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Esta noche en Qué Importa:

Universidad de Reino Unido ofrece una Maestría en Magia y Ciencias Ocultas.

Tragar camote es la moda más popular en la política mexicana.

Estos son los nombres más raros de las calles de la CDMX.

Pelea de majaderías en la Cámara de Diputados.

Santiago Giménez y Lichnovsky tuvieron un primer encuentro al desnudo.

El mejor narrador de fútbol siempre es el más honesto.

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00:00 C'est elle qui le fait.
00:02 Non, non.
00:03 Maman, tu n'as pas fait ça pour moi dans une film.
00:05 Quoi ?
00:06 Martha Higuerera demande plus de passion à Omar Chaparro.
00:12 L'infidélité ! Sébastien Rully est tout le monde qui le dégoûte.
00:15 C'est une femme qui n'est pas Angéline Bollier.
00:17 Et le très cynique le présume.
00:19 Bonsoir.
00:25 Si vous voulez toujours voir un priéiste avec sa bouche remplie de camotes,
00:30 c'est une nuit de chance.
00:32 Et nous sommes ici, en mangeant des camotes.
00:35 Bon appétit.
00:37 Bonsoir.
00:38 Vous avez déjà eu un sexe avec une personne étrangère ?
00:42 Si vous l'avez eu, vous avez représenté cette glorieuse nation.
00:49 Oui, le Mexique.
00:51 Rappelez-vous, il faut mettre en haute la nommée du Mexique, même quand on est en 4.
00:56 Quand vous avez eu un sexe avec quelqu'un d'un autre pays,
01:01 vous vous représentez votre pays complet.
01:03 Allons-y !
01:04 Vous allez faire référence aux Mexicains.
01:09 Vous avez raison.
01:10 Vous avez un spectacle.
01:11 Les Mexicains sont vraiment débiles.
01:13 Pour vous, c'est comme jouer aux Olympiades.
01:16 C'est ça.
01:17 Vous devez mettre votre meilleure tête et dire...
01:20 Parce que ce spectacle va vous faire représenter...
01:23 En plus, vous devriez nous donner un uniforme.
01:25 Chaque fois que nous le ferons à l'échelle internationale,
01:27 il devrait y avoir un spectacle.
01:29 Faites-en plus.
01:30 Très bien.
01:33 Très bien dit.
01:34 Bravo, bravo, bravo.
01:36 J'ai eu l'impression qu'il nous a dit qu'il devait nous donner des uniformes.
01:40 Pourquoi tu veux des uniformes si tu vas les prendre ?
01:45 Tu sais quoi ? Tu les prends juste de l'un côté.
01:48 Tu les prends comme ça.
01:50 Et la concha est ici ?
01:53 La concha est de dégustation.
01:56 Et c'est avec les nougats de l'avôtre.
01:58 Tu sais quoi ?
02:00 Prenez le temps de vous entraîner.
02:02 Pour devenir champion de votre pays,
02:04 ensuite de votre colonie,
02:05 des États-Unis,
02:06 et ensuite, dominer le monde.
02:08 Je ne m'en fais pas.
02:09 Le nom de Mexico est très haut.
02:12 Grâce à Andrés García.
02:14 Grâce à papa.
02:16 Pardon, pardon, pardon, Eduardo.
02:20 Si tu t'es vu dans un miroir,
02:21 tu n'es pas le fils d'Andrés García.
02:23 S'il te plaît.
02:24 C'est vrai.
02:25 Je vais te dire quelque chose.
02:26 Enfin, il y a un événement
02:28 où les Méxicains, avec suffisamment d'effort,
02:30 pourraient arriver au quinto.
02:32 En un minute.
02:34 Un minute, un minute.
02:35 Et ils ont gagné.
02:36 Cinq minutes.
02:37 Je connais certains qui laissent bien le nom de notre glorieuse nation.
02:43 Exact.
02:44 Avec raison, Eduardo Iniesta se la passe en disant
02:47 qu'il aime les Belges.
02:49 En réalité, il s'est mis à représenter le pays.
02:53 C'est vrai.
02:54 C'est ce qu'il dit.
02:56 Vous vous souvenez quand Pedrito Sola
02:58 s'est confondu de mayonnaise
02:59 sur la télé nationale
03:00 et que tout le monde a ri?
