Esta noche en Qué Importa:
"El Canelo" no quiere ver a Faitelson ni en pintura.
En el América, les encanta picarse el orgullo.
El lado oscuro alcanza a la política mexicana.
Bad Bunny niega saludo a Maite Perroni y genera críticas.
¡Guácala, qué rico!... Con ustedes, los "Doritacos de suadero".
"El Canelo" no quiere ver a Faitelson ni en pintura.
En el América, les encanta picarse el orgullo.
El lado oscuro alcanza a la política mexicana.
Bad Bunny niega saludo a Maite Perroni y genera críticas.
¡Guácala, qué rico!... Con ustedes, los "Doritacos de suadero".
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00:00 Oui, c'est le canelo Álvarez.
00:01 Ça ne s'importe pas comme une lutte,
00:03 mais comme une bataille.
00:05 Allons-y !
00:11 La gastronomie mexicaine
00:12 est à bout de changer pour toujours.
00:14 Préparez-vous pour cette délicieuse merde.
00:17 Regardez-moi,
00:18 c'est ce que vous pouvez manger.
00:21 Ah, c'est bon.
00:22 Quelle salive !
00:24 Qui sait quel marihuana crudo
00:27 a fait ça, on verra.
00:28 Mais pour le moment,
00:29 les fêtes de 15 ans
00:31 n'ont pas tout.
00:31 Le ballon,
00:32 les chambelans,
00:34 les gants,
00:35 qui ne vont pas manger.
00:37 Mais cette 15e année
00:38 veut terminer cette tradition
00:40 avec une simple dynamique
00:42 qui peut laisser mal nourrie
00:43 certains.
00:44 Si tu n'as pas de cadeau,
00:46 il n'y a pas de nourriture pour toi.
00:48 Sans cadeau, il n'y a pas de nourriture.
00:51 Ah, félicitations, 15e année !
00:54 Ah, regarde,
00:55 comme tu as pris le cadeau,
00:56 il te reste ton plat de nourriture.
00:58 Que joli !
01:00 Ah, tu as pris le cadeau,
01:01 tu en manges,
01:02 bon appétit !
01:04 Quelle salive !
01:05 Regarde, un cadeau petit,
01:06 qui sait ce qu'il y a dedans,
01:07 mais regarde.
01:08 Mais prends ton plat,
01:09 tu en manges.
01:09 Prends pour tes croquettes.
01:13 Et ton riz.
01:15 Je comprends qu'il y ait des gens
01:16 qui sont en colère,
01:17 des gens qui n'ont pas de cadeau,
01:18 mais j'ai une question.
01:20 Si vous portez un cadeau
01:22 de toute la famille,
01:23 vous en avez un seul
01:25 pour toute la famille ?
01:26 C'est un peu comme la 15e année, non ?
01:29 Un peu.
01:30 Oui, la 15e année est juste.
01:32 Mais bon,
01:33 la 15e année est juste aussi.
01:35 Si le cadeau est bon,
01:36 tu en manges un oeuf dans ton riz.
01:39 Et si le cadeau n'est pas bon,
01:40 tu en manges des oeufs.
01:42 Exactement.
01:43 Donc, la 15e année,
01:45 de demander un "Itacate"
01:47 à la fin de la fête,
01:47 on n'en parle pas.
01:49 Il n'y a pas de manière.
01:51 Non.
01:52 Moi, en vrai, c'est pour ça que je mange
01:53 avant les femmes de 15 ans.
01:56 Parce que, qu'est-ce qu'il y a ?
01:57 Moi, je n'aime pas porter un cadeau.
01:59 Quel est le problème ?
02:00 Exactement.
02:01 Mais tu sais quoi ?
02:02 Tu n'as pas seulement à porter un cadeau.
02:05 Tu dois aussi porter un condom.
02:06 Parce que, souvenez-vous,
02:08 sans un cape, il n'y a pas de fête.
02:09 Tout le monde le sait.
02:11 Oui.
02:12 Ché Chino,
02:14 tu m'as effrayé.
02:15 C'est juste que c'est les 15 ans.
02:17 C'est comme si...
02:18 Bon,
02:19 j'ai une question pour la 15e année.
02:20 Si la nourriture est mauvaise
02:22 et je la retourne,
02:25 tu me retournes mon cadeau ?
02:26 Oui.
02:27 Si tu la retournes à la 15e année,
02:29 peut-être pas.
02:31 Si pas,
02:31 une fois comme ça.
