Qué Importa | Programa Completo 20/septiembre/2023

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Esta noche en Qué Importa:

Le gritan "¡presidente, presidente!" a Eduardo Verastegui en Jalisco.

Maluma Baby se ve algo diferente en nuevo video.

Ricardo Monreal nos enseña todo sus peluches.

Xóchitl Gálvez se encontró con un manolarga.

El Senado se quiere colgar de la fama de RBD.

Messi se estremece con un besito.

José Ramón Fernández vuelve a explotar contra Faitelson.
Transcript
00:00 -Facundo cause un accidente vial à proposito.
00:05 -Préfiero chocar a dejar pasar.
00:08 -José Ramón Fernández se suelta el chongo
00:10 y opina sobre qué importa.
00:12 -Es una auténtica mamada, eso.
00:14 -Acción 3X con la señora X.
00:17 Se pasan de mano larga con Xochitl Galvez.
00:19 -Horriendo para llegar al Senado.
00:22 -Septiembre, el mes del testamento.
00:23 Ah, no, eso no tiene nada que ver.
00:25 -No, eso no, wey.
00:26 -Si es, pero septiembre es un mes
00:29 pour célébrer les héros qui nous ont donné des ponts.
00:31 -Hé !
00:33 -Mais pour certains, c'est aussi le mois
00:34 de célébrer les héros qui nous ont donné
00:37 la mort, la mort !
00:40 -Mais pourquoi ?
00:41 -C'est ce qui s'est passé à ce jeune homme
00:43 pour qui ces honneurs à la bandera
00:45 ont peut-être été ses derniers.
00:47 -Il s'est envolvé avec la bandera
00:52 et il s'est lancé
00:55 dans le vide du cerf de Chapultepec
00:58 de cette façon, et là, il est mort.
01:03 Un grand applaudissement pour ces jeunes héros !
01:08 Ces jeunes héros !
01:10 -Juan, Juan Escutia !
01:12 -Bravo !
01:13 -Il l'a fait très bien, il a tombé très bien.
01:15 Tu sais quoi ?
01:16 J'aimerais que Marcel ait tombé comme ça,
01:18 comme un enfant, Juan Escutia.
01:21 La vérité, la vérité !
01:23 -Il a tombé très bien, très bien.
01:24 -A la différence de Alito Moreno,
01:26 celui del PRI, qui tombe toujours mal, putain, vraiment.
01:28 -Exactement !
01:29 Tu sais quoi ?
01:30 Ce garçon m'a rappelé quand j'étais très bourré
01:33 les dimanches à la nuit, je me suis envolé
01:34 dans une bande de sable et je me suis tombé comme ça.
01:36 Je ne me lève plus jusqu'au lendemain,
01:37 c'est très beau.
01:39 -Et comment tu te lèves ?
01:40 Comme Nosferatu sortant de l'attaout, non ?
01:43 -Je me lève comme ça.
01:45 Non !
01:46 -Un acclamat, s'il te plaît !
01:48 Bon, avec tout et tout,
01:50 cette action de ce garçon
01:51 a été beaucoup mieux que l'action de Mexico
01:54 dans le dernier monde.
01:55 -Oui, sans doute, sans doute.
01:57 -Tous les mondiaux.
01:59 -Que le garçon soit chargé
02:00 d'un tabac de terrain Val d'Iode
02:03 et il peut être le Pippi, aussi.
02:05 Il peut être de nombreux personnages célèbres.
02:07 C'est bien, j'aime.
02:08 -Bon, allons parler avec toi, Sofia Rivera Torres !
02:11 -Oui !
02:12 Bienvenue !
02:13 Facundo n'est pas un homme qui se détient
02:16 devant rien,
02:17 en particulier devant d'autres conducteurs
02:19 dans le trafic.
02:20 Parce que regardez-moi comment Facundo préfère chocer
02:23 avant de lui donner le pas à un Gandaya.
02:26 -Très bien.
02:27 ...
02:56 -Oh, ça m'a pas pégé !
02:58 ...
03:00 -Ha, ha, ha !
03:01 Tu as choqué, mec !
03:03 ...
