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Retrouvez le replay du match Macédoine du Nord - Italie des qualifications à l'Euro 2024 du 09/09/2023.

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00:00 C'est un événement que toute l'Italie attend, la première du nouveau sélectionneur Luciano Spalletti de Naruma, le parisien est titulaire.
00:07 L'Italie qui est en difficulté dans le groupe C pour ses éliminatoires de l'Euro 2024 après le match nul entre l'Ukraine et l'Angleterre.
00:14 L'Italie est troisième, les Italiens avec trois points seulement qui doivent absolument l'emporter en Macédoine du Nord.
00:20 Cette nation qui avait privé l'Italie de Coupe du monde 2022.
00:24 Johan Rio avec Dave Apadou. Bonsoir les amis, l'Italie, Dave et Johan qui attend avec impatience la première de Spalletti dans un contexte compliqué pour la sélection nationale.
00:34 Et oui c'est seulement le troisième match de cette phase de groupe pour l'Italie et là il y a un climat très très tendu depuis quelques semaines.
00:40 La démission inattendue de Roberto Mancini pour aller en Arabie Saoudite, Luciano Spalletti très très heureux de vivre sa première et d'endosser ce challenge.
00:46 Mais franchement la pression est énormissime ce soir à Skopje.
00:49 C'est un rêve de petit garçon a dit Spalletti. Spalletti avance son premier match à la tête de la Squadra Azzurra. Dave ?
01:10 Oui, il a dit je ne sais pas si je serai le meilleur entraîneur mais l'Italie aura le meilleur Spalletti.
01:16 Tout est dit, on a l'impression qu'il est en mission. On pensait qu'il allait prendre un temps sabbatique, c'est ce qui était prévu après son départ de Naples.
01:24 Mais là il y a eu l'appel du pays et quel appel ?
01:28 Et l'appel du pays c'est l'hymne italien qui va retentir en premier.
01:32 (Hymne italien)
01:55 (Hymne italien)
02:24 (Hymne italien)
02:34 (Hymne italien)
03:03 (Hymne italien)
03:15 Les joueurs doivent hurler leur bonheur de porter ce maillot. Voici les mots de Spalletti avant ce match. Ils ont hurlé cet amour avant l'hymne de la Macédoine du Nord.
03:25 (Hymne italien)
03:54 (Hymne italien)
04:04 (Hymne italien)
04:14 (Hymne italien)
04:34 L'Italie doit s'imposer en Macédoine du Nord dans ses qualifications pour l'Euro 2024. Coup d'envoi juste après ça.
04:44 (Musique)
04:49 Votre match revient sur l'équipe avec Winamax. Winamax, le plus important c'est de gagner.
04:55 (Musique)
05:00 Cette saison, Amazon vous livre la Ligue Uber Eats. Bienvenue sur Prime Vidéo, je suis avec...
05:06 230 matchs en exclusivité, dont les 10 plus grandes affiches.
05:11 (Musique)
05:18 Réservé aux membres Prime.
05:20 Cadeau, carrément. Bon anniversaire.
05:24 Menu carrément bon, 4 produits, 4,95, bœuf, poulet, veggie, carrément bon.
05:29 Le goût de se retrouver.
05:31 (Musique)
05:36 Votre match revient sur l'équipe avec Winamax. Winamax, le plus important c'est de gagner.
05:42 (Musique)
05:46 Après Ukraine-Angleterre, match Lille-Impartou, voici la suite de votre soirée avec dans le même groupe,
05:53 la Macédoine du Nord en rouge face à l'Italie, François Lutexi, adverteur français.
05:57 Dans la foulée, Yohann Hedè, 24 minutes chrono, vous avez l'habitude pour voir tous les buts de la soirée.
06:02 A vous pour ce magnifique Macédoine du Nord-Italie.
06:04 Merci beaucoup, mais Saoud, ici à Scobjeu en Macédoine du Nord,
06:08 et c'est un moment très très très important pour l'Italie, pour la nationalité.
