Esta noche en Qué Importa:
Adal Ramones casi se agarra a golpes con un periodista igual de greñudo que él.
Unas pompas dicen más que mil palabras.
Los genes de Ronaldinho son realmente poderosos.
¡Ah, caray!... Se puso muy extraño el entrenamiento del América.
¡Qué elegancia la de Francia!... Raquel Buenrostro asistió con tremendo look a importante reunión.
El Sol de México se ve un poco diferente.
Adal Ramones casi se agarra a golpes con un periodista igual de greñudo que él.
Unas pompas dicen más que mil palabras.
Los genes de Ronaldinho son realmente poderosos.
¡Ah, caray!... Se puso muy extraño el entrenamiento del América.
¡Qué elegancia la de Francia!... Raquel Buenrostro asistió con tremendo look a importante reunión.
El Sol de México se ve un poco diferente.
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00:00 - Et aujourd'hui, nous vous avons un chisme et pas un «like»
00:02 parce que, il se trouve que Adal Ramones et un gars qui est un journaliste de spectacle
00:06 presque se prennent à la pelucasse sur une couche rouge.
00:09 - Et si ce n'était pas assez, nous allons aussi vous montrer les «nalgas»
00:13 - Hein? - Oui!
00:14 - Nous allons vous montrer les «nalgotas» d'un célèbre qui s'est baissé les pantalons
00:18 en plein programme de télévision.
00:20 - C'est ça, mon cher José Ramones San Cristóbal.
00:23 - Qu'est-ce qui se passe?
00:23 - Commence «Qu'importe?»
00:25 - Être optimiste signifie savoir trouver ce rayon de soleil qui brille jusqu'aux jours les plus nulés.
00:31 - Et ce homme que vous allez connaître, c'est le plus optimiste de tous.
00:35 Pourquoi? Regardez-le!
00:37 - Je ne sais pas pourquoi c'est si nul, si ici il y a le soleil, tout ce qu'il fait...
00:43 (rires)
00:46 - Wow! Mais pour éclipser ce soleil, il faut environ 14 lunes, non?
00:51 C'est un soleil énorme!
00:53 - Oui, ni Jupiter!
00:54 - On dit qu'en Argentine, Louis Miguel a deux lunes, mais celui-ci a quatre lunes!
01:01 - Oui, le soleil!
01:02 - Il a égoïstement laissé la famille sans un mantel pour la nourriture.
01:06 C'est un soleil énorme, non? Très mauvais!
01:09 - Non, ce n'est pas si mauvais. Je le vois bien.
01:12 En fait, je l'ai vu et je me suis dit «c'est bien que Moisés Muñoz est en diète et il fait l'effet!»
01:18 - Mais tu sais quoi?
01:19 Quand il a entendu que le soleil était là, le chien de Van Raan a pris son ronfleur et ses genoux et il est sorti courir!
01:26 Pour sauver l'amitié! Tu vois comment il a mis le chien de Miguel en doute?
01:30 - Je comprends les genoux, mais le ronfleur, c'est avant ou après?
01:35 - Non, c'est avant. Il faut utiliser de la gazoline et un éleveur pour qu'il ne se règle pas le goût du chlore solaire.
01:43 C'est très mauvais.
01:44 - C'est un sexenien très richardin. La vérité, c'est que tous les politiques veulent monter dans ce style,
01:52 pas dans les phrases, mais alors que certains en sortent, d'autres, comme le représentant du PT avec l'INE,
01:59 pas si bien que vous, le barbare régit de la politique.
02:03 - Avec le peuple, rien. Sans le peuple, rien.
02:10 - Bravo!
02:12 - Rien de rien, ni avec, ni sans.
02:15 - Rien, absolument rien.
02:16 - Qu'est-ce qu'il y a avec ce type?
02:18 - Il ne croit rien. Il n'est rien pour personne. Il n'est pas un politique politique pur.
02:23 Rien pour personne, jamais!
02:26 - Mais comment? Pour le peuple, rien, rien, rien, rien?
02:30 - Non, non, rien, rien, rien!
02:34 - J'aime mon pays. Tu dis rien, rien, rien, rien?
02:37 - Non, non, rien!
02:39 - Inautomatique!