03:07 Et tu n'as pas choqué contre moi !
03:09 ...
03:11 Maldite chance du balagarde !
03:14 ...
03:16 -Bravo, Facundo !
03:18 Bien fait !
03:19 -En vrai, je le comprends.
03:22 C'est de la mauvaise éducation
03:23 de se mettre dans une queue sans permis.
03:25 -C'est ça !
03:26 -Ca, on ne le fait pas.
03:27 -Sinon !
03:29 -Oui, c'est ça, Facundo.
03:30 Et je fais des années
03:31 à essayer de me mettre dans la queue,
03:33 et ça ne se fait pas.
03:34 ...
03:35 Un jour, un jour !
03:37 -Je sais que tu le fais.
03:38 -Je connais aussi d'autres
03:39 qui préfèrent chocer.
03:41 Le balagarde, par exemple,
03:43 il se freine avec la cajoue à l'ouverture
03:44 et il n'a pas de soucis
03:45 de se faire mal à la partie arrière.
03:47 Mais c'est bien !
03:48 Les gens doivent apprendre
03:49 de toute façon.
03:50 -En vrai, c'était magnifique.
03:52 Je crois que c'est quelque chose
03:53 que nous avons tous voulu faire,
03:55 donc merci, Facundo.
03:57 Tu montres que pas tous les héros
03:59 portent des chaussures ou du couteau.
04:01 -Exact !
04:02 -J'aime !
04:04 -Exact !
04:05 -Il y a des mots
04:06 qu'on n'a pas le courage de dire en public
04:08 parce que nous sommes ici des gens de bien.
04:10 -Très bien.
04:11 -Des gens éducés.
04:12 -Des gens éducés.
04:13 -Plus ou moins.
04:14 -Pontu, pontu, quelque chose comme ça.
04:17 Le mauvais, c'est que quand José Ramón Fernández
04:19 est près de Faitelson,
04:21 il se prend le bon côté
04:22 et il fait des choses comme ça.
04:24 -David dit qu'il faut naturaliser
04:27 les joueurs étrangers
04:29 pour qu'ils jouent à la Chivas.
04:30 -Oui, oui.
04:32 -C'est une vraie maman, ça.
04:33 -Pardon.
04:34 -C'est comme ça.
04:35 -José Ramón.
04:36 -On est en pause.
04:38 -On est en pause, José Ramón.
04:40 -Donnez-moi deux motifs pour penser que non.
04:43 -Non !
04:44 -J'explique à Roberto.
04:45 -En plus, il est sorti...
04:47 Je lui ai mis dans la bouche, David,
04:49 ce que David voulait traduire.
04:50 -On continue pas avec le double sens.
04:52 -Il est sorti dans la bouche.
04:54 -C'est bon, c'est bon.
04:55 -Vous avez le contrôle, messieurs.
04:57 -La carte !
04:59 -José Ramón Fernández,
05:00 avec cette bouche, tu kisses David Faitelson ?
05:03 -Au quotidien.
05:04 -Au quotidien.
05:05 -Il y a tellement de façons de dire ça.
05:08 José Ramón choisit la meilleure.
05:10 Bravo, José Ramón !
05:12 On aime ça !
05:13 -D'accord.
05:14 -Don José Ramón, merci de dire ce que tout le Mexique pense,
05:19 ce que nous pensons sur David Faitelson.
05:22 Merci, vraiment, merci !
05:24 -En disant ce genre de choses,
05:28 à ce dont a parlé José Ramón,
05:30 c'est comme tous les autres, on a un travail sur la télé.
05:34 On ne peut pas dire que c'est grâce à notre talent.
05:36 -Exact.
05:38 Je ne sais pas pourquoi,
05:40 cette parole qu'il a dit,
05:42 on la considère comme une grosserie,
05:44 quand elle donne tellement d'allure à une de ces situations.
05:48 C'est bien.
05:49 -Je me pose une question pour José Ramón.
05:52 Qu'en pense-tu de la moumie de Maussan ?
05:56 -C'est une vraie moumie.
05:58 -Eh !
05:59 -On est d'accord, sans doute.
06:01 -Totalement d'accord.
06:02 Et oui, il a dit une grosse parole.