06:11 Toute l'Italie est devant sa télé ce soir, c'est un moment important.
06:14 Roberto Mancini, lui, qui avait fait gagner le dernier euro à l'équipe italienne,
06:18 a démissionné de manière très surprenante, inattendue, en août.
06:21 Et puis voilà, on a appelé en catastrophe Luciano Spalletti.
06:24 L'aventure de Spalletti commence aujourd'hui, et ça ne va pas être facile contre la Macédoine du Nord.
06:28 Ça ne va pas être facile, dans une atmosphère de revanche.
06:31 On se souvient de ce qui s'était passé lors du fameux barrage pour le Mondial 2022,
06:36 avec cette frappe à la dernière seconde qui avait éliminé la nationale.
06:41 Et on va voir maintenant la patte de Spalletti, si tant est qu'il n'est plus en quelques jours,
06:45 comme ça sur le premier rassemblement, un soufflé, ce qui a fait son succès, notamment avec le Napoli.
06:52 - En tout cas, je suis très, très heureux d'être là.
06:54 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
06:56 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
06:58 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:00 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:02 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:04 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:06 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:08 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:10 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:12 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:14 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:16 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:18 Je suis très, très heureux de pouvoir jouer avec vous.
07:20 - En tout cas, je suis très, très heureux d'être accompagné
07:22 par Dev Apadou pour ce match.
07:24 Dev, vous avez fait une interview phénoménale dans France Football
07:26 sorti ce samedi.
07:28 Vous pouvez le retrouver, évidemment, sur Internet,
07:30 évidemment, de la star absolue à Land.
07:32 - Ah oui. - Vous êtes allé le rencontrer.
07:34 - Un vrai plaisir. On l'a rencontré à Manchester
07:36 et pour la première fois, il a parlé un peu longuement
07:38 et c'est vrai que c'est un taiseux d'habitude,
07:40 mais il nous a fait le plaisir de nous accorder
07:42 du temps et des paroles et on s'est régalé à l'écouter.
07:44 - Bah, bravo encore.
07:46 Et puis, évidemment, à lire.
07:48 France Football avec le Ballon d'or très, très, très bientôt.
07:50 Et ça va être encore une sacrée soirée fin octobre
07:52 sur la chaîne de l'équipe.
07:54 Et c'est vraiment un corps arbitral totalement français
07:56 avec François Leteixier à la touche,
07:58 Hicham Sakrani et Mehdi Ramouni.
08:00 C'est parti.
08:02 Bonne soirée à toutes et à tous.
08:04 L'Italie.
08:08 En bleu.
08:10 Et la Macée du Nord en rouge.
08:12 Et avec Di Lorenzo. Et donc, c'est les premiers pas
08:14 de Luchalo Spalletti et tout de suite, il a dit
08:16 que vous me dites que le terrain, il est un petit peu pourri.
08:18 Il y a plein de trous, il est en très mauvais état.
08:20 Mais il a dit, ce n'est en aucun cas une excuse.
08:22 Ça ne devra pas être une excuse.
08:24 Les deux équipes ont le même terrain et ça commence bien,
08:26 évidemment, à ne pas trouver d'excuses.
08:28 - Oui, alors qu'on a vu, là,
08:30 sur les premières secondes,
08:32 la Macée du Nord avec un dispositif
08:34 plutôt à 5, en tout cas, quand l'Italie
08:36 a le ballon.
08:38 Il y avait un doute, notamment,
08:40 est-ce qu'ils allaient jouer à 4 derrière ou à 5.
08:42 En tout cas, sur les premières secondes, c'était
08:44 1, 2, 5, donc renforcé.
08:46 On craint l'Italie ou en tout cas, on veut sécuriser
08:48 les premières secondes face à la nationale
08:50 dont on sait qu'elle a impérativement
08:52 besoin d'une victoire pour revenir
08:54 dans la course à la qualification.
08:56 Et sorti le but,
09:00 sur ce premier ballon, un poil
09:02 trop long.
