merci, Dieu merci, mais je vois un accident de la route,
05:18 en venant sur le chemin, je me dis, bon, malheur pour cette personne.
05:22 Donc, je pense que, comme vous le disiez, c'est nous et Laura
05:24 qu'on va mettre sur cette journée, au final.
05:26 – Et vous avez fait des consultations, le vendredi 13 ?
05:29 – Moi, quelque part, je n'accorde pas d'importance à cette valeur du vendredi 13, en fait.
05:35 Donc oui, ça ne me dérange pas du tout de faire des consultations le vendredi 13.
05:38 – Mais vous en avez davantage ?
05:39 – Non, pas plus que ça, en fait.
05:41 Non, après, je sais qu'il y a des personnes qui ne sortent pas, qui ne bougent pas, qui sont…
05:44 – L'avion, beaucoup ont peur de prendre l'avion un vendredi 13.
05:47 – D'abord, il n'y a pas de rangée 13 dans certains avions.
05:49 Il y a des hôtels, mais il n'y a pas de 13e chambre.
05:52 Il n'y a pas de… dans les buildings à New York, il n'y a pas de 13e étage.
05:55 – Donc, le 13 que vous remettez, c'est parce qu'on a 12 assiettes.
05:58 – Oui, c'est ça. [Rires]
06:00 – C'est parce que les services sont à 12, et ça m'ont dit, effectivement, pas de 13 personnes à table.
06:04 Ça peut déranger certains convives, ça aussi.
06:06 – Mais quand on parlait tout à l'heure, vous avez parlé de l'échelle.
06:09 Pourquoi on ne passe pas sur une échelle ?
06:10 Parce qu'il y a une symbolique, en fait.
06:12 C'est que l'échelle posée sur le mur…
06:13 – Parce que s'il y a un pot au-dessus, ça vous tombe.
06:14 Il y a une probabilité que ça tombe dessus.
06:16 – Alors, c'est plus subtil que ça.
06:17 C'est-à-dire que l'échelle posée sur le mur crée un triangle,
06:20 et que le triangle est le symbole de la Trinité, donc est le symbole du divin.
06:24 Donc, en fait, on ne s'engage pas dans cette énergie du divin, n'importe comment.
06:28 Donc, on ne passe pas sur une échelle.
06:30 En fait, la symbolique, elle est là, mais c'est la base.
06:32 – Qui y a-t-il comme superstition, aussi, encore, qui existe dans l'action ?
06:36 – Le tarapuis. Le tarapuis, quand on l'ouvre de l'intérieur…
06:39 – Ah oui ? Ça vient d'où, ça aussi ?
06:40 Parapluie, ouvrez son parapluie de l'intérieur, ça porte manuel.
06:42 – Alors là, ce n'est pas vraiment une signification sur le parapluie,
06:45 c'est pour éviter, justement… – Le miroir.
06:47 – Le miroir, oui, là, il y a une symbolique, en fait, en Cécerie.
06:49 – Le miroir, c'est pour le malheur.
06:51 – Parce que le miroir… – C'est un peu long, 7 ans, c'est un peu long.
06:53 – On s'en sortait dans les oracles.
06:54 – C'est cher payé, moi, je vous le dis.
06:55 – Le miroir était utilisé dans les oracles.
06:57 Donc, quand on cassait le miroir, en fait, c'est quelque chose qui portait malheur.
07:00 – Mais 7 ans.
07:01 – Il faut savoir, voilà, et parce que le 7, c'est une symbolique aussi spirituelle,
07:05 le chiffre 7, c'est le chiffre magique, voilà, c'est tous les cycles.
07:09 Et en même temps, le miroir, on considère dans la spiritualité
07:13 que c'est une porte, en fait, où on peut faire un passage.
07:16 Et quand on dort, donc on dit souvent la nuit, on cache son miroir.
07:21 Parce que c'est comme une porte qui nous permet d'aller voyager.
07:24 Voilà, et qui peut…
07:25 – Pour être un peu, si je peux me permettre, Pascal, un peu plus basique.
07:28 On est vendredi 13, vous voyez un truc, là, pour ce soir ?