02:32 Alors,
02:33 en parlant de nourriture,
02:34 nous avons quelque chose
02:35 de délicieux et de dégueulasse en même temps.
02:37 C'est un guacala,
02:38 c'est délicieux.
02:39 Regardez ça.
02:40 Ils s'appellent
02:40 les Doritacos de Suadero.
02:42 Regardez-le.
02:43 Doritos de Suadero.
02:46 Tout d'abord,
02:51 je mets les Doritos dans une casserole.
02:53 Dans un plat.
02:54 Quelqu'un arrive et dit
02:55 "Mets de la viande dans les Doritos".
02:58 "Viens,
03:00 on te met de la viande".
03:02 OK.
03:03 Tu veux un morceau ?
03:04 Tu mets de la veine aussi.
03:05 Du sauce ?
03:06 Du sauce ?
03:07 Du limon ?
03:08 Du limon.
03:09 Allez.
03:10 Du limon.
03:11 Du limon.
03:12 Du limon.
03:13 Un croissant, un croissant.
03:15 C'est délicieux.
03:16 Allez.
03:17 Allez,
03:18 un croissant.
03:19 C'est délicieux.
03:20 C'est ce qu'ils peuvent manger.
03:24 C'est pas très bien.
03:27 C'est un plat un peu "guacaresco".
03:32 La présentation n'est pas excellente.
03:35 Si tu n'aimes pas le Suadero,
03:37 je peux t'offrir de sa tête.
03:39 Elle est là.
03:40 Ne me dis pas.
03:41 Ne me dis pas.
03:42 Si tu veux, Eduardo,
03:45 tu peux mettre du huéros de sulonganisa.
03:48 Pour que tu puisses manger bien.
03:50 C'est délicieux.
03:52 Il n'y a rien qui ne peut pas être meilleur
03:54 avec un peu de sulonganisa.
03:56 Mais pourquoi il a mis du Doritaco
03:58 si il pouvait mettre du Suadoritos ?
04:01 Tu as tout raison.
04:03 Ça aurait été mieux.
04:04 Plus organique.
04:05 Je sens que dans ce plat,
04:07 les Doritos sont comme les Diego Schwennings.
04:10 Ils sortent en déchets.
04:11 Avec le pur Suadero.
04:12 C'était bien et les tortillas.
04:14 C'est bon.
04:15 Pauvre Diego Schwenning, salutations.
04:17 C'est délicieux.
04:19 Le poivre de la sauce et le fromage
04:22 te fait oublier que tu manges des Doritos.
04:25 C'est une génialité stratégique.
04:29 La question est,
04:31 vous voulez des légumes ?
04:33 Parce que c'est déjà dur de voir
04:35 cette délicieuse cuisine.
04:37 Un peu.
04:38 Je vous en offre.
04:40 On est bien sans légumes.
04:42 C'est bon.
04:44 Chacun.
04:45 Parlons d'une des célèbres du moment.
04:48 Wendy Guevara.
04:49 Oui.
04:50 Une femme très aimée par presque tout le monde.
04:53 Surtout par ses fans.
04:55 Qui l'aiment beaucoup.
04:57 Mais pas autant que les autres.
04:59 Parce que les fans se confondent.
05:02 Merci, mon amour.
05:04 C'est mignon.
05:05 Je me dessine.
05:07 Les enfants me regardent comme les enfants me regardent.
05:10 Je me dessine.
05:12 Wendy, on t'aime.
05:14 Et la que je supporte.
05:16 J'ai 11 ans.
05:18 Elle a mis la flèche du prière trans.
05:21 J'ai 11 ans.
05:23 Et j'ai fait ce dessin parce que j'aimais
05:26 voir la maison des célèbres.
05:28 Un dessin de...
05:29 Ah, non, c'est pas moi.
05:31 Regardez.
05:32 Il dit "un dessin de Gloria Trevi".
05:35 Pourquoi ?
05:39 C'est fou.
05:40 C'est vrai ce qu'il dit.
05:42 C'est vrai ?
05:43 Pourquoi tu m'as demandé de me faire la blague ?
05:46 Et tu ne m'as pas venu dire "C'est pas toi, c'est Gloria".
05:50 Pourquoi, ma fille ?
05:52 Viens ici.
05:54 Tu es comme une bête.
05:57 Non, non, non.
05:59 Pas de soucis, Wendy.
06:01 Les gens veulent Gloria Trevi, ils veulent toi.
06:04 Tout le monde a ses fans.