02:40 - Peut-être que ce que le gars voulait dire, c'est que le peuple, rien.
02:45 Rien dans les plages de Marcelo Ebrard, qui ne va plus exister pour des raisons que nous connaissons.
02:49 - Exact, exact.
02:51 - Je ne sais pas, est-ce que ce monsieur est un mage?
02:54 Rien, rien, rien ici, rien là-bas. De quoi parle-t-il, monsieur?
02:58 Ce qu'il a dit n'a pas de sens.
02:59 - C'est un génie politique.
03:01 Il a été mal avec l'opposition, mal avec Morena, mal avec le peuple et mal avec nous.
03:05 Bon, avec nous, bien. Je l'apprécie.
03:08 - Mais, mais, mais, si ce n'était pas pour ces blagues, je veux dire, comment elles sont belles.
03:13 Un erreur, c'est celui de tout le monde.
03:15 Par exemple, comme Marcelo, quand il a décidé de confier à les de Morena.
03:19 C'est un erreur! Pardon, pas de chance.
03:22 - Mais qui sait ce qui va se passer avec Marcelo?
03:24 Il est très émouvant, sans son nouveau parti.
03:26 On verra, mais bon, parlons de diplomatie.
03:28 La diplomatie requiert de la main gauche et d'élégance.
03:33 C'est ce que l'a démontré la secrétaire d'économie Raquel Buenrostro,
03:36 qui a assisté au G20, où se réunissent les 20 pays les plus industrialisés.
03:40 Et qui a utilisé le meilleur anticonceptif qui existe, en les pieds.
03:45 - Allez, Raquel Buenrostro.
03:47 Regarde, il est arrivé au G20 avec des crocs.
03:52 - Comme vous ne le voyez pas, avec des crocs, des chaussures vacationnelles,
03:56 c'est-à-dire pour la plage, et ça va représenter le pays. C'est incroyable.
04:01 - C'est l'austérité républicaine.
04:04 Très bien, secrétaire d'économie Buenrostro.
04:07 Buenrostro et mal guste, mais...
04:09 - Exact, exact.
04:11 En fait, comme vous le disiez, l'économie du bien-être est bien représentée.
04:15 Elle a décidé d'être bien-être à goût à ce moment-là.
04:19 Je me mets en chaussures, ça ne m'importe pas, c'est la même chose.
04:22 - C'est que c'est bien.
04:24 Les Méxicains démontrent au monde le valeur de l'austérité républicaine.
04:28 - Que nous copie, entendez-vous.
04:30 Pourquoi en payer des chaussures italiennes si c'est cher, quand il y a des crocs?
04:34 - Bien, si j'avais mis des huaraches traditionnels mexicains au lieu de des crocs, madame, s'il vous plaît!
04:41 - Bien, ne jugeons pas de façon si violente.
04:43 Peut-être qu'il n'y avait pas d'alternative,
04:45 parce que vous savez que les chaussures, nous les voyons, Juanetes, nous ne le savons pas.
04:49 - Ah, dans une de ces chaussures, ça me fait mal dans les pieds.
04:52 Maintenant, avec ce look de tirer la poudre le dimanche,
04:55 laquelle nous démontre qu'en s'achat et en bon goût,
04:58 vous êtes vraiment super combattus, la vérité.
05:01 - La vérité.
05:02 - Si j'avais arrivé en combattant une orange
05:04 et en tirant les doigts avec une carte de crédit,
05:07 j'aurais été plus élégant.
05:09 - Un couteau dans la bouche.
05:10 - Ça aurait été mieux.
05:11 - Alors, ce qu'on ne peut pas nier,
05:13 c'est que les crocs sont plus mauvais que le baster sans maquillage.
05:16 Mais nous ne pouvons pas critiquer la secrétaire
05:19 parce que ces chaussures se voient bien confortables.
05:22 La chose est que vous soyez à l'aise, monsieur.
05:24 - La image du pays, qu'est-ce que...
05:26 - Que c'est bien que tu aimes, parce que j'en ai acheté un.
05:29 - Oh non, qu'est-ce que c'est?
05:31 - Ce sont les meilleurs crocs du planète.
05:33 Ils portent même leur patate de poisson.
05:35 - Une patate de poisson?
05:37 - Ce sont des chaussures Kentucky.