09:04 - Et Luchalo Spalletti, évidemment,
09:06 le rêve d'une vie. Regardez-le,
09:08 64 ans, lui, qui vient d'accomplir un exploit
09:10 extraordinaire avec le Napoli,
09:12 champion l'an passé.
09:14 Toute la ville, toute la région attendait
09:16 depuis tellement de temps, depuis 1990,
09:18 le troisième Scudetto de l'histoire.
09:20 Il y en est vraiment pour beaucoup.
09:22 Et d'ailleurs, il retrouve des joueurs qu'il connaît parfaitement.
09:24 Di Lorenzo, l'arrière droit,
09:26 Politano, le numéro 7, l'éli,
09:28 et Di Lorenzo, d'ailleurs, qui était son capitaine au Napoli.
09:30 Mais là, en tout cas, pour la nationale, il a choisi
09:32 un autre capitaine, ça sera Chiro Immobili,
09:34 qui a tant et tant et plus encore à prouver avec ce maillot
09:36 où il a toujours eu un petit peu de mal.
09:38 - Oui, on va avoir l'occasion de reparler
09:40 des problèmes, parfois, de Vivier
09:42 en attaque de l'équipe d'Italie.
09:44 Mais là, on a vu Dimitreïvski,
09:46 qui a préféré allonger face au pressing
09:48 italien.
09:50 Et l'Italie qui récupère ce ballon
09:52 et qui va pouvoir développer
09:54 une première attaque.
09:56 Ouh, Bardi, là, à l'épaule.
09:58 - Et ça serait, c'est donc un A4-3-3
10:00 au milieu de terrain.
10:02 Tonali, Cristante, Barrella.
10:08 - Oui, le fameux système, un 4-3-3
10:10 de Naples.
10:12 En tout cas, qu'il avait
10:14 installé à Naples et qu'il
10:16 reproduit là avec la nationale.
10:18 De toute façon, on a un trio en milieu de terrain
10:20 comme Cristante et surtout Barrella
10:22 et Tonali. Il ne faut pas s'en priver.
10:24 Il faut les mettre dans les meilleures conditions.
10:26 - Il va y avoir l'ouverture de Di Lorenzo, peut-être ?
10:28 En tout cas, le twist. Et est-ce que ça a été une position
10:30 de hors-jeu ? C'est lever le drapeau. Mais en tout cas, il y avait
10:32 une belle action collective. Et on voit tout de suite,
10:34 comme faisait Di Lorenzo avec Napoli la saison passée,
10:36 la saison fantastique. Regardez, il monte, il monte
10:38 souvent dans un rôle même d'attaquant ou vraiment
10:40 au milieu de terrain. Et là, déjà, il a créé une différence.
10:42 - Oui, Nicolo Barrella qui n'avait pas été
10:44 très attentif
10:46 sur son premier appel, en fait, qui a été une fausse piste
10:48 et derrière, il ne s'attendait sans doute pas
10:50 à être servi. De toute façon, il était 10 mètres
10:52 hors-jeu. Mais voilà, les
10:54 premières intentions qu'on voit là
10:56 du côté italien
10:58 avec, comme vous l'avez dit, cette capacité
11:00 de projection de Barrella
11:02 qui fait sa singularité.
11:04 - Un joueur que moi, personnellement, j'adore
11:06 qui a beaucoup de volume et qui est
11:08 vraiment capable d'être presque
11:10 un attaquant supplémentaire, presque
11:12 boxe-to-boxe. D'ailleurs, ce n'est pas pour rien que
11:14 l'Angleterre a voulu longtemps, cet été, le faire venir.
11:16 Beaucoup de rumeurs, notamment du côté de Newcastle.
11:18 Finalement, c'est Tonali qui est allé là-bas et qui,
11:20 d'ailleurs, ne se débrouille pas si mal pour ses débuts.
11:22 - Eh oui, avec Newcastle.
11:24 En tout cas, on parlait du Ballon d'or il y a quelques instants.