06:06 Si tu ressembles à Wendy et Gloria, par exemple.
06:08 Les deux sont des bonnes chanteuses.
06:10 Pas vraiment, mais les deux sont des modèles.
06:13 Non, pas du tout.
06:15 Mais les deux sont des femmes.
06:17 Ah, oui, c'est ça.
06:19 Et Wendy, tu sais que tu es la glorie.
06:23 En vrai, Wendy ne s'est pas trompé.
06:28 Ils auraient pu lui donner un dessin de Bester Gordillo,
06:31 mais ils ne l'ont pas fait.
06:33 Et ça, on le remercie.
06:35 On le remercie.
06:36 J'ai la théorie que si tu dessines Wendy avec une crayon,
06:40 tu ressembles à personne d'autre, sauf Wendy.
06:43 Le problème, c'est aussi les matériaux que tu donnes à l'artiste.
06:46 Il faut être prudent.
06:48 Et personne ne l'explique, mais cette fille est perdue.
06:52 Non, non, non.
06:54 Perdue.
06:56 La personne qui n'est pas perdue, parfois, mais pas aujourd'hui,
06:59 c'est Gabriela Graff.
07:01 Je suis perdue de temps en temps,
07:03 mais Bad Bunny est un homme très simple,
07:06 malgré l'état d'une des plus écoutées des artistes du monde,
07:10 comme l'a démontré dans cette prestation de prix,
07:13 où il a été élevé par son reconnaissance,
07:16 sans égo, sans arrogance et même sans chaussures.
07:20 Regardez.
07:21 Je suis le premier de Maiple qui me championne.
07:26 Je suis champion de la présentation.
07:31 Merci, merci d'écouter ma musique.
07:34 Je ne sais pas ce qui se passe.
07:49 Je ne savais pas ce prix qu'il avait gagné,
07:51 où ils étaient, où sont leurs chaussures.
07:54 Talès dit que la compétition ne lui arrive pas les chaussures.
07:59 Il a pris les chaussures.
08:01 Tu as entendu ça, Pesapluma?
08:03 Ou il dit "Regardez mes chaussures,
08:05 je les ai faites une fois".
08:07 Ou peut-être que c'est sa façon de dire
08:10 qu'il aime que tu le baises le dos et pas les chaussures.
08:13 Je ne sais pas ce qu'il dit, mais interprète-le.
08:16 Mais il aime que je le baise ou que je le baise?
08:19 Je ne suis pas sûr.
08:20 Je pense qu'il aime baiser une partie très particulière.
08:23 C'est de l'arrivée et de la retour.
08:25 C'est un tributo aux enfants de triki basketballistes.
08:29 C'est possible.
08:30 Au Mexique.
08:31 Oui, on dirait.
08:33 Aux tri-champions.
08:34 Mais, la nuit n'est pas terminée pour le Conejito Amado,
08:38 parce que après ça, il a mis ses papons
08:41 et a passé à saluer ses compagnons très amicablement,
08:44 sauf Maite Perroni,
08:46 parce qu'avec elle, il lui manquait le "amablement".
08:49 Juste vous.
08:50 A voir.
08:53 Maite...
08:55 De plane?
08:58 Maite, pauvre.
09:07 C'est très mauvais.
09:08 Ils ont laissé Maite comme Horacio,
09:11 avec le bisou dans l'espace.
09:13 Le bisou, hein?
09:14 Que se passe-t-il?
09:15 Peut-être qu'elle s'est rendue compte
09:17 qu'au Mexique, on a une épidémie de chinches
09:20 et qu'elle ne s'est pas arrêtée.
09:22 Exactement.
09:23 C'est un chinchon.
09:24 Exactement.
09:25 Tu as même dit que ça m'a commencé à faire mal.
09:27 Oh non, c'est horrible.
09:29 Tu sais si les chinches font mal ici, dans l'entre-jambes?
09:31 Non.
09:32 C'est une maladie.
09:33 C'est une liendre à une maladie.
09:35 Oui, je crois.
09:36 Comme on disait, Bad Bunny n'aime pas les bisous,
09:39 à moins qu'ils soient noirs.
09:41 Exactement.
09:42 Je ne m'explique pas pourquoi il niait le bisou à Maite.
09:47 Si Bad Bunny n'a pas niait les bisous,
09:49 il n'a même pas un dos.
09:52 Pourquoi pas Maite?
09:54 Je ne comprends pas.
09:55 Regarde, Maite s'est restée si près et avec envie.