05:39 Non, c'est Kentucky.
05:40 - Quoi?
05:41 - Kentucky, je crois que c'est.
05:43 - Ah, non, Kentucky.
05:45 - Exactement. Ce sont ceux du colonel.
05:47 Et avec eux, je vais me déplacer jusqu'où est Gabriel Agraf
05:51 dans les sports.
05:53 - Tu te sens bien?
05:54 - Oui, je me sens bien.
05:56 - Mais bon, ils disent qu'on peut tirer l'Amérique du joueur,
06:00 mais on ne peut pas tirer l'Amérique du joueur.
06:04 Mais comme les footballistes ne se rendent jamais,
06:06 de tous les modes, ils essaient de tirer quelque chose,
06:09 parce que regarde ce qui s'est passé dans ce trainement.
06:11 - C'est la...
06:13 - Ah!
06:14 - Ah!
06:15 - Là, il y a la répétition, pour si vous l'avez perdu.
06:18 - Pourquoi sont-ils ainsi, les américains?
06:21 Pourquoi?
06:22 - J'ai compris que c'est exactement le rituel
06:25 de la bienvenue à l'Amérique.
06:27 - Tu es déjà là?
06:28 - Non, c'est ce que m'a raconté Moïse Muñoz.
06:30 Mais en réalité, ils n'utilisent pas le doigt.
06:33 - Non?
06:34 - Non, non. Dans la cérémonie officielle,
06:36 ils utilisent la banderille de Cornell.
06:38 - Ah!
06:39 - Wow!
06:40 - Que horreur!
06:41 - Et bon, ils disent que c'est mieux le doigt
06:43 que la tête.
06:44 Ou comment c'était?
06:45 - Exactement.
06:46 - C'est la tête.
06:47 - Non, mais ça, pardonne-moi,
06:48 mais c'est un vrai acte d'alliance,
06:50 de faire tomber la banderille de ton partenaire d'équipe
06:53 pour qu'il puisse jouer à la fête.
06:55 - Oui, oui, oui.
06:56 - Tu vois, c'est ça que...
06:57 C'est pour ça que tu et moi, on n'est pas des frères.
07:00 - Parce que je ne t'ai pas fait tomber la banderille,
07:03 c'est pour ça.
07:04 - Exactement.
07:05 - C'est horrible.
07:06 - Et on est bien comme ça.
07:07 Après, il est allé avec ses autres compagnons
07:09 et il leur a dit comme ça, regarde.
07:11 "Allez, sentez mon doigt."
07:12 - Ah!
07:13 - Ah!
07:14 - Regardez, on a vu pourquoi ils ont fait
07:16 le jeûne tellement désaligné, non?
07:18 - Exactement.
07:19 - Mais c'est comme allignement et balancement, non?
07:21 - Oui, direct.
07:22 - Oui.
07:23 - Mais ça, on ne le fait pas.
07:24 La vérité, c'est que d'abord,
07:25 par courtesie, on se fait la salive.
07:27 - Non!
07:28 - C'est une grosserie.
07:29 - C'est là.
07:30 - Et après, c'est fini.
07:31 - Il y a des enfants.
07:32 Qu'est-ce que va dire le Chinois, notre manager de fleurs?
07:34 - Il n'y a pas d'enfants.
07:35 - Il est en colère.
07:36 - Il n'y a pas d'enfants à cette heure.
07:37 - Bon, parlons d'autre chose.
07:39 Le football féminin est en train de se dépasser.
07:42 Tant que les plus grands de tous les temps
07:45 veulent jouer avec les femmes, c'est-à-dire dans leur équipe.
07:48 Regardez.
07:49 - Voyons.
07:50 - C'est comme ça.
07:51 Et c'est en Afrique du Sud que le footballeur Michem Minis
07:54 a beaucoup à parler.
07:56 Et non seulement pour son talent,
07:58 mais aussi parce que, apparemment,
08:00 sa mère a dansé le samba horizontal il y a quelques années
08:03 avec un certain célèbre, appelé Ronaldinho.
08:07 - C'est Ronaldinho.
08:08 - C'est la même.
08:09 - La même.
08:10 - C'est la même.
08:11 - La fille de Ronaldinho.
08:12 - Il n'en faut pas.
