• l’année dernière
Le débrief du 4e match des Bleus dans cette Coupe du Monde de rugby face à l'Italie ! Retour sur cette victoire qualificative pour les quarts de finale avec Julien Tomas, Daniel Herrero, Philippe Spanghero et Alexandre Priam !

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##L_APRES_MATCH-2023-10-06##

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Sport
Transcription
00:00:00 67 c'est le score final.
00:00:02 On y est la France est en quart de finale de sa coupe du monde.
00:00:04 Dimanche prochain à 21h ce sera contre le deuxième de la poule de l'Irlande ou de la Tribusy.
00:00:09 A priori l'absurde.
00:00:10 Aujourd'hui c'était parfait Daniel ?
00:00:12 - Euh oui.
00:00:13 - Pas de blessés ?
00:00:14 - Faut faire attention à ce mot parfait
00:00:16 ce qui veut dire qu'il n'y a pas du tout d'imperfection dans le déroulement de la performance française.
00:00:21 Mais c'est très sain.
00:00:25 Tu vois les Français sont en place, les Français sont assez joueurs.
00:00:29 Les Français ne sont pas inquiets, les Français sont toujours très solidaires.
00:00:32 Les Français ont pris un petit essai dans une gabegie d'approximation on dirait en offensive italienne.
00:00:39 Il n'y a rien eu d'inquiétant.
00:00:42 Effectivement l'intégrité physique de tout ça a été respecté.
00:00:45 Les joueurs sortent intacts ce qui est majeur.
00:00:48 Les titulaires comme les finisseurs, c'est des remplaçants de fait.
00:00:52 Et non c'est très satisfaisant le score 67.
00:00:55 Il est quand même lourd mais cette équipe d'Italie avec les 8 essais encaissés ne pouvait pas faire beaucoup mieux.
00:01:02 Vu l'état moral dans lequel elle est dans cette deuxième partie de la phase qualificative.
00:01:06 Les Italiens sont délabrés, les Italiens n'ont plus confiance en leur entraîneur.
00:01:10 Les Italiens n'ont plus beaucoup confiance dans le jeu qui est mis en place.
00:01:13 Ils arrivent certes à piquer mais la conviction les a un peu désertés.
00:01:20 Et le 15 de France, il n'a pas joué ce 15 de France un match les mains en haut du guidon.
00:01:25 Ce qui veut dire avec suffisance, mais quand même hop, et ça chante dans la tribune.
00:01:30 Et ça danse dans la tribune.
00:01:32 Je vous rappelle à tout le monde, Daniel, les marqueurs d'essai, donc les 8 c'est important parce qu'il y a deux doublés.
00:01:38 Doublé en fin de match de Moéfana après son entrée, doublé de Damien Penaud.
00:01:42 Qui ont fait le meilleur marqueur d'essai actuellement seul de la Coupe du Monde en 2023 avec 6.
00:01:47 Il y a eu un essai également de Bielgaré, un essai de Tomar Amos, un autre de Mathieu Jalibert.
00:01:51 Un autre de Mouwaka Jalibert qui a pleinement rassuré tout le monde.
00:01:55 Tu as même séduit ce soir Daniel.
00:01:57 Oui, alors si on revient un peu plus sur la dimension individuelle.
00:02:00 Pour l'instant, mettons en valeur encore une fois la qualité générale du rugby produit.
00:02:04 La qualité générale de la concentration de l'équipe de France.
00:02:07 La qualité générale de l'organisation défensive qui n'a jamais été en danger.
00:02:11 La qualité générale de l'allure morale de chacun.
00:02:13 Tout le monde s'est comporté extrêmement dignement sur le terrain.
00:02:16 Il n'y a pas de boursouflure d'égo.
00:02:18 Il n'y a pas de façon caractérisée des quêtes ou des recherches de comportements individuels brillants.
00:02:24 Voilà.
00:02:25 Et en bout de ligne, si on arrive maintenant sur les comportements individuels,
00:02:28 il y a quand même beaucoup de satisfaction.
00:02:30 Ou tout au moins, il n'y a pas d'insatisfaction.
00:02:33 Il n'y a pas de zone où tu dis...
00:02:34 - De déception. - Oui, voilà.
00:02:35 Tu dis "Ah, c'est pas très bon" ou alors "C'est approximatif", ou alors "C'est un peu moyen".
00:02:38 Ou alors "Il y a pas de ça".
00:02:41 Et c'est vrai qu'on s'est beaucoup interrogé.
00:02:43 Ça a quand même nourri la semaine écoulée la suppléance de la période de demi titulée,
00:02:50 par la période de demi, "Lucu" et Mathieu Jalibert.
00:02:55 Le sur "Lucu" a fait 50 minutes et elles sont correctes,
00:02:59 mais elles n'ont pas de relief particulier, à mon sens tout au moins.
00:03:02 Et Mathieu Jalibert qui a la baguette.
00:03:06 Mathieu Jalibert, il a été bon dans les deux secteurs qu'il aime.
00:03:08 Le secteur de la gestion en liberté sans trop de pression
00:03:12 et le secteur quand même un peu du vent dans les cheveux et de la crinière,
00:03:16 pour ne pas dire du cram.
00:03:19 Mathieu Jalibert aime bien quand il y a ces espaces.
00:03:21 - Et là il a été quand même très bon. - C'est intéressant Daniel.
00:03:24 Oui Daniel, parce que quand on regarde un petit peu Romain Ntamac,
00:03:27 quand il est associé par exemple à Antoine Dupont,
00:03:29 on tourne généralement à un Romain Ntamac qui entre 8, 9, 10 passes maximum dans le match.
00:03:35 C'est souvent en dessous de 10 et c'est comme ça qu'il l'utilisait, il n'y a aucun souci là-dessus.
00:03:38 Aujourd'hui l'UQ c'est 46 passes et Jalibert c'est 26 passes,
00:03:44 14 ballons portés dans le match et 7 coups de pied.
00:03:49 Donc il a été quand même prépondérant, il a touché 47 ballons Jalibert aujourd'hui.
00:03:55 47 ballons, c'est de loin le genre de l'équipe de France,
00:03:59 en dehors d'un demi-mêlée évidemment, qui a touché le plus de ballons.
00:04:02 Oui mais alors les 47 ballons, ils viennent quasiment presque tous de l'UQ
00:04:05 ou tout au moins de son demi-mêlée, c'est-à-dire la fonction naturelle.
00:04:08 Et là nous voyons bien que quand Antoine n'en joue pas,
00:04:14 quand il n'en joue pas presque tous lui dans le pied défensif,
00:04:18 dans l'organisation générale du jeu,
00:04:21 là si Mathieu Jalibert en a touché 47,
00:04:24 ça veut dire que l'UQ n'a pas fait un mètre en courant.
00:04:27 Oui c'est là où l'UQ a pris la preuve.
00:04:29 On voit bien la différence, 2 ballons portés, 46 passes.
00:04:33 L'UQ c'est ça.
00:04:34 2 ballons portés, 46 passes.
00:04:35 Oui ça illustre bien la différence avec Antoine Dupont.
00:04:39 Ah ben oui, même presque Alexé.
00:04:41 Alexé, là nous arrivons à un demi-mêlée qui est presque exclusivement éjecteur.
00:04:46 Oui, il a pas une grande importance dans la gestion,
00:04:51 il envoie beaucoup de ballons à l'ouvreur qui lui a géré presque l'ensemble du match.
00:04:55 Alors que quand Antoine joue, Antoine il en gère beaucoup de ballons.
00:04:59 Là l'UQ, il a été dans l'extraction, il a été dans l'éjection
00:05:04 et très très peu dans la gestion et encore moins dans l'initiative.
00:05:08 Avec la facilité liée à ce match dès la première minute,
00:05:12 c'est difficile de juger également.
00:05:14 Mais qui sera le demi-mêlée la semaine prochaine ?
00:05:16 Et bien ça dépend du bulletin de santé d'Antoine Dupont probablement.
00:05:19 Ah ben oui, ça dépend du bulletin de santé.
00:05:22 Daniel, est-ce que ce match a suffisamment préparé les Bleus
00:05:24 pour un potentiel quart de finale face à l'Afrique du Sud ?
00:05:27 Ce sera le mot de la fin avant de vous libérer du côté de Lyon.
00:05:30 Oui, moi je le trouve intéressant pour la préparation.
00:05:34 Les Français veulent montrer qu'ils sont en santé, ils le sont.
00:05:37 Ils veulent montrer qu'ils sont en place sur toutes les bases de leur jeu, ils le sont.
00:05:41 Ils arrivent en montrant que rien dans leur tête ne semble être
00:05:45 un générateur d'équivoques ou de troubles, rien.
00:05:48 Ils sont tranquilles, donc ils sont en place.
00:05:50 Ce que nous avons vu aujourd'hui, on risque pas forcément de le voir la semaine prochaine,
00:05:53 évidemment en quart de finale, ça sera tellement différent.
00:05:56 Mais il reste que les Français seront de ce niveau de santé
00:05:59 et il reste que les Français seront de ce niveau de sérénité
00:06:02 et il reste que les Français seront probablement de ce niveau de maîtrise de leur jeu,
00:06:08 de leurs caractéristiques, de leur fond de jeu.
00:06:11 Il ne va pas y avoir des innovations dans les temps à venir, très peu d'innovations.
00:06:16 On est quand même intéressés par l'idée que tous sortent sur un bon niveau de performance
00:06:22 et peut-être effectivement autour de Mathieu Jalibert,
00:06:25 il y a une note, je dirais, de joyeuse espérance.
00:06:30 Voilà, c'est bien, ce qu'a fait Domino, c'est bien.
00:06:33 Ce qu'il propose et qu'il impulse, c'est bien.
00:06:37 Tu vois, c'est le moment de l'accord.
00:06:39 Alors c'est un match vraiment en train de séréniter à l'arrivée pour l'équipe de France.
00:06:43 On est confiants et maintenant place aux quart de finale surtout.
00:06:45 Allez, on va faire les bouts de cette semaine.
00:06:48 Allez, on s'entraîne bien au cas où ils auraient besoin de nous.
00:06:50 Dans la semaine, nous serons sûrement dans la tribune avec Sud Radio.
00:06:53 Allez, salut tout le monde.
00:06:56 J'ai un petit doute quand même Daniel.
00:06:58 Ouais, moi aussi.
00:07:00 Je vois, je sens qu'on est moyen, mais on n'est pas mal.
00:07:05 Bon, tout au moins, on est content et on est content de vous retrouver
00:07:10 la semaine prochaine pour une quarte finale qui s'annonce au limite du Titanes.
00:07:14 Allez, ciao ciao.
00:07:15 Merci beaucoup Daniel, merci beaucoup Nicolas, tout à l'heure à ton micro.
00:07:20 Les conférences de presse en direct, notamment côté français, sur tout côté français.
00:07:25 On parlait de préparation physique quand à Cavani, je t'ai vu haucher la tête,
00:07:28 je t'ai vu paniquer, je t'ai vu trembler.
00:07:30 C'est pas vers toi que je vais me tourner quand on parle de préparation physique.
00:07:33 Parce que la préparation physique, elle s'entretient,
00:07:35 elle se travaille jusque tard dans le soir, de Paris notamment.
00:07:40 Tiens, quartier Saint-Germain, village Saint-Germain, fanzone Sud Radio.
00:07:44 La préparation physique, je ne suis pas sûr qu'elle soit parfaitement maîtrisée.
00:07:47 La préparation festive, par contre, ça fonctionne bien Antoine Lazare.
00:07:53 Oui, oui Alexandre, la préparation physique,
00:07:55 je crois qu'elle va être mise de côté pour ce soir.
00:07:57 Parce que ce soir, l'objectif a été atteint pour les supporters de l'équipe de France,
00:08:02 et même pour les français, c'est la qualification en quart de finale.
00:08:05 C'était l'objectif des joueurs du Camp de France,
00:08:08 mais c'était également l'objectif des supporters qui sont venus
00:08:11 pour la première fois dans ce quartier Saint-Germain.
00:08:13 Je suis avec Quentin, déjà qu'est-ce que tu as pensé de ce match ?
00:08:16 Victoire écrasante dans l'équipe de France, ça nous rassure.
00:08:18 Oui, ça nous rassure, surtout qu'on a un vrai test face à une vraie équipe,
00:08:22 et plus tard dans la compétition, parce que le match contre les Blacks,
00:08:25 il était très tôt dans la compétition, là au moins,
00:08:27 on sait vraiment où on en est pour la compétition.
00:08:29 Oui, ça a été un match, Fabien Galtier parlait juste avant le match,
00:08:32 c'est un match difficile, mais finalement il n'y a pas eu photo dans ce match.