09:59 Comme Brad, il comprend parfaitement.
10:02 Oh, que Marcelo et Brad...
10:05 Oui.
10:06 ...se restent avec la bière.
10:07 Pauvre.
10:08 Bon, allons-y, est-ce que c'est ici?
10:10 Allons-y.
10:11 Qui n'aime pas qu'on lui mette des fleurs?
10:14 Je vais vous dire qui.
10:15 Un séducteur qui s'appelle José Cinto,
10:17 qui est un maire de Poblano,
10:19 à qui ils ont mis des fleurs de manière très amiable et violente.
10:24 En fait, la plus violente que nous avons vu.
10:26 C'est terrible.
10:27 C'est terrible.
10:28 Des fleurs pour le maire.
10:32 Allez.
10:34 Des fleurs.
10:45 Qu'est-ce qui se passe?
10:47 Allez.
10:48 Je veux que vous me dîtes ce qui s'est passé ici.
10:51 Vous avez donné les fleurs pour être amiable avec le maire,
10:53 mais les gens ont aimé les mettre très fortement.
10:56 Ou qu'est-ce qui s'est passé?
10:57 Qu'est-ce qui s'est passé ici?
11:00 Pauvre gars, je veux dire, non mais...
11:05 En plus, ça c'est mal.
11:08 En ce moment, les politiciens de Morena ne sont pas touchés
11:11 ni avec le pétal de la rose.
11:13 Mais ce qui se passe, c'est que ce gars-là n'est pas de Morena,
11:16 c'est de la PRD.
11:17 Alors qu'il n'y avait pas de pierres ou pourquoi des fleurs?
11:22 Exactement.
11:23 Mais quelles blagues me caillent, en fait, en tirant...
11:26 Je n'avais pas vu tant de fleurs sur un scénario,
11:29 depuis longtemps, depuis le funérail de Carmen Salinas.
11:32 Non, non, non.
11:33 Je n'avais pas vu tant de fleurs, vraiment.
11:36 Et pourquoi les fleurs?
11:38 Ce ne sera pas quelque chose de symbolique?
11:40 Vous voulez dire que c'est un peu clavelle avec les budgets?
11:43 Exactement.
11:44 Alors, il a pleuvé de fleurs, non?
11:46 Je veux dire, ça aurait pu être pire, c'était la ville.
11:48 Il aurait pu pleuvoir de camotes, par exemple.
11:51 Les fleurs sont bien, ne vous en faites pas.
11:53 Et il s'est fait vite, vite,
11:55 avant que le public n'ait l'idée des endroits
11:58 où il pouvait mettre les fleurs.
12:01 Ok, ok.
12:02 En fait, ce que nous avons vu,
12:05 c'est la description graphique d'un peuple passif-agressif,
12:08 mais avec des fleurs, des pétales.
12:11 Vous avez vu les pétales aussi?
12:13 Mais très dur.
12:14 Ils ont pris des pétales, je n'ai pas vu.
12:16 Je ne sais pas.
12:17 Je ne vois pas si il avait des espines ou rien.
12:19 C'est tout.
12:20 Mais bon,
12:21 même si certains politiques veulent être vus comme des héros,
12:24 il y en a d'autres qui n'ont pas le petit peu de peur
12:27 de se montrer comme des villains.
12:30 C'est un délire.
12:31 Je parle de Araceli Brown,
12:33 la présidente municipale de Rosarito,
12:36 qui nous fait très clair
12:38 qu'elle est de l'autre côté du monde.
12:41 Regardez la musique!
12:56 La marche impériale!
13:04 La marche impériale de Darth Vader,
13:06 des mauvais de la guerre des galaxies.
13:08 Qu'est-ce que c'est?
13:09 Qu'est-ce que c'est?
13:19 Je pensais que c'était l'entrée d'un lutteur de l'arène Coliseo.
13:23 Bon,
13:24 ni Saúl Canelo Álvarez n'a pas ces entrées.
13:27 Exactement.
13:28 Avec ces entrées.
13:29 Mais ce n'était pas si mal.
13:32 Il aurait pu y entrer, je ne sais pas,
13:34 avec la marche funèbre,
13:35 et ça aurait été mauvais.
13:36 Au moins, la marche de Darth Vader a un rythme,
13:38 n'est-ce pas, Tachida?
13:39 Regardez, c'est de la mode,
13:41 la guerre des galaxies.
13:42 Gerardo Fernandez Noronha va partout.
13:44 Vous l'avez vu avec son costume de Chewbacca.