03:01 Cet erreur s'est étendu comme un virus
03:04 dans toute la nation.
03:05 Regardez comment le sujet
03:06 de "Les Garrafons d'eau"
03:07 le rient tout seul.
03:10 Le garrafonier Pedrito Sola n'existe pas.
03:12 Le bonafone Pedrito Sola.
03:14 Il faut le porter pour travailler.
03:36 Ça ne lui importe pas.
03:37 Il se la passe bien dans son travail.
03:39 Son travail est pure amusement.
03:41 En parlant de son travail,
03:45 on lui a demandé
03:46 comment ça s'est passé
03:47 dans son premier jour de travail.
03:48 Il a dit
03:49 "Tu veux dire le dernier jour de travail?"
03:51 Je l'ai fait.
03:52 Ça lui est passé aussi
03:54 avant qu'il ne travaille pas comme garrafonier.
03:56 Il a été couru pour offrir du bananier à une cliente
03:59 qui allait chercher des papayas.
04:01 Vous savez quoi?
04:03 Ils devraient le envoyer à Monterrey.
04:04 Ils veulent des eaux là-bas.
04:06 Ils n'ont pas de marque.
04:08 Ils veulent juste de l'eau.
04:09 Ils en ont une.
04:10 La que c'est.
04:11 Sûrement,
04:12 ce partenaire s'appelle aussi Pedrito.
04:15 Il vaut mieux qu'il offre de l'eau seul.
04:18 Et c'est tout.
04:19 C'est ça.
04:21 C'est ça.
04:22 Quand vous pensez
04:24 à un travail parfait,
04:25 que pensez-vous?
04:27 Un petit chien d'embrassage,
04:29 un chien de gorgée,
04:33 un testeur de suppositions.
04:35 Non, il se trouve que le travail parfait
04:39 est le petit chien d'embrassage de Sébastien Rullis.
04:43 Ce n'est pas n'importe quoi.
04:50 C'est tout.
04:52 Non, non.
04:53 Le colle et...
04:54 Tu vas y.
04:55 Le colle et...
04:56 Je suis très effrayé.
04:57 Bonsoir.
05:00 Bonsoir.
05:02 Il faut que tu continue de peindre.
05:04 C'est mieux que chaque fois.
05:06 C'est un travail difficile,
05:07 mais quelqu'un doit le faire.
05:08 C'est Patricia Reyes Spindola.
05:10 Oui, oui, oui.
05:12 Regarde-moi comment elle le baisonne.
05:14 A tous les côtés.
05:16 Encore, encore.
05:22 Comment non?
05:23 C'est une production.
05:28 Il va même fermer ses yeux.
05:30 Oui, il va même fermer ses yeux, Rulli.
05:32 Combien de fois va-t-il le donner?
05:34 On ne peut pas vous montrer plus.
05:35 C'est fini.
05:36 Tu sais, le beau de ce travail,
05:38 c'est qu'il arrive avec beaucoup de prestations.
05:42 Après...
05:43 Oui, oui, il y en a.
05:45 Je dois confier que c'est la première fois
05:47 que je rêvais d'être Patricia Reyes Spindola.
05:50 Tu sais, je l'aurais dit à Sébastien.
05:55 En plus, ce crayon n'a pas de marques sur les genoux, Sébastien.
05:59 Tu veux voir?
06:00 Ce qui est incroyable, c'est que plus tu améliores ce travail,
06:05 plus dur tu te rends.
06:06 Exact.
06:08 Quelle paradoxe.
06:09 Ils disent que le vidéo a été filmé par Sébastien Rulli
06:12 pour éviter de faire mal à ceux qui l'entendent.
06:14 Non, parce que ce que sa femme ne comprend pas,
06:17 c'est qui lui a laissé morado le testicule gauche de ce soir.
06:21 Comment est-ce que ça s'est passé, Sébastien?
06:23 Quelle horreur.
06:24 Je ne sais pas, je n'en ai aucune idée.
06:26 Tu sais, au respect, Gabriela Graf...
06:28 Je ne sais pas non plus, mais c'était si amusant.
06:31 Mais bon, Martha Igareda et Omar Chaparro
06:34 ont eu leurs affaires dans le passé.
06:37 Mais il n'a pas l'air suffisant,
06:39 parce que regarde le nombre de jalousies que Martha a eues
06:43 en regardant ces images fortes.