11:26 Ce sera le 30 octobre 2023
11:28 sur la chaîne d'équipe, évidemment. Et
11:30 Nicolo Barrella
11:32 est le seul Italien qui fait partie de la liste
11:34 des 30 et avec son coéquipier
11:36 de l'Inter la saison passée, Andreo Nanna.
11:38 Avec l'Italie qui essaye de construire maintenant
11:40 Barrella, justement. Ça va être une sacrée bataille
11:42 dans ce match. Il y a une revanche, évidemment, par
11:44 rapport à ce qui s'est passé en 2022. Di Lorenzo
11:46 qui apporte déjà beaucoup. Avec le capitaine
11:48 Chiro Immobilier. On a essayé de jouer encore
11:50 avec Barrella.
11:52 Et oui, il y a Andreo Nanna qui est dans la liste des 30
11:57 parti à Manchester United.
11:59 Et trois joueurs du Napoli de la saison fantastique
12:01 la saison passée sont également
12:03 dans cette liste dénommée du Ballon d'or.
12:05 Kim Mingey, Kvarad Skelia
12:07 et Victor Rosimann.
12:09 Et maintenant le Napoli entraîné par
12:12 Rudi Garcia.
12:14 L'Italie en tout cas au niveau des clubs qui
12:17 commencent maintenant à revenir en force.
12:19 On sait que les dernières années
12:21 avaient été compliquées mais que là
12:23 les deux clubs de Milan sont
12:25 bien relancés.
12:27 On fait une brillante campagne
12:29 de Ligue des champions.
12:31 Le Napoli lui aussi était en quarts de finale.
12:33 Voilà, le football
12:35 de club qui retrouve des couleurs.
12:37 Est-ce que l'équipe nationale peut suivre
12:39 ce mouvement ? On peut l'imaginer en tout cas.
12:41 Mais voilà, il va falloir le prouver sur le terrain.
12:43 A commencer par ce soir, Johan.
12:45 Ah oui, c'est très très important vraiment psychologiquement.
12:47 Et puis il y aura le match mardi soir également
12:49 à San Siro. Ça sera en direct sur la chaîne
12:51 l'équipe Italie-Ukraine. Et comme l'Ukraine
12:53 a pris un très très très bon point cet après-midi
12:55 contre l'Angleterre. Ça va vraiment être
12:57 une poule très très serrée. Angleterre-Ukraine-Italie
12:59 Massédoine du Nord et Malte qui est larguée.
13:01 Mais sinon vraiment tout est possible.
13:03 Avec Di Lorenzo, que l'on voit beaucoup évidemment.
13:05 Le Napoli de l'an passé penchait beaucoup à droite
13:07 et pour l'instant c'est le cas. Le ballon est en prendre en deux heures.
13:09 Ça va être une première occasion. La bonne intervention
13:11 de la tête de Sachkoff. Corner pour l'Italie.
13:13 À moins qu'il y avait une position de hors-jeu.
13:15 Oui, en tout cas c'était bien fait.
13:17 Cette passe en une
13:19 touche là vers
13:21 Thiro immobilier.
13:23 Regardez là, hop. Il n'y a pas grand chose.
13:25 Il n'y a pas grand chose.
13:27 Immobilier qui avait fait le bon appel
13:29 là entre les centraux.
13:31 Immobilier qui
13:33 lui aussi doit
13:35 se montrer digne de la confiance
13:37 que lui accorde Spalletti.
13:39 Alors certes il bénéficie aussi de la
13:41 du désert un petit peu à ce poste.
13:43 On sait qu'on a été obligé parfois
13:45 de faire des choix un peu
13:47 comme Retegi par exemple qui était
13:49 un choix un petit peu loufoque.
13:51 Même si, voilà, il n'y a pas de soucis
13:53 sur le fait qu'il a mérité
13:55 sa sélection. Mais bon, on ne l'avait pas vu
13:57 venir. Et en tout cas Thiro Immobilier qui lui
13:59 a souvent déçu en équipe nationale.