00:08:35 Je suis avec eux également, Théo, Théo c'est une victoire,
00:08:38 est-ce que c'est la meilleure façon de préparer les quart de finale,
00:08:42 ce match face à l'Italie ?
00:08:43 Oui, évidemment, on se demandait à quel point l'Italie allait pouvoir tenir,
00:08:48 et au final, ils ont explosé à la dixième minute,
00:08:51 il y avait déjà un essai, on ne sait pas où ils allaient,
00:08:54 qu'est-ce qu'ils allaient faire, et au final la France a déroulé.
00:08:58 La France a déroulé, bon, en quart de finale,
00:09:01 il risque d'y avoir l'Afrique du Sud sûrement,
00:09:04 est-ce que c'est une équipe qui, toi, te fait peur un petit peu,
00:09:07 c'est une équipe qui inquiète, comment tu le sens ce match ?
00:09:10 C'est sûr que l'Afrique du Sud, c'est une grosse équipe,
00:09:12 c'est quand même la deuxième nation mondiale,
00:09:14 enfin c'était la deuxième avant le début, là c'est quand même les tenants du titre,
00:09:17 c'est sûr que ça ne va pas être un match facile,
00:09:18 mais par contre je préfère les affronter eux que les Irlandais, tout de suite.
00:09:21 Bon, là on est au village Saint-Germain, c'est dément,
00:09:24 il y a une ambiance incroyable !
00:09:26 C'est complètement fou ce qui se passe du côté de Saint-Germain.
00:09:29 Quel est le programme, là ? Qu'est-ce qui va se passer, là ?
00:09:32 Bon, vous vous posez la question,
00:09:33 je pense qu'on va profiter un peu de l'ambiance avant de repartir.
00:09:35 Non mais là on est sur Sud Radio, les gars, parlons vrai.
00:09:37 Qu'est-ce que vous allez faire, là, maintenant que le match est terminé ?
00:09:40 Ah, là on... on va rester un peu dans les bars,
00:09:43 on va profiter de l'ambiance parisienne.
00:09:45 C'est vrai qu'on ne s'attendait pas à ça,
00:09:46 venir de Carcassonne et de Bordeaux, là.
00:09:48 Ouais, là depuis Carcassonne, on ne s'attendait pas à avoir une ambiance chaude
00:09:52 comme ça en plein milieu des rues de Paris.
00:09:54 Donc on va rester, on va profiter,
00:09:56 et après on va voir Roumanie Tonga, là, avec Quentin.
00:10:00 Ouais, peut-être qu'Alexandre Priam a un bar à conseiller pour Quentin et Théophile,
00:10:04 parce qu'il connaît bien cet endroit.
00:10:06 Bah oui, on a des amis ici, hein.
00:10:09 Le Pouce au crime en fin de soirée, commencez par l'allégorie.
00:10:12 Le Pouce au crime...
00:10:13 Il faut commencer par l'allégorie.
00:10:15 C'est à guichet fermé déjà, le Pouce au crime, déjà pour ce soir.
00:10:18 Ouais, ouais, c'est à guichet fermé, tu m'étonnes.
00:10:21 S'ils sont tous comme toi, ils sont pas prêts de sortir.
00:10:23 Allez, on se retrouve dans quelques instants sur Sud Radio.
00:10:26 Merci beaucoup Antoine Mazer et à Quentin et Théo.
00:10:29 Et voilà, merci.
00:10:31 Du côté de Sud Radio, ça promet, le débrief promet.
00:10:35 Si vous êtes exactement dans le même état que nos reporters,
00:10:38 surtout n'hésitez pas.
00:10:40 N'hésitez surtout pas.
00:10:42 Dits numéros 0 826 300 300.
00:10:46 0 826 300 300.
00:10:48 Puisque vous avez un peu la...
00:10:49 Voilà, si vous voulez pas appeler, c'est sur la chaîne Twitch de Sud Radio
00:10:52 avec des réactions.
00:10:54 Je sens qu'on va se marrer ce soir.
00:10:57 Julien Thomas, il a pris une déflagration dans le visage là.
00:11:03 Oui, oui, à écouter nos amis du côté de la fan zone Sud Radio,
00:11:09 il faut aussi passer derrière par souffler dans le ballon
00:11:12 parce qu'on a pris quelques vapeurs dans le visage.
00:11:16 Vapeurs d'alcool, bien évidemment, à consommer avec modération.
00:11:19 Toujours, toujours avec modération, même s'il ne se présente pas à la soirée.
00:11:23 On va attaquer l'après match.
00:11:26 Mais d'abord, il est temps de faire l'heure.
00:11:28 Vous êtes sur Sud Radio, il est 23h.
00:11:38 Parlons vrai.
00:11:40 Avant, eh bien, l'après match en direct sur Sud Radio jusqu'à minuit.
00:11:43 Un point sur l'information très rapide.
00:11:45 C'est avec Léa Guichou.
00:11:47 Bonsoir, Léa.
00:11:48 François Germain, pardon.
00:11:49 Bonsoir à tous.
00:11:50 Le 15 de France est en quarte finale de la Coupe du monde de rugby.
00:11:54 Grâce à leur large victoire sur l'Italie 60 à 7,
00:11:57 les Bleus décrochent leur ticket pour la suite de la compétition.
00:12:00 L'Afrique du Sud devrait être le prochain adversaire des Français.
00:12:04 Réponse demain.
00:12:05 Le sport, c'est aussi le 21e titre mondial pour Simon Biles.
00:12:09 La gymnaste américaine a été sacrée sur le concours général à Anvers.
00:12:13 Simon Biles est la gymnaste la plus titrée de l'histoire.
00:12:16 Toute compétition confondue.
00:12:18 L'enquête se poursuit pour tenter de retrouver Lina,
00:12:21 l'adolescente de 15 ans disparue depuis deux semaines dans le Barin.
00:12:24 Ce vendredi, une maison a été inspectée par les enquêteurs
00:12:26 à 3 kilomètres du domicile de la jeune fille.
00:12:29 Le week-end dernier, la maison d'un professeur de musique avait également été fouillée,
00:12:33 mais les investigations n'avaient rien donné.
00:12:35 Lina a disparu en se rendant à la gare de Saint-Blaise-la-Roche
00:12:38 pour rejoindre Strasbourg.
00:12:39 Cinq établissements scolaires ont été fermés en France à cause de punaise de lit.
00:12:43 À Marseille, Louan ou encore Saint-Dié-des-Voges.
00:12:46 Dans d'autres établissements, les dortoirs ont dû être fermés et les élèves relogés.
00:12:50 Une réunion interministérielle a été organisée pour faire un point sur le phénomène.
00:12:53 Le gouvernement dit suivre le sujet de très près.
00:12:57 Nicolas Sarkozy, doublement mis en examen.
00:13:00 L'ancien chef de l'État est inquiété dans l'affaire des soupçons de financement libyens
00:13:04 de sa campagne présidentielle de 2007.
00:13:06 Il est notamment visé pour recel de subornations de témoins au sujet de la rétractation de
00:13:11 Ziad Taqueddine.
00:13:12 "Aucun élément concret matériel de téléphonie ne peut m'incriminer dans cette folie, ni
00:13:17 de près, ni de loin", garantit Nicolas Sarkozy.
00:13:21 Et puis, c'est un hommage à toutes ces femmes qui se battent pour leur droit au péril de
00:13:26 leur liberté, de leur santé et même de leur vie.
00:13:29 Les mots du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a pris le prix Nobel de
00:13:33 la paix décerné à la militante iranienne Narjes Mohammadi.
00:13:37 La journaliste qui se bat contre l'oppression des femmes est actuellement emprisonnée en
00:13:41 Iran.
00:13:42 Le comité Nobel dit espérer que son pays lui accorde sa libération.
00:13:46 Voilà pour l'essentiel de l'actualité.
00:13:48 Sud Radio, la radio de la Coupe du monde de rugby.
00:13:53 France, Italie.
00:13:54 Bienvenue sur Sud Radio, les Bleus viennent de s'imposer très nettement face à des
00:13:59 Italiens.
00:14:00 Décevant.
00:14:01 C'est un match de 60 à 7 pour l'équipe de France avec un nombre d'essais incalculable.
00:14:06 Si, nous l'avons calculé.
00:14:07 8 exactement.
00:14:08 2 de Peno, 1 de Biel Biarré, 1 de Ramos, 1 de Jalibert, 1 de Mouwaka et 2 de Moefana
00:14:14 pour terminer la rencontre de l'équipe de France.
00:14:17 2 essais de Moefana à la 63e et 75e minute de jeu.
00:14:22 L'équipe de France est en quarte de finale, finie première de sa poule A du groupe A
00:14:27 devant la Nouvelle-Zélande.
00:14:29 C'est une victoire bonifiée qui amène les Bleus donc désormais dans une situation
00:14:33 d'attente de l'adversaire de l'équipe de France, probablement l'Afrique du Sud.
00:14:38 Beaucoup de choses à évoquer ce soir avec Philippe Spanguero.
00:14:40 Rebonsoir Philippe.
00:14:41 Salut les amis.
00:14:42 Comment ça va ? T'es pas le Princesse, rassure-moi toi.
00:14:46 Alors non, je suis pas le Princesse, je me réserve pour notre délogue mais visiblement
00:14:52 il y en a qui...
00:14:53 Le 15 octobre, venez nous voir.
00:14:56 Ouais, visiblement il y en a qui consomment pour nous.
00:14:58 Le quota Sud Radio a été dépassé.
00:15:02 Julien Thomas, bonsoir.
00:15:03 Bonsoir messieurs, rebonsoir et puis bonsoir à toutes et à tous.
00:15:07 Je te sens en forme.
00:15:10 Là t'as mis le tee-shirt blanc déjà pour aller faire une nuit blanche à Saint-Trope
00:15:13 ou quoi ? C'est quoi l'histoire ?
00:15:14 Oui j'ai la soirée blanche sur Saint-Trope.
00:15:18 C'est le Eddie Barclay de Movio.
00:15:22 Non, non, non, Eddie Barclay de Moggio, ça c'est une phrase rare.
00:15:28 Merci Philippe, c'est un honneur de me suivre.
00:15:32 Merci Julien.
00:15:33 Philippe Spanghero bien sûr qui est parmi nous le génie.
00:15:38 On l'a vu déjà dans les émissions précédentes, là où il gagnait au jeu qu'on met en place.
00:15:44 Non mais attends, je vais pas te laisser dire trop de bien de Philippe Spanghero, c'est
00:15:47 pas acceptable sur cette antenne.
00:15:48 Philippe est une ville personne et le restera, c'est pas grave.
00:15:52 67 donc pour l'équipe de France face à l'Italie.
00:15:56 Premier mot d'introduction, je vous laisse carte blanche, Julien Thomas et Philippe Spanghero,
00:16:03 quel genre de soirée vous avez passé en suivant le match de l'équipe de France sur
00:16:07 Sud Radio à la radio de la Coupe du Monde de Rugby ? Philippe.
00:16:10 Belle, belle, on l'a dit.
00:16:14 Bon, je développerai tout à l'heure.
00:16:16 Tu peux, tu peux y aller.
00:16:18 Je te demande pas un mot à choisir, je te demande une sorte d'introduction générale
00:16:22 à notre après match.
00:16:23 Un intro, une belle soirée, on l'avait dit.
00:16:26 C'est le moment d'être lyrique, d'être écrivain, parce que je te rappelle que tu
00:16:29 es écrivain au cœur de l'Ovalie, vous le retrouvez dans toutes les meilleures librairies
00:16:34 et un peu partout en France au cœur de l'Ovalie.
00:16:37 On vous le conseille le livre de Philippe Spanghero, "Edition Le Robert" avec du très
00:16:42 beau monde dedans.
00:16:43 C'est ça, c'est une belle intro pour m'être impressionné.
00:16:45 Désormais que tu es écrivain, on attend un beau mot de ta part sur l'introduction
00:16:49 de ce match.
00:16:50 Le premier match éliminatoire en Coupe du Monde sous l'air galtier, réussi.
00:16:56 On est en quart de finale avec un match extrêmement abouti.
00:17:00 On reviendra après sur la prestation des bleus, mais on a retrouvé ces bleus tueurs,
00:17:04 ce que je leur reprochais sur les matchs de préparation.
00:17:07 On est les premiers matchs de poule avec un match abouti du début à la fin.
00:17:11 On a des certitudes sur des joueurs dont on attendait beaucoup.
00:17:15 Donc voilà, c'est un match abouti et forcément une belle soirée.
00:17:18 Julien Thomas, tu n'es pas écrivain, mais tu as la sensibilité de l'écrivain.
00:17:24 Tu connais les mots.
00:17:25 Comment introduire un petit peu cet après-match avec toi ?
00:17:29 Alors, tous les mots du dictionnaire sont forcément de l'écrivain.