06:46 Regardez.
06:47 Non, Omar Chaparro,
06:51 ce n'est pas moi, c'est mon père.
06:53 Je te jure que je suis bien, tu es là.
06:55 Non, ne me dis pas que tu la fais.
06:57 Non, non, non.
06:58 Tu m'as fait mal.
06:59 Tu vas la tuer, perro.
07:01 Tu ne m'as jamais fait ça.
07:04 Martha, cachonde, agoveille-toi, s'il te plaît.
07:08 Tranquille.
07:09 Ne te mets pas comme ça.
07:10 Après avoir vu ces images impactantes,
07:13 Martha n'arrête pas d'insister sur le filmage.
07:15 Maintenant, ne laisse pas la 3ème fois sur 4.
07:18 "Manchando a Frida".
07:20 Wow, quel titre si long.
07:22 J'aimerais voir cette film.
07:24 Moi aussi, Martha.
07:25 Et, en même temps, Jordi est tout triste,
07:28 parce que ni Martha, ni personne ne lui a dit ça.
07:32 Jamais.
07:33 C'est qu'il n'est pas acteur, Jordi.
07:35 C'est pourquoi.
07:36 Alors, plus que Omar Chaparro,
07:39 maintenant, il me semble qu'il s'appelle Omar Fierro.
07:42 Fierro, pariente.
07:43 Que va, Omar?
07:44 Tranquille, mon garçon.
07:45 C'est après avoir vu ces scènes que je me demande
07:48 si je n'ai pas été malin en choisissant d'être conducteur
07:51 au lieu d'être actrice et sortir avec Omar Chaparro.
07:54 Ne te moques pas, Lalo.
07:57 Ne sois pas enceinte, c'est ici.
08:00 Nous sommes très ouvert, je vous le dis, vous savez.
08:03 Ce que veut Martha, c'est une histoire
08:06 pour exagérer son podcast.
08:08 Savez-vous que Omar a des pènes d'aliens?
08:12 C'est comme ça que vous diriez l'histoire, non?
08:15 Nous savions.
08:16 C'est parce qu'il vient d'un autre monde.
08:19 Ce que vous ne savez pas, c'est que cette scène
08:22 a dû se répéter 14 fois,
08:24 parce que l'actrice a toujours crié "Coupez, coupez!"
08:27 Encore une fois, d'en bas.
08:28 Pardon, d'en haut.
08:29 D'où je veux, Omar.
08:31 Oui, bien.
08:33 C'est cette scène qui est dégueulasse.
08:35 Mais bon, ouvrez-vous à LB.
08:38 Martinoli, c'est qui?
08:40 Martinoli, jubile-toi, Docteur Garcia.
08:44 C'est ce mec qui a déjà quitté son emploi.
08:47 Qui?
08:48 C'est lui.
09:09 Bon appétit, Hortencio!
09:12 Vous voyez comment ils ont mis Hortencio?
09:15 Nous avons tous été Hortencio dans ce jeu appelé la vie.
09:19 Exactement.
09:20 Comment non?
09:21 Même Tucci non.
09:22 J'ai une question.
09:24 Est-ce que ce n'est pas inacceptable,
09:26 dans les temps qui passent,
09:27 de parler du tamal d'autres personnes?
09:30 Je ne sais pas.
09:31 Ils peuvent vous faire de la merde?
09:32 Quel mauvais goût.
09:34 Pardon, mais je veux saluer Bertha Malone.
09:36 De tous les membres de la famille,
09:38 je ne sais pas pourquoi.
09:39 Salutations.
09:40 Vous savez ce qu'ils disent.
09:42 La vérité, c'est la merde.
09:45 Non?
09:46 Pardon?
09:47 Comment?
09:48 C'est comme ça, non?
09:49 Oui, c'est comme ça.
09:50 Exactement.
09:51 Ils disent que la sélection
09:53 se demande déjà le prix d'Hortencio.
09:55 Ils veulent qu'on les aide à préparer des tamales.
09:59 C'est bien.
10:00 Pour voir si ils l'ont fait.
10:02 Il sait ce qu'il parle.
10:04 Il était porteur d'un bâtiment
10:06 avant de devenir narrateur de matchs de football.
10:09 Il sait parler de porteurs.
10:11 Moisés Muñoz était aussi un porteur.