08:13 - Il n'en faut pas.
08:14 - Il n'en faut pas.
08:15 - Il n'en faut pas.
08:16 - Il n'en faut pas.
08:17 - Il n'en faut pas.
08:18 - Il n'en faut pas.
08:19 - Il n'en faut pas.
08:20 - Il n'en faut pas.
08:21 - Il n'en faut pas.
08:22 - Il n'en faut pas.
08:23 - Il n'en faut pas.
08:24 - Il n'en faut pas.
08:25 - Il n'en faut pas.
08:26 - Il n'en faut pas.
08:27 - Il n'en faut pas.
08:28 - Il n'en faut pas.
08:29 - Il n'en faut pas.
08:30 - Il n'en faut pas.
08:31 - Il n'en faut pas.
08:32 - Il n'en faut pas.
08:33 - Il n'en faut pas.
08:34 - Il n'en faut pas.
08:35 - Il n'en faut pas.
08:36 - Il n'en faut pas.
08:37 - Il n'en faut pas.
08:38 - Il n'en faut pas.
08:39 - Il n'en faut pas.
08:40 - Il n'en faut pas.
08:41 - Il n'en faut pas.
08:42 - Il n'en faut pas.
08:43 - Il n'en faut pas.
08:44 - Il n'en faut pas.
08:45 - Il n'en faut pas.
08:46 - Il n'en faut pas.
08:47 - Il n'en faut pas.
08:48 - Il n'en faut pas.
08:49 - Il n'en faut pas.
08:50 - Il n'en faut pas.
08:51 - Il n'en faut pas.
08:52 - Il n'en faut pas.
08:53 - Il n'en faut pas.
08:54 - Il n'en faut pas.
08:55 - Il n'en faut pas.
08:56 - Il n'en faut pas.
08:57 - En une de ces, de propre, il y a un avantage très peu agréable, mais qui nous lève au quinto match.
09:02 - S'il vous plaît, que ça arrive.
09:04 - C'est la caméra 1.
09:06 - Ils ressemblent presque autant que les enfants de Diego Dreyfus à l'écharpe.
09:12 Vous vous rendez compte ?
09:13 - C'est pareil.
09:14 - C'est pareil.
09:15 - Alors celui de la caméra 2 est aussi l'enfant de Ronaldinho ?
09:18 - Oui !
09:19 - Ça ressemble.
09:21 - Merci, monsieur Crocs.
09:24 - Merci.
09:25 - Allez, Sophia !
09:26 - Wow !
09:27 - Mi amor !
09:28 - Mira mis Crocs.
09:29 - Pero no querías acción esta noche, no estoy entendiendo que está pasando.
09:32 - Ya perdí mi oportunidad.
09:33 - Estás haciendo todo para no ayudarte, compa.
09:36 Bueno, mira, seguro usted ha escuchado de la lectura de cartas, ¿no ?
09:41 - Sí.
09:42 - Si lo han oído, que te leen el tarot y así.
09:44 La lectura de té, te suena, Chino ?
09:46 - Sí.
09:47 - Bueno, ¿pues conoces la lectura del café, Chino ?
09:50 - ¿Qué ?
09:51 - ¿Se te antoja que te lean el café ?
09:53 - ¿De café chino ?
09:54 - ¿O no, Chino ?
09:55 - El café ?
09:56 - El café.
09:57 - Porque, mira nada más, eso es exactamente lo que le hicieron a Paul Stanley en pleno programa.
10:03 - Le leyeron el café a Paul ?
10:05 - Mira, aquí podemos ver, precisamente, la lectura de cartas de una sesión de pérdida emocional,
10:14 en donde él ha estado trabajando para poder identificar su propia personalidad.
10:19 Ha estado trabajando en ello.
10:21 Estás haciendo unas inversiones ahorita.
10:23 Il va faire des plans pour se marier, même si il dit qu'il est impérial.
10:27 Ici, il va faire un type de cotisation.
10:30 Tu as de très bons projets, mais ici, précisément, tu peux marquer même sur les ombres.
10:35 Tu peux voir qu'il est enceint, il est une personne qui a intérêt au monde,
10:39 mais, de suite, il est un peu administratif, un peu chèque.
10:44 - Ah !
10:45 - Wow !