00:17:34 Donc, je vais dire propre.
00:17:36 D'accord, alors celle-là, elle est belle quand même.
00:17:41 Tous les mots du dictionnaire sont les mots de l'écrivain.
00:17:43 Alors, celle-là, je pense que tu devrais te la faire tatouer, Julien.
00:17:46 C'est fabuleux.
00:17:47 Je voulais te mettre une pièce, mais en fait, tu es parti avec une autre phrase.
00:17:54 Non, non, propre, il ne sait pas comment on peut se relever de ça.
00:17:58 Alors, toi, tu as choisi un mot pour qualifier la rencontre, c'est propre.
00:18:02 Pourquoi propre ?
00:18:03 Propre du fait qu'on attendait quand même cette équipe de France forcément au tournant
00:18:08 sans Dupont, sans peut-être Brequet avec des individualités.
00:18:13 Je l'ai trouvé collective, mais propre dans le sens où elle a fait ce qu'elle a annoncé.
00:18:18 L'Uruguay, on avait annoncé côté français, dans les 21e minutes, prendre le score,
00:18:23 essayer de mettre notre jeu en place vite, être en confiance.
00:18:27 Ils ne l'ont pas fait.
00:18:28 Ils se sont mis un petit peu dans le dur.
00:18:30 Et là, on a vu qu'avec une équipe de France de A à Z, dans ce qu'ils ont annoncé en
00:18:34 pré-match, pour le match et dans la gestion offensive et stratégique, tout était propre
00:18:39 pour moi, dans ce qu'a proposé le club de France.
00:18:42 Puisque Julien a un petit peu anticipé le conducteur, c'est un carton jaune, Julien.
00:18:47 C'est vrai, un petit peu.
00:18:50 Quentin Kévenis, un mot pour qualifier le match de l'équipe de France ?
00:18:54 Alors, de l'équipe de France ou le match dans l'ensemble ?
00:18:58 Allez, le match dans l'ensemble.
00:19:01 Partons sur la prestation globale.
00:19:02 Du coup, je vais dire décevant.
00:19:04 Alors là, je m'explique.
00:19:08 Alors là, je m'explique.
00:19:10 J'ai trouvé la performance de l'équipe de France très très bonne, mais je suis forcément
00:19:14 déçu de ce que les Italiens ont proposé.
00:19:17 Du coup, il y a eu un non-match.
00:19:19 Quand on parle des matchs depuis le début de la Coupe du Monde, où il y a des écarts
00:19:23 trop grands entre les deux équipes, c'était encore le cas aujourd'hui.
00:19:26 Oui, j'ai un peu ripé, mais voilà.
00:19:29 Pour moi, aujourd'hui, l'Italie n'était pas au niveau et du coup, ça a terni le match
00:19:34 qui aurait pu être une espèce de pseudo finale pour la qualification.
00:19:37 Au final, les Italiens se sont fait marcher dessus.
00:19:40 Et donc, il n'y a pas vraiment eu de match.
00:19:42 Est-ce qu'on est déçu par l'opposition italienne, Filius Fanghiro ?
00:19:47 Alors, oui et non.
00:19:50 Oui, dans le sens où on se disait que ces Italiens étaient plutôt non.
00:19:57 Pour deux raisons.
00:19:58 D'abord, parce qu'on avait vu quand même contre les Blacks qu'ils avaient été surclassés
00:20:03 dans tous les secteurs de jeu.
00:20:05 Et puis surtout, les Bleus ont mis tous les ingrédients qu'il fallait.
00:20:09 Je le répète, mais on a vu un match très abouti.
00:20:12 Et puis, quand en plus de ça, tu regardes le déchet de cette équipe italienne, plutôt
00:20:17 en début de match, quand ils étaient encore en mesure d'inquiéter un peu les Bleus.
00:20:22 Les trois premiers lancés en touche, ballon perdu.
00:20:25 Donc, ils te déçoivent ?
00:20:26 Un temps fort.
00:20:27 Ah oui, oui, les Italiens ont déçu.
00:20:30 Mais les Français, c'est vrai.
00:20:32 Tu dis non, Filipe, il faut savoir.
00:20:34 Là, tu dis, moi, les Italiens m'ont déçu et du coup, ça a un peu pourri le match.
00:20:38 Non, mais ils m'ont déçu, mais ce n'est pas une surprise.
00:20:41 On les avait vus faire des matchs plutôt sérieux contre les plus petites équipes de la poule.
00:20:46 Ah, tu veux dire que tu n'es pas comme Quentin à croire que c'était une équipe qui pouvait
00:20:50 embêter les Bleus, parce que Quentin lisait sur un match très serré.
00:20:54 Non, non, quand on en a parlé dans l'émission de cette semaine, en milieu de semaine, j'avais
00:21:00 dit qu'il y aurait au moins 40 points.
00:21:03 Je savais que cette équipe italienne, elle allait craquer.
00:21:06 Je pensais qu'ils opposeraient une résistance un peu plus sérieuse, au moins en première période.
00:21:11 Je ne pensais pas que ça lâcherait aussi vite.
00:21:13 C'est une entame quand même assez exceptionnelle des Bleus et comme les Blacks, on a su mettre
00:21:19 de la vitesse et de l'alternance et ces Italiens n'ont à aucun moment su répondre à ce qu'on a pu proposer.
00:21:26 Est-ce que les Italiens ont été plus brouillons qu'Antoine Mazère rue Princesse ? Julien Thomas.
00:21:39 Plus brouillons qu'Antoine, pas forcément, mais par contre, ils ont été pris à la gorge d'entrée de jeu par des Français.
00:21:45 Pas forcément, mais ce n'est pas bon signe pour Antoine ça !
00:21:48 Je pense qu'il va s'enfoncer au fur et à mesure dans la vase.
00:21:54 On va le rappeler dans pas longtemps.
00:21:56 Oui, bien sûr, c'est pas des nouvelles quand même.
00:21:59 Des Italiens dans les 20 premières minutes qui ont été pris à la gorge d'entrée par des Français.
00:22:05 Les Français qui ont été réalistes, qui ont tenu le ballon, qui ont été déjà dominateurs dans tous les domaines d'impact et de duel un contre un.
00:22:14 C'est là où ils ont imposé, je pense que même dans la conférence d'avant match, on sentait une équipe de France qui préparait les phases finales
00:22:21 et une équipe de France qui était sur les talibs bien sûr, mais qui basculait sur l'après.
00:22:27 Et donc il fallait montrer maintenant que dans ces duels, dans ce caractère des 20 premières minutes, la domination était la plus importante.
00:22:35 Je m'attendais à une Italie bien sûr un peu plus agressive, un peu plus de Rovachard par rapport à ce score des Neo Z,
00:22:42 mais tellement prise par l'engouement et par l'ambition de ces Français qui n'ont même pas pu sortir la tête de l'eau dans les 20 premières minutes.
00:22:52 Et là, après, derrière, ça a été terminé.
00:22:55 Oui, effectivement.
00:22:57 Question globale que je viens de poser à Félix Ponghiro.
00:23:01 Est-ce qu'on est déçu par l'adversité italienne ? On va la poser à Thibaut de Paris.
00:23:06 Salut Thibaut !
00:23:07 Salut Alexandre, salut Jacquem.
00:23:09 Comment ça va ?
00:23:11 J'avais dit à une amie italienne +40, +50, +60, j'étais un peu là-dedans.
00:23:23 Est-ce que tu es déçu par l'adversité italienne ce soir Thibaut ?
00:23:27 Il n'y en avait pas. Il n'y avait pas d'adversité. L'adversité, il sera pour le quart de finale, mais ça on le sait depuis le début de la Coupe du Monde.
00:23:37 La grosse adversité c'était contre les Blacks et la deuxième grosse adversité c'est le quart de finale. Donc on attend l'adversaire.
00:23:44 Oui, parce que là aujourd'hui, il n'y a rien à garder pour toi. Est-ce que c'est un bon match de préparation pour les quart de finale ?
00:23:50 Oui, parce qu'à priori ça devrait être l'Afrique du Sud, sauf que je mise une petite piéçarde sur la victoire de l'Ecosse demain.
00:24:09 On aimerait bien, ça nous arrangerait.
00:24:12 Ce qui est bien, c'est qu'on s'est mis dans le rythme par rapport au quart de finale. Tandis que l'Afrique du Sud, ils n'auront pas de roulement.
00:24:26 Ils n'auront 15 jours où ils n'auront pas joué. Oui, c'est un peu ce que tu dis Alexandre, d'échauffement ou d'entraînement par rapport à la semaine prochaine où ça sera le gros match.
00:24:39 Pour moi, ça sera le match le plus dur de la Coupe du Monde.
00:24:42 Le match le plus dur de cette Coupe du Monde, probablement pour les quart de finale.
00:24:48 Quentin, je ne comprends pas. Tu nous dis qu'il n'y a pas d'adversité, mais tu nous dis que c'était une bonne préparation pour l'Afrique du Sud. Explique-toi.
00:24:54 Pour ce qu'on a vu de l'équipe de France, c'est plutôt plaisant et même rassurant. Dans ce sens-là, le match des Français, pour moi, je l'ai trouvé très bien.
00:25:03 Mais j'étais déçu de l'adversité. J'aurais préféré un match peut-être plus engagé.
00:25:09 Quentin, si je te suis, si l'adversité n'est pas au niveau, est-ce que c'est vraiment une bonne préparation ?
00:25:14 Est-ce que dans ce cas-là, tu vas en entraînement dirigé et tu as plus d'adversité ?
00:25:16 Tu as joué contre le rugby, qui était un adversaire qui s'est fait battre par l'Italie largement. Et l'adversité était plus forte, au final.
00:25:25 Mais Julien Thomas n'est pas d'accord.
00:25:28 Non, non, Quentin, n'importe quoi. Après, c'est ton choix de dire ça.
00:25:33 Quand tu mets 60 points alors qu'il vient de s'en prendre 96 face au All Black, cette équipe d'Italie, peu importe le résultat final,
00:25:45 elle savait que ça allait être très dur face à la France, mais avoir des ressources de collectif, de répondants, de pays, de porter ce maillot de la squadra,
00:25:56 quand j'ai entendu Sergio Parise que je connais un peu donner deux ou trois déclarations,
00:26:01 c'est vraiment une équipe italienne qui voulait, au-delà de peut-être gagner ou perdre, peu importe, mais montrer d'autres valeurs.
00:26:09 Encore une fois, il est passé à la trappe.
00:26:12 Oui, mais du coup, est-ce que c'est une bonne préparation pour un quart de finale ?
00:26:15 Non, mais par rapport au jeu imposé et la bonne façon d'aborder ce match par des Français qui n'ont pas permis de l'être.
00:26:22 Pour moi, c'est ça.
00:26:24 C'est la nasa, ton explication. Moi, j'ai la tête en vrac.
00:26:27 J'ai été perdu à "Non, Quentin, tu dis n'importe quoi", mais la suite de l'explication, on ne m'a pas ramené sur la route.
00:26:34 Il est fatigué de ce gars.
00:26:37 Philippe, tu vois, lui non plus, il ne sait pas. Il ne te comprend pas.
00:26:44 Explique-toi, dis-nous.
00:26:46 Non, mais c'est aussi bruyant.
00:26:49 C'est dur, hein ?
00:26:51 Non, mais honnêtement, ce n'est pas simple d'y répondre.
00:26:54 Encore une fois, on est déçu parce qu'on aurait aimé avoir plus d'adversité, plus de certitude avant d'affronter un adversaire.
00:27:03 Philippe, ce n'est pas une question de déception. Est-ce que là, tu travailles suffisamment ?
00:27:09 Oui, non.
00:27:11 Est-ce que tu travailles bien ? Quand on le fasse, ça défend comme ça.
00:27:15 Ça met de la confiance.
00:27:17 Oui, on s'est mis d'accord dans la confiance, mais est-ce que ce n'est pas de la confiance frelatée, comme dirait Daniel ?
00:27:22 Non, mais attention. Les Bleus, pour revenir à leur performance, ont été très solides.
00:27:29 On était extrêmement réalistes. On a tué très vite le match en convertissant tout leur temps fort.
00:27:38 Il y a cette période, il y a 10 minutes en fin de mi-temps, je trouve assez intéressante si on doit tirer des enseignements
00:27:46 et se rassurer par rapport à l'adversité, où les Italiens reviennent un peu dans le match à 24-0,
00:27:52 arrivent à tenir le ballon sur de longues tentes de jeu, on reste discipliné, on est rassuré.
00:27:58 Bien sûr qu'on a des enseignements, mais surtout, honnêtement, le score.
00:28:02 La lecture du match, je t'entends. Je comprends tout à fait que tu dises qu'on ait fait un très bon match,
00:28:08 qu'il y a plein de positifs, qu'on s'est peu mis à la faute, et ainsi de suite. Je veux bien.
