LE DÉBRIEF D'ASSE-DUNKERQUE (2-0)
- Les Verts s'imposent pour la quatrième fois consécutives et restent invaincus depuis sept rencontres désormais. Ils s'emparent de la 5è place, à deux points de Grenoble.
L'OEIL D'ALAIN BLACHON
- Retour du traditionnel "J'aime/J'aime pas" d'Alain Blachon. Avec lui, nous reviendrons sur les pertes de balles, la passivité défensive et la différence quand les Verts mettent du rythme.
Du 3-5-2 au 4-3-3, le Magic System !
- Depuis le passage en 4-3-3, les Verts se remettent à gagner. Qu'apporte ce système ? Mais peut-on gagner longtemps sans être flamboyants ?
LA LÉGENDE DE MICHEL ROUX
- Avec Michel on revient sur l'historique des confrontations entre l'ASSE et Dunkerque, dans le Chaudron. Avant celle de mercredi, il fallait remonter au 8 mai 1938 pour retrouver trace d'une confrontation entre les deux équipes.
LE TEMPS ADDITIONNEL
- Les filles affrontent le PSG ce vendredi soir / 4 internationaux partent en sélection / Et puis un quiz sur la Coupe du monde de rugby à Geoffroy-Guichard.
- Les Verts s'imposent pour la quatrième fois consécutives et restent invaincus depuis sept rencontres désormais. Ils s'emparent de la 5è place, à deux points de Grenoble.
L'OEIL D'ALAIN BLACHON
- Retour du traditionnel "J'aime/J'aime pas" d'Alain Blachon. Avec lui, nous reviendrons sur les pertes de balles, la passivité défensive et la différence quand les Verts mettent du rythme.
Du 3-5-2 au 4-3-3, le Magic System !
- Depuis le passage en 4-3-3, les Verts se remettent à gagner. Qu'apporte ce système ? Mais peut-on gagner longtemps sans être flamboyants ?
LA LÉGENDE DE MICHEL ROUX
- Avec Michel on revient sur l'historique des confrontations entre l'ASSE et Dunkerque, dans le Chaudron. Avant celle de mercredi, il fallait remonter au 8 mai 1938 pour retrouver trace d'une confrontation entre les deux équipes.
LE TEMPS ADDITIONNEL
- Les filles affrontent le PSG ce vendredi soir / 4 internationaux partent en sélection / Et puis un quiz sur la Coupe du monde de rugby à Geoffroy-Guichard.
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TVTranscription
00:00 *Musique*
00:19 Salut à toutes et à tous, bienvenue sur le plateau de Club ASS,
00:22 un tout nouveau plateau parce que c'est une nouvelle formule qu'on va vous proposer désormais,
00:27 c'est la rentrée un mois après la rentrée, finalement, c'est comme la rentrée étudiante,
00:32 on reste jeune dans nos têtes, ceux qui sont autour de la table le sont encore plus que moi, c'est dire,
00:38 et on va débriefer surtout des victoires, 4 victoires de suite pour les Verts,
00:43 ça fait 7 matchs que les Verts n'ont plus perdu, désormais la dernière victoire,
00:47 c'était ce mercredi soir face à Dunkerque dans le Chaudron,
00:50 ça faisait un mois qu'on n'avait plus retrouvé notre Chaudron,
00:53 et bien ça y est, il est de retour et les Verts continuent à gagner,
00:56 je vous propose tout de suite de voir ce qu'il s'est passé, cette victoire 2-0 face à Dunkerque,
01:00 et puis ensuite, une nouvelle chronique, c'est la débrief, le débrief à chaud,
01:04 avec Michel Rouffe et Alain Blachon, c'était hier soir à Geoffroy Guichard,
01:09 voilà, d'abord le débrief du match et ensuite le débrief à Geoffroy Guichard.
01:13 *Cris de foule*
01:19 Comme depuis quelques matchs, Saint-Etienne maintient le suspense jusqu'au bout de la rencontre,
01:24 pour débloquer le counter-bute face à Dunkerque, il a fallu attendre la 81ème minute,
01:29 Ben Taïgu est fauché par Baguijon,
01:31 M. Batta n'hésite pas et siffle le pénalty, que se charge de tirer Sisoko.
01:35 - Allez, Sisoko, fais-nous plaisir,
01:40 et c'est marqué, et c'est marqué !
01:42 Victorieux par un but d'Eka, les 3 dernières rencontres, les Verts surprennent leurs supporters.
01:47 3 minutes après le pénalty, nouvelle faute des Nordistes, cette fois-ci à l'entrée de la surface,
01:52 un coup franc qui se transforme en bijou pour Mathieu Cafaro.
01:55 - Et qui marque ! Et qui marque ! Et ouais !
01:58 - Moi c'est un coup franc bien placé, je l'ai bien senti, voilà, j'ai mis au fond et on a tombé.
02:04 Il fallait juste passer le mur parce qu'il était grand,
02:07 et c'est ce que j'ai réussi à faire, le ballon retombe dans la bonne zone et ça fait bien.
02:11 Les Verts peuvent remercier leur gardien Gauthier Larsonneur,
02:14 auteur de plusieurs parades décisives, notamment en première période,
02:17 sans qui le résultat ne serait pas le même.
02:19 - Il nous sauve en première mi-temps, je pense que s'il n'est pas là,
02:21 on perd 1 ou 2-0 à la mi-temps et je pense que c'est pas du tout le même match.
02:25 Deux buts et 15 dernières minutes de folie ne peuvent faire oublier le contenu sportif
02:29 proposé le reste du match.
02:30 L'entraîneur Stéphano est bien conscient des limites actuelles du jeu proposé par ses joueurs.
02:34 - Il faut dire qu'aujourd'hui, parler d'un projet sportif, je pense que c'est pas d'actualité,
02:40 notamment sur la première mi-temps où on a fait une mi-temps où on a laissé trop de choses à Dunkerque
02:47 et comme je l'aurai dit, je pense que contre une équipe peut-être plus haut classée ou meilleure,
02:53 on aurait sûrement subi des dommages collatéraux.
02:56 Après trois rencontres à l'extérieur, les Verts retrouvaient leur public à Geoffroy Guichard,
03:00 mais sans les Cops, fermés à côté d'ébordements survenus entre les supporters à Rodèze,
03:05 un chaudron qui sonnait légèrement creux ce mardi soir.
03:08 - Encore que la tribune a fait pas mal de bruit, il y avait pas mal de monde,
03:16 mais bien évidemment qu'on préfère gagner les Cops, c'est sûr, c'est mieux,
03:22 mais il va falloir jouer encore un match dans cette configuration-là,
03:28 donc bien finir la semaine parce que c'est un match important.
03:31 Alors même sans la manière, les supporters sont heureux de retrouver le ballon rond à Geoffroy Guichard,
03:36 même s'il faudra encore faire sans les deux Cops samedi face à Ajaccio.
03:40 - Bon, ça sonne un petit peu le creux, sans les Cops.
03:42 D'habitude, je suis en Cops et on va faire avec.
03:45 Il faudra faire avec samedi aussi, pour une autre victoire, ça serait sympa.
03:49 Fin de la 9ème journée, les Verts sont 4ème ex aequo avec 17 points,
03:53 avec le même nombre de matchs la saison passée,
03:55 les hommes de Laurent Batley, c'était 18ème avec 7 points.
03:59 - C'est une nouvelle formule ce soir qu'on est en train d'inaugurer.