10:46 Tout ça, tout ça, c'est ce que disaient les couilles de Paul.
10:50 Je pense que ce que disaient les couilles de Paul, c'est du bêtisier.
10:53 Je ne crois pas à ce que les gens disent.
10:55 Qu'est-ce qu'ils parlent ?
10:56 - Bon, mais il faut remercier qu'ils ont seulement lu le café et qu'ils ne l'ont pas sorti.
11:00 - Non !
11:01 - Ça aurait été très agressif pour la télévision.
11:03 Mais ce que la dame a dit aussi, aidez-moi, s'il vous plaît, belle assistante.
11:07 - Oui, comme tu veux.
11:08 - Regarde, ici, on peut voir que tu as suffert une séparation dérapante,
11:12 à un moment de ta vie.
11:15 - Oui.
11:16 - Comme ça.
11:17 - Je pensais que la brouhaha, je veux dire la dame qui lit les couilles,
11:21 allait dire "ici, on peut clairement voir que tu vas te faire chier".
11:24 - Ah !
11:25 - Comme si ce n'était pas suffisant de supporter les gens qui vous demandent pour ton signe,
11:29 maintenant, on va aussi devoir se faire les couilles ?
11:31 - Oui !
11:32 - Regarde, quelle excuse que je puisse trouver, copère.
11:35 - Tu sais ce que je lui disais ?
11:38 "Bientôt, tu vas trouver un grand papier, Paul.
11:41 Un papier inoubliable, un papier de bain, regarde, comme ça, gros, du pâton, du riche, mec.
11:46 - Deux, trois feuilles.
11:47 - C'est le futur de Paul.
11:48 - Tu sais quoi ? Je crois que Pepillo doit aussi beaucoup s'amuser de lire les couilles,
11:51 mais il préfère le braille, non ?
11:53 - Ah !
11:54 - Ici, ici, salut, je t'aime.
11:58 - Maintenant, et si tu te fais chier, c'est que tu lis plus loin.
12:02 - Plus loin ?
12:03 - Oh, il se charge d'une fois.
12:04 - Et une fois ?
12:06 - Tu sais que c'est une bonne idée pour une première date,
12:09 pour connaître mieux profondément ta petite fille.
12:12 Tu sais que je peux lire tes couilles ?
12:14 Je suis évident.
12:15 Laisse-moi voir ce que dit ton futur.
12:17 Notre futur, petite.
12:18 - C'est comme ça qu'Edouard m'a amouré, n'est-ce pas ?
12:21 C'est comme ça que nous avons fermé la première date.
12:23 - En vrai, je ne voulais pas le dire, c'est une de mes spécialités, la lecture.
12:27 - Bien culte, bien lecteur.
12:29 Écoutez, faites-vous un côté, faites-vous un côté, Canelo,
12:33 parce que la lutte de l'année n'est plus votre propre.
12:35 C'est maintenant de Adal Ramones, qui a eu un très inconvénient
12:39 rencontre avec le journaliste Javier Seriani,
12:42 quand il a voulu l'interviewer sur un couloir rouge.
12:45 - Le des "pelous-guerros", non ?
12:47 - Exact.
12:48 - Adal, je suis Javier de Chimera Life.
12:52 - Oui.
12:53 - Est-ce que tu peux me donner 5 minutes ?
12:55 - Oui.
12:56 - Pourquoi pas ?
12:57 - J'ai le droit de dire non.
12:59 - Je suis un journaliste et vous devez aller aux journalistes.
13:03 - Je ne m'en occupe pas des journalistes.
13:06 - Que se passe t-il avec les journalistes ?
13:08 - Vous me devez la carrière.
13:10 Je vous ai promis toute votre carrière.
13:13 Les journalistes, c'est ce que nous faisons.
13:15 C'est les acteurs.
13:16 - Tu n'as pas fait de la vie.
13:17 Tu as payé les 30 000 euros.
13:19 Tu as été à la scole de danse.
13:21 - J'ai entendu ce monologue très long qui faisait le couloir rouge.
13:25 Je ne pouvais pas dormir, j'étais comme ça.
13:27 J'étais comme ça.
13:28 - Ok, ok.
13:32 C'est vrai qu'Adal Ramones est très intimidant,
13:35 il s'énerve avec toi.