14:01 Il a coûté une quinzaine de buts
14:03 en plus de 50 sélections.
14:05 Sa 57ème sélection et vraiment,
14:07 il faut faire plus à l'Italie. On était à droite
14:09 avec Di Lorenzo pour ce début de match.
14:11 Il dit Marco. Alors qu'est-ce qu'il se passe ?
14:13 Un joueur à terre certainement.
14:15 Oui, c'est du côté de
14:17 Di Lorenzo.
14:19 Il revoit
14:21 cette occasion. Il fallait faire attention
14:23 dans la surface de réparation pour Bastoni.
14:25 C'est Bardi qui, je crois,
14:27 a subi un choc.
14:29 Non, c'est un
14:31 corps à corps.
14:33 Il s'en est été sévère de sifflement.
14:35 Oui, mais c'est toujours la science
14:37 aussi des défenseurs. C'est de jouer avec
14:39 la limite, c'est-à-dire
14:41 cette main qui déséquilibre un petit peu,
14:43 mais pas suffisamment pour qu'on siffle.
14:45 Oui, Bardi, il ne l'a pas digéré.
14:47 Mais oui, c'est ça.
14:49 Là, il y a de la technique, un petit peu,
14:51 de la science de la défense italienne.
14:53 En tout cas, il a joué
14:55 à la limite. Mais Bardi
14:57 qui a donné rendez-vous dans ce match.
14:59 C'est un très bon joueur, Bardi, numéro 10
15:01 un petit peu à l'ancienne. - C'est un bon sport. - Voilà, exactement.
15:03 C'est l'un des meilleurs joueurs, évidemment, avec Elmas notamment.
15:05 Et en plus, pour l'Italie,
15:07 on essaie de construire, il n'y aura pas le fantôme
15:09 de Trachowski. C'est lui qui avait
15:11 éliminé l'Italie en demi-finale
15:13 de barrage. Et Trachowski est sur le banc.
15:15 Lui qui est d'ailleurs et son club, il était en
15:17 demi-saoudite ces derniers mois, ces deux dernières années.
15:19 Et puis là, son contrat n'a pas été renouvelé.
15:21 Donc Trachowski, le fantôme.
15:23 En tout cas, il est sur le banc pour la Macédoine du Nord.
15:25 Et l'Italie qui a la possession pour l'instant.
15:29 Donnarumma. - Ils sont actifs
15:31 pour l'instant. Les Italiens
15:33 ne sont pas rentrés dans ce match
15:35 en trottemenu. On sent
15:37 qu'ils ont envie de mettre du rythme. C'est pas facile
15:39 avec cette pelouse Johan d'ailleurs, celui de temps passant.
15:41 - En trottemenu, quelle expression. - Oui, oui.
15:43 - Ça met du vocabulaire.
15:45 - En 82.
15:47 - J'adore. - Mais en tout cas,
15:49 les Italiens qui sont bien dans ce match
15:51 avec ces bons ballons. - Un ballon d'approfondeur.
15:53 Et Politano qui était un petit peu en retard.
15:55 Le ballon trop long. Mais qui s'est battu ?
15:57 Politano, vraiment, vraiment. C'est un soir
15:59 important, on le répète encore en Italie.
16:01 L'Italie qui a raté, c'est une anomalie absolue
16:03 dans le football mondial. Les deux dernières
16:05 Coupes du Monde. Incroyable avec
16:07 ce souvenir des éliminations pour la Coupe du Monde
16:09 de 2004. Barrage contre la Suède, incapable de marquer
16:11 un but lors des deux matchs.
16:13 L'élimination contre la Massa et l'Ouen du Nord
16:15 à Palerme au stade de la Favorita, Renzo Barbera.
16:17 Et franchement,
16:19 l'Italie n'a pas le choix.
16:21 Il doit faire flotter le drapeau italien
16:23 de la meilleure des manières.
16:25 Ça se bat encore au milieu de terrain.
16:27 David Barrella qui perd le ballon. Attention !
16:31 La Massa et l'Ouen du Nord, là, déjà fait contre l'Italie.