04:02 On n'est pas vraiment sur le plateau, on est plutôt dans les coulisses de Geoffroy Guichard,
04:06 un endroit que vous ne voyez pas, c'est la zone mixte, et on est avec Michel Roux.
04:11 Et Alain, salut Alain.
04:13 Bon déjà, on est content de te retrouver.
04:14 - Oui, content.
04:15 Moi aussi de vous revoir et de parler football avec vous.
04:19 - Alain, Michel, ça va ?
04:21 - Oui, moi je suis content de vous retrouver, toutes les semaines, c'est un plaisir.
04:24 Et puis content qu'on ait encore pris 3 points.
04:27 Ça fait 12 en 4 matchs, qui l'eût cru ?
04:30 Et bien on l'a fait, donc c'est top.
04:32 - Effectivement, la dernière fois qu'on s'est retrouvé à Geoffroy Guichard,
04:34 c'était il y a un peu plus d'un mois, c'était le 2 septembre.
04:37 La SS n'avait que 5 points en 5 matchs.
04:40 Quelle remontée ! Ils font plus que redresser la barre finalement.
04:45 - Oui, c'est surtout l'efficacité retrouvée,
04:49 un groupe qui s'est solidarisé un petit peu,
04:52 une organisation qui a été un petit peu modifiée
04:55 et qui a permis à Laurent et à son équipe de devenir performant,
04:59 de prendre moins de buts et de marquer,
05:02 même s'il y a quand même pas mal de coups de pierre été.
05:05 C'est quand même une bonne chose.
05:06 Et surtout, le tournant a été à Caen, où on s'attendait à une grosse désillusion.
05:13 - On a l'impression d'avoir vu plus de jeux quand même que lors des victoires à l'extérieur.
05:18 - Oui, c'est-à-dire qu'on sortait d'un match à 3, où on avait été largement dominé
05:22 et on l'avait emporté sur un coup de dé.
05:25 C'était un petit braquage qu'on avait réussi.
05:28 Contre Cancarno, ça avait été un petit match des 22 acteurs.
05:31 Là aussi, on l'avait emporté 1-0.
05:32 Là, aujourd'hui, on a eu plus d'occasions,
05:34 mais on en a concédé plus que contre Cancarno.
05:38 Donc, il y a encore des choses à améliorer, mais il faut y aller step by step.
05:42 Il ne faut pas oublier qu'il y a un mois, on était quasiment au fond du trou.
05:48 Le club n'était pas en crise, mais il y avait un manque de sérénité et de confiance, c'est évident.
05:52 Aujourd'hui, avec les points, on va regagner en confiance, en sérénité.
05:56 On va à nouveau faire peur à nos adversaires et puis on va avancer.
06:00 Et bon, il y a toujours les grincheux qui se plaignent qu'il n'y a pas de contenu.
06:04 Oui, mais quand il n'y a pas de points, ils se plaignent.
06:07 Quand il n'y a pas de points et pas de contenu, ils se plaignent.
06:10 Et là, écoutez, on a l'essentiel dans ce premier temps.
06:13 Il faut être pragmatique, prendre des points, redresser la barre.
06:16 Chose a été faite.
06:17 Alors, dans cette émission, on aura toujours l'œil d'Alain Blachon.
06:19 Donc, techniquement, on reviendra dans cette émission sur ce qui t'a plu, ce qui t'a pas plu.
06:25 Mais là, ce n'est pas forcément du jeu.
06:27 Mais toi qui as été dans un staff pro, valider des victoires à l'extérieur avec une victoire à domicile,
06:33 c'est essentiel, c'est incontournable.
06:35 C'était très important, cette victoire, pour valider les trois matchs à l'extérieur
06:42 qui avaient été confirmés par des victoires.
06:44 Et le fait de gagner contre Dunkerque chez nous,
06:48 ça nous permet d'asseoir les neuf points qui ont été pris à l'extérieur,
06:53 alors qu'on aurait été mis en difficulté si on avait perdu.
06:57 Donc, c'est bien.
06:57 Et maintenant, on va attendre avec beaucoup d'impatience le match de samedi pour Ajaccio,
07:02 qui permettrait de nous installer durablement dans les premières places.
07:07 Globalement, vous l'avez vécu comment ?
07:08 Parce qu'il y a eu un temps fort de chaque côté,
07:11 enfin même un ou deux temps forts de chaque côté en première mi-temps.
07:14 Une deuxième, c'était un peu poussif.
07:15 Et puis, l'ASS a bien fini.
07:18 Comment tu l'analyserais rapidement avant de revenir techniquement sur le plateau,
07:22 sur ce qui t'a plu ou pas ?
07:25 Je crois que le souci essentiel de l'équipe, c'est de faire des erreurs techniques
07:29 qui donnent des opportunités à l'adversaire.
07:31 Alors que les dix premières minutes avaient été très intéressantes,
07:34 et mettait cette équipe de Dunkerque qui était un petit peu sur la retenue,
07:38 anxieuse un petit peu d'affronter un club comme Saint-Etienne.
07:42 Ils sont revenus dans la confiance grâce à nos erreurs,
07:45 ou à cause de nos erreurs techniques, qui font qu'ils ont repris confiance.
07:49 Et là, après, ça a été beaucoup plus dur pour nous.
07:51 Et il a fallu hausser le ton, hausser le rythme,
07:54 hausser l'intensité sur les dix dernières minutes,
07:56 ce qui a permis d'étouffer un peu cette équipe de Dunkerque et de faire la différence.
08:01 Et finalement, c'est que des victoires qui se dessinent à la fin.
08:05 Ça avait été le cas à Caen, ça avait été le cas dans les vingt dernières minutes à Conte-Carnot,
08:11 et puis Conte-Troyes dans les vingt dernières secondes, on va dire.
08:13 Exactement, oui. Donc c'est aussi bien,
08:15 parce que ça prouve aussi qu'il y a la volonté d'aller jusqu'au bout,
08:18 que physiquement, on est capable de hausser encore le ton.
08:21 Là, on l'a encore vu ce soir, donc ça, c'est important.
08:25 Alain l'a très bien dit, on a pêché longtemps au niveau de choses basiques,
08:31 contrôle, passe, choix pas forcément pertinents.
08:34 Et puis, on manquait d'intensité, de rythme.
08:37 Et effectivement, on a haussé le rythme dans les dix dernières minutes
08:41 et on a trouvé l'ouverture, certes sur deux coups de pied arrêtés, mais ça compte.
08:45 Et on sait que c'est souvent les coups de pied arrêtés qui font la différence
08:50 et qui permettent de débloquer les situations.
08:53 Ça nous a encore souri ce soir.
08:54 On ne va pas bouder notre plaisir et on ne va pas être plus royaliste que le roi.
08:58 Encore une fois, on est ce soir quatrième Ex-Aiko.
09:01 Je vous rappelle que le soir du 12 août, on avait zéro point en deux matchs.
09:05 Ça commençait à...
09:07 On commençait à se poser des questions, certains.
09:09 Et bien là, on s'en pose, mais on s'en pose des bonnes.
09:12 Savoir si on va pouvoir continuer,
09:14 savoir si on va pouvoir élever notre niveau contre des équipes d'un calibre supérieur.
09:18 Et Laurent Batteless l'a très justement souligné ce soir.
09:22 Il a été très lucide.