13:36 Javier, si tu lui as fait la carrière,
13:38 alors tu es le coupable.
13:40 Tu as fait la culpabilité.
13:42 - Je crois qu'il a failli appliquer la jaunesse à Adal.
13:48 Tu es le culo, tu n'es pas le lien de rien.
13:51 - Je ne sais pas pourquoi,
13:55 je pensais qu'à un moment,
13:57 Jordi allait tirer un coup de main,
13:59 mais rien, je me suis retrouvé en attente.
14:00 Et Mauricio Castillo.
14:01 - Tu as dit coup de main ?
14:02 - Coup de main.
14:03 - Coup de main.
14:04 - Il ne faut plus attendre la déclaration de Marta Higareda.
14:07 "Oui, Jordi, j'ai fait la carrière à Adal,
14:10 ils ne m'ont même pas mentionné,
14:12 puis les années sont venues."
14:14 - C'est bien qu'ils n'ont pas commencé à tirer le cou,
14:17 parce que Adal serait très cher de ce coup de main.
14:19 - C'est vrai, le coup de main de la jaunesse
14:21 coûtait environ un million de pesos,
14:23 c'est très cher.
14:24 C'est bien qu'il ne l'ait pas tiré.
14:25 - Ne me dis pas,
14:26 quelle tristesse, parce qu'il est mort.
14:28 - Oui, et il sent la peste.
14:30 Et il sent la peste, en plus de tout.
14:32 - C'est vrai que Adal a envie de voir le couleur de Javier,
14:35 parce que quel couleurage, Javier, c'est bizarre.
14:37 - Et allons dans d'autres choses,
14:39 même si il y a déjà passé plusieurs jours
14:41 après que Claudia Sheinbaum ait été éngagée
14:43 et que Marcelo Obrador n'a pas été,
14:45 Marcelo continue de dire que ce n'était pas juste,
14:48 qu'il y avait des inconsistences dans le processus,
14:50 et peut-être qu'il a raison,
14:51 parce que certains pourcentages de vote
14:53 nous semblent un peu étranges.
14:55 Regardez comment Alfonso Durazo le règle
14:57 et comment il ne se rend même pas compte
14:59 qu'il l'a règlé.
15:00 - Manuel Velasco, 73 %.
15:04 - Ah, carrément !
15:06 - Non !
15:07 - Non !
15:08 - 73, vraiment ?
15:12 - Non !
15:13 - 7,3 !
15:15 - Qu'est-ce qui s'est passé ?
15:16 - Manuel Velasco, 7,3 %.
15:21 - Ah, c'est ça !
15:23 - Ah, c'est ça !
15:24 - C'est ça !
15:25 - 73 %.
15:27 - Ah, c'est ça !
15:28 - Il semble qu'il voulait que Manuel gagne,
15:30 pour pouvoir, je ne sais pas,
15:32 changer de nom à Alfonso Dedazo.
15:34 Non, Alfonso, non !
15:35 Il y a une grande différence entre ces deux chiffres.
15:37 - Je sens que ce n'est qu'un erreur de doigt,
15:40 quelque chose de similaire à ce qui s'est passé à Miguel Ayun.
15:44 - C'est très de la politique mexicaine
15:48 d'avoir d'autres "dacos" aujourd'hui.
15:50 "Ah, j'ai d'autres dacos, ça ne me fait rien."
15:52 - Entre 73 et 7,3,
15:55 ne me laissez pas mentir, il n'y a qu'un point de différence.
15:58 - Oui, bien sûr !
15:59 - Pas comme les 14 points qu'il y avait entre Claudia et Marcelo.
16:03 - Exact.
16:04 - Il est mort.
16:05 - C'est une différence légère.
16:07 Maintenant, il ne s'agit pas de 73 ou 7,3.
16:10 Ce qui compte, c'est que,
16:12 avec n'importe qui d'entre eux,
16:13 il a gagné à Ricardo Monreal.
16:14 C'est pareil, non ?
16:16 Il ne s'agit pas de combien.
16:17 - La vérité, les points sont très importants,
16:19 surtout le point final,
16:21 que Marcelo Ebrard a reçu le mercredi.
16:23 - Oh, qu'il a gagné !
16:24 - Exact.