00:28:13 Mais le problème, c'est qu'en face, il n'y a pas d'adversaire.
00:28:17 Aujourd'hui, il n'y a pas d'adversaire face au bleu. Ne me dites pas que l'équipe de France s'est employée pour travailler aujourd'hui.
00:28:24 Elle s'est employée pour mettre sur sa top 1.
00:28:28 Exactement. Tu les as anéantis.
00:28:30 Oui, il y avait 21-0 à quelle dire.
00:28:34 Ça fait 4 ans que tu as des scores qui n'avaient pas trop d'écart, que tu galères un petit peu,
00:28:40 qu'elle te pose des problèmes, qu'elle vient chacailler, qu'elle vient un petit peu même te mettre du doute, cette équipe italienne.
00:28:46 29-24 sur le dernier match du tournoi.
00:28:49 Et là, tu as amené Fossad à la 60.
00:28:51 Mais ce n'est pas la même Italie, elle est cramée.
00:28:54 Non, mais elle est cramée.
00:28:56 C'est pour ça que je disais que j'étais déçu de la diversité.
00:28:58 Elle est cramée.
00:28:59 Moi, je suis rejoint au compte.
00:29:00 C'est la même sur le papier.
00:29:02 Exactement. Et dès la première minute, tu as mis tout en œuvre pour qu'elle soit hors de sujet.
00:29:07 On a les outsiders qui nous disent sur la chaîne Twitch de Sud Radio,
00:29:12 j'aime bien les explications de Julien Thomas, même si je ne comprends rien.
00:29:16 Je ne l'ai pas inventé celle-là.
00:29:18 Non, non, on comprend très bien Julien.
00:29:22 Il y a Nico qui nous dit prestations des bleus sérieuses.
00:29:25 On va se poser la question pour parler de sérieux avec Antoine Mazère, rue Princesse,
00:29:30 dans le village Saint-Germain, la fan zone Sud Radio.
00:29:34 Antoine, apparemment tout va bien.
00:29:38 Est-ce qu'on est satisfait ? Est-ce que ce match-là apporte des enseignements suffisamment sérieux,
00:29:45 suffisamment perceptibles, malgré le peu d'adversité en face des bleus ?
00:29:50 Oui, j'ai croisé pas mal de supporters en sortant des fameux bars de cette rue Guisarde.
00:29:56 Parce que tu les as tous faits.
00:29:58 Ah oui, on les a tous faits.
00:30:00 Que ce soit la boussole, l'allégria, le pouce au cri, le machon.
00:30:03 On les a tous faits.
00:30:05 Je suis avec Sonny. Sonny, ça y est pour lui.
00:30:08 Il pense que ça y est, l'équipe de France est enfin lancée à atteindre son pic de France.
00:30:12 Et il est rassuré, Sonny, on t'écoute.
00:30:14 Oui, donc je voulais vous dire que c'est juste incroyable ce que l'équipe de France a fait ce soir.
00:30:20 Dans un premier temps, on parlait d'équipe 1, d'équipe 2.
00:30:25 Je pense qu'il n'y a pas d'équipe 1, il n'y a pas d'équipe 2.
00:30:27 C'est juste un groupe, le groupe, et c'est le groupe France.
00:30:30 Enfin, pour moi, c'est le groupe France.
00:30:32 On a vu par rapport à Maxime Lucu ce soir, qui a pris son rôle vraiment au sérieux.
00:30:38 Et qui a été juste incroyable ce soir.
00:30:41 Il a bien remplacé Antoine Dupont.
00:30:44 Mais bon, on ne va pas se le cacher, il n'a pas remplacé Antoine Dupont pour tout le reste du match.
00:30:51 C'est juste là pour ce match, il a très bien joué son rôle.
00:30:56 Et voilà, c'est juste incroyable.
00:30:59 Je pense qu'il n'y a personne qui peut nous battre maintenant.
00:31:06 Au début, on a battu les Blacks, c'est vrai.
00:31:09 C'était un peu compliqué après avec l'Uruguay.
00:31:11 Et puis après, maintenant, on déroule notre jeu.
00:31:14 Et c'est juste incroyable ce soir ce qu'a fait l'équipe de France.
00:31:18 Et particulièrement Mathieu Jalibert qui a été juste exceptionnel.
00:31:21 L'un des meilleurs joueurs du tournoi pour moi.
00:31:25 Merci beaucoup Sonny et Antoine du côté de la fanzone Sud Radio.
00:31:30 Les amoureux de rugby se retrouvent au village Saint-Germain.
00:31:33 Ah, supporter Rochelet, on le salue.
00:31:36 Vive la Rochel ! Vive la Rochel !
00:31:42 Les copains de rugby, la Rochel on t'aime !
00:31:49 Vive la Rochel !
00:31:51 J'ai connu un Sonny à la Rochel, de Cabario.
00:31:53 Ça se trouve c'est lui, j'en sais rien.
00:31:55 Mais il n'y en a pas 50 000 des Sonny.
00:31:57 Après, il y a quelque chose qui me dit que Sonny, c'est peut-être le bébé.
00:31:59 Parce que les seuls joueurs qu'il a cités, c'est lui que Jalibert.
00:32:02 C'est peut-être ça.
00:32:04 Philippe, quels sont les joueurs pour toi qui se sont particulièrement illustrés ?
00:32:11 Alors, il y en a beaucoup.
00:32:14 Bien sûr Mathieu Jalibert dont on a parlé.
00:32:17 Les joueurs, combien tu m'en donnes dans le choix ?
00:32:19 Vas-y, donne un nombre.
00:32:21 15 !
00:32:23 3 !
00:32:25 Je veux le brainstorming de Philippe Swanguero.
00:32:27 Alors, dans les 3, je mets Jolonge.
00:32:31 Sujet important, je pense qu'il faudra y revenir par rapport à la projection de la composition de la semaine prochaine.
00:32:37 On va voir de quoi discuter parce qu'on ne va pas être d'accord.
00:32:40 Ok, on va en discuter.
00:32:42 Donc je mets Jolonge.
00:32:44 Je mets bien sûr Aldriz.
00:32:47 Et puis si je dois en mettre que 3, je mets Jalibert.
00:32:51 Je croyais que tu allais mettre Olivand, la 3ème ligne.
00:32:53 Le mec, il est 3ème bas et il va se foutre que des 3ème lignes.
00:32:56 Non mais Jolonge, je t'ai vu faire la mouche Julien.
00:33:00 Non mais alors Jolonge, pourquoi je le mets ?
00:33:03 Parce que dans cette capacité à mener cette densité physique,
00:33:10 cette rudesse dont on aura besoin contre les Sudaf,
00:33:14 il a répondu présent et il a tenu le rythme.
00:33:17 On sent qu'il manque encore un peu de coffre.
00:33:20 Mais sur le jeu au pré, sur la défense et sur sa capacité à tenir le match,
00:33:27 pour moi, il a amené les garanties.
00:33:29 Donc il va se poser réellement la question pour moi
00:33:33 de la 3ème ligne contre l'Afrique du Sud
00:33:37 et de la façon dont Fabien Galtier va gérer ça.
00:33:43 Parce qu'en effet, il répond à cette problématique de densité dont on a besoin.
00:33:50 Parce que quand on regarde par rapport au match de novembre
00:33:53 sur lequel on avait battu les Sudaf avec un combat incroyable,
00:34:00 on avait quand même Guylain McCay qui était en grande forme
00:34:03 et qui faisait beaucoup de bien.
00:34:05 Et puis Jolonge qui était aussi en très grande forme.
00:34:08 Julien, il a fait la mou pendant tes trois jours
00:34:13 et j'avais l'impression que tu n'étais pas d'accord.
00:34:15 Il était même outré.
00:34:17 C'est intéressant.
00:34:20 Exactement Philippe.
00:34:22 Après les 3ème lignes, ils sont beaux.
00:34:24 C'est vrai qu'ils ont un rôle important.
00:34:26 Mais pour les demi-mêlées, par rapport à cette charnière,
00:34:29 je l'ai trouvée très intéressante.
00:34:31 Un lucu pour moi qui a été très bon.
00:34:34 Il a fait une faute en introduisant le mêlée, ça t'a rappelé des bons souvenirs ?
00:34:37 Exactement.
00:34:39 J'ai mis un +1 pour lui déjà.
00:34:41 Maxime Lucu qui était dans un registre très attendu,
00:34:44 qui a collé, qui a été plutôt à la manœuvre,
00:34:48 qui a été performant et propre,
00:34:50 comme je disais par rapport à Sile de France.
00:34:53 Mais qui a permis à Jalibert d'être sur un plateau.
00:34:56 C'est pour ça que je mets Lucu qui était moins vu qu'un Jalibert.
00:34:59 Parce que Jalibert a été trié par la gare de train de Lucu,
00:35:05 avant de recevoir les ballons.
00:35:07 Et derrière, c'est Jalibert qui en a bénéficié,
00:35:10 avec son talent un peu plus offensif,
00:35:13 un peu plus expressif sur son talent individuel.
00:35:17 Alors qu'il y a la propreté de Lucu qui lui a trié tous ces ballons-là.
00:35:21 Et c'est pour ça que je l'ai apprécié.
00:35:23 Thibault de Paris,
00:35:25 quels sont les trois joueurs que tu veux mettre en lumière de ton côté ?
00:35:28 C'est bizarre, je suis quasiment tout le temps d'accord avec Philippe Sfanguero.
00:35:33 C'est pas possible.
00:35:35 Ça c'est très bizarre, c'est surprenant.
00:35:37 Encore un bénéficiaire de malette.
00:35:39 Il faut vraiment se reconfiner Thibault.
00:35:42 Tu te souviens de le Nord-Sud ?
00:35:44 Thibault, on ne peut pas en parler avec les gens.
00:35:48 Mais ça c'est la physique quantique qui peut l'expliquer.
00:35:51 C'est des mecs qui vibrent très haut ça.
00:35:53 Non, moi en fait, pour moi, Jalibert, mes top 3 c'est Jalibert.
00:36:01 C'est gelon et c'est Danty.
00:36:05 Il faut bien qu'il y ait un ancien stadiste quelque part quand même.
00:36:09 Oui, et puis surtout un joueur de la Rochelle c'est important.
00:36:13 Maty Love nous dit sur Twitch, sur la chaîne Twitch Studio Radio,
00:36:18 "Ce match a donné quelques informations de points".
00:36:21 "Il faut travailler sur nos touches", voilà la première information qu'a vue Maty.
00:36:25 "Ensuite, Dupont est à des années-lumières devant l'UQ et il faut qu'il revienne pour les quarts".
00:36:30 "Et enfin, Jalibert tient parfaitement son rôle".
00:36:33 "On a des buteurs bien meilleurs que l'Afrique du Sud".
00:36:36 Est-ce qu'on a des points d'accord ou de désaccord, Phyllis Panguiro, avec Maty ?
00:36:41 On a bien sûr des points d'accord.
00:36:44 En effet, on a été contrés quelques fois en touches.
00:36:48 Après, sur le reste, on peut en discuter.
00:36:52 Bien sûr qu'il faut travailler.
00:36:54 Dupont est à des années-lumières de l'UQ.
00:36:56 Encore une fois, le problème d'Antoine Dupont, on en a parlé cette semaine...
00:37:00 Des années-lumières ?
00:37:02 Des années-lumières ?
00:37:04 C'est beaucoup, quand même, des années-lumières.
00:37:06 Beaucoup, hein ?
00:37:07 Mais ils ne sont tellement pas dans le même registre...
00:37:09 Non, mais le problème, c'est qu'avec Antoine Dupont,
00:37:13 on sort du registre de ce qu'on attend d'un demi-de-mêlée.
00:37:16 T'as dit quoi ?
00:37:18 On sort du registre de ce qu'on attend d'un demi-de-mêlée.
00:37:21 C'est-à-dire qu'on attend un facteur X, un mec qui porte les ballons,
00:37:24 qui casse des défenses...
00:37:26 Julien en parlera mieux que moi, mais dans la gestion de son match,
00:37:29 l'UQ fait un très bon match ce soir, et a toujours fait de très bons matchs.
00:37:33 Donc, c'est sûr que la comparaison avec Antoine Dupont, elle est dure à tenir.
00:37:37 Mais qu'est-ce qu'on attend d'un demi-de-mêlée ?
00:37:39 C'est très dur de tenir la comparaison avec Antoine Dupont.
00:37:42 Donc, dans le rôle, dans le registre d'un demi-de-mêlée,
00:37:44 je ne trouve pas qu'avec le match qu'a fait l'UQ ce soir,
00:37:47 on puisse dire qu'ils sont à des années-lumières.