16:33 Ils peuvent le refaire.
16:35 - On n'a pas noté, on parlait du...
16:39 Comment dire ? Des complications en attaque
16:41 dans le vivier. Et puis, ils ne sont pas servis aussi
16:43 avec les trop nombreuses blessures
16:45 de Federico Chiesa
16:47 qui est, à mon avis, le talent
16:49 superlatif de cette équipe
16:51 sur le plan offensif.
16:53 Et qui, justement, a été blessé lors de ce fameux
16:55 barrage et qui leur avait manqué si cruellement
16:57 parce qu'ils n'ont pas l'équivalent. Et là encore,
16:59 ce soir, il manque
17:01 à la paix.
17:03 - Chiesa qui s'est blessé. Il a ressenti
17:05 un problème aux adducteurs hier matin seulement
17:07 lors du dernier entraînement. Et donc, il est rentré à Turin.
17:09 - C'est un coup dur. C'est un coup dur.
17:11 Parce que lui, il est déséquilibrant comme joueur.
17:13 - Et en plus, ça dira le match, également, mardi soir,
17:15 en direct sur la chaîne d'équipe contre l'Ukraine.
17:17 Avec la Macédoine du Nord qui essaye de remonter le ballon.
17:19 Et la Macédoine du Nord, après avoir battu l'Italie
17:21 en demi-finale de barrage,
17:23 avait malheureusement perdu
17:25 contre le Portugal en finale de barrage. C'était le Portugal
17:27 qui était allé à la Coupe du Monde. Avec Di Lorenzo.
17:29 On essaye encore de provoquer. Barrella, maintenant.
17:31 On fait tourner le ballon.
17:33 - Oups là ! - On va lui mettre de l'agressivité,
17:35 de la vitesse avec Di Lorenzo qui passe son temps en attaque.
17:37 Et ça, c'est bien joué, en tout cas,
17:39 Cristente, le genre de la Roma.
17:41 Pour Di Marco, qui a fait une saison absolument
17:43 phénoménale avec l'Inter. Le centre encore est parfait.
17:45 Et la bonne intervention de Dimitri Yevski.
17:47 - Oui, Di Marco, on connaît sa qualité de pied.
17:49 Il a distribué caviar sur caviar
17:51 avec l'Inter
17:53 depuis maintenant
17:55 de plus de nombreux mois.
17:57 Et on sait que c'est quelqu'un qui est capable de toucher
17:59 les bonnes zones. Et il va falloir,
18:01 du côté de Chiro Immobile, notamment,
18:03 sentir ses trajectoires, venir couper.
18:05 Parce que s'il y a une zone à toucher,
18:07 il la touchera, Di Marco.
18:09 - Di Marco, un troisième meilleur buteur,
18:13 troisième meilleur passeur, pardon,
18:15 de la dernière Ligue des Champions.
18:17 Il avait failli être l'un des héros de la dernière
18:19 finale de Ligue des Champions, on se souvient,
18:21 en fin de match, de son tir, de sa tête sur la transversale.
18:23 - Oui. - Et City avait vraiment eu
18:25 très très peur. Et ça a été le meilleur
18:27 interiste lors de cette finale
18:29 contre City.
18:31 - Mancini,
18:33 c'est important pour lui ce soir aussi.
18:35 Il revoit la nationale après
18:37 15 mois d'absence. Son dernier match,
18:39 c'était une terrible défaite
18:41 le 14 juin 2022 en Allemagne.
18:43 Une défaite 5 à 2.
18:45 Et la confiance de la part de Spalletti
18:47 et donc Mancini, le romaniste,
18:49 qui doit prouver, qui doit montrer. Di Marco,
18:51 on fait tourner, Bastoni.
18:53 - C'est l'instant, l'Italie qui cadre son adversaire,
19:05 qui essaye de bien sécuriser aussi le ballon.
19:09 Pas de pertes dans des zones dangereuses.
19:11 Et toujours Ceylon, ballon en une touche, là, dans le dos.