16:25 - Après avoir confirmé qu'effectivement,
16:29 c'est Claudia,
16:31 les sympathisants de Morena se sont rendus si heureux
16:34 qu'ils ont même fait des bêtises très sympathiques
16:37 à la mi-route.
16:38 En avant !
16:39 - "Qu'il ne nous brinque pas, oh, chill !"
16:51 - Mais c'est une grande foule, là-bas.
16:54 C'est impressionnant.
16:55 Trois petits, mais bon.
16:57 - Je l'ai vu, j'ai eu peur.
16:58 "Ne va pas activer l'alerte sismique
17:00 avec tant de brin."
17:02 - Oui, c'est horrible.
17:03 Sachito ne doit pas investir beaucoup dans sa campagne.
17:07 Les de Morena le font déjà.
17:09 Et la campagne, c'est fou.
17:11 C'est horrible.
17:12 - Oui, mais je ne suis pas sûr.
17:14 C'est un peu plus léger.
17:15 Le gars qui charge la dame avec le micro,
17:19 le gars qui a brinqué deux fois,
17:21 donc il compte plus, il est là.
17:24 - Mais en réalité, la dame qui a brinqué le plus,
17:27 c'était la June, avec un doigt.
17:29 Ces cinq personnes étaient en train de le tester.
17:32 La June a mis un impuls dans cette campagne.
17:35 - Regardez-moi ce paradoxe.
17:37 "Qu'il ne nous brinque pas, oh, chill !"
17:39 J'aurais aimé que Sochil brinquait,
17:42 juste pour laisser tout le monde...
17:44 - Quoi ?
17:45 - Qu'est-ce que c'est ?
17:46 - Ou non ?
17:47 - Exactement, pour que personne ne comprenne,
17:49 pour confondre l'ennemi.
17:50 - C'est une paradoxe.
17:52 - Le seul à ne pas pouvoir brinquer, c'était Marcelo.
17:54 - Pourquoi ?
17:55 - Il avait peur, car le sol était tout pareil.
17:58 Il a dit ça, il a dit ça.
17:59 "Il n'y a pas de sol pareil, tu peux te blesser, Marcelo.
18:01 C'est bien que tu n'aies pas brinqué."
18:03 Mais bon, parlons de Marcelo.
18:04 Évidemment, Marcelo est en main tous ces jours.
18:07 Jusqu'à Marco Conca, presque toujours Cortez,
18:10 celui du pain, qui a publié un vidéo sur le sujet,
18:14 et qui a été édité pour que Marco puisse dire
18:17 ce qu'il pensait réellement.
18:19 C'est ce que Marco Conca n'a jamais dit,
18:22 presque toujours Cortez, celui du pain.
18:24 Ecoutez avec attention.
18:25 - Marcelo,
18:26 sois un grand ami pour le Mexique.
18:29 Dans ce projet,
18:30 les gens qui veulent vraiment des retroussesses graves
18:34 en sécurité, en santé, en éducation, sont bienvenus et nécessaires.
18:37 Ils veulent l'appareil qu'ils ont utilisé contre toi
18:40 dans les jurys.
18:41 Nous t'attendons ici.
18:42 - Ah, bien !
18:43 - L'appareil qu'ils ont utilisé contre toi dans les jurys,
18:46 c'est ça ?
18:47 - Bien, qui sait,
18:48 peut-être que ça lui a donné une impression horrible,
18:51 cet appareil.
18:52 Maintenant, plus d'un va vouloir se joindre au Front Après
18:55 après ça, Marco.
18:56 La vérité, c'était un message, j'ai adoré.
18:58 Très cool.
18:59 - Mais tu ne sens pas que tout ce discours
19:01 peut avoir apparu dans la tête de Marco Cortez,
19:04 qui est de plus en plus grand ?
19:06 - Regarde, je ne peux pas faire de blagues sur ça,
19:09 parce qu'ici, on peut écrire la Bible,
19:11 - Là, il y a le Front Après complet.
19:14 - Ici, tout est possible.
19:16 Le bon, c'est que Hebrard a beaucoup de lieux
19:19 à les appeler la maison.
19:21 Morena, le PRD, un parc de départements à Paris.
19:25 Il y a plusieurs lieux.