10:14 Oui, un porteur.
10:15 Un porteur.
10:16 C'est ça.
10:17 Au football, il y a des relations
10:19 qui durent toute la vie,
10:20 comme celle de Luis García y Martinoly,
10:23 le picolin et l'autre picolin,
10:25 et maintenant aussi celle de Santiago Jiménez
10:28 et Lichnowsky.
10:29 Mais comment a-t-elle commencé
10:31 cette relation homoérotique?
10:33 Ils vont nous le dire.
10:36 Comment?
10:38 On s'est rencontrés au bain.
10:40 Il venait de l'Hekaxa.
10:42 Tu es nouveau dans l'équipe.
10:44 Je me lève tranquillement,
10:45 mes parties.
10:46 Je me souviens, j'étais en arrière.
10:48 Et tout d'un coup, quelqu'un me dit en arrière,
10:50 "Oh, quel tatouage, c'est génial."
10:51 Et je fais comme ça.
10:52 Je parle à la première fois,
10:54 et ils me demandent mon tatouage.
10:56 J'aurais seclé,
10:57 et je me mettais mes pantalons,
10:59 tout tranquille.
11:00 C'est normal que je te réponde un peu couramment.
11:02 J'étais en train de penser à ça,
11:03 mais je suis sûr
11:04 que c'était pour commencer
11:05 à nous connaître.
11:07 C'est important.
11:08 Jonathan dit qu'ils ont fait un rapide.
11:11 C'est beau, non?
11:13 Tu l'as fait?
11:14 Tu sais que Gabi,
11:15 depuis, ils ont demandé
11:17 de dormir ensemble,
11:18 en concentration,
11:19 dans le même lit,
11:20 même chambre,
11:21 même douche,
11:22 et avec une petite cuillère,
11:23 mais celle de thé,
11:24 celle de thé,
11:25 de l'oignon.
11:26 Oh, c'est trop bien!
11:28 Il lui a donné la câuse,
11:30 toute tatouée,
11:31 et il a dû la saboter.
11:33 Qui ne le fait pas?
11:34 C'est pas possible, non?
11:35 Il a dû la saboter.
11:37 En défense de Jiménez,
11:39 il n'y a rien de plus intime et romantique
11:41 que de se baigner avec quelqu'un, non?
11:43 Les vestidaires américains le savent.
11:46 C'est très beau.
11:47 Je crois que, après,
11:49 Santiago Jiménez lui a dit
11:50 "Il reste un peu de soap là-bas,
11:52 là où la câuse perd son nom,
11:54 où le cou est fait en roulis,
11:56 où le tatouage se fait en petits points,
11:58 où le topo est fait en gros,
12:00 où les araignées se font un midi!"
12:03 Il est inspiré, il le fait aujourd'hui.
12:06 Il est inspiré.
12:07 Et tous les collègues de l'équipe
12:09 pensaient qu'ils fêtent un but
12:11 parce qu'à l'intérieur, on entend "Santi, Jimé, Jimé, Jiménez!"
12:16 Je crois que Santi était là-bas,
12:20 là-devant, non?
12:21 On l'a entendu.
12:22 Et bien, quelle ironie
12:25 que le lieu où ils se lavent
12:27 soit aussi le lieu où ils ont les pensées les plus déchirées.
12:31 Wow!
12:32 Il a raison!
12:34 Merci, Gabriella Graf!
12:36 Et maintenant,
12:39 on va voir Octavio Romero,
12:41 le directeur de Pemex,
12:43 qui admette de faire de la trompe
12:45 en plein cadre des députés.
12:47 Non, mais après, oui.
12:49 Mais après, ce n'est pas de la trompe,
12:51 mais c'est de la trompe!
12:52 Et il s'est fait un...
12:53 Bien, regardez le directeur de trompe-femme
12:55 et le député de tontine
12:56 qui se fait de la parole.
12:57 Allez!
12:58 Cette graphique est très intéressante.
13:01 On a fait un peu de trompe.
13:03 Bon, ce n'est pas de la trompe.
13:05 Oui, c'est de la trompe.
13:07 Mais ce n'est pas de la trompe, regardez.
13:09 C'est tard, je veux questionner
13:12 le directeur de trompe-femme.
13:15 Je ne dirais jamais à vous,
13:17 député de tontine, par exemple.