19:13 - C'est le ballon pour Litano. Allez faire la différence
19:15 face à Lioski. Là, c'est le terrain, j'ai l'impression,
19:17 parce qu'il a la technique, Politano.
19:19 Et là, on a l'impression qu'il y a eu une motte de terre.
19:21 - Oui, oui, oui. Et ce ballon qui n'en finissait plus
19:23 de rebondir. Et oui, il va remettre l'escalope à sa place.
19:27 Mais voilà, ça fait 3-4 fois qu'on le voit, Johan,
19:31 cet appui sur le joueur central qui lance en une touche
19:37 un ballon incurvé comme ça dans le dos de la défense.
19:40 Ça a été ça, ça a été travaillé, ça a été identifié
19:42 par le staff de Luciano Spalletti.
19:45 Et on voit les départs, un coup de Thiro Immobili,
19:47 un coup de Politano. Il y a un coup à jouer
19:49 dans cette zone-là du côté italien.
19:51 - Il y a la possession italienne.
19:53 - Ouh là ! Donnaly, il ne s'est pas embarrassé.
19:56 Attention quand même à ne pas loper Gigio Donnarumma.
19:59 - Et Donnarumma, déjà la 55e sélection, absolument incroyable.
20:07 - Quel âge il a ? - 25e, 24 ans.
20:09 Et d'ailleurs, il est très, très heureux,
20:12 parce que le nouveau chef de la délégation italienne,
20:14 eh bien, c'est Gigi Buffon qui a arrêté sa carrière.
20:17 Attention, le ballon est en profondeur.
20:19 Et la bonne intervention de Dimitri Hebski.
20:21 Et oui, le nouveau rôle de Gigi Buffon
20:23 qui a intégré cette sélection comme dirigeant,
20:25 il va avoir un rôle très, très important.
20:27 Vraiment, l'interface entre Spalletti, les joueurs,
20:30 Spalletti et les dirigeants.
20:32 Attention, ne pas faire d'erreur pour Bastoni.
20:34 De la tête pour Donnarumma.
20:36 - Très, très bien fait de la part de Bastoni
20:38 qui a bien géré la profondeur,
20:40 qui a bien géré le jeu en retrait vers Donnarumma.
20:46 Et bien, Buffon, évidemment, le joueur
20:48 qui a le plus de sélections dans l'histoire de la Nationale.
20:50 176 sélections.
20:52 Incroyable, 176 sélections.
20:54 Loin devant Fabio Calabar au 136.
20:56 Et Paolo Maldini, 126.
20:58 - Eh, Zitania qui repart,
21:05 qui essaye de bien installer leur jeu d'attaque.
21:09 Barrella très disponible, je trouve,
21:11 depuis le début de la partie.
21:13 - Et regardez, dit Lorenzo,
21:15 comme au Napoli, regardez,
21:17 il est là au milieu de terrain,
21:19 même très, très offensif.
21:21 Et c'est pour un petit peu changer les habitudes,
21:23 en tout cas le 4-3-3 de Spalletti
21:25 avec le ballon sur le côté gauche pour Zacchani.
21:27 Di Marco, on essaie de tenter le 1-2.
21:29 - C'est magnifique !
21:31 - Il va l'être là en retrait.
21:33 Il n'a ni une frappe, ni une passe.
21:35 Mais en tout cas Di Marco, également,
21:37 qui, comme d'habitude, qui fait l'esprit glace
21:39 sur le côté gauche.
21:41 Et attention, il y avait le feu dans la défense
21:43 à l'entrée de la surface.
21:45 Regardez là ! Hop, il est trouvé !
21:47 Le petit piqué, le petit externe là !
21:49 Et derrière Di Marco qui ne réussit pas
21:51 complètement à la redresser.
21:53 Du bout du pied, il la joue.
21:55 Mais qu'est-ce que c'était inspiré
21:57 de la part de Barrella.
21:59 - Et Tonali qui était là en plus.