06:05 Mais c'est sûrement un accident,
06:08 et ça ne se répétera pas,
06:10 n'est-ce pas, José Ramón Fernández ?
06:12 -Au Superliga de Florentine,
06:15 le Sheriff n'a pas existé.
06:17 -Non.
06:18 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:20 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:22 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:24 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:26 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:28 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:30 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:32 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:34 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:36 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:38 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:40 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:42 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:45 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:47 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:49 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:51 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:53 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:56 -Il n'a pas joué au Superliga.
06:58 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:00 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:02 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:04 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:06 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:08 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:11 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:13 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:15 -Il n'a pas joué au Superliga.
07:17 -C'est le cas de l'homme qui a vu Alan Pulido.
07:20 -Beto, Beto.
07:22 -Qu'est-ce qu'il a ?
07:25 -Il est bien.
07:27 -Il est fort.
07:29 -Il est fort.
07:31 -Il est fort.
07:33 -Il est fort.
07:35 -Si il ne voulait pas sonner gros, il aurait dit...
07:39 "Oh, je me suis pressé les pantalons de voir Alan Pulido."
07:43 -On aurait pu comprendre pareil.
07:46 -On aurait pu comprendre pareil.
07:48 -Et ce que José Ramón n'a pas vu bien,
07:51 c'est que José Ramón a l'air de manger des sablés.
07:55 Il est vraiment comme ça.
07:58 -Mais José Ramón, Alan est très jeune.
08:02 Fais-en un de ton âge, de ton âge.
08:05 -Ecoute-le.
08:07 -Je ne peux pas imaginer quelqu'un de ton âge qui reste vivant.
08:10 -Oui, oui.
08:12 -Algune chose.
08:15 -On va pas parler des amours inapropriés.
08:17 On va parler des favours oraux de José Ramón.
08:20 On en a parlé, non ?
08:22 Je me suis rendue compte !
08:25 On va parler des bisous dans le cou.
08:28 Et on va voir comment Messi s'est restreint.
08:32 Messi, avec un bisou.
08:35 -Allez.
08:37 -Qu'est-ce qu'il y a ?
08:39 -On va parler un peu.
08:41 -Allez, allez.
08:43 -Il s'est déjà amouré, Messi.
08:46 Si vous aviez l'opportunité, vous aussi vous seriez restreint.
08:51 Ou n'importe où que Messi vous laisse.
08:53 Ne me dites pas non, les gars.
08:55 -Exactement.
08:57 -Ce bisou dans le cou est pour ensuite le suivre à la tête.
09:01 Ne te laisse pas là-bas.
09:03 Termine la tâche, mec.
09:06 -Qu'est-ce que tu parles ?
09:08 -Un bisou dans le cou d'un barbon argentin,
09:11 c'est un truc qui ne ressemble pas à celui de Cristiano Ronaldo.
09:15 -Je pense que certains l'ont déjà eu.
09:18 Mais bon, Messi a l'air de ne pas comprendre ce qui se passe,
09:22 mais il va se laisser prendre par la courriente.
09:25 La courriente, c'est comme le disait le barbon qui lui a donné le bisou.
09:30 -Ah, mon petit ! Salut, petit !
09:32 -Merci, Sophia. On revient.
09:34 -Alors, il me semble que le rating du Canal du Congrès
09:38 est à terre. Personne ne le voit.
09:40 Mais il y a déjà quelqu'un qui peut le résoudre.
09:43 Miguel Angel Mancera s'est mis à rebeller.
09:47 Il va offrir un concert de RBD
09:49 au Sénat de la République.
09:51 Vous avez entendu bien ?
09:53 Un concert au Sénat de RBD.
09:55 -Allez, Miguel Angel.
09:57 -RBD au Sénat de la République.
10:00 -Ce 19 décembre, à 12 h,
10:02 au Salon des Sessions.
10:04 -On va reconnaître les 5 membres.
10:06 -Pour être le groupe pop mexicain
10:08 qui va faire la plus importante
10:10 de la musique hispane.
10:13 -A travers les plateformes digitales
10:15 du Sénat de la République.
10:17 -Et attention à tous les fans rebelles.