13:19 Je n'accepte pas que vous m'appelliez
13:24 directeur de trompe-femme.
13:26 Je ne vous parle pas.
13:28 Je ne vous parle pas.
13:30 Oh!
13:31 Oh!
13:32 Oh!
13:33 Plus de respect!
13:35 Exact.
13:36 Je suis impressionné.
13:37 Mais je ne suis pas sûr
13:38 s'il a fait de la trompe ou non.
13:39 Il ne se met pas à la joie
13:40 ni avec lui-même.
13:41 Trompe-femme, trompe-femme.
13:42 Trompe-femme.
13:43 Bon, que ce soit petite, c'est de la trompe.
13:45 Mais ce qui a commencé
13:46 comme une comparaison
13:47 a fini par apparaître
13:48 comme une bataille de rap, non?
13:50 Ou plutôt une dispute
13:51 entre les verdouillers
13:52 de la centrale de Abasto.
13:54 Par ailleurs, je veux en profiter
13:56 pour un moment.
13:57 Vous me permettez?
13:58 Salutations à mon vendeur de verdolaga.
14:00 Exact.
14:01 Tu sais qui tu es.
14:02 Merci.
14:03 Merci pour les saluts.
14:04 Ne t'en fais pas enceinte.
14:05 Je suis jusqu'ici, jusqu'à Chicago.
14:07 Mais bon, au moins,
14:09 ce jour,
14:10 dans ce lieu,
14:11 il y a eu un dialogue.
14:12 Oui, grosso modo,
14:13 bourdo,
14:14 puéril et stérile,
14:15 mais il y a eu un dialogue.
14:17 Je veux dire,
14:18 ils ne demandent pas plus.
14:19 Pourquoi ça ne sert pas?
14:20 Il est juste incroyable.
14:21 C'est un truc de fou.
14:22 Pourquoi ça ne sert pas?
14:23 Ils insultent l'un l'autre.
14:25 Et je n'ai pas compris la graphique.
14:28 Oui, il y a eu des trucs,
14:29 mais pas de trucs.
14:30 Il y a eu des trucs,
14:31 mais pas de trucs.
14:32 C'est la version politique
14:33 du classique.
14:34 "Mon père se bat contre toi.
14:35 Ah oui, mon père est un pompier
14:36 et il a une manguerote.
14:37 Il aime ta mère,
14:38 en fait."
14:39 Alors,
14:40 si c'est le député Tontin,
14:41 qui sont les autres?
14:42 Je veux dire,
14:43 le député Dornier,
14:44 qui est-il?
14:45 C'est un peu
14:46 un peu
14:47 un peu
14:48 un peu
14:49 un peu
14:50 un peu
14:51 Le député Comte-Souffle, timide et gros. Où sont les autres? Qui sont-ils?
14:56 Je pense que le député Comte-Souffle doit être Noroña, non?
15:00 Je pense que oui.
15:02 Le problème c'est que quand il a dit "Regarde le député Tontin", il a tourné toute l'avant-garde du pain.
15:07 Toutes. Toutes.
15:10 Il a tourné toute la caméra pour qu'il n'y ait pas de distinction partidaire.
15:14 Bon, allons à des choses plus créatives. Ici, à la CDMX, la ville où j'ai eu la chance de naître,
15:21 moi et toute cette balle de CDMécos qui m'accompagne,
15:26 dans la Capirucha, acceptons-le, nous vivons entre nacs,
15:31 panses,
15:33 couilles et autres barbarités.
15:35 Et je ne le dis pas pour les individus qui m'accompagnent, un peu si,
15:38 mais plutôt, je me réfère à la rue de cette grande ville.
15:43 Regardez ces noms si jolis qu'il y a à la CDMX.
15:46 Les noms les plus bizarres et géniaux de notre ville.
15:50 C'est génial, non?
15:52 C'est très bien. Je trouvais ça super drôle.
15:56 N'avons-nous pas un nom où on voit les noms?
15:59 Allez, vous allez le mettre, Kavina, ou nous allons devoir continuer à faire le ridicule de M. San Cristobal et moi.
16:06 Il est là, il est là, il est là.
16:09 Cagliotto del Trancaso.
16:11 Ok, vous savez quoi? Ils disent qu'il y a acheté un canelo.
16:14 À côté de la de Feitelson.