00:37:49 Puis, il ne perd jamais l'UQ avec l'équipe de France.
00:37:51 18 titularisations, 18 victoires.
00:37:53 Oui, oui, non mais Julien, à des années-lumières vraiment, l'UQ-Dupont ?
00:37:59 Des années-lumières, non.
00:38:01 Par contre, un Dupont bien sûr un peu au-dessus forcément,
00:38:05 numéro un dans cette hiérarchie.
00:38:07 Un Dupont qui, la différence aussi, prend les initiatives,
00:38:10 et il break les défenses dès qu'il le souhaite,
00:38:14 dès qu'il voit le moindre intervalle,
00:38:16 dès qu'il sent la situation se présenter.
00:38:18 Ce que l'UQ ne veut pas aborder,
00:38:22 c'est que l'UQ reste sobre, assez pragmatique,
00:38:26 assez dans le registre du système de jeu,
00:38:29 et ce qui ne fait pas de mal aussi à cette équipe de France.
00:38:32 Comme ça, il ne perd pas son jeu, l'UQ.
00:38:35 Comme ça, il reste dans le registre,
00:38:37 ce que demande aussi Galtier,
00:38:39 et qui certes, au numéro 10 ce soir, Jean-Libert.
00:38:41 Maintenant, c'est un UQ qui est pour moi aussi dans le système
00:38:46 de joueurs aux pieds, de défensive, de 9e avant,
00:38:49 et qui est un des joueurs très importants.
00:38:52 - Avant d'avoir la conférence de presse de l'équipe de France en direct,
00:38:56 du stade de Lyon, une question de Elouan Meitia,
00:39:00 qui nous dit "Bravo les Bleus, par contre en quart de finale,
00:39:02 est-ce qu'on sera filous ?"
00:39:03 Alors j'imagine que ça veut dire "est-ce qu'on sera bien ?"
00:39:06 "Car là c'est fini les récitations, qu'en pensez-vous ?"
00:39:09 Et cette question-là, je la mets en reflet,
00:39:11 avec une information que vient de nous transmettre Gilles Gansman,
00:39:15 journaliste nationalement reconnu pour ses informations
00:39:18 dans les médias, journaliste Sud Radio que vous entendez le matin,
00:39:21 avec Valérie Exper qui nous dit, et ça vient d'être envoyé par TF1,
00:39:26 alors là je suis moi aussi extrêmement surpris,
00:39:28 et sa surprise m'a interrogé aussi, la surprise de Gilles Gansman,
00:39:33 "Tous avec les Bleus, le concert, événement, jeudi 12 octobre à 21h10."
00:39:39 Et oui, "Pour fêter la qualification en quart de finale de l'équipe de France
00:39:43 de rugby, je cite, et mobiliser les énergies autour du 15 tricolore,
00:39:46 TF1 vous propose une soirée grandiose au cœur de Paris, place de la Concorde,
00:39:50 face à la plus belle avenue du monde."
00:39:53 Il y aura Nico Saliagas à la présentation, avec Isabelle Eturbureux,
00:39:57 des artistes comme Gala, ça c'est marrant, Mika, BigFollow,
00:40:01 Lee, Christophe Maé, Calogero, Patrick Bruel, Sheeman Baddy et autres.
00:40:05 Et le petit mot que m'adresse Gilles Gansman est quand même très intéressant,
00:40:10 c'est un événement d'habitude qui est construit pour une finale,
00:40:14 et non pas pour un quart de finale.
00:40:16 Est-ce que TF1 fait déjà la fête avant de faire l'étalage de la déception ?
00:40:21 Est-ce qu'on a déjà la crainte de l'élimination en quart de finale ?
00:40:24 Philippe Fanguero ?
00:40:25 Non, je pense en fait que dans les têtes, ce scénario,
00:40:30 ce qu'on est en train de vivre, ça fait trois ans qu'on le ressasse.
00:40:33 Et quand le temps a avancé, et qu'on a vu les équilibres changer,
00:40:40 et qu'on a vu les équipes numéro 1, le top 3 mondial au ranking changer,
00:40:46 on s'est dit qu'en quart de finale, il y aurait certainement tous les prétendants au titre
00:40:51 qui se rencontreraient, et que ça allait être compliqué.
00:40:54 Donc on sait que c'est une marche très importante.
00:40:58 Moi je pense que TF1 joue son rôle.
00:41:01 On voit aujourd'hui qu'il y a un engouement populaire autour des bleus,
00:41:04 qui a repris parce que cette cassure de 15 jours,
00:41:06 elle a fait quelque chose de mal médiatiquement.
00:41:08 C'est bizarre quand même !
00:41:10 Un jeu d'histoire en pleine semaine, comme ça là !
00:41:15 Moi je trouve ça surprenant aussi,
00:41:18 mais en effet c'est peut-être pour se dire qu'ils le font quoi qu'il arrive,
00:41:23 pour être sûr de pouvoir faire fructifier leurs droits en cas d'une éventuelle sortie en quart.
00:41:34 Le signal envoyé n'est quand même pas ultra rassurant, Julien Thomas ?
00:41:38 Pas rassurant du fait que c'est un événement,
00:41:41 mais peut-être si c'est le fait de le mettre là pour l'écart,
00:41:44 et puis si la France va en demi et la finale, ça va monter crescendo.
00:41:48 Peut-être aussi il va y avoir d'autres concerts.
00:41:52 Exactement, j'espère que c'est dans ce sens là,
00:41:55 et de ne pas faire tout comme si c'était une finale pour le quart de finale.
00:41:58 Ça je suis d'accord.
00:42:00 Il y a Thibault qui disait qu'il était un petit peu prénaturé.
00:42:03 Thibault de Paris, notre supporter de l'équipe de France et du stade Français Paris,
00:42:08 notre auditeur Sud Radio, avant de te libérer,
00:42:10 c'est vrai que c'est un peu bizarre non, cette programmation ?
00:42:13 C'est ce que j'ai vu à l'incrustation, parce que je suis chez des amis,
00:42:19 et quand j'ai vu ça, je me suis dit "mais c'est enregistré, pas enregistré ?"
00:42:24 donc moi je pense que c'était enregistré avant,
00:42:27 et moi je verrais ça plutôt en dessous.
00:42:30 Ça aurait été plus intelligent pour moi, je fais un peu l'expert média,
00:42:34 je ne suis pas du tout expert média, mais...
00:42:36 Mais si tu es expert média.
00:42:37 Nous non plus.
00:42:39 Gigantzman est expert média, nous non plus, nous ne le sommes pas.
00:42:44 Ça aurait été plus intelligent de le faire quand on se qualifie pour la finale ?
00:42:51 Oui mais c'est le risque de ne pas le faire du tout.
00:42:54 Oui mais je pense qu'ils ont booké les artistes,
00:42:58 et qu'il y a la vraie question d'une potentielle élimination en quart de finale.
00:43:02 Pierre tu le filmes après la finale quoi qu'il arrive,
00:43:05 et puis voilà, c'est la cérémonie clôture.
00:43:07 Oui mais peut-être que tu n'as pas le droit de le faire après la finale,
00:43:10 puisque c'est un autre show en cas de victoire, tu vois Quentin ?
00:43:12 Je ne sais pas si c'est les mêmes droits ou si c'est la même programmation.
00:43:15 Merci beaucoup Philippe d'avoir été avec nous ce soir.
00:43:18 Merci les amis, on a encore passé une belle soirée.
00:43:21 Une camomille au lit.
00:43:23 C'est ça, elle est déjà bue.
00:43:25 Elle est déjà bue, c'est pour ça je te trouvais, il faut que tu manquais d'énergie.
00:43:28 Il n'y a plus qu'à aller au lit.
00:43:30 Julien me disait qu'il y a deux allures notre Philippe ce soir.
00:43:33 Il se prépare pour les quarts.
00:43:35 Non non, il se prépare pour la finale, bien sûr, je le connais.
00:43:37 Monsieur qui danse.
00:43:39 On sera prêt pour les quarts messieurs.
00:43:42 On sera prêt, c'est une certitude, celui de Radio sera toujours premier sur le rugby.
00:43:50 Ça l'a toujours été, ça le sera toujours.
00:43:52 Merci Philippe d'avoir été avec nous.
00:43:54 Merci beaucoup Thibaut.
00:43:55 Tu vas la passer comment cette semaine jusqu'au quart de finale ?
00:43:58 Est-ce que tu vas trembler le matin en te réveillant ?
00:44:00 Est-ce que tu vas regarder les réseaux sociaux des Springboks en te couchant le soir ?
00:44:05 Pour les voir torse nu et paniquer.
00:44:07 Non, non, non.
00:44:08 Et te regarder ensuite dans le miroir et te dire "bah, bah, bah, bah, bah".
00:44:11 Peut-être pas, qui sait ?
00:44:13 Peut-être que je vais me transer en crossfit, on ne sait pas.
00:44:15 En tout cas, moi personnellement, j'ai des complexes à cause de ces gens-là.
00:44:20 Non, moi ce que j'espère c'est que pour les quarts de finale,
00:44:25 je pense qu'on sait tous que Dupont va jouer parce que même si le médecin lui dit non, voilà.
00:44:33 Mais moi, pour leur taper dedans ces bûcherons sud-africains,
00:44:39 moi je veux que Marchand joue.
00:44:41 Après je ne sais pas s'il sera apte ou pas,
00:44:44 mais pour qu'on les caboste devant pendant 20-25 minutes,
00:44:49 et voilà.
00:44:52 Caboster des sud-africains, tu sais, c'est quand même...
00:44:54 Bah oui, bah oui, bah oui, oui, oui.
00:44:58 Ça a été du haché menu la dernière fois qu'on les a rencontrés,
00:45:02 ça a été très, très, très serré.
00:45:04 Je crois à Marseille, en novembre dernier.
00:45:06 Après ils étaient à 14, hein ?
00:45:08 Oui, bah ils étaient à 14, et de nouveau à 14.
00:45:11 Moi, ce que je redoute un peu des sud-africains,
00:45:15 c'est est-ce qu'ils vont mettre Pollard en 10 ou pas ?
00:45:18 Ah bah, peut-être probablement.
00:45:20 Bah tiens, merci beaucoup Thibault, on va poser la question.
00:45:23 Tu nous fais une belle transition.
00:45:25 On va poser plein de questions à notre auditeur de Brive.
00:45:29 Bonsoir William.
00:45:30 Bonsoir messieurs.
00:45:32 Comment ça va ?
00:45:33 Ça va, belle soirée.
00:45:36 Belle soirée ?
00:45:37 Belle soirée.
00:45:38 Malgré le manque d'adversité quand même ?
00:45:40 Je viens de préciser, belle soirée.
00:45:42 Alors pas forcément pour le rugby.
00:45:44 Pour le rugby, elle est plutôt inquiétante sur la suite
00:45:47 pour les prochaines compétitions,
00:45:49 parce qu'on a vraiment l'impression qu'il y a un groupe
00:45:53 qui se resserre à 7-8 équipes qui seront à terme intouchables pour le reste.
00:45:58 Et on sait qu'en Coups du Monde, l'événement qui doit être une fête,
00:46:02 on sait que les surprises qui étaient plutôt rares
00:46:06 deviendront impossibles, et à terme il n'y en aura plus du tout.
00:46:10 Donc pour le rugby, c'est pas forcément très positif,
00:46:13 c'est plutôt inquiétant pour la suite.
00:46:15 Après nous, on avait besoin de gagner,
00:46:17 on avait besoin de faire une grosse entame
00:46:19 pour écœurer les Italiens et les empêcher de rêver.
00:46:22 Voilà, c'est ce qui a été fait.
00:46:24 Donc en tant que supporter français,
00:46:26 l'équipe de France est en quarte finale,
00:46:28 donc la première étape est validée.
00:46:30 Voilà, la partie positive, elle est là.
00:46:32 Elle n'est pas du tout grandissante,
00:46:34 une soirée grandissante pour l'avenir du rugby, non.
00:46:37 Non, non, toi aussi tu as été déçu par l'adversité italienne,
00:46:40 du coup j'en déduis William.
00:46:42 Il y a une question que je me pose,
00:46:44 c'est que tu es déçu de l'adversité
00:46:46 qui est proposée à l'équipe de France.
00:46:48 Donc je me demande si on n'est peut-être pas finalement
00:46:50 une équipe qui est compliquée à jouer.
00:46:52 Ah bah si, si, si.
00:46:54 Non mais on est une belle équipe,
00:46:56 mais c'est vrai qu'on se le répète à chaque fois,
00:46:58 donc simplement il faut qu'on arrive à admettre
00:47:00 qu'on est une équipe qui est compliquée à jouer,
00:47:02 que devant c'est costaud, qu'en conquête
00:47:04 on est quand même capable de poser des preuves
00:47:06 à peu près à tout le monde,
00:47:08 que finalement on a été capable de proposer
00:47:10 quelque chose de différent,
00:47:12 un numéro 9 qui apportait de la nouveauté
00:47:14 dans le jeu français,
00:47:16 puisque Antoine Dupont s'était imposé
00:47:18 80 minutes par match
00:47:20 depuis 4 ans maintenant.