13:47 Oui,
13:48 mais personne comme Ricardo Anaya.
13:50 Personne comme Ricardo Anaya.
13:52 Il est resté seul à l'étage,
13:54 aux Etats-Unis,
13:55 parce que qui sait quand il reviendra.
13:57 Voyons voir.
13:58 Je sens que ce sexenien a été très Jedi.
14:01 C'est pour ça qu'ils contrôlent, par exemple,
14:04 avec la force, l'aéroport de la ville de Médico.
14:08 Tu dis que l'Empire contre-attaque.
14:12 L'Empire contre-attaque.
14:13 Je ne sais pas quel message
14:15 veut donner cette dame avec cette musique.
14:18 Et la vérité, je suis sûr qu'elle ne sait pas
14:20 ce qu'elle nous dit avec ça.
14:22 C'est la musique des mauvais.
14:24 On va lui donner le bénéfice de la doute
14:27 qu'elle ne savait pas qu'elle avait été mis de la musique.
14:30 Mais bon, la que tu sais, Gabi Graf.
14:32 En avant, encore une fois.
14:34 En Méxique, on sait que le doigt est très commun
14:38 dans l'ambit de politique.
14:39 Mais peu se dit de la pratique du doigt dans les sports.
14:43 Parce que, comme nous le montre le Capitaine Rodriguez,
14:46 il est aussi très utilisé dans les vestiaires de l'Amérique.
14:50 Regarde.
14:51 Il montre le doigt, le positionne
14:55 et il le tue, Henry Martin.
14:59 - Ah!
15:01 - Oh!
15:03 - Pas le doigt, non!
15:05 - Mais tu sais ce qui se passe?
15:07 Il le recouvre et il le fait comme une bonne recouverte
15:09 pour que tu lui donnes la vie.
15:11 - Oui!
15:12 - Non?
15:13 - Regarde, ils diront ce qu'ils veulent,
15:15 mais je n'ai vu qu'un homme plus souriant
15:18 après la petite pique d'oil.
15:20 - Oui, je crois que tous.
15:22 Regarde, son signe orthographique préféré
15:25 est l'*.
15:27 - Ou le point, oui, le point G de fond.
15:30 - Non!
15:32 - Non!
15:34 - Wow!
15:35 - Bon, maintenant, ils étaient dans les vestiaires de l'Aztec.
15:38 C'est pour ça que le piquet de tocallo
15:40 a été appliqué là-bas.
15:42 - Oui.
15:43 - Quelle chance!
15:44 Définitivement, en Université, on ne se porte pas comme ça.
15:47 - Ah! Bien sûr!
15:48 - Le bon, c'est que tout se maintient
15:51 en bon goût,
15:52 parce que le doigt n'a pas été lamé après.
15:55 - Oh!
15:56 - Ni avant.
15:57 - Ah!
15:58 - Ah!
15:59 - Non, regarde, c'est la description graphique
16:02 quand ils disent "excellent ambiance laborale", non?
16:05 - Exactement, exactement.
16:07 - En fait, le slogan de l'Amérique peut changer
16:10 et maintenant, il va être "mais sentez-moi plus!"
16:13 - Oh non!
16:14 - Oh non, que c'est violent!
16:16 Mais bon, parlons d'un truc plus beau.
16:18 - S'il vous plaît.
16:19 - L'amour que sent le canelo Alvarez
16:21 par David Faitelson est indéniable.
16:23 Tant que c'est ça que regardez quelles belles mots
16:26 dédiquent ce grand critique de sa carrière.
16:29 - C'est un peu mon pavé.
16:33 - Mais c'est un pavé.
16:35 - C'est un pavé.
16:36 - Je suis très désolé.
16:39 - Que se passe-t-il au final?
16:41 - C'est un plan, c'est un plan.
16:42 - Je suis désolée, je suis désolée.
16:43 - Non, je veux dire, il a très mal
16:45 à Faitelson, à mon avis.
16:46 Je veux dire, il a tellement mal à Faitelson
16:48 qu'il est même rouge de rage.
16:50 Canelo, vous ne l'avez pas vu?
16:51 Il était comme ça.
16:52 - Il était comme ça.
16:53 - Il a même le cheveu rouge.
16:55 Je dirais qu'il devrait être interviewé,
16:58 mais au-dessus du ring.
17:00 Et chaque coup que Faitelson
17:02 peut faire, Canelo a le droit
17:04 de lui poser une question.
17:06 - Non, de l'inverse.