16:16 Il est là, il est là.
16:17 Oui, il va se mettre bien.
16:19 Bien sûr, il vit là, Sague.
16:21 Ah non, pardon, je pensais que c'était le Cagliotto del Trancaso.
16:25 Bon, un autre nom joli de rue, c'est la rue de Sal, si tu peux.
16:30 Regardez ça, il y a la rue de Sal, si tu peux.
16:33 Sal, si tu peux.
16:34 Bon, comme ça, ils pourraient mettre à n'importe quelle rue, je ne sais pas, de Catepec.
16:38 Exact.
16:39 Alors, la vraie chose, je ne me sentirais pas bien si ils m'invitent à une fête dans la rue de Sal, si tu peux, à la rue de Sal.
16:44 Ils le savent, ils le savent.
16:46 C'est pas bien.
16:48 Alors, il n'y a pas seulement des noms curieux, il y a aussi des noms classistes et sans valeur.
16:54 Regardez ça, c'est la bataille de Naco.
16:58 Ok, wow.
17:02 Ce nom devrait s'actualiser, maintenant cette parole est très mal vue.
17:06 "Pour favor, changez-le à la bataille d'un américainiste."
17:09 Tu sais quoi?
17:12 Ils pourraient aussi le changer pour honorer des personnages historiques.
17:16 Maintenant, ça pourrait être la rue de Cristobal Nacolón, par exemple.
17:21 Pour que ce soit un peu plus acceptable.
17:24 Nacolón, il y a plus ou moins.
17:27 Ou on pourrait changer la N pour une P.
17:30 Et on pourrait dire qu'ils l'ont mis comme ça pour être la rue de Nacomé Mochoa.
17:37 Mais bon, il y a d'autres rues très belles.
17:39 Ce sont des rues qui décrivent les parties les plus belles du corps humain.
17:43 Regardez-la, la rue de Pansacola.
17:49 "Changez-la, s'il vous plaît, Kavina."
17:50 Ah, c'est là, regarde.
17:51 Là, c'est Pansacola.
17:53 Maintenant, Pansacola, ce n'est pas ce que les femmes policières avec de l'obésité ont,
17:57 celles qui ont la Pansacola.
18:00 J'ai compris que ça s'appelle plutôt Pansanocha.
18:04 Ah, ok.
18:05 Quand il y a quelque chose en bas.
18:07 Oui, oui, oui.
18:10 Je ne peux pas m'imaginer.
18:11 À quelle odeur était la rue de Pansacola ?
18:14 Une mélange bizarre, non ?
18:16 Toutes ces rues de la CDMX sont intéressantes.
18:18 Ce qui m'a offensé, c'est que la rue des sirènes n'était pas nulle part.
18:22 C'est vrai.
18:23 Et en Mexique, ce dont on a vraiment besoin,
18:26 c'est la rue de la jealousie.
18:30 Ça serait bien.
18:32 Je ne peux pas en ce moment.
18:33 Et pourquoi tu me parles de vous ?
18:34 Je ne comprends pas.
18:35 La rue de la jealousie.
18:37 Mais ma rue préférée,
18:39 dans la CDMX, c'est la rue de Maricopa.
18:41 Vous savez laquelle est la Maricopa, non ?
18:43 C'est celle qui vous prend avant que vos couilles ne vous dépassent.
18:47 Maricopa.
18:51 Très bien.
18:52 Parlons d'autres choses.
18:53 Maintenant, parlons de Morena.
18:54 Mientras que Morena continue de croître et de se déplacer comme un hongo,
18:59 le Front de la République est en train de prendre un peu plus de travail.
19:02 Mais pourquoi ?
19:03 Adrián Rubalcaba, maire de Coajimalpa et membre de l'opposition,
19:08 nous explique élégantement pourquoi.
19:11 Allez-y.
19:12 Le processus n'a pas encore été défini.
19:15 Mais nous voyons, en ce moment,
19:18 dans les autres matchs,
19:21 comment ils ont avancé.
19:22 Et nous sommes ici, comme on dit vulgairement,
19:25 "manger des jambons".
19:26 Manger des jambons.
19:30 Bon appétit, maire.
19:32 Carnal, maire,
19:33 chacun mange ce qu'il veut.
19:35 Je veux dire, parle pour toi, pas pour tout le monde.