00:47:22 On a pu voir qu'on proposait autre chose,
00:47:24 donc intéressant.
00:47:26 Alors oui l'adversité italienne,
00:47:28 on sait qu'en coup du monde
00:47:30 c'est compliqué,
00:47:32 dans le ton, ils arrivent à accrocher un ou deux matchs,
00:47:34 mais il faut quand même
00:47:36 comprendre je pense que cette défaite
00:47:38 aussi lourde face à la Nouvelle-Zélande,
00:47:40 a dû frapper,
00:47:42 a dû les secouer, la semaine a dû être terrible,
00:47:44 et prendre cet entame
00:47:46 avec un essai à plusieurs temps de jeu,
00:47:48 on marque pas un essai casquette d'entrée,
00:47:50 on marque un essai construit,
00:47:52 où ils sont pris au milieu du terrain, dans l'axe,
00:47:54 et quand on déplace le ballon on va marquer.
00:47:56 Ils ont pris en 3 minutes
00:47:58 tout ce qu'ils voulaient pas prendre, ils ont dû bosser toute la semaine
00:48:00 pour que ça ne se passe pas comme ça,
00:48:02 et le début s'est mal passé,
00:48:04 donc une équipe qui est moins bonne que l'équipe de France,
00:48:06 une équipe secouée qui en prend 100 le week-end dernier,
00:48:08 et qui prend un essai construit dès la 3ème minute,
00:48:10 c'était très compliqué
00:48:12 de rebondir derrière.
00:48:14 - William,
00:48:16 on a une question,
00:48:18 j'ai une question que j'ai envie de vous poser à tous les 3,
00:48:20 à toi, à Quentin,
00:48:22 et à Julien, et puis à vous, le chat aussi,
00:48:24 en direct sur Twitch,
00:48:26 je vais vous demander
00:48:28 un chiffre entre 1 et 15,
00:48:30 je vais vous demander un chiffre entre 1 et 15,
00:48:32 combien de postes sont encore
00:48:34 en concurrence pour les quarts de finale ?
00:48:36 Quentin Kebanis,
00:48:38 combien de postes, sans me donner lesquels ?
00:48:40 - Est-ce qu'on compte les retours de blessure ou pas ?
00:48:42 - Est-ce qu'on compte les retours de blessure ou pas ?
00:48:44 - Est-ce qu'on compte les retours de blessure ou pas ?
00:48:46 - Non.
00:48:48 - Alors, je vais dire 1.
00:48:50 - 1 poste pour Quentin.
00:48:52 Julien Thomas.
00:48:54 - 1 poste aussi pour Julien Thomas.
00:48:56 - 1 poste aussi pour Julien Thomas.
00:48:58 - William.
00:49:00 - Si on compte pas les retours de blessure, j'en vois aucun.
00:49:02 - Aucun ?
00:49:04 - Si on compte pas, on ne compte pas du pont.
00:49:06 - D'accord.
00:49:08 - Si on compte pas, on ne compte pas du pont.
00:49:10 - Et Marchand non plus ?
00:49:12 - J'ai un Marchand non plus,
00:49:14 alors si on ne compte pas les deux blessés.
00:49:16 - Alors, Marchand reviendra
00:49:18 de blessure peut-être,
00:49:20 mais c'est vrai que c'est un peu plus
00:49:22 hypothétique.
00:49:24 On a vu Bruno Boussagol, le manager santé
00:49:26 de l'équipe de France, c'était un petit peu...
00:49:28 - Il a dit que c'était pas 1,15% encore.
00:49:30 - Voilà, il avait des pincettes.
00:49:32 On a vu tout à l'heure
00:49:34 un auditeur, c'est Thibaut, nous dire
00:49:36 "je mettrais bien Marchand".
00:49:38 Il y a Dristan sur Twitch
00:49:40 qui nous dit "Movaca est plus convenable".
00:49:42 Et plus que convenable quand même, même si Marchand
00:49:44 est là.
00:49:46 - Et puis faut savoir qu'on a pas retour de blessure
00:49:48 les box.
00:49:50 - Bien sûr, bien sûr, c'est pas pour tout le monde.
00:49:52 Quentin, tu lui as dit "un seul poste".
00:49:54 Nico dit aussi "un seul poste".
00:49:56 Dristan dit aussi "un seul poste".
00:49:58 Alors,
00:50:00 quels sont les postes pour vous
00:50:02 où il y a encore concurrence pour les
00:50:04 quart de finale ?
00:50:06 Je vous pose aussi la question dans le chat
00:50:08 Sud Radio sur Twitch. Quentin Kévenis,
00:50:10 quel est le poste où il y a encore question ?
00:50:12 - Je pense que dans la tête de Gaultier, c'est peut-être en 3ème ligne.
00:50:14 Entre Cross et Gelonches.
00:50:16 - Donc, entre Cross
00:50:18 et Gelonches, il y a concurrence
00:50:20 pour le quart de finale.
00:50:22 William n'est pas d'accord.
00:50:24 Pourquoi William, il n'y a pas de concurrence ?
00:50:26 Qui est le titulaire assuré, selon toi,
00:50:28 pour le quart de finale, entre les deux ?
00:50:30 - Pour moi, Gelonches continuera
00:50:32 et enchaînera les matchs. Je ne vois pas l'intérêt
00:50:34 de placer Anthony Gelonches sur le banc.
00:50:36 Ce n'est pas le profil.
00:50:38 Je le vois bien. Débuter, tenir au
00:50:40 maximum, mettre du combat, apporter
00:50:42 cette capacité à arrêter les actions.
00:50:44 On a très peu de joueurs qui sont capables, à un plaquage,
00:50:46 d'arrêter l'action adverse.
00:50:48 Et lui, il est capable de le faire.
00:50:50 On verra s'il peut le faire 80 minutes
00:50:52 contre une équipe comme l'Afrique du Sud.
00:50:54 Et même s'il ne le fait que 50 ou 60 minutes,
00:50:56 je ne vois pas comment l'équipe de France peut se passer
00:50:58 de ce type de performeur
00:51:00 sur un quart de finale.
00:51:02 - On a Zorzi Jr. qui nous dit que ce soir,
00:51:04 on avait l'équipe type.
00:51:06 C'est-à-dire que ça va dans ton sens, toi,
00:51:08 William, où tu n'imagines aucun changement
00:51:10 sauf le retour
00:51:12 d'Antoine Dupont ou de Marchand,
00:51:14 des retours de blessures qui ne comptent pas dans ma question.
00:51:16 Julien Thomas, ton avis ?
00:51:18 - Moi, j'ai une question.
00:51:20 - Ah, oui ?
00:51:22 - Je vais te demander une réponse.
00:51:24 - Mais Julien, ce n'est pas toi le patron, là.
00:51:26 Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
00:51:28 - Par rapport à ce joueur,
00:51:30 je disais, peut-être un changement.
00:51:32 François Croce,
00:51:34 Anthony Gellonc.
00:51:36 Cameron Wauquiez a joué
00:51:38 tous les matchs de la phase de poule.
00:51:40 - 5 matchs au total, consécutifs.
00:51:42 - Face à les Sudaf, Gaillard,
00:51:44 Rouleau Compresseur, est-ce que peut-être
00:51:46 Gellonc ne monterait pas en seconde barre,
00:51:48 faire un très croce en troisième ?
00:51:50 Et mettre sur le banc, peut-être Wauquiez ?
00:51:52 - Ah, donc là...
00:51:54 - Ah !
00:51:56 - Après, il y a une autre, peut-être, réflexion.
00:51:58 Là, je vais de l'affaire, Alexandre.
00:52:00 - Alors, pour toi,
00:52:02 la question, elle est aussi en troisième ligne.
00:52:04 Donc, attends, si je reprends ma question initiale,
00:52:06 quels sont les postes ?
00:52:08 Tu m'as dit un seul poste, donc c'est troisième ligne ?
00:52:10 - C'est terrible que Croce se joue pas,
00:52:12 il est toujours bon, quoi.
00:52:14 - Et si, justement, il rentrerait...
00:52:16 - Oui, mais c'est pour ça, pour moi, c'est ça.
00:52:18 - Ah non, mais alors, attendez.
00:52:20 - Donc, toi, tu...
00:52:22 - Un plan B. - Mais t'as craqué !
00:52:24 - Mais non, mais c'est...
00:52:26 - Mais t'as craqué, Julien !
00:52:28 - Sur le 15 de départ. Après, il y a une réflexion sur le 15 de départ,
00:52:30 c'est que là, on était en 5-3 sur ce match,
00:52:32 face à l'Italie.
00:52:34 Galtier aime les 6-2, en général,
00:52:36 sur les bandes des remplaçants.
00:52:38 Et souvent, c'était Bacalhou qui était hybride,
00:52:40 qui faisait un petit peu le polyvalent.
00:52:42 Vu que c'est Gaillard face à l'Afrique du Sud,
00:52:44 vu qu'on va, je pense, prendre l'Afrique du Sud,
00:52:46 est-ce que ce n'est pas de laisser
00:52:48 cette composition cross qui peut rentrer
00:52:50 au centre, un 6-2,
00:52:52 ou un 3e banning,
00:52:54 s'il y a besoin, aussi ?
00:52:56 - Il y a Ruc Balou, qui nous dit "il fallait donner du rythme à Gelon,
00:52:58 et sur le niveau du moment, je mets cross".
00:53:00 Mais alors, quand même,
00:53:02 même dans le chat, tout le monde est là,
00:53:04 on me dit "pas de concu",
00:53:06 on me dit "concu, cross, Gelon".
00:53:08 Mais alors, on est tous d'accord ? Enfin, on est tous d'accord.
00:53:10 Moi, je ne suis pas d'accord avec vous ! Vous enterrez tous
00:53:12 Gabin Villière, là. Tout le monde.
00:53:14 - Ah, pour moi, oui.
00:53:16 - Je pense que le choix est affranchi, à mon avis.
00:53:18 - Au silence régnant,
00:53:20 Gabin Villière n'est plus un joueur
00:53:22 titulaire de l'équipe de France. Aujourd'hui.
00:53:24 - Non, Louis Bielbarré a pris le maillot.
00:53:28 - Oui, je pense que Louis Bielbarré
00:53:30 a prouvé sur les derniers matchs qu'il méritait
00:53:32 complètement sa place.
00:53:34 - Non mais, on est sûr de ça.
00:53:36 Enfin, moi, je suis quand même très, très
00:53:38 surpris. Parce que...
00:53:40 On s'appuie sur quoi, en fait ?
00:53:42 On s'appuie dans...
00:53:44 Mais, vous êtes... Mais, moi, vous êtes fou.
00:53:46 Mais, en fait, Louis Bielbarré,
00:53:48 il a joué l'Uruguay,
00:53:50 la Namibie, l'Italie. Il n'a pas été
00:53:52 attaqué une fois. Il n'a pas eu un adversaire.
00:53:54 - Il a joué trois matchs en cas. - Mais, il n'a pas eu un adversaire
00:53:56 correct ! Il n'a pas eu
00:53:58 un adversaire correct face à lui.
00:54:00 Et on fait des conclusions sur des adversaires
00:54:02 de seconde zone ou de troisième zone.
00:54:04 Alors qu'en face de lui, il aura Arenseux ou Kolbe.
00:54:06 Mais, est-ce qu'on ne va pas un peu trop vite
00:54:08 avec Louis Bielbarré, William ?
00:54:10 - Alors, je pense qu'il a
00:54:12 utilisé... Il a une dynamique. On sait que
00:54:14 c'est des postes où les marqueurs d'essai, ça peut
00:54:16 fonctionner très fort pendant trois mois.
00:54:18 Et après, les mecs disparaissent et
00:54:20 ils ne retrouvent jamais ce
00:54:22 côté positif. Donc, ce qui est
00:54:24 l'indicateur qui montre qu'il peut enchaîner, c'est
00:54:26 qu'il enchaîne les matchs, là.
00:54:28 Alors, que ce soit un bon choix...
00:54:30 - William, rapidement. - La question de moi, c'est
00:54:32 vraiment de voir que là, il enchaîne. Donc,
00:54:34 moi, il me paraît très logique qu'il
00:54:36 soit maté pour le quart final.
00:54:38 - Et Julien Thomas, à qui est-ce ? On prend la direction
00:54:40 du stade de Lyon, la conférence de presse
00:54:42 en direct de l'équipe de France avec Fabien Galthier
00:54:44 et le capitaine Charles Olivon.
