• l’année dernière
Depuis la France, où elle vit depuis plus de quatre ans, la jeune prodige des échecs franco-iranienne Mitra Hejazipour ne cache pas son inquiétude, un an après la mort de Mahsa Amini en Iran.

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Transcription
00:00 La jeune femme, elle était tuée en fait par les compétitions.
00:16 Quand tu es arrivée à Brest, tu étais sous l'appui de réfugiés ?
00:22 Non, non, je n'étais jamais réfugiée.
00:24 Je pense que le régime ne lâche pas, il ne lâche jamais parce que le hijab,
00:28 c'est la base du régime islamique iranien.
00:33 Mais les femmes, elles essayent de porter le voile de moins en moins.
00:39 Il y a des femmes qui ont perdu leurs yeux,
00:50 mais alors qu'elles ont perdu leurs yeux, elles ne se lâchent pas.
00:55 Elles disent que nous, on est plus fortes qu'avant.
00:59 Même si on a perdu les yeux, on ne va pas le lâcher, on va continuer.
01:06 Parce que c'est ça l'objectif, le changement de régime.
01:08 On ne veut plus le régime islamique.
01:12 Donc oui, le courage est développé, le gouvernement est armé.
01:18 Ça peut être très violent.
01:19 De ce que j'ai vu l'année dernière, de ce que je connais de ce régime,
01:23 j'ai peur, oui, bien sûr, j'ai peur.
01:26 Et j'ai de l'espoir en même temps.
01:29 Parce qu'ils ne peuvent pas tuer tout le monde, en fait.
01:32 Ils ne peuvent pas enprisonner tout le monde.
01:33 [BIP]

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