09:24 Contre des équipes d'un calibre supérieur à Dunkerque, ça ne passera pas ce soir.
09:28 En revanche, peut-être que dans 15 jours, 3 semaines, avec 3 voire 6 points en plus,
09:33 on aura plus de confiance et plus de...
09:36 Un contenu plus abouti.
09:37 Allez messieurs, on voit derrière nous Emmanuel Feky s'arrête.
09:41 On va aller le voir et puis on diffusera justement sa compte de presse
09:45 dans cette émission un peu plus tard.
09:47 Voilà, c'est la nouvelle formule qu'on vous propose pour ce début d'émission.
09:52 Dès que ce sont des matchs à Geoffroy Guichard,
09:54 on débriefera à chaud avec les acteurs que l'on retrouve autour de la table.
10:00 On va commencer par Alain Blachon.
10:01 Salut Alain, ça faisait longtemps qu'on ne t'avait pas revu.
10:03 Oui.
10:04 Tu as profité de vacances bien méritées.
10:06 Oui, j'avais disparu un peu pour faire un petit peu de sport,
10:09 mais bon, c'est vraiment un grand plaisir de revenir sur le plateau
10:13 et puis d'assister aux matchs de l'AES.
10:15 L'humilité quand même, Dalin, parce que c'est un petit peu de sport.
10:18 C'est aller jusqu'en Espagne en vélo.
10:19 Voilà, c'est ça.
10:20 C'est un petit peu.
10:21 700 kilomètres.
10:22 Une petite sortie matinale comme ça pour Alain Blachon.
10:25 Salut Laurent.
10:26 Salut Anto.
10:27 Je suis vraiment ravi de te retrouver sur le plateau
10:30 pour inaugurer finalement cette nouvelle formule,
10:33 parce que pour savoir où on va, il faut savoir d'où l'on vient.
10:36 Et voilà, c'était toi qui étais aux manettes avant,
10:40 avant moi, dans 2018 à 2021.
10:43 Donc je trouvais essentiel que tu viennes sur ce plateau déjà pour valider
10:48 si la nouvelle formule te plaît.
10:50 C'est toujours bien d'être au démarrage de quelque chose
10:53 et d'essuyer les plâtres, mais ça va bien se passer avec les experts
10:57 que sont Alain et Michel et puis ta main de maître.
11:00 Bah écoute, parce qu'on sait s'inspirer des meilleurs.
11:03 Alors merci pour ce que tu as apporté à cette émission
11:06 et ce que tu vas apporter dans les 30 minutes restantes.
11:10 Et puis Michel Roux également.
11:13 Michel, au tour de la table.
11:14 Alors avec toi, on va revenir dans cette émission sur la légende de l'ASS
11:20 et la légende, eh bien, on s'est arrêté sur les ASS d'Unkerk,
11:23 l'historique des ASS d'Unkerk.
11:25 C'est un club qui a un passé glorieux, qui a un avenir qui,
11:29 espérons-le, sera à nouveau réjouissant.
11:31 Et l'histoire de l'ASS, c'est une foultitude de petites histoires,
11:35 de belles et grandes histoires.
11:37 Et d'autant plus que cette année, on fête les 90 ans de l'ASS.
11:40 Donc on est allé rechercher dans les archives quelques hauts faits d'armes.
11:45 Et le dernier ASS d'Unkerk, avant celui d'hier soir,
11:49 il faut remonter à mai 38.
11:50 C'est ça.
11:51 On verra tout ça.
11:52 Effectivement, c'était une autre époque, c'était un autre football quand même.
11:56 Alain, justement, je voulais revenir avec toi juste après ce débrief,
12:00 parce qu'après la rencontre, quand on était en zone mixte,
12:03 tu nous as glissé.
12:04 Je pense que l'entraîneur de Dunkerque doit avoir les boules.
12:06 Effectivement, il y a de quoi quand même.
12:08 Oui, quand on est entraîneur, surtout sur un match à l'extérieur
12:11 où la prestation de Dunkerque a été assez honorable et très correcte,
12:18 ils ont profité des erreurs stéphanoises pour se créer des occasions.
12:21 Malheureusement, ils n'ont pas pu les concrétiser.
12:24 Et un entraîneur qui voit son équipe ne pas concrétiser les actions
12:30 et surtout se voir punir en fin de match,
12:33 comme ils l'ont fait hier soir par les Stéphanois,
12:37 c'est toujours très décevant et on passe une très mauvaise nuit.
12:40 80% de possession de balles pour Dunkerque jusqu'à la 75e minute.
12:44 80%, c'est énorme.
12:46 Effectivement, cette possession de balles,
12:48 ils ont eu quelques occasions entre la 20e et la 25e.
12:54 On a eu très chaud aux fesses.
12:56 On va du coup enchaîner avec l'œil d'Alain Blachand.
12:59 Ça faisait longtemps, ça nous manquait.
13:00 L'œil d'Alain Blachand, ça va être un nouvel œil.
13:03 Alors, je te propose de venir parce qu'on a cet écran désormais.
13:08 Alors, je te laisse effectivement te placer.
13:11 Tu vas nous débriefer ce que tu as aimé, pas aimé.
13:16 Et notamment, eh bien...
13:19 On commence par ne pas aimer.
13:21 Ce que tu n'as pas aimé, c'est les pertes de balles.
13:22 Voilà, on commence par ne pas aimer.
13:24 Donc, il y avait deux thèmes essentiels.
13:26 Les pertes de balles sur les récupérations.
13:29 Voilà, on voit ce ballon de Mouefek, on doit lui parler.
13:34 Tardieu lui dit rien.
13:35 L'action part et bon, ça peut coûter une action très dangereuse
13:39 et surtout, ça donne de la confiance.
13:40 Cette sortie de balle qui est très gentille.
13:43 Tardieu qui se laisse surprendre aussi.
13:46 Il faut une intervention de l'arseneur qui est hyper importante
13:50 pour pouvoir revenir sur cette action.
13:54 Et là, sur cette perte de balle, encore une fois,
13:56 on voit que les Dunkerquois ont des opportunités pour passer
14:01 et malheureusement, ils n'en arrivent pas à concrétiser.
14:05 Et ce qui fait que, heureusement, ça nous a fait du bien.
14:08 Le deuxième thème, c'était plutôt la passivité défensive
14:13 de cette équipe stéphanoise.
14:16 On voit que l'équipe est bien en place.
14:18 - N'hésite pas.
14:18 - Non, non, mais on voit bien que le bloc équipe est en place.
14:22 Mais il n'y a pas de pression sur cette équipe dunkerquoise
14:25 qui était sur les dix premières minutes,
14:27 qui ont souffert d'ailleurs du pressing stéphanois
14:30 et qui là, peuvent développer leur jeu assez facilement.
14:33 On voit les lignes et le jeu entre deux
14:36 qui fait qu'il y a des opportunités
14:38 et les Dunkerquois savent profiter de ces opportunités,
14:43 en particulier Chabeb,
14:46 qui a été un des joueurs les plus dangereux jusqu'à sa blessure.
14:52 Donc voilà, sur cette deuxième action, toujours pareil,
14:55 on revient se replacer alors qu'il aurait fallu un pressing
14:58 un peu plus saignant et un peu plus important
15:01 de cette équipe stéphanoise qui laisse jouer facilement.
15:05 Il n'y a pas de pression d'Apiar aussi.