10:19 -Parce que tu pourras être sélectionné
10:21 pour faire partie du public.
10:23 -Vous devez être très attentifs
10:25 à nos réseaux sociaux.
10:28 -Ce 19 décembre, au Sénat de la République.
10:30 -C'est ça. -Très bien !
10:32 -T'as aimé la corvette de Miguel Angel ?
10:34 Avant, ils étaient rebelles.
10:36 Et maintenant, ils vendent au gouvernement.
10:38 Ils ont toujours vendu.
10:41 Un peu.
10:43 -Je me sens comme Mancera.
10:45 -Et je suis un rebelle !
10:47 -Le seul rebelle au Sénat,
10:49 pardon, c'est celui qui a planté une corvette
10:51 dans une de ses poches.
10:54 -Mais c'est quoi, Mancera ?
10:56 -Le plus rebelle que peut être le groupe RBD
10:59 serait de laisser les plantes,
11:01 comme la corvette des poches.
11:03 Plantées, tu vois ?
11:05 -Plantées, ne rentrez pas !
11:07 -Jose Ramon Ferraz,
11:10 que pensez-vous du concert de RBD au Sénat ?
11:12 -C'est une vraie merde.
11:14 -Je suis d'accord.
11:16 Je vous dirai une chose.
11:18 Mancera avec la corvette comme ça,
11:20 plus que rebelle, il me ressemble
11:23 à un vieil homme de la PEDA.
11:25 Alors, qu'est-ce, les gars ?
11:27 On va lui suivre à l'after ou quoi ?
11:29 -Mets Caifanes !
11:31 -Exactement.
11:34 -Je ressemble à un vieil homme de la PEDA.
11:36 Tout cela a l'air bien,
11:38 sauf la partie où c'est totalement faux.
11:41 Une autre mentire de nos politiciens.
11:45 Ou au moins, c'est ce que disent les membres de RBD,
11:48 qui ont ensuite décidé de mentir Mancera.
11:51 -C'est par ce moyen que nous donnons connaissance
11:54 à nos fans que aucun membre de RBD
11:57 ou de son équipe de travail n'a confirmé
11:59 son participation à l'événement du 19 décembre au Sénat.
12:02 -Pfff ! -Ce qui dit "pfff" ne le dit pas.
12:05 -Il ne dit pas "pfff", mais il dit qu'ils se déclarent.
12:08 -Exactement. -C'est horrible, non ?
12:11 Mancera, ne fais pas ce genre de choses.
12:15 Tu ne restes qu'en silence.
12:17 Cinq minutes.
12:19 -Mais tu sais ce qui est très horrible
12:23 et ce que je sens très mal ?
12:25 Qu'est-ce que va faire Santiago Cril
12:27 avec sa peau bleue comme ses yeux
12:29 qu'il a acheté pour l'événement ?
12:31 -Oui, c'est horrible.
12:33 -Mancera, tu ne te souviens pas de ce que disait l'abuela ?
12:36 "En silence, tu te trouves plus beau."
12:39 -Exactement.
12:41 Maintenant, purement de fausses promesses,
12:43 ou non, Mancero Brar ?
12:45 -C'est ce qu'il faut. -Ils nous ont trompé.
12:48 -Mais bon, le VAR, vous le savez,
12:51 n'est pas seulement arrivé pour révolutionner
12:53 la manière dont se joue le football aujourd'hui.
12:55 Il est aussi arrivé pour vérifier les mains
12:58 hors du terrain de jeu.
13:00 -Oui, comme il fallait,
13:02 dans ce match de Sochi-Tlgalbès
13:04 avec un Sochi-Liber.
13:06 -Il revient pour arriver au Sénat.
13:09 -Il y a le Sochi-Liber.
13:11 -Non !
13:13 -Cette main, arbitre !
13:15 -Qu'est-ce qui s'est passé ?
13:17 -Il va pour Pompilou qui est à vérifier.
13:19 -Oui, et c'est le cas.
13:22 Regarde, regarde. Il y a le "A".
13:24 Il y a le "A".
13:26 -Non, non, non. C'était légal.
13:28 C'était légal, il n'y avait pas de contact.