00:54:46 Fabien Galthier, le sectionnaire, écoutez.
00:54:48 - Aligner tous les joueurs
00:54:50 et de maîtriser le match
00:54:52 du début jusqu'à la fin avec les 23 joueurs,
00:54:54 c'est une satisfaction aussi.
00:54:56 - La conférence de presse en direct de l'équipe de France
00:55:02 à Lyon. On reviendra
00:55:04 d'ailleurs sur cette petite phrase parce que
00:55:06 vous avez entendu Fabien Galthier
00:55:08 parler de faire tourner l'effectif
00:55:10 et que l'effectif, tous les joueurs, avait été utilisé.
00:55:12 Ça veut dire qu'on était encore dans une
00:55:14 étape de
00:55:16 management
00:55:18 de temps de jeu pour
00:55:20 Fabien Galthier. - La question sur les avants.
00:55:22 La performance
00:55:24 dans la bellet, dans la touche
00:55:26 offensive et défensive
00:55:28 sont deux secteurs qui sont très positifs
00:55:30 sur ce match.
00:55:32 Avec les rotations liées en plus
00:55:34 au coaching.
00:55:36 Sur le match,
00:55:38 nous avons su
00:55:40 exercer sur l'Italie une pression permanente
00:55:42 à ce niveau-là.
00:55:44 - Réponse courte.
00:55:48 Il souligne la pression permanente exercée
00:55:50 par les avants de l'équipe de France, Fabien Galthier.
00:55:52 Nouvelle question du côté de Lyon
00:55:54 au stade de Dessines.
00:55:56 - Pour l'instant, ils ne sont pas pressés
00:55:58 de poser des questions.
00:56:00 - Ils ne sont pas pressés de poser la question.
00:56:02 - Encore, qui progresse de match en match,
00:56:04 c'est-à-dire que la pression,
00:56:06 l'apport d'Anthony Gelon
00:56:08 pour donner des plaquages en avant-sang,
00:56:10 de Jonathan Antti aussi au minutat,
00:56:12 font un bien fou à cette équipe.
00:56:14 - C'est vrai que notre défense
00:56:16 progresse.
00:56:18 Après, c'est à vous de juger.
00:56:20 Nous, on est en train d'étudier
00:56:22 tranquillement les points d'amélioration.
00:56:24 On a encaissé sept points.
00:56:26 Sept points,
00:56:28 ça reste quelque chose de cohérent
00:56:30 pour
00:56:32 obtenir une ambition
00:56:34 dans cette compétition.
00:56:36 C'est clair que la défense,
00:56:38 vous regarderez de près toutes les équipes
00:56:40 qui postulent
00:56:42 et qui veulent gagner ce Coupe du Monde,
00:56:44 elles ont des défenses qui sont très hermétiques.
00:56:46 Il est clair pour nous
00:56:48 qu'on cherche
00:56:50 à encaisser
00:56:52 le moins de points possible
00:56:54 et à subir
00:56:56 le moins possible sans le ballon.
00:56:58 - Subir le moins possible
00:57:00 sans le ballon.
00:57:02 La défense de l'équipe de France monte en qualité.
00:57:04 Un tout petit mot
00:57:06 avant de revenir du côté de Lyon.
00:57:08 Julien, sur le management
00:57:10 des temps de jeu.
00:57:12 Si on suit la logique un peu Fabien Galtier,
00:57:14 on n'était pas forcément
00:57:16 sur ce point-là,
00:57:18 sur le fait
00:57:20 de construire directement l'équipe
00:57:22 pour le quart de finale.
00:57:24 - On n'en est pas loin quand même.
00:57:26 Je pense que ça va être cette équipe,
00:57:28 le 13e départ de France à l'Italie
00:57:30 ou alors un ou deux joueurs,
00:57:32 peut-être, mais replacés, comme je disais.
00:57:34 Si Dupont revient,
00:57:36 ça serait un changement déjà.
00:57:38 Mais non, on est dans la logique,
00:57:40 on est dans la construction,
00:57:42 il faut affiner
00:57:44 un petit peu nos relations, nos connexions
00:57:46 et surtout ce lien
00:57:48 de communication.
00:57:50 C'est le plus important sur un terrain,
00:57:52 entre les joueurs. Le jeu est long,
00:57:54 ça fait 4 ans qu'ils bossent ensemble,
00:57:56 ils sont en train de gagner des tournois,
00:57:58 des matchs, faire des séries,
00:58:00 être face à des adversaires,
00:58:02 face à des situations où tu as la pression
00:58:04 parce que tu peux être rentré dans l'histoire.
00:58:06 Mais je pense que là,
00:58:08 c'est quasi le 15e départ
00:58:10 qui va être en quart de finale.
00:58:12 - On entendait d'ailleurs une question sur la défense des Bleus,
00:58:14 9 plaquages manqués
00:58:16 du côté de l'équipe de France
00:58:18 et on a une question de Dristan
00:58:20 qui nous dit combien de faute côté Bleu,
00:58:22 6 fautes côté Bleu, 16 côté Italien.
00:58:24 Je vais vous prendre la direction de Lyon pour la conférence de presse en direct
00:58:26 de l'équipe de France avec Fabien Galthier
00:58:28 et Charles Olivon.
00:58:30 Une question à venir pour
00:58:32 probablement l'un des deux hommes à l'instant,
00:58:34 Fabien Galthier qui a parlé de Damien Penaud,
00:58:36 les joueurs qui deviennent grands sont servis
00:58:38 par l'équipe parce que Damien Penaud
00:58:40 va probablement
00:58:42 dans les prochains matchs
00:58:44 revenir à hauteur de Serge Blanco
00:58:46 en tant que meilleur marqueur
00:58:48 de l'histoire de l'équipe de France, marqueur d'essai
00:58:50 de l'histoire de l'équipe de France, Damien Penaud
00:58:52 qui a encore marqué un doublé aujourd'hui.
00:58:54 On écoute Fabien Galthier et Charles Olivon en direct
00:58:56 de Lyon grâce au son de Nicolas Delage.
00:58:58 Déjà les blessés,
00:59:00 je le répète,
00:59:02 comme je vous l'ai dit à Marseille,
00:59:04 on est toujours déçus et toujours tristes
00:59:06 quand un joueur se blesse avec nous.
00:59:08 Nous, le staff, on se sort
00:59:10 toujours responsable
00:59:12 parce qu'on accompagne les joueurs dans leur développement
00:59:14 mais pas coupable.
00:59:16 Jamais.
00:59:18 Quand on met un joueur sur le terrain,
00:59:20 on doit regarder de manière concrète
00:59:22 sa capacité à jouer.
00:59:24 Donc on est responsable
00:59:26 parce que c'est notre choix, mais jamais coupable.
00:59:28 Ensuite,
00:59:30 on s'est préparé
00:59:32 aussi à ce scénario
00:59:34 qui n'est pas un bon scénario,
00:59:36 c'est de perdre des joueurs sous blessure.
00:59:38 On a perdu Romain Tamac
00:59:40 sur blessure.
00:59:42 On a eu
00:59:44 Paul Wilhelmsen
00:59:46 qui s'est blessé pendant
00:59:48 la coupure et un entraînement
00:59:50 individuel chez lui, qu'il a déclaré forfait.
00:59:52 C'était les deux joueurs
00:59:54 qui étaient dans le groupe des 42
00:59:56 qui ont dû faire forfait.
00:59:58 Et dans la compétition, parmi les 33
01:00:00 aujourd'hui, on a deux joueurs qui sont blessés.
01:00:02 C'est Julien Marchand
01:00:04 et Anton Dupont.
01:00:06 Mais s'ils sont avec nous,
01:00:08 c'est parce qu'on est certain
01:00:10 qu'on va les retrouver dans la compétition.
01:00:12 On avance
01:00:14 à 33.
01:00:16 On est toujours 33.
01:00:18 Comptez sur nous pour avancer ensemble.
01:00:20 On est certain qu'on va les retrouver
01:00:24 dans la compétition.
01:00:26 C'est à la fois
01:00:28 très net, Julien Thomas,
01:00:30 et c'est rassurant aussi pour nous,
01:00:32 amoureux de cette équipe de France.
01:00:34 Très net, oui.
01:00:36 Il veut nous rassurer dans son discours,
01:00:38 Fabien, c'est ce qui est normal.
01:00:40 Mais je pense qu'Antoine Dupont peut-être
01:00:42 est le premier à pouvoir réintégrer
01:00:44 rapidement cette équipe de France.
01:00:46 Julien Marchand, j'en ai un peu moins
01:00:48 les certitudes. Ce qui est sûr,
01:00:50 c'est que ce sont des leaders, des joueurs
01:00:52 importants, parce que Julien Marchand
01:00:54 est dans le registre du gratteur,
01:00:56 dans l'épine dorsale d'une équipe
01:00:58 dans ce cas de France.
01:01:00 Ce joueur qui est quand même
01:01:02 très important, même si Mouwaka
01:01:04 nous fait des matchs extraordinaires.
01:01:06 Et puis, Antoine Dupont, le capitaine.
01:01:08 C'est pour ça qu'il fait partie du...
01:01:10 Après, Paul Williamson, c'est encore autre chose.
01:01:12 Savoir cette blessure,
01:01:14 savoir s'il peut... Moi, c'est l'axe droit
01:01:16 de cette mêlée qui peut être
01:01:18 problématique avec la puissance
01:01:20 avec son pilier droit,
01:01:22 le second ligne droit, dans la
01:01:24 mêlée fermée, dans des phases comme ça,
01:01:26 manque de puissance un petit peu sur le
01:01:28 paquet d'avant-français. - Après Antonio est une caisse quand même.
01:01:30 - C'est une caisse monumentale.
01:01:32 - Si t'as Antonio et Williamson
01:01:34 aux fesses, c'est encore
01:01:36 autre chose quand même.
01:01:38 - Ah bah ça c'est une certitude.
01:01:40 - Si il y a un demi-final, c'est encore autre chose peut-être.
01:01:42 - Ah bah oui, parce que face au bleu,
01:01:44 s'il y a un quart de final face au Springboks,
01:01:46 il y aura Benezébet probablement,
01:01:48 ou Franco Mostert derrière
01:01:50 Franz Maler, ce qui est absolument
01:01:52 colossal. On repart du côté
01:01:54 de Lyon pour la conférence de presse d'après-match,
01:01:56 après le succès des bleus, 67. - Après le premier final de Coupe du Monde
01:01:58 face à Nouvelle-Zélande, la majoritaire,
01:02:00 une deuxième finale de Coupe du Monde.
01:02:02 Clairement.
01:02:04 Donc on est très heureux
01:02:06 de valider
01:02:08 cette qualification, cette phase
01:02:10 qualificative.
01:02:12 Mais on sait
01:02:14 que notre prochain rendez-vous dimanche prochain,
01:02:16 c'est une
01:02:18 deuxième finale de Coupe du Monde qui nous attend.
01:02:20 Clairement. Je répète et je pèse mes mots.
01:02:22 - C'est une deuxième finale
01:02:26 de Coupe du Monde qui les attend après
01:02:28 le match d'ouverture face à
01:02:30 Nouvelle-Zélande. Ce que
01:02:32 dit à l'instant Fabien Galtier.
01:02:34 Oui, on est d'accord très rapidement
01:02:36 William sur cette idée-là que c'est une finale
01:02:38 de Coupe du Monde, le quart de finale qui arrive là.
01:02:40 - Oui, c'est une étape
01:02:42 extrêmement importante
01:02:44 avec une fois de plus
01:02:46 un adversaire qui peut prétendre aussi être champion.
01:02:48 Donc l'image me paraît
01:02:50 complètement adaptée à l'événement.
01:02:52 - On repart du côté de
01:02:54 Lyon avec Fabien Galtier et Charles Olivon.
01:02:56 - Frontal sur le début du match,
01:02:58 même sur les 80 minutes. On voulait
01:03:00 mettre beaucoup d'intensité,
01:03:02 se préparer aussi peut-être à la
01:03:04 suite et être frontal,
01:03:06 avoir des bonnes libérations
01:03:08 derrière pour pouvoir transformer notre jeu.
01:03:10 C'était quand même le maître-mot
01:03:12 dans le vestiaire avant le début du match.
01:03:14 Et donc évidemment,
01:03:16 le paquet d'avant a une grosse responsabilité
01:03:18 là-dedans. Je pense
01:03:20 qu'on a bien joué notre rôle et on a permis
01:03:22 de mettre un petit peu la charnière et les
01:03:24 trois quarts dans de bonnes dispositions.
01:03:26 Oui, satisfait
01:03:28 sur cet aspect-là
01:03:30 du jeu. Je pense que c'était
01:03:32 bien. On voulait être frontal à 15 et
01:03:34 je pense qu'on l'a bien appliqué ce soir.