15:07 Et donc sur cette sortie de balle,
15:09 ils sortent tranquillement le ballon et tout de suite après,
15:13 récup du deuxième ballon où, bien entendu, on n'est pas en place.
15:17 Et l'action va se dérouler encore une fois et donner une opportunité,
15:21 une belle opportunité à Dunkerque de...
15:27 Ouais...
15:29 Donc voilà, c'est surtout ce qu'on n'aime pas.
15:34 Par contre, il y a eu deux choses,
15:36 enfin deux parties dans le match qu'on a adoré,
15:39 les dix premières minutes.
15:40 Et on a vu que d'entrée, Laurent Batless qui a demandé,
15:44 là, il est en train de dire à son équipe, mettez du rythme.
15:46 Et donc, c'est le thème de cette deuxième partie.
15:50 On voit que les Stéphanois vont accélérer leur jeu
15:55 et accélérer l'organisation du ballon
15:59 en donnant un petit peu de vitesse à ce ballon.
16:01 On voit un peu de verticalité.
16:03 Et tout de suite, cette équipe de Stéphanoises crée de danger.
16:08 Et on est présent sur la récup du ballon.
16:11 Voilà un bon pressing qui permet à l'équipe de récupérer
16:14 et d'avoir une nouvelle situation à 25 mètres du but.
16:18 Et une belle opportunité.
16:19 On voit que Charbonnier n'est pas très en confiance.
16:22 Mais cette magnifique frappe de Petro confirme que c'était important.
16:28 Et la deuxième partie, c'est les dix dernières minutes.
16:32 Et on voit qu'il a fallu attendre la fin du match
16:35 pour voir ces Stéphanois accélérer,
16:37 mettre la pression sur cette équipe d'Inquerquoise,
16:40 mettre la balle devant le but sur cette tête de Sisoko,
16:43 qui manque d'un rien le cadre.
16:45 Sur la deuxième action, on voit qu'il y a une verticalité qui est donnée.
16:50 Sisoko, sa rentrée qui a été importante.
16:53 Et on voit le contre qui va amener le pénalty du jeune Marocain
16:57 avec la faute de Balijon.
17:00 Et la troisième action, pareil, une récup' du ballon.
17:04 Verticalité, on essaye de ne pas perdre la balle.
17:07 Malheureusement, ça ne se passe pas très bien.
17:09 Mais on est présent sur le deuxième ballon.
17:12 Voilà, la récup' du ballon.
17:14 On va gagner cette balle.
17:16 Et ce qui va nous donner un petit peu de verticalité
17:18 et surtout de la vitesse.
17:20 Voilà, récupération, on va vite vers l'avant.
17:23 Et ça part.
17:24 Ça peut même être combiné avec une combinaison.
17:26 Là, on gagne le coup franc que Sisoko
17:30 et que Cafaro vont pouvoir transformer.
17:33 C'est l'espace entre les lignes aussi, qui est réduit.
17:36 Les enchaînements, deux choses qui sont hyper importantes
17:39 pour que cette équipe soit compétitive contre les grosses cylindrées.
17:44 C'est moins perdre de ballon,
17:46 être un peu plus agressif dans l'attaque de balle défensive.
17:51 Et la deuxième chose, c'est avoir ce rythme et cette intensité de jeu
17:55 pour accélérer les ballons et donner, avoir des opportunités de danger.
17:59 Parce qu'on a l'équipe qu'il faut pour faire des bons matchs.
18:02 Et bien voilà la promesse de cette chronique à chaque fois avec Alain Blachon.
18:06 C'est de voir le foot autrement dans l'œil d'Alain.
18:09 Je te laisse regarder ta place Alain.
18:11 Et quand on regarde le foot dans l'œil d'un spécialiste,
18:14 on regarde quand même un petit peu différemment.
18:17 Ça paraît facile comme ça, mais pendant les temps forts,
18:19 notamment les dix premières minutes, OK, il y a de l'agressivité.
18:22 OK, on récupère les ballons.
18:24 C'est bien de cadrer aussi quand on frappe.
18:26 Et non seulement il n'y a pas la réussite,
18:30 mais il faut aussi essayer d'accrocher le cadre.
18:32 Oui, bien sûr, ça c'est plus des choses techniques.
18:36 Mais le fait de vouloir presser l'adversaire,
18:39 on a senti que cette équipe de Dunkerque sur les dix premières minutes était un peu perdue
18:43 et avait peur parce que les Stéphano avançaient.
18:48 Et donc, ça leur donnait des opportunités de conquérir le ballon
18:52 et puis surtout d'avoir des opportunités qu'il faut essayer de bien négocier, bien entendu.
18:56 Alors, il y a aussi quelque chose à mettre en avant,
19:00 c'est le système qui a changé depuis quatre matchs maintenant,
19:04 depuis le retour de La Trêve.
19:06 On est passé d'un 5-3-2 ou un 3-5-2, ça dépend comment il était articulé,
19:12 vers un 4-3-3 désormais.
19:15 Alors, Tardieu qui est plutôt en sentinelle, pas réellement...
19:19 Oui, effectivement.
19:20 Oui, mais c'est un milieu de terrain, c'est un triangle.
19:23 Le milieu de terrain, c'est un triangle avec une pointe basse.
19:26 C'est Tardieu, normalement, qui est entouré de Bouchoiri et de Mouefek.
19:30 Et Dunkerque se présentait de la même façon.
19:34 Et on a deux joueurs excentrés, Cafaro et Diarra, avec Charbonnier dans l'axe.
19:38 Donc, il y a une ligne axiale qui est toujours occupée par la défense centrale.
19:43 Batubinsky-Cicca et Brianson, et ensuite Tardieu et Charbonnier devant.
19:51 Qu'est-ce que ça change ? Qu'est-ce que ça apporte ?
19:54 C'est quoi ? C'est plus d'équilibre ?
19:57 En tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'il faut s'adapter à la qualité des joueurs.
20:03 Il est sûr que les deux défenseurs centraux sont bien dans cette animation
20:11 et ça leur permet d'évoluer avec beaucoup plus de sérénité.
20:16 Ensuite, les excentrés, ça leur permet de fermer les espaces qui n'étaient pas très fermés.
20:22 Parce que quand on joue avec une défense à trois,
20:24 les deux excentrés, c'est plutôt des joueurs qui jouent assez haut.
20:28 Et donc, si vous ne vous occupez pas de ces joueurs-là, c'est plutôt embêtant.
20:32 Et donc, il n'y a pas eu...
20:37 Ce que ça apporte, c'est qu'on ne perd pas.
20:40 Depuis qu'il y a ce système, après, on s'ennuie peut-être, mais on ne perd pas.
20:45 Ce n'est pas l'animation qui fait qu'on s'ennuie.
20:49 C'est plutôt le fait qu'on perd des ballons.
20:53 On ne donne pas d'opportunité à nos joueurs d'avoir des actions
20:58 puisqu'on perd les ballons dans la construction du jeu.
21:02 C'est plutôt ça. Plutôt que l'animation, la position tactique.
21:07 Après, Alain, c'est solide, mais est-ce qu'on peut regretter le fait
21:11 que les latéraux ne montent pas et ne prennent pas suffisamment leurs couloirs ?
21:14 Il y a peu de centres qui sont délivrés par Apia ou Petro.
21:17 C'est vrai.
21:18 Après, c'est à Cafaro et à Diarra, finalement, de faire ce jeu-là.