17:07 - Non, de l'inverse.
17:08 - Bon, de l'inverse, alors.
17:10 Et Canelo décide s'il répond
17:12 avec des mots ou s'il tire les dents.
17:14 Que se passe-t-il?
17:15 - J'aime ça, je veux voir ça.
17:17 Et bon, continue, David.
17:18 Au final, ce ne sera pas
17:19 le premier sportif à te battre.
17:21 - Exactement.
17:22 - Oups!
17:23 - Ce qui se passe, c'est que Canelo
17:25 est Tim Jocera, et c'est pour ça
17:27 qu'il soutient son ami dans ce
17:29 très triste divorce sportif.
17:31 Oh!
17:32 C'est horrible, si ça se passe,
17:33 c'est très...
17:34 C'est très mauvais.
17:35 - Bon, mais Canelo est l'un des meilleurs
17:37 boxeurs du monde.
17:38 Il est sympa, il est beau, il porte...
17:40 Pardon.
17:41 Et en plus, il est millionnaire.
17:43 Est-ce qu'il y a quelque chose
17:44 qui le fait mal?
17:45 - Rien.
17:46 - Ah, oui, il y a une chose.
17:47 C'est ça, regardez.
17:48 - A voir.
17:49 - ♪ Poussaré los montes ♪
17:52 ♪ Los rios, los valles ♪
17:55 ♪ Pa' ir de contra... ♪
17:58 - Ah, la cara de Mijares.
17:59 - Hijole!
18:00 - Il le dit tout, il le dit tout.
18:03 Il ne chante pas aussi bien,
18:05 mais comment il danse!
18:07 Voyons voir.
18:08 - Voyons voir.
18:09 ♪ ♪ ♪
18:13 - Ah, là, il l'a eu!
18:14 - OK.
18:15 - Il l'a éteint, il l'a éteint.
18:17 - C'est que si, le sujet,
18:19 c'est pas la musique,
18:20 parce qu'il bouge la tête
18:21 comme ceux de ces jolis
18:22 poteaux de tableau, non?
18:23 - Oui.
18:24 - Que se les bouge la tête
18:25 comme ça.
18:26 - Allez, je le fais.
18:27 - Oui.
18:28 - Bon, mais voyons voir.
18:29 - Oh!
18:30 - Voyons voir,
18:31 après 12 rounds,
18:32 quelqu'un danserait
18:33 comme s'il était
18:34 à la moindre souffrance
18:35 d'un coup, non?
18:36 - Oui, oui, oui,
18:37 sans doute.
18:38 - Alors, imaginez
18:39 que tu es Gennady Golovkin.
18:40 - Ah!
18:41 - Et savoir que un gars
18:42 qui danse comme ça
18:43 t'a éteint trois fois en s'éloignant.
18:45 - Oh!
18:46 - Exact.
18:47 - Wow, bien, Saúl.
18:48 - Certains disent que dans ce vidéo,
18:50 le Canelo est plus tésse
18:51 que un pantalon de puberto.
18:53 - Oh!
18:54 - C'est ce qu'il y a
18:55 sous la chambre.
18:56 - Je ne sais pas ce qui est mieux
18:58 que ce que j'ai vu.
18:59 Si le ballon, ou la pyjama,
19:01 ou danser comme ça en pyjama.
19:03 - Ah!
19:04 C'est le Canelo.
19:05 Il reste très étonné.
19:06 Mais bon.
19:07 - La vérité, oui.
19:08 - Il danse comme une lutte,
19:09 mais au lieu de déguerir les coups,
19:11 il déguise le rythme.
19:13 - Ah!
19:14 - Exact.
19:15 - Exact.
19:16 - C'est valable.
19:17 - Ah, bon.
19:18 Merci, Gabriel.
19:19 - Merci.
19:20 - En México,
19:21 on approche de l'époque des élections.
19:23 Vous voyez que c'est le moment
19:25 où tout nous promet.
19:27 Les politiciens se présentent,
19:29 ils font beaucoup de force
19:31 pour que ça ressemble
19:33 qu'ils ont fait quelque chose
19:35 pendant leur gouvernement.
19:36 Et c'est pour ça
19:37 que ce genre de choses se passent.
19:39 - Ils ont peint les banquettes
19:41 de mon pays.
19:42 - C'est génial.
19:43 - C'est génial.
19:44 - C'est un banquet.
19:45 - C'est un banquet.
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22:39 - On va faire un petit test.
22:40 - OK.
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