07:32 Pas une mauvaise nouvelle, mais une bonne nouvelle, non ?
07:34 – Alors après, là, comme ça, c'est un peu…
07:36 – Oh !
07:38 – Non mais pour Evelyne, pour Evelyne, sans parler de nous autres.
07:41 – Non, pour Pascal.
07:42 – C'est vous qui avez posé la question, non ?
07:47 – Non, elle ne dit rien.
07:48 – Si, si, si.
07:49 – Je suis trans, pas.
07:50 – Non !
07:51 – Elle se concentre.
07:52 – Alors, vous voulez savoir quoi, Evelyne ?
07:53 – Non, non, non, je voulais bien, je voulais un événement sympa pour tous.
07:56 – Ah oui, bah là, comme ça, non, je ne vois pas trop comme ça aujourd'hui.
07:59 – Il n'y a rien qui pourrait y avoir.
08:00 – Il pourrait y avoir aujourd'hui.
08:01 – Il n'y a rien, c'est une journée.
08:02 – Voilà, je pense que c'est, oui, c'est une journée qui va, à mon avis, un peu plus…
08:05 – C'est un vendredi 13, quoi.
08:06 – Est-ce que PAF va faire mieux ?
08:07 – Ça sera un peu plus comme une journée marquée sur d'autres événements.
08:08 – Est-ce que PAF va faire le million de téléspectateurs ce soir ?
08:11 – En tout cas, c'est une émission qui va bien marcher, ça, j'y crois profondément.
08:15 – Voilà, c'est ça, c'est une bonne nouvelle.
08:17 On dit merci à ceux qui nous regardent, on est tellement contents d'être là tous les soirs.
08:23 C'est vrai, ça, Annabelle, c'est bien, ça.
08:25 Une petite question, peut-être ?
08:27 – Oui, parce qu'elle était déjà venue sur le plateau de TPMP, entre autres,
08:30 où vous aviez fait des… vous aviez vu certaines choses qui se sont avérées vraies.
08:35 Est-ce que vous pouvez nous en parler ?
08:37 – C'est pour ça que je posais la question.
08:38 – C'était quoi ?
08:39 – Notamment sur un chroniqueur, j'ai entendu ça tout à l'heure,
08:41 un chroniqueur qui allait partir, qui allait avoir d'autres projets.
08:45 – Après, il y a beaucoup de choses qui se sont réalisées, en effet,
08:47 de ce que j'avais annoncé.
08:48 Après, moi, j'ai des flashs, donc…
08:50 – Sur Cyril aussi, je crois.
08:51 – Oui, sur Cyril, enfin, sur tous les chroniqueurs qui étaient là,
08:53 j'avais fait des projections.
08:54 – Et tout s'était réalisé ?
08:55 – Et ça s'est réalisé, en fait.
08:56 – Et là, vous n'avez pas de flashs ?
08:57 – Après, ça dépend de ce que vous avez envie…
08:59 – Ah, mais voilà, elle est en train de se débrouiller !
09:01 – C'est des flashs, je n'ai pas peur, ça ne vous vient pas ?
09:03 – Elle a posé la question.
09:04 – Parce que souvent, on dit, les médiums, moi j'en ai interviewé beaucoup,
09:07 tout d'un coup, ils ont un flash, ça leur arrive,
09:09 quelques fois, ils disent, quelques fois, ils ne disent pas.
09:11 Là, vous ne vous sentez rien.
09:12 – Alors, moi, je suis comme ça depuis que je suis toute petite,
09:14 donc j'ai des flashs.
09:15 – Oui, mais là, vous ne vous sentez rien ?
09:16 – Il faut que je me relie à vous.
09:17 – Ah, vous ne pouvez pas être reliée à tout le monde ?
09:19 – Ah ben non, c'est beaucoup d'énergie.
09:21 Moi, j'ai besoin de me canaliser comme sur une personne ou sur un événement.
09:24 Après, je fais beaucoup de référendum monitoire aussi,
09:26 c'est comme ça que j'avais annoncé le tsunami au Japon,
09:28 trois mois avant, avec tous les détails.
09:30 J'ai des informations qui arrivent, mais depuis que je suis petite, en fait.