21:23 Les côtés, enfin, dans un jeu comme Laurent présente, en 4-3-3,
21:31 il doit y avoir une association Apia-Cafaro et Petro-Diarra
21:35 qui fait que les combinaisons, ou l'un ou l'autre,
21:39 doivent apporter des débordements et des centres.
21:41 Michel, on disait ces dernières semaines,
21:44 du moins, quand ça ne tournait pas bien,
21:46 Laurent Battelais a peut-être tendance à s'entêter.
21:48 Ça y est, maintenant, il a conclu.
21:50 Oui, il a revu sa copie.
21:53 Effectivement, il n'avait pas, dans tous les cas, son système de jeu en 3-5-2.
21:58 Il n'avait pas les joueurs pour.
22:00 Donc, il est revenu à un système que tout bon footballeur connaît parfaitement,
22:05 le 4-3-3.
22:06 Ça donne beaucoup de sécurité, beaucoup d'assises, beaucoup d'assurance.
22:10 Comme vous avez remarqué, justement, Alain,
22:12 c'est vrai que nos centraux affichent beaucoup plus de sérénité.
22:18 Denis Sapia, on l'avait vu en difficulté en début de saison.
22:22 C'est vrai que sur un poste de latéral droit qui maîtrise bien,
22:25 on le voit mieux.
22:27 Alors, effectivement, il faut, dans ce système-là,
22:29 que les duos, en l'occurrence, Apia-Cafaro et Petro-Diarra,
22:34 trouvent une vraie complémentarité pour que ça fonctionne bien.
22:39 Parce qu'aujourd'hui, on a les résultats.
22:41 C'était hyper important de retrouver la sérénité, de la confiance et des points,
22:45 de revenir dans le haut du tableau.
22:48 Maintenant, c'est vrai qu'il faut y aller step by step.
22:51 Il ne faut pas être trop exigeant, mais il faudrait trouver un petit peu plus de solutions offensives,
22:56 améliorer le contenu, la manière.
22:57 Et ça passe, effectivement, par l'animation, entre autres, de ces couloirs.
23:01 Et le jeu à deux que peuvent mettre en place Apia-Cafaro et Petro-Diarra.
23:08 Le doute, maintenant, il subsiste surtout en attaque,
23:10 où finalement, c'est alterné entre Sissoko et Charbonnier.
23:14 Hier, c'était Charbonnier qui était titulaire.
23:18 On voit que Sissoko est quand même meilleur en sortie de banque,
23:20 je trouve, que ce qu'il a montré peut-être face à Troyes.
23:24 Ce changement a eu lieu à la 71e minute et ça a redonné du peps, je trouve, à l'équipe.
23:30 En tout cas, on va écouter justement Laurent Batless nous parler de ses choix en attaque,
23:34 de cette alternance entre Charbonnier et Sissoko.
23:39 Ce qui est important, c'est que vous avez trois matchs dans la semaine
23:41 et qu'il a joué presque 70 minutes, 75 minutes contre Troyes.
23:46 Donc, il faut que je gère aussi la valeur à la fois athlétique,
23:51 mais aussi, il faut que, en fonction des performances des uns et des autres,
23:55 être le plus juste possible avec tout le monde, tout simplement.
23:59 Comment ça s'est passé, la marque ?
24:00 Oui, c'est très, très bien.
24:02 Oui, c'est très, très bien.
24:03 J'espère que ça va continuer.
24:04 Et puis, à chaque fois, pour l'instant, les entrants nous apportent beaucoup.
24:08 Donc, c'est comme je dis encore une fois, c'est le bien-vivre de ce groupe
24:12 qui fait qu'aujourd'hui, tout le monde avance dans le même sens.
24:15 Quand vous jouez, de toute façon, titulaire, il faut être performant dans la durée.
24:21 Quand vous rentrez, vous avez un peu moins de temps
24:23 et vous pouvez peut-être vous lâcher un petit peu plus.
24:26 On a vu ce soir encore qu'il a fait des courses.
24:29 Après, c'est un penalty qui marque.
24:31 Donc, il a fait des courses, il s'est battu, comme Charbot aussi.
24:35 Aujourd'hui, Charbot est bien rentré aussi à trois.
24:38 C'est important de faire vivre un groupe aussi.
24:40 On ne peut pas faire jouer que tout le temps les mêmes joueurs.
24:43 On essaye d'être le plus juste possible avec tout le monde.
24:46 Voilà, être le plus juste possible.
24:49 Laurent, tu nous disais pendant ce son, finalement, il y a un vrai coaching.
24:52 C'est le changement tardif, en fait, de Charbonnier
24:55 parce qu'on ne va pas le blâmer, mais il a été sifflé à la mi-temps
24:59 et c'était quand même un public plus docile puisqu'il n'y avait pas les COP hier.
25:02 Sa prestation est plus que moyenne.
25:04 Je ne veux pas l'accabler, mais quand on se fait les croisés en mars,
25:07 revenir opérationnel et à 100% en septembre, octobre, ce n'est pas simple.
25:12 Et on voit que Sisoko, lui, a fait la différence
25:15 et ce n'est pas la première fois qu'il fait la différence.
25:17 Donc, moi, je pense que c'est un cadeau empoisonné
25:19 que de mettre titulaire Charbonnier et davantage de s'appuyer sur Sisoko.
25:23 Après, Charbonnier, c'est vrai qu'il n'est pas souvent là au centre.
25:27 Il y a une stratégie peut-être pour le faire revenir en forme.
25:31 Il faut lui donner du temps de jeu, il faut le remplir.
25:34 Il faut lui redonner de la confiance parce qu'on le voit
25:37 à l'image de la première action sur le tiers de Petro
25:39 qu'on a fait voir tout de suite au départ, sur le "J'aime bien".
25:43 On voit qu'il n'est pas en confiance parce que sur la passe avec Moefei,
25:48 qu'il doit faire un contrôle et il doit enchaîner.
25:50 Mais là, il fait une remise un petit peu à l'emporte-pièce.
25:54 Le fond de ma pensée, on est loin du Mercato, c'est pourquoi l'a-t-on gardé ?
25:58 Il avait un contrat d'un an, me semble-t-il.
26:01 Qu'est-ce qu'un joueur se blessant en mars
26:04 qui devait être le joker d'exception pour nous tirer vers de meilleurs résultats ?
26:12 Peut-être qu'on n'espérait pas une adaptation aussi rapide de Sisoko.
26:16 C'est six buts marqués depuis le début de la saison.
26:18 Il y a quatre pénaltys, mais il faut les marquer aussi.
26:20 Il y en a qui les loupent.
26:21 Si on veut jouer la montée, on aura bien besoin des deux attaquants.
26:24 Avec l'espoir que Charbonnier revienne à son niveau.
26:28 Il faut être patient avec un joueur comme ça.
26:31 C'est un buteur, il a toujours marqué des buts.
26:33 Donc si sa blessure ne le perturbe pas, s'il retrouve la confiance, il va marquer des buts.
26:38 On peut espérer qu'après la trêve internationale,
26:40 on retrouve Enfrain Ibrahimawadi qui est out depuis le deuxième match.
26:46 L'attentat qu'il a subi à Rodèze, il est passé en pertes et profits.
26:52 Depuis, il n'a pas remis les pieds sur un terrain.
26:55 Il nous manque beaucoup.
26:57 Certes, parfois il était maladroit, mais en revanche, il a apporté beaucoup d'autres solutions,
27:04 notamment dans la profondeur, dans les appels.