13:30 -Attends-moi un peu, Edouard.
13:32 Ce monsieur doit s'attendre.
13:35 Attends-moi un peu, madame,
13:37 avant de chercher du poulet, s'il vous plaît.
13:39 Ne fais pas ça. C'est très mauvais.
13:41 -J'aime.
13:43 Qui sait ce qui va se passer avec ça ?
13:45 Les grandes histoires d'amour
13:47 commencent toujours de façon inattendue.
13:50 Ou non, ce "tacuita" est magnifique ?
13:52 -Oui.
13:54 -Oui.
13:56 -Bon, c'est bon.
13:58 Sochitl, tu veux bien vérifier cette jouette ?
14:00 Parce que dans une de ces,
14:03 tu ne la fais pas beaucoup.
14:05 -Il dit que "chi chi" veut.
14:07 -OK.
14:09 Tu sais ce qui se passe ?
14:11 Il y a beaucoup parlé de la gélatine de Sochitl
14:13 et que le monsieur a dû la prouver.
14:16 -Non, non !
14:18 -Quoi ? Dans une de ces ?
14:20 -Qu'est-ce qui te passe ?
14:22 -Quoi ?
14:24 -Quoi, mec ?
14:26 -Sochitl,
14:29 le calderon dit que si tu vas sauver,
14:31 il t'accompagne,
14:33 Philippe, aussi.
14:35 -Bon, bon.
14:37 Pour continuer à parler de politiques,
14:39 les politiques, aujourd'hui,
14:41 disent ce qu'ils veulent, promettent ce qu'ils veulent,
14:44 et s'humilient de toute façon
14:46 pour obtenir les votes des citoyens.
14:48 Regardez ce nauseaux exemple
14:50 de chercher le vote comme un tout.
14:52 Regardez.
14:54 -Il s'est enlevé !
14:57 -Voilà.
14:59 -Il s'en est retiré.
15:01 -Voilà.
15:03 -Voilà.
15:05 -Le peuple va se faire enlever !
15:07 Enlevez-vous avec moi ce 25 octobre !
15:10 On marque un changement radical
15:12 et le numéro 5 !
15:14 Un changement radical et le numéro 5 !
15:16 Vite !
15:18 -Enlevez-vous avec moi, il dit ?
15:21 -Enlevez-vous avec moi, il dit ?
15:23 Qu'est-ce que c'est ?
15:25 -Enlevez-vous avec moi.
15:27 C'est le slogan, pardon,
15:29 mais c'était parfait pour la campagne
15:31 de Philippe Calderon.
15:33 -C'est vrai.
15:35 -Tu sais quoi ?
15:38 C'est pareil, enlevez-vous avec moi,
15:40 le dit Jack Arrows,
15:42 parce qu'il a eu froid, le gars.
15:44 Très mal.
15:46 -C'est ce qu'ont dit à un ami
15:49 de la campagne de Philippe Calderon.
15:51 -C'est vrai.
15:53 -C'est vrai.
15:55 -C'est vrai.
15:57 -C'est vrai.
15:59 -C'est vrai.
16:01 -C'est vrai.
16:04 -C'est vrai.
16:06 -C'est vrai.
16:08 -C'est vrai.
16:10 -C'est vrai.
16:12 -C'est vrai.
16:14 -C'est vrai.
16:17 -C'est vrai.
16:19 -C'est vrai.
16:21 -C'est vrai.
16:23 -C'est vrai.
16:25 -C'est vrai.
16:27 -C'est vrai.
16:29 -C'est vrai.
16:32 -C'est vrai.
16:34 -C'est vrai.
16:36 -C'est vrai.
16:38 -C'est vrai.
16:40 -C'est vrai.
16:42 -C'est vrai.
16:45 -C'est vrai.
16:47 -C'est vrai.
16:49 -C'est vrai.
16:51 -C'est vrai.
16:53 -C'est vrai.
16:55 -C'est vrai.
16:58 -C'est vrai.
17:00 -C'est vrai.
17:02 -C'est vrai.
17:04 -C'est vrai.
17:06 -C'est vrai.
17:08 -C'est vrai.
17:11 -C'est vrai.