09:32 Après, moi, ce que je peux vous dire, Évelyne, c'est que, pour moi,
09:35 là, vous êtes sur cette émission, mais il y a autre chose qui va arriver pour vous.
09:38 Je ne vous vois pas rester dans une continuité.
09:40 – Vous ne me voyez pas rester dans cette émission. Au revoir, Mathieu !
09:42 [Rires]
09:44 – Mais ce n'est pas pour du négatif, c'est quelque chose qui sera…
09:46 – C'est pas pour du négatif, c'est que du bonus.
09:48 – Je ne dis plus rien.
09:49 – Mais non, mais c'est bien, que des bonnes choses, c'est quand même bien,
09:52 Évelyne, ça fait plaisir, non ?
09:53 – Oui, oui, mais ce n'était pas le sens de ma question, c'était un…
09:56 – Oui, mais après, non, en général, ça veut dire qu'il faudrait que je me relie
09:59 à toutes les énergies des personnes.
10:00 – Non, mais je voulais savoir comment ça fonctionne dans votre mental,
10:03 dans votre simplicité.
10:04 – Après, moi, c'est juste que je me relie quelque part au champ vibratoire de la personne.
10:08 On est des fréquences, des énergies, des vibrations,
10:11 et on porte quelque chose à l'intérieur de notre système énergétique.
10:14 Et moi, en fait, j'arrive à rentrer dans ce champ d'énergie
10:18 et je reçois des informations, parce que quelque part, tout est là autour de nous,
10:22 même si ce n'est pas encore complètement incarné dans notre matière.
10:25 C'est pour ça qu'on peut avoir des informations sur des choses
10:27 qui ne sont pas encore actées dans la matière.
10:30 Et ensuite, la voyance, elle se fait aussi sur un instant T,
10:33 c'est-à-dire qu'à un instant T, je vais vibrer avec une certaine fréquence,
10:36 moi, je vais avoir des informations.
10:38 Si la personne va faire un travail sur elle, ou va faire quelque chose
10:41 qui la transforme, qui la fait évoluer, ça peut faire évoluer également la voyance.
10:46 C'est-à-dire que ce n'est pas une fatalité,
10:48 et qu'on a aussi une part de responsabilité là-dedans.
10:50 Et ça, c'est important de l'entendre, parce que souvent dans la voyance,
10:53 on remet tout sur la voyante, on dit la médium, en disant,
10:57 voilà, elle m'a dit ça, elle m'a dit ça,
10:59 donc du coup, ça va se passer exactement comme ci, comme ci, comme ça.
11:02 Oui, on a un chemin de vie sur lequel les choses vont se passer,
11:05 parce que ça fait partie de ce qu'on doit vivre.
11:07 Mais après, on a un libre arbitre, et on a une responsabilité,
11:10 et on peut transformer les choses.
11:11 C'est pour ça qu'aussi, on peut faire du prédictif, du préventif,
11:14 et on peut éviter certaines choses, certaines catastrophes, etc.,
11:17 parce qu'on l'a vu avant.
11:19 - Là, il y a Sacha qui a envie de vous poser une question.
11:22 - Non, mais quand vous avez un flash, vous parliez du tsunami au Japon,
11:25 est-ce que vous prévenez quand vous sentez un drame qui arrive ?
11:29 Vous prévenez les gens ?
11:30 - Oui, tout à fait.
11:31 D'ailleurs, là, je l'avais quand même annoncé sur deux chaînes de télévision à l'époque.
11:33 Donc, c'était trois mois avant.
11:35 Mais après, on n'est pas tellement entendu en tant que médium.
11:37 Quand on a des flashs et que...
11:39 - Oui, on vous prend pour des...
11:40 - Voilà, c'est après, on se dit, tiens, finalement, elle l'avait dit,
11:42 elle l'avait vu.
11:43 Mais sur le coup, il y a toujours cette espèce de doute.
11:45 Voilà.
11:46 - Merci beaucoup, en tout cas, Annabelle, d'être venue.
11:48 - Avec plaisir.
11:49 (Applaudissements)
11:50 [Musique]

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