27:06 Il avait claqué une dizaine de buts sans frapper les pénaltys.
27:10 Son apport n'était pas négligeable.
27:12 Et Wajid, associé à Sisoko, ça peut être très bien.
27:16 Ce sera deux postes complémentaires, deux profils complémentaires.
27:20 On va regarder le classement de la Ligue 2 pour se rendre compte que la SS est bien remontée.
27:25 Désormais, cinquième. C'est dans les standards à deux points de Grenoble.
27:29 On regrette cette première journée face à Grenoble, parce qu'on serait peut-être mieux placés encore.
27:35 Quoi qu'il en soit, les Verts qui accueilleront Ajaxio samedi à 19h.
27:41 Cette question maintenant, j'espère que ça va créer le débat.
27:44 Peut-on gagner longtemps sans bien jouer au football ?
27:48 Tout ça est très subjectif. Finalement, le beau jeu appartient à chacun.
27:55 Vous, messieurs, rapide tour de la table, est-ce que vous vous ennuyez en regardant la SS ?
28:02 Ou vous êtes comblés par les trois points pris depuis quatre matchs à chaque fois ?
28:06 Moi, quand j'ai une réaction basique de supporter, quand on gagne,
28:11 même si la manière n'est pas tout à fait au rendez-vous, ça me comble.
28:16 C'est vrai que quand on peut ajouter au résultat positif la manière et le contenu,
28:21 c'est le combo dont on rêve tous.
28:24 Pour l'heure, il était important encore une fois de se rassurer.
28:27 C'est chose faite. Maintenant, il faut confirmer contre des adversaires d'une autre pointure.
28:34 On va jouer bientôt la vale par IFC Ajaxio.
28:39 Mais c'est vrai que sur la durée, il va falloir améliorer le contenu.
28:43 Je pense que quand on s'appelle la Sainte-Étienne, qu'on est candidat à la montée,
28:46 on doit montrer d'autres choses sur le terrain.
28:50 Souffrir pour gagner plus, pourquoi pas ?
28:56 Évidemment, les trois points, c'est important.
28:58 Mais on s'ennuie quand même au stade et ce serait bien de voir d'autres choses.
29:03 En d'autres temps, il n'y a pas si longtemps que ça, Ajaxio montait en gagnant de manière minimaliste.
29:09 Pourquoi pas ?
29:10 19 buts encaissés en 38 matchs et 15 victoires 1-0.
29:13 C'est vrai que ce n'est pas très fun.
29:16 Après, on parle de sport. Le sport, c'est validé par les résultats.
29:21 À fortiori, quand c'est le monde pro, c'est aussi un peu du business.
29:26 C'est vrai qu'on a tous un côté un peu romantique.
29:30 Il faut être aussi pragmatique et savoir qu'il y a encore deux mois, on était à la cave.
29:36 Chaque chose en son temps.
29:39 Je ne sais pas ce que tu en penses, mais pour faire de belles prestations et rendre de belles copies, il faut deux équipes.
29:45 Globalement, les équipes en face, et c'est peut-être la chance de la Sainte-Étienne pour cette saison,
29:51 c'est que le niveau n'est peut-être pas au rendez-vous.
29:54 Ceci explique peut-être cela.
29:56 Oui, c'est clair que jouer en Ligue 2, ce n'est pas évident.
30:02 Pour faire un bon match, il faut avoir deux bonnes équipes.
30:05 Après, nous, on a vraiment deux travaux importants à résoudre.
30:15 C'est les pertes de balles qui font que…
30:18 On les voit, les pertes de balles à l'écran.
30:20 Elles créent du danger contre nous.
30:23 Elles donnent de la confiance à l'adversaire et surtout, elles nous mettent en difficulté.
30:27 Elles nous empêchent d'avoir des situations offensives parce qu'il y a des moments où on part sur une action
30:32 et à cause d'une mauvaise passe ou d'une perte de balles, l'action ne va pas au bout alors qu'elle devrait aller au bout.
30:38 Ça, c'est le premier point.
30:40 Et le deuxième point, c'est un peu ce dynamisme.
30:44 Je reproche à mon équipe un petit peu d'être un peu passif, comme on a dit, défensivement, de monter.
30:51 Comme ils ont fait les dix premières minutes, il faut faire ça tout le match.
30:54 Il faut faire ça tout le match.
30:56 Ça fait longtemps qu'on n'a pas vu un match plein.
30:58 Et puis, il faut faire brûler un cierge à chaque match pour le gardien
31:02 et espérer qu'il ne se blesse pas parce que sans Gauthier Larsonneur, on n'est pas quatrième.
31:07 On l'a vu, effectivement, il y a au moins sur deux occasions celle d'Aurélien.
31:10 C'est sûr que c'est un atout à mettre dans d'autres jeux.
31:12 Ça, c'est évident.
31:14 On va écouter Laurent Batteless justement parce qu'il ne se satisfait pas complètement de ses quatre victoires.
31:21 Les trois premières étaient minimalistes.
31:23 Un but d'écart à chaque fois, que ce soit 2-1 à Caen, 1-0 à Concarneau, 1-0 à Troyes.
31:28 Et puis, deux buts d'écart contre Dunkerque.
31:31 Mais écoutez toute l'humilité de Laurent Batteless.
31:33 Aujourd'hui, c'est de l'humilité parce qu'enchaîner quatre victoires d'affilée,
31:38 ce n'est pas donné à tout le monde dans ce championnat.
31:40 On le fait, on avance.
31:42 Moi, ce qui m'importe, c'est avec ce groupe-là d'atteindre des objectifs qui ne sont pas évidents.
31:49 Tous les matchs sont difficiles.
31:51 C'est un championnat qui est très homogène.
31:53 On l'a vu encore ce soir.
31:55 Tout le monde joue sa peau.
31:57 Tout le monde essaye de jouer.
31:59 Nous aussi, on essaye par moments de prendre des risques.
32:02 Des fois, on en prend trop.
32:04 Et puis, ça fait partie de ce championnat.
32:07 Il n'y a pas que l'entraîneur.
32:09 Les joueurs aussi ont bien révisé.
32:11 C'est ce que propose d'écouter Anthony Brianson.
32:13 Ça ne passera pas.
32:15 C'est sûr que sur ce match-là, si on montre ce visage-là toute la saison,
32:21 il y a des matchs où, bien évidemment, ça ne passera pas.
32:24 Mais après, je pense qu'il y a un bon effectif.
32:27 On est capable de se sublimer sur des matchs.
32:30 On l'a montré.
32:32 Il ne faut pas négliger une victoire, loin de là.
32:36 C'est un championnat qui est très difficile.
32:39 Il faut en tout cas accrocher pas mal d'équipes.
32:41 Angers a gagné à la 94e contre eux.
32:43 C'est une équipe qu'il faut respecter.
32:45 Aujourd'hui, on est très contents d'avoir gagné ce match-là.
32:48 Comme quoi, ils ne sont pas fous.
32:51 Oui, il est lucide.
32:53 C'est bien de l'être.
32:55 C'est peut-être une vertu qui permettra à la SS d'aller loin.
32:59 Justement, savoir quelle est notre place, ce qu'on peut faire.
33:03 Et puis, quelles sont nos limites.
33:05 Souvent, les équipes qui vont au bout, ce sont celles qui encaissent peu de buts
33:09 et qui gagnent les matchs où elles ne sont pas forcément brillantes.