19:38 Il y a des gens qui adorent les jambons.
19:40 C'est bien.
19:41 Ce n'est pas mal.
19:42 En fait, manger des jambons est très bon pour la santé.
19:45 Oui.
19:46 Et mieux pour l'âme.
19:48 Oui.
19:50 Et le bon humour.
19:51 Oui.
19:52 Et tout le monde le sait.
19:54 Ceux qui mangent des jambons sont sains.
19:57 Si tu manges des jambons, tu sentes bien.
19:59 Tu ressembles sain.
20:01 Oui, oui.
20:02 Je ne comprends pas.
20:04 Adriano Rubalcaba, veux-tu être chef de gouvernement
20:06 de la Ciuté de Mexico ou gouverneur de Puebla?
20:08 Avec des jambons.
20:09 Je vais te dire quelque chose d'important.
20:12 Manger des jambons ne gagne pas les élections.
20:14 Non?
20:15 Seulement les plurinominales.
20:16 Si et seulement si tu manges le jambon correct.
20:19 Tu sais.
20:21 Mais Adriano, quel manque de respect.
20:24 Il y a tant de enfants en Afrique qui se moquent de faim
20:27 qu'ils voudraient manger des jambons.
20:29 Et vous les avez tous.
20:31 Et vous, vous faites des commentaires très mauvais.
20:33 Très mauvais.
20:34 Faites comme si vous ne l'entendiez pas.
20:36 Imaginez tout l'effort que demande le pays de payer
20:39 la université de votre fils.
20:41 Tout pour que le gars décide de étudier,
20:43 non pas de philosophie, non pas de communication,
20:46 mais de magie et des sciences occultes.
20:49 Ça pourrait être la réalité de tous les autres parents.
20:52 Grâce à la faible université de l'Union Européenne,
20:55 il y a une maîtrise en magie et en sciences occultes.
20:59 Ce n'est pas de la merde, c'est vrai.
21:01 Regarde, c'est là.
21:02 C'est ce qu'on dit dans le journal Vos.
21:05 Ils vous donnent votre option de faire vos pratiques.
21:07 Je ne sais pas, en Katemako, par exemple.
21:09 En Tepoztl.
21:11 Ils vous donnent votre option de faire vos pratiques.
21:13 Et attendez bientôt la maîtrise en monividentisme de la UNA.
21:17 Exact.
21:18 En fait, j'aimerais bien étudier là-bas,
21:21 pour savoir comment pouvoir lever ma barrique magique.
21:25 Elle disparaît.
21:27 Et comment la disparaître, le chinois dit,
21:29 matinée.
21:30 Bien sûr.
21:31 Mais comment apprends-tu les sciences occultes
21:34 si personne ne sait où elles sont?
21:37 Bien, bien, Eduardo.
21:40 Tu sais que certaines des matières qu'ils t'apprennent sont,
21:44 par exemple, la fabrication de tests de pantalon,
21:47 les mâches nautiques,
21:49 la passée des oeufs par la tête pour la limpieur.
21:51 C'est un cours complet de magie.
21:54 Tu aimes.
21:55 Les oeufs de pato, c'est ce qu'il faut utiliser dans les limpieurs.
21:58 Mais les pates n'ont pas d'oeufs.
22:00 De pata, de pata, pardon.
22:02 En tout cas, courrez dans le prochain vidéo, s'il vous plaît.
22:04 Cabine, à voir si on a le temps.
22:06 Et voilà.
22:07 Qui est sorti d'ici?
22:09 La capitane guingueuse?
22:11 La lieutenant errée?
22:15 Ou la lieutenant de rifle?
22:19 On va le découvrir tout de suite.
22:23 Avant de finir, nous vous demandons qui est sorti d'ici.
22:35 La capitane guingueuse?
22:39 La lieutenant de rifle?
22:42 Ou la lieutenant errée?
22:46 On va le découvrir.
22:48 Ce que nous pouvons déduire, c'est que le peloton est un peu blessé.
23:02 Un peu blessé.
23:05 Ils disent que ça inflige, que tu le sobes, tout ce que tu veux.
23:09 Sobe-toi, carnal.
23:11 Qu'il inflige, ils disent.
23:13 Merci, Gabriella Graff. Bonne nuit.
23:15 Merci.
23:17 Sous-titrage ST' 501
23:19 *Musique*

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