01:03:36 - On voulait être frontal pour
01:03:40 se préparer pour la suite de la compétition.
01:03:42 Charles Olivon, à l'instant,
01:03:44 là on a quand même une déclaration
01:03:46 qui est très nette, Julien Thomas,
01:03:48 parce que, clairement,
01:03:50 il le dit, Charles Olivon, dans le plan
01:03:52 de jeu, il y avait aussi un mot
01:03:54 sur l'Afrique du Sud. D'abord, un mot sur l'Afrique du Sud à Lyon.
01:03:56 - Potentiel pour dimanche.
01:03:58 Je vais répéter ce que je viens de dire.
01:04:00 Quelque soit l'adversaire,
01:04:02 pour nous, c'est clairement
01:04:04 une finale de coupe du monde.
01:04:06 - Merci Fabien Galtier.
01:04:10 - D'un côté, le champion du monde
01:04:12 en titre,
01:04:14 qui a préparé son
01:04:16 back-to-back, clairement.
01:04:18 Clairement.
01:04:20 Et d'un autre côté,
01:04:22 le numéro mondial.
01:04:24 Le tirage au sort
01:04:28 a fait son travail.
01:04:30 A non de faire le montant.
01:04:32 - Waouh !
01:04:36 La déglace de Fabien Galtier !
01:04:38 Le champion du monde
01:04:40 contre le numéro 1 mondial.
01:04:42 Il considère les Bleus comme la meilleure équipe du monde.
01:04:44 Il le dit ouvertement, Fabien Galtier, Julien Thomas.
01:04:46 - Là, Fabien a raison.
01:04:48 Là, Fabien, il n'a pas de langue de bois,
01:04:50 c'est pas l'acteur.
01:04:52 Là, il a réalisé, il dit à la presse,
01:04:54 honnêtement, ce qu'il pense
01:04:56 au profond de lui, c'est que
01:04:58 tu passes en quart de finale,
01:05:00 tu prends soit les Blacks,
01:05:02 soit les Boxe, pardon, soit les Irlandais.
01:05:04 Meilleure nation du monde,
01:05:06 Irlandais, ou soit les champions du monde
01:05:08 en titre, Boxe.
01:05:10 Pour moi, ça fait quelques week-ends
01:05:12 dont on en parle dans nos émissions
01:05:14 sur la radio, je disais
01:05:16 le quart de finale, c'est un passage
01:05:18 qui va être le plus important pour cette équipe
01:05:20 de France. Si tu gagnes ce quart,
01:05:22 tu es champion du monde. Je me dis ça
01:05:24 dans ma tête. Parce que, pour moi,
01:05:26 c'est une finale, ce quart. Tu peux
01:05:28 à tout moment, quand même, sortir, être
01:05:30 éliminé d'un quart de finale. Il faut s'en rendre
01:05:32 compte, quand même. Tu ne joues pas
01:05:34 une petite nation, là, où une nation...
01:05:36 - Il ne mentionnait pas la France... Ah non, il parlait
01:05:38 numéro 1 mondial, c'est l'Irlande. - Il ne mentionnait pas la France en numéro
01:05:40 1 mondial, il parlait d'Irlande. - Je sais bien, mais
01:05:42 dans le fond... Non, mais bien sûr.
01:05:44 - Ça peut changer ce week-end. La France peut devenir
01:05:46 numéro 1 mondial ce week-end, si l'Irlande ne gagne pas.
01:05:48 - Non, mais pour moi, je l'ai pris
01:05:50 comme numéro mondial,
01:05:52 parce qu'il ne se met jamais numéro mondial.
01:05:54 Il veut rester un petit peu le...
01:05:56 - Non, mais je trouvais ça super intéressant. Je pensais
01:05:58 qu'il allait être dans ce sens-là. Mes excuses.
01:06:00 - Mais, par contre, il pensait
01:06:02 qu'un quart, c'était soit l'Irlande, soit
01:06:04 les boxe. Dans les deux cas, c'était une élimination.
01:06:06 - Donc, il éliminait les boxe. - Oui, bien sûr.
01:06:08 Et ça, c'était une finale,
01:06:10 pour lui, un quart de finale.
01:06:12 - Donc, dans tous les cas, de toute façon, ce sera
01:06:14 un match absolument colossal.
01:06:16 On en termine, donc, avec la conférence de presse
01:06:18 du côté de Lyon. Merci beaucoup à Nicolas Delage
01:06:20 et Julien Vert
01:06:22 pour tout mettre cela en place. Évidemment,
01:06:24 vous aurez les meilleurs extraits et les réactions
01:06:26 aux micro-sud-radios, aux deux
01:06:28 micro-sud-radios de Julien Vert
01:06:30 et de Nicolas Delage
01:06:32 dans le Grand Matin, Week-end,
01:06:34 et dans le Journal des Sports de Morgane Thomas
01:06:36 avec Jean-Marie Bordry et
01:06:38 Bastien Malric. Parlons
01:06:40 justement de multiples déclarations
01:06:42 de Fabien Galthier
01:06:44 et de Charles Olivon.
01:06:46 Il a évoqué à un moment
01:06:48 que c'était Charles Olivon
01:06:50 qui a dit qu'on a voulu être frontale
01:06:52 pour se préparer pour la suite,
01:06:54 William. La suite, elle sera frontale
01:06:56 quoi qu'il arrive ?
01:06:58 - Quand le voyou non, elle sera frontale
01:07:00 et on sait que même si on veut éventuellement déplacer
01:07:02 un peu plus le ballon-cul, il n'y aura pas le choix.
01:07:04 Il faudra répondre dans ce défi.
01:07:06 Mais ça correspond à ce qu'on disait
01:07:08 tout à l'heure, que l'équipe ne bougera pas
01:07:10 beaucoup, puisque s'il y a un plan qui a été préparé
01:07:12 pour le match d'après et que ce plan a déjà
01:07:14 été un petit peu mis en place ce soir,
01:07:16 il n'y a pas de grande chance
01:07:18 qu'on bouleverse un collectif pour faire le même plan.
01:07:20 - Tu souscris aussi que Gabin Villière n'est plus
01:07:22 un joueur titulaire de l'équipe de France.
01:07:24 - Malheureusement, c'est ce que je
01:07:26 ressens. Malheureusement,
01:07:28 c'est ce qui me paraît
01:07:30 se mettre en place.
01:07:32 Mais il aurait été très équipé dans son rôle
01:07:34 un petit peu
01:07:36 de chien
01:07:38 qui défend, qui met les mains partout,
01:07:40 son côté puncher dans un match
01:07:42 qui va être accroché, où le combat
01:07:44 va être important.
01:07:46 C'est un mec qui peut être hyper intéressant.
01:07:48 - Dans quel registre
01:07:50 t'es surpris Alexandre ? - Julien.
01:07:52 Oui, moi je suis très surpris.
01:07:54 - Par rapport à quoi ? - Oui, je suis très surpris.
01:07:56 Par rapport au fait que Louis Bielberen n'a pas
01:07:58 affronté une équipe de rang mondial.
01:08:00 Encore une fois. Je suis désolé.
01:08:02 - Mais nous l'a annoncé quand même,
01:08:04 si tu écoutais bien Fabien Galtier dans les interviews
01:08:06 d'avant match. - Je fais que ça de l'écouter.
01:08:08 - Oui, mais cet Alchimie...
01:08:10 - Il faut réussir à le comprendre, c'est différent.
01:08:12 - Exactement. Merci Quentin.
01:08:14 Cet Alchimie qu'il aime mettre du jeûne
01:08:16 de l'expérience.
01:08:18 - Est-ce qu'il se comprend lui-même ?
01:08:20 - Ah mais ça c'est autre chose.
01:08:22 - Bielberen en tout cas, c'est l'ovni
01:08:24 qui t'a cherché.
01:08:26 - Non mais on est d'accord Julien.
01:08:28 On sait très bien que Louis Bielberen,
01:08:30 dans le domaine aérien, est bien supérieur à Gabin Villière.
01:08:32 - Pour moi Gabin Villière, ce que disait Fabien,
01:08:34 ce que disait Fabien
01:08:36 dans son discours, c'était que
01:08:38 Gabin Villière en ce moment, il est peut-être
01:08:40 finalement un peu plus dans le dur,
01:08:42 pas à 100% de ses capacités
01:08:44 à tout donner. Il est physiquement,
01:08:46 après ses blessures,
01:08:48 qu'il a travaillé fort,
01:08:50 lui au lieu d'être dans le pic, il est dans
01:08:52 le 90%, alors que
01:08:54 Bielberen, il est dans le 110%
01:08:56 peut-être. Et plus l'insouciance de sa jeunesse.
01:08:58 - Oui mais il y a un moment où tu retombes.
01:09:00 Pour moi, il y a toujours un moment où tu retombes.
01:09:02 - Oui, si ça pouvait pas être dans l'écart, ça nous arrange.
01:09:04 - Ah oui, oui.
01:09:06 - Non, non, mais il va y avoir une accrochement.
01:09:08 - C'est un peu ça ça.
01:09:10 - Et puis on sait que ce sont deux profils totalement différents.
01:09:12 Ah bah oui, mais ce sont deux profils totalement différents.
01:09:14 On sait que Gabin Villière est très fort au sol,
01:09:16 on sait que Bielberen a des qualités
01:09:18 aériennes, un très bon jeu au pied
01:09:20 pour un ailier,
01:09:22 vraiment, puisqu'il est formé arrière, on le rappelle quand même.
01:09:24 - Mais là, si t'as pas l'air dans le fesse, faut peut-être être bon en l'air.
01:09:26 - Il faut être bon en l'air, et puis il faut être bon aussi au pied,
01:09:28 parce qu'il va falloir aussi
01:09:30 être capable de couvrir du terrain
01:09:32 et de renvoyer le ballon sur du jeu au pied long,
01:09:34 là où l'équipe de France excelle.
01:09:36 Et c'est un point très important.
01:09:38 Pour clôturer, Julien Thomas,
01:09:40 très rapidement, 30 secondes,
01:09:42 si vous nous rejoignez sur Soudradio, comment s'est passé la soirée ?
01:09:44 Le résumé de Julien Thomas.
01:09:46 - L'équipe de France qui avait
01:09:48 abordé ce match quand même avec un petit peu
01:09:50 de peur
01:09:52 du fait que ce soit un match coupé de
01:09:54 qualifications, sauf que c'était l'Italie qui avait
01:09:56 pris une grosse déculottée face
01:09:58 au Neo Z, et il fallait
01:10:00 dans les 21è minutes imposer
01:10:02 ce jeu, imposer physiquement
01:10:04 notre puissance
01:10:06 de cette équipe de France. Ce qu'ils ont fait,
01:10:08 ils ont mis d'entrée les ingrédients
01:10:10 qu'il fallait, ils ont anéanti des Italiens
01:10:12 qui n'ont pas existé pendant après 80 minutes,
01:10:14 d'où le score de 60 à 7,
01:10:16 31-0 à la mi-temps.
01:10:18 Ils ont déployé un jeu
01:10:20 plutôt cohérent et
01:10:22 satisfaisant. Par contre,
01:10:24 il y a encore quelques remarques
01:10:26 défensives à corriger,
01:10:28 mais je pense qu'on s'est mis en confiance côté français
01:10:30 pour le quart de finale, et maintenant, il va falloir
01:10:32 que le combat physique soit prêt
01:10:34 pour les Sudam.
01:10:36 - Exactement. Merci beaucoup,
01:10:38 Julien. Merci beaucoup à William.
01:10:40 Merci William d'avoir été avec nous ce soir.
01:10:42 - Avec grand plaisir, merci beaucoup.
01:10:44 - Et au revoir William,
01:10:46 et au revoir à tout le monde aussi sur Twitch, sur la chaîne
01:10:48 Sud Radio, puisque vous étiez
01:10:50 nombreux à poser des questions, c'est absolument
01:10:52 passionnant. Demain, on a un magnifique programme,
01:10:54 on a un très grand programme
01:10:56 demain, puisque du côté
01:10:58 de la Coupe du Monde, on aura trois
01:11:00 rencontres sur notre antenne
01:11:02 avec
01:11:04 Galle, Géorgie à 15h,
01:11:06 Angleterre, Samoa 17h45,
01:11:08 et le grand match du soir,
01:11:10 Irlande-Ecosse,
01:11:12 en direct sur Sud Radio
01:11:14 demain dès 15h,
01:11:16 jusqu'à 23h30
01:11:18 avec François Trilliot demain soir. Merci d'avoir
01:11:20 été avec nous, merci d'avoir fait vivre
01:11:22 le rugby sur notre antenne. Dans un instant,
01:11:24 la fête continue, mais c'est avec Boisget-Lay.

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