33:12 Parce que le jour où vous êtes à plein bout, vous gagnez logiquement.
33:16 Vous faites souvent la différence sur les matchs où vous n'êtes pas forcément très bien.
33:19 Et à la fin, vous ramassez la mise.
33:21 Si on est d'accord, c'est une vertu.
33:23 Pour le moment, continuons à ce rythme-là.
33:26 On aura peut-être une bonne surprise en mai prochain.
33:30 L'humilité et le labeur, Stéphano.
33:32 On ne veut pas être dans les clichés.
33:34 C'est quand même important de montrer deux, trois vertus qui sont importantes ici à Saint-Étienne.
33:41 On va passer à la nouvelle chronique de Michel Roux, la légende de Michel Roux.
33:46 Tu vas nous parler de ces ASS Dunkerque.
33:49 Il y en a eu peu dans l'histoire.
33:51 Il y en a eu trois ou quatre.
33:53 Deux.
33:54 À Saint-Étienne, c'était le quatrième.
33:57 Pour retrouver trace d'un ASS Dunkerque à la maison,
34:02 il fallait remonter aux années 30, précisément au 8 mai 1938.
34:06 On n'avait pas d'image à l'époque, malheureusement.
34:09 Tl7 n'existait pas encore.
34:11 En revanche, c'est une année phare pour l'histoire des SS.
34:16 Trois semaines plus tard, après ce ASS Dunkerque
34:20 qui s'était soldé sur un match nul, trois buts partout,
34:23 et au terme duquel on avait l'impression que les Verts avaient laissé passer leur chance,
34:27 c'était sans compter sur une défaite de Rennes à la maison
34:30 qui les relançait totalement dans la course à la montée.
34:32 Trois semaines plus tard, un match contre Tourcoing,
34:36 qui s'est donc joué le 29 mai, qui allait devenir le chaudron,
34:41 et remporté sur le score de 7 à 2,
34:45 nous propulsait pour la première fois de l'histoire,
34:48 en division nationale, l'ancêtre de la première division.
34:52 Oui, parce que c'était les divisions interrégionales, je crois.
34:55 Le club avait été autorisé à s'engager dans le monde professionnel en 1933,
35:02 c'est la raison pour laquelle cette année on fête les 90 ans du club.
35:05 Pierre Guichard, qui était le président et le fils de Jean-Pierre Guichard,
35:09 avait bâti une équipe, c'était assez paradoxal,
35:13 - Il s'appelait "Les Millionnaires".
35:14 - Voilà, l'équipe des Millionnaires, dans une ville ouvrière,
35:16 qui a la valeur du labeur et de l'humilité chevillée au corps.
35:22 C'était assez curieux, mais c'est vrai qu'il avait recruté beaucoup à l'étranger,
35:26 et notamment un fameux joueur, deux joueurs sur lesquels je voudrais insister,
35:31 Ignace Tax, qui était un Autrichien.
35:35 Il y a une rue qui porte son nom, qui est située juste à côté du chaudron,
35:40 et qui nous a portés vers la division nationale,
35:44 puis qui après a claqué des dizaines de buts,
35:49 et puis qui est devenu entraîneur, avant de passer le témoin à Jean Snela,
35:54 qui a été l'entraîneur que l'on sait.
35:56 Et puis un autre joueur, il y avait beaucoup d'étrangers,
35:59 un autre joueur, en l'occurrence un Yougoslave, qui s'appelait Ivan Beck,
36:03 qui lui aussi était un sérieux buteur, et qui avait disputé en 1930,
36:08 lors du Premier Mondial de l'histoire du football,
36:12 une demi-finale en Uruguay, à Montevideo, avec la Yougoslavie.
36:16 Donc on avait une constellation de joueurs étrangers,
36:19 ce qui a posé des problèmes lors de la Seconde Guerre mondiale,
36:23 puisqu'avec le régime de Vichy, il était interdit aux joueurs étrangers
36:27 d'être professionnels.
36:29 Donc il a fallu que Pierre Guichard contourne un petit peu cette législation.
36:34 Ils sont devenus employés de casinos,
36:38 mais ils ont été quand même radiés à vie par le régime de Vichy,
36:41 et ils ont simplement recouvré leur possibilité d'exercer leur talent
36:45 et leur profession à la Libération en 1945.
36:48 Voilà, c'est la belle histoire de cet ASS Dunkerque.
36:52 - Et on en revient à 8 mai, de la Libération et de 1945,
36:56 et ce premier match c'était le 8 mai 1938.
36:59 - C'était avant les mauvais jours. - La boucle est bouclée.
37:02 - Effectivement. Et bien voilà, quand on vous dit que ce club est légendaire,
37:05 il y aura plein d'histoires à raconter dans toutes les émissions
37:08 qu'on vous proposera jusqu'à la fin de la saison,
37:11 et ce sera Michel Roux qui nous parlera des fois d'une confrontation,
37:14 des fois d'un joueur, des fois d'une époque.
37:17 - D'un coach, d'un dirigeant. - Effectivement.
37:19 Merci Michel pour tout ce savoir. On se couchera moins bête,
37:23 grâce à Michel Roux.
37:25 Le temps passe très vite dans cette émission, on en est déjà au temps additionnel.
37:28 Il reste 5 minutes 30 dans cette émission, le temps additionnel,
37:32 avec les filles de l'ASS notamment.
37:35 On leur fait un petit signe de la tête
37:39 parce qu'elles s'apprêtent à affronter un des ogres,
37:44 parce qu'il y en a plusieurs, mais un des ogres de la division, le PSG, demain.
37:48 Allez les encourager, ce sera à l'Etra, à 19h si ma mémoire est bonne.
37:54 Mais voilà, allez les encourager parce qu'elles vont en avoir besoin,
37:58 d'autant que le week-end dernier, performance extraordinaire.
38:02 On ne les attendait pas forcément sur ce match.
38:05 Match une 1 partout face à Montpellier, c'est elles qui avaient ouvert la marque
38:08 et c'est une frappe somptueuse de Régina O'Toole.
38:12 Ou Régine O'Toole.
38:14 Et donc voilà, but magnifique, je ne sais pas si vous avez vu messieurs.
38:18 J'ai simplement suivi le résultat, mais ne me demande pas plus sur la performance.
38:23 Je te montrerai le but après, malheureusement on ne l'a pas mis dans le conducteur,
38:27 mais je te montrerai le but après, je vous encourage à aller le voir sur le site de l'ASS.
38:32 Vous et les téléspectateurs, parce que franchement, il vaut le détour ce but.
38:36 Donc voilà, demain, vendredi 6 octobre à l'Etra, parce que, il faut le rappeler,
38:41 elles avaient été chassées un petit peu du stade Salif Keïta pour les besoins de la Coupe du Monde.
38:47 En attendant de parler de la Coupe du Monde, on y reviendra à la fin de cette émission.
38:51 Les internationaux, Stéphanois, qui vont quitter le forêt durant une petite semaine,
38:59 avec Dylan Batoubine-Sika qui est international avec la RDC.
39:04 Les deux internationaux marocains, qui sont Emine Mouefek et Benjamin Bouchouari.
39:09 Ben Taïg, pour l'instant, n'a pas été retenu.
39:12 Et puis Karim Sissé, qu'on ne revoit plus désormais dans le groupe pro,
39:16 mais qui est sélectionné avec la Guinée, malgré tout.