19:27 - Et maintenant, il y a le mouvement progressiste
19:30 ou le mouvement marxiste, je ne sais pas.
19:32 Mais bon, qu'était-ce que Marco Cortez disait ?
19:35 Pourquoi est-il dans notre section préférée ?
19:38 - Parce que Marco est très intelligent.
19:41 Il a invité Marcelo à sortir.
19:43 Il l'a invité à amplier le Front Après
19:46 pour ne pas diviser le vote de l'opposition,
19:48 parce qu'ils savent que de cette façon,
19:50 ils pourront compéter contre Morena, ou non ?
19:52 - Mais il y a quelques heures, Marcelo est sorti
19:54 pour dire à Marco que merci pour l'invitation,
19:56 mais qu'il se fasse directement à Chassm,
19:59 parce que lui, Marcelo, va fonder son propre parti
20:01 appelé le mouvement marxiste.
20:03 - Ah non, le mouvement progressiste.
20:07 - Ah !
20:08 - Ecoutons.
20:09 - Je sens que nous avons déjà vu cette film, non ?
20:36 - Oui, oui, oui.
20:37 - Je ne sais pas, regardez.
20:38 Pensez-y.
20:39 Ils vous néguent l'opportunité, vous vous défoncez,
20:42 vous fondez votre propre parti,
20:43 et quelques années plus tard, vous gagnez la présidence.
20:45 Où avez-vous vu cette film, vous ?
20:47 Dites-nous.
20:48 - Je me rappelle.
20:50 Je ne sais pas, comment si tu disais que ton gouvernement
20:52 va avoir, au lieu d'austérité franciscaine,
20:55 abstinence à Agustina ?
20:57 - Allez !
20:58 - Quelque chose qui se passe avec la population, Marcelo.
21:00 - Quelque chose qui se passe, Josson.
21:02 Bon, tu peux même avoir ta propre merde.
21:04 Quelque chose comme "C'est une bénédiction d'être avec Casa Obon"
21:08 ou quelque chose comme ça, original et beau.
21:10 - Je sens que c'est comme quand, à l'école,
21:13 ils t'ont sorti de l'équipe et que tu devais trouver un autre équipe
21:16 pour t'exposer et avoir une qualification,
21:18 parce que avec ça, tu avais déjà fait le boulot.
21:20 - Mais, comment est-ce qu'on va appeler le mouvement de Marcelo ?
21:23 Il a déjà un nom ?
21:25 - Il n'a pas de nom.
21:27 Tu vois que Morena est le mouvement de la Régénération nationale.
21:30 Je lui propose Modesto.
21:33 - Mouvement de la totalité de la désespération.
21:36 - Modesto. OK.
21:39 Je ne sais pas si on va appeler ça le mouvement,
21:42 mais la vérité, c'est que la quantité qu'il a mangé en pré-campagne,
21:46 j'espère que ce mouvement inclut beaucoup de carbo,
21:48 parce que sinon, il va tomber comme un repas, Marcelo.
21:50 La vérité. La vérité.
21:52 - Bon, passez, s'il vous plaît, au suivant vidéo et dites-nous.
21:54 Dans quel mars se trouve-t-il ?
21:56 Est-ce le mar d'Iguana ?
21:59 - Est-ce le mar d'Iguana ?
22:02 - Est-ce le mar d'Iguana ?
22:04 - Est-ce le mar de l'instant ? Le mar de la fête ?
22:08 On va encore vérifier.
22:11 ♪ ♪ ♪
22:18 ♪ ♪ ♪
22:20 - Avant de finir, on vous demande dans quel mar se trouve-t-il ?
22:24 - Les options sont le mar d'Iguana.
22:28 - Le mar de la fête.
22:30 - Le mar de la fête.
22:32 - Le mar de la fête.
22:34 - On va voir.
22:36 - Que sent cette main ?
22:38 - Oh, qu'il y a de l'or !
22:40 - Oh, qu'il y a de l'or !
22:42 - Oh, qu'il y a de l'or !
22:44 - Le ringue !
22:46 - Oh, quelle mauvaise chance.
22:48 Ce jour-là, tous ont perdu le ring.
22:50 - Et probablement sans dents aussi.
22:52 - Bonne nuit !
22:54 - Bonne nuit !
22:56 ...
23:02 ...