17:13 -C'est vrai.
17:15 -C'est vrai.
17:17 -C'est vrai.
17:19 -C'est vrai.
17:21 -C'est vrai.
17:23 -C'est vrai.
17:26 -C'est vrai.
17:28 -C'est vrai.
17:30 -C'est vrai.
17:32 -C'est vrai.
17:34 -C'est vrai.
17:36 -C'est vrai.
17:39 -C'est vrai.
17:41 -C'était plus rare, plus rare.
17:43 J'espère qu'ils n'ont pas fait trop de Montréal Luches Présidents,
17:47 parce que ça, c'est pas un cadeau.
17:50 De Noël, tu as un Montréal Luches Président.
17:53 -J'imagine cette scène.
17:55 "Mon fils, je t'ai fait ce que tu as toujours voulu."
17:59 -C'est génial.
18:01 -Un Playstation 5, non, un peluche de Ricardo Monreal,
18:04 en veste de sable de mecère.
18:06 -Comme tu l'as toujours rêvé.
18:09 -Comme on soutient et on aime beaucoup Richie Monry,
18:14 on lui propose un Monry Luche,
18:17 un Monry Luche extra qui peut t'aider.
18:19 -C'est ça.
18:21 -Tu pourrais faire Monry Vidente.
18:25 -Quoi ?
18:26 -Monry Vidente, un peluche qui voit le futur.
18:29 Je ne sais pas où va ce plâtre.
18:31 -Il va en arrière.
18:33 -Ah, en arrière.
18:35 -Oui, en arrière.
18:37 -Exact.
18:39 -Mets-le, pour qu'il le fume.
18:42 -Sophia, on va avec toi.
18:44 En avant.
18:46 -Qu'est-ce qui peut être pire pour un célèbre ?
18:51 Que d'être confondu avec sa compétition.
18:54 C'est ce qui s'est passé avec le célèbre...
18:58 Comment s'appelle ce mec ?
19:00 -Jay. -Jay Balvin.
19:02 -Qui est ce monsieur ? -Maluma.
19:04 -C'est ça.
19:07 -Maluma, baby.
19:09 -Don Juan.
19:11 -Non, bon.
19:13 -Non, bon.
19:15 -Je ne le culpe pas.
19:17 Tous les reggaetonistes sont les mêmes.
19:20 Les reggaetonistes sont tous les mêmes.
19:23 -Exact.
19:25 Comment ne pas les confondre ?
19:27 Tous sont les mêmes.
19:29 Tous sont les mêmes.
19:31 -Qu'est-ce qui te prend ?
19:33 -C'est ça.
19:36 -Qu'est-ce qui te prend ?
19:38 -Il y a des races entre les reggaetonistes.
19:40 -Ah oui ? -Pardonnez-moi.
19:42 Ce n'est pas comme confondre-toi avec un parti politique.
19:44 Ils ont tous le même but.
19:46 Le bien-être du politique.
19:48 -Ah, oui.
19:51 -Ah, les reggaetonistes.
19:53 C'est bien, Maluma est confondu avec Bad Bunny.
19:55 Bad Bunny est confondu avec Ozuna.
19:57 Ozuna avec Yandel.
19:59 Et même moi, parfois, je suis confondu avec Gabriel Soto.
20:01 -Ah, oui.
20:04 -Mais en vêtement, ça ne se passe pas.
20:06 -Oui.
20:08 -Quelqu'un pourrait le faire un favort en le confondant avec Maluma.
20:10 -En vrai, oui.
20:12 -Mais toi, mon cher Jay, tu as le courage de sourire.
20:14 -Il ne s'est pas inquiété.
20:17 -C'est ce monsieur.
20:19 C'est pour ça que tous les reggaetonistes
20:21 disent leur nom au début, pendant et au final de la chanson.
20:23 Pour que vous vous rappelez et que vous saviez qui vous êtes.
20:25 C'est pour ça qu'ils le disent.
20:27 -Comment vous faites ça ?
20:29 -C'est grâce à Maluma.
20:32 Maluma, Maluma, blip, blip, blip.
20:34 -A moi, ça me plaît.