39:19 Beaucoup de talent chez ce jeune joueur.
39:21 Il est en train de travailler, progresser.
39:24 C'est Pascal Fedebounaud qui l'a sélectionné.
39:28 Pascal Fedebounaud, vraiment ?
39:30 Il a un petit pied dans la sélection.
39:34 Pascal, on le salue. Il est de retour quand il veut.
39:37 Sur le plateau, il était déjà venu.
39:40 Il était festif avec Pascal Fedebounaud.
39:45 La troisième mi-temps, il faut être courageux pour le suivre.
39:51 C'est un mec extraordinaire.
39:55 Et un talent incroyable.
39:57 Effectivement, le Zidane africain, comme on le surnommait.
40:02 Monsieur, un quiz pour la Coupe du Monde.
40:05 Les questions sont dans ma tête.
40:08 Est-ce que vous l'avez suivi un petit peu, la Coupe du Monde de rugby ?
40:12 J'ai eu la chance d'assister à deux matchs dans le Chaudron.
40:16 J'adore le rugby.
40:18 C'est formidable en termes d'engouement, et notamment ici à Saint-Et.
40:24 En revanche, on s'y attendait.
40:28 Cette phase de poule donne lieu à des matchs tellement déséquilibrés.
40:32 Ce n'est pas forcément une super promotion.
40:34 Le rugby, c'est un sport d'affrontement, de combat, de lutte.
40:40 Et là, c'est à 26 ans de péril en triomphant de Loire.
40:45 Il y a des scores qui sont...
40:47 Jean-Joachim Michel, vivement les huitièmes.
40:50 Effectivement, on s'ennuie parfois.
40:53 Quelle équipe a le plus joué à Geoffroy Guichard ?
40:56 L'Australie.
40:58 Deux matchs face au Portugal, 34 à 14.
41:02 Et puis, la défaite face au Fidjian.
41:06 C'était un match très enlevé.
41:09 Est-ce que vous savez le nombre de spectateurs qui sont venus dans le Chaudron ?
41:14 Sur les trois matchs cumulés ?
41:15 Sur les quatre matchs cumulés.
41:17 Il y a eu deux matchs à plus de 41 000.
41:21 Il y a eu un match à 32 000, un match à 35 000.
41:25 Et l'autre match à plus que ça.
41:29 82 000 et 35 000, ça nous fait 115 000.
41:33 117 000.
41:35 117 000 et 35 000, 37 000.
41:38 150 000.
41:39 C'est plus.
41:40 C'est plus que ça.
41:41 C'est le juste prix.
41:42 C'est le juste prix.
41:43 160 000.
41:44 Et bien presque 160 000.
41:46 156 5009.
41:48 Très exactement.
41:50 Selon la police.
41:51 Oui, selon les autorités.
41:53 Parce qu'il y a eu justement un décompte qui a été fait aujourd'hui,
41:57 avec un petit bilan sur la sécurité.
41:59 159 509 spectateurs.
42:02 Et puis, on pourrait y rajouter l'équipe de France,
42:04 qui était venue jouer face à l'Ecosse.
42:07 Là, on a basicement dit que c'était un vrai match.
42:09 Messieurs, dernière question.
42:11 C'est en lien avec la Coupe du monde de rugby.
42:13 C'est un peu de la culture.
42:15 Je triche, parce que je l'ai rencontrée dimanche soir.
42:18 Comment s'appelle le président portugais qui est venu assister à...
42:22 Ferreira.
42:24 Presque, mais non.
42:25 Ferreira Dias ?
42:26 Non.
42:27 Non, il n'y a pas de Ferreira.
42:28 Je disais presque, mais il n'y a pas de Ferreira dans son nom.
42:31 Et vous verrez une image tout à l'heure.
42:32 Non, son nom m'a échappé.
42:33 Oui, c'est lui qui...
42:34 M. Marcelo Rebello de Souza,
42:36 qui est le deuxième président en exercice à avoir été accueilli
42:40 à l'hôtel de ville de Saint-Etienne.
42:42 Et forcément, le cadeau qui lui a été remis chez le maire,
42:45 Michel Maire, Gael Perdeo, qu'il a accueilli.
42:48 Et voilà, Marcelo Rebello de Souza.
42:50 Alors, est-ce que vous savez, là c'est un quiz bonus,
42:53 combien de selfies il a pris ?
42:55 Parce que c'est M. Selfie.
42:57 Sur les images, il ne fait que ça.
42:59 Effectivement, sur les réseaux, il prenait les télé...
43:01 Voilà, de Christine Pinto, traductrice officielle,
43:03 pour prendre un selfie avec...
43:05 Il a compté lui-même 380 selfies
43:08 durant cette réception à l'hôtel de ville.
43:11 On voit mal Emmanuel Macron faire autant de selfies.
43:14 Et pourtant, Marcelo Rebello de Souza a quelques années de plus.
43:18 Voilà, messieurs, pour cette première émission,
43:21 cette nouvelle mouture.
43:23 C'était bien, la parole au professeur,
43:26 ce que t'en élèves finalement dans le club ASS.
43:30 Ça a été un plaisir.
43:34 On aurait pu parler un peu de la réception d'Ajaccio.
43:37 On aurait pu parler de la réception d'Ajaccio.
43:39 Parce que là, on peut vraiment basculer
43:42 et s'installer sur le podium samedi soir.
43:45 Il y a tellement de matchs qui s'en viennent.
43:47 On a jusqu'au 11 novembre un calendrier.
43:49 On en saura beaucoup plus.
43:51 D'autant que, vous me rejoignez,
43:53 les grosses écuries, les gros cylindrés de la division
43:56 rament un petit peu, les Girondins notamment.
43:58 Et moi, je pense que Grenoble va s'essouffler
44:00 et qu'Auxerre est bien parti.
44:02 Je pense qu'on sera à la lutte avec Auxerre, Angers.
44:06 Je pense que ça va se circonstruire à ces trois équipes.
44:09 Ça va être passionnant en tout cas.
44:12 Merci beaucoup Michel d'être venu sur ce plateau.
44:14 Lundi, est-ce qu'on a une idée de la chronique ?
44:19 Je pense à René Domingo,
44:21 qui est le joueur qui a porté le plus souvent le maillot au Stéphanois.
44:25 534 ou 536 matchs, si ma mémoire ne me fait pas défaut.
44:30 C'est le joueur fidèle par excellence
44:33 et dont la carrière s'est achevée sur une double fracture type gapé.
44:37 On ne dit pas trop, on conserve la surprise pour mardi soir.
44:42 Effectivement, mardi soir 19h35.
44:44 Merci beaucoup Laurent d'être venu sur ce plateau.
44:47 C'est toujours kiffant de te retrouver sur ce plateau de Club ASS.
44:51 Et puis merci à Alain également.
44:54 Toujours l'œil d'Alain Blachon et ça va durer.
44:58 Durant toute la saison, on fait un coucou à Laurent Hesse aussi
45:01 qui n'a pas pu se libérer ce soir.
45:03 Il sera là mardi soir effectivement
45:05 parce que la prochaine émission c'est mardi 19h35 sur TL7.
45:11 Et on débriefera la rencontre face à l'action.
45:14 On se projettera effectivement sur ce calendrier qui attendra les Verts d'ici là.
45:18 Et d'ici là, portez-vous bien et allez les Verts !
45:21 [Musique]