20:36 Et c'est comme ça que nous voulons nous donner.
20:38 Imaginez-vous.
20:40 Mais ce qu'ils disent, c'est qu'ils le confondent
20:42 avec d'autres reggaetonistes.
20:45 En vrai, une fois, j'étais en train de faire un tour
20:47 et un véhicule est arrivé pour demander à Jay de faire plus de magne.
20:51 Vous savez, comme ça, "donne-moi plus de gaz."
20:53 -Exact.
20:55 -Je veux voir du gaz.
20:57 -C'était pas comme ça, non ?
20:59 -C'était comme ça.
21:01 -Comment, non ?
21:03 -Mais il va y avoir du gaz, plus cher.
21:06 Si quelqu'un est président de cette nation,
21:10 aujourd'hui, ils crient "président" à tout le monde.
21:12 Pas à Marcelo Brarto, mais à d'autres.
21:16 Ils crient "président" à d'autres.
21:18 Et la barre est plus basse que jamais.
21:20 Jusqu'à ce qu'ils crient "président" à Eduardo Verastegui.
21:22 Faites-moi un favori.
21:24 ...
21:50 -Claro que les critent "président".
21:52 -Les critent "président".
21:54 -Exact.
21:56 -Eduardo Verastegui !
21:58 -Pas de gaz, hein ?
22:01 Pas de gaz à tous les perros qui sont tombés.
22:03 Eduardo Verastegui est déjà en train de rassembler
22:05 plus de gens que vous.
22:07 Ils sont en train de vous faire tomber.
22:09 -Il n'a pas de blague avec Verastegui.
22:11 Il ne fait pas de rassemblement, il fait des signatures.
22:14 -Exact.
22:16 -Peut-être qu'ils ont appris que Gabriel Soto
22:18 était dans la cajoue de Verastegui,
22:20 et ils ont dit "Ah, il n'est pas là !"
22:22 "Faites-le sortir !"
22:24 -Tout Gabriel Soto dans la cajoue de Verastegui.
22:27 -Tout Gabriel Soto.
22:29 Et l'autre, Babo, était aussi dans la cajoue.
22:31 -Merci, Babo.
22:33 -Oui, de Verastegui.
22:35 -Après saluer son public,
22:37 Eduardo Verastegui a remercié tous pour l'accompagnement,
22:39 spécialement sa mère
22:42 et ces 46 tians qui l'ont mal attendue.
22:44 -Maman !
22:46 -Vous pouvez passer au clip suivant,
22:48 et nous demandons une simple question.
22:50 Que pêchait cet homme ?
22:52 Un poisson avec des fesses ?
22:55 -Un poisson "tilente" ?
22:57 -Un poisson "onzote" ?
22:59 -Ah, c'est un poisson !
23:01 -Ou un poisson "beta" ?
23:03 -C'est bon, c'est bon.
23:05 -Allez-y, mais retournez !
23:08 Nous reviendrons au final heureux,
23:10 peu importe !
23:12 -Avant le coup, nous vous demandons
23:14 que pêchait cet homme ?
23:16 Un poisson avec des fesses ?
23:18 -Un poisson avec des fesses ?
23:20 -Un poisson "tilente" ?
23:23 -Un poisson "onzote" ?
23:25 -Ou un poisson "beta" ?
23:27 -C'est bon, c'est bon !
23:29 C'est le moment de le découvrir.
23:31 Allez-y !
23:33 -C'est bon, c'est bon !
23:35 -C'est bon, c'est bon !
23:38 -C'est bon, c'est bon !
23:40 -C'est bon, c'est bon !
23:42 -Allez-y !
23:44 -C'est bon, c'est bon !
23:46 -C'est bon, c'est bon !
23:48 -C'est bon, c'est bon !
23:51 -C'est bon, c'est bon !
23:53 -C'est bon, c'est bon !
23:55 -C'est bon, c'est bon !
23:57 -C'est bon, c'est bon !
23:59 -C'est bon, c'est bon !
24:01 -C'est bon, c'est bon !
24:04 -C'est bon, c'est bon !
24:06 -C'est bon, c'est bon !
24:08 -C'est bon, c'est bon !
24:10 ...

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