22:01 Et l'Italie qui presse, qui pousse.
22:03 Immobilier avec le brassard.
22:05 On essaye de combiner encore Di Marco.
22:07 Di Marco qui est là.
22:09 Ça va être un corner et l'Italie qui ne cesse de pousser.
22:11 - Di Marco qui fait mal.
22:13 Lui aussi dans ce début de match,
22:15 dans ce premier quart d'heure, on le trouve,
22:17 on le sollicite.
22:19 Il a suffisamment de personnalité
22:21 pour tenter des choses, pour tenter des incursions.
22:23 - Di Marco,
22:25 11ème sélection et déjà deux buts
22:27 contre la Hongrie et contre les Pays-Bas
22:29 lors du dernier Final Four
22:31 de la Ligue des Nations.
22:33 Et vraiment, une saison incroyable
22:35 avec Inter croisée de monde championnat.
22:37 Victoire de la Supercoupe Italie,
22:39 le corner, inter !
22:41 - Quelle occasion, on l'a tous vu au fond.
22:43 C'était absolument parfait.
22:45 Mais quelle occasion, en tout cas pour l'ITT,
22:47 c'est Cristente avec également,
22:49 on a vu là, quelle occasion,
22:51 le corner et quelle occasion,
22:53 c'est Cristente, c'est bien Cristente,
22:55 la réalisation s'était trompée.
22:57 Cristente, la tête au premier poteau juste à côté,
22:59 ça s'approche du but.
23:01 - Oui, c'était très bien frappé ce corner,
23:03 tendu, brossé, avec beaucoup de force.
23:05 Et Cristente qui n'a pas réussi
23:07 complètement à rentrer dans ce ballon
23:09 qu'il a légèrement dévié pour la décroiser
23:11 comme ça au second poteau.
23:13 Ça a failli marcher.
23:15 J'aurais bien voulu refoire si elle était passée
23:17 si près que ça. Parfois on a un peu
23:19 des illusions d'optique.
23:21 - Et là on l'a vu au fond quasiment.
23:23 - Oui, c'est pour ça que je voulais savoir
23:25 est-ce qu'elle était vraiment passée si près que ça.
23:27 Mais en tout cas c'était remarquablement joué
23:29 et la pression qui s'intensifie.
23:31 - On l'a dit, Spalletti,
23:33 il a promis d'équipe agressive,
23:35 il a fait un pressin très très très haut.
23:37 Vous vous rendez compte, il est arrivé seulement il y a quelques jours.
23:39 Attention, attention, contre de la Macédoine.
23:41 Attention maintenant, la surface de réparation,
23:45 elle dit Lorenzo Checop qui arrive à dégager.
23:47 Matadio au milieu de terrain maintenant avec Atanasoff notamment.
23:49 On arrive à décaler.
23:51 Et Achkovski qui perd le ballon.
23:53 - Très bien joué cette récupération de balles.
23:55 Mais en tout cas, attention quand même
23:57 du côté italien, tout à l'heure il y a eu une perte de balles.
23:59 De Di Marco qui fait
24:01 beaucoup de bien au début de match mais qui l'avait perdu
24:03 dans une zone que Spalletti n'aime pas.
24:05 Alors comme tous les entraîneurs vous allez me dire,
24:07 mais oui, un petit peu de relâchement.
24:09 Heureusement qu'il y a une petite mandale
24:11 dans la main de Bastoni
24:13 qui interrompt le jeu.
24:15 Mais attention aux pertes de balles.
24:17 Pour l'instant, ils en avaient pris soin
24:19 et il a suffi une perte de balles pour mettre
24:21 un peu le bazar dans cette
24:23 défense italienne.
24:25 Attention à bien sécuriser.
24:27 Avec ce terrain, ce n'est pas facile.
24:29 Il faut d'autant plus être vigilant.
24:31 C'est important de dire
24:33 que Luciano Spalletti a préparé ce match
24:35 en regardant plusieurs fois
24:37 le naufrage de l'Italie en demi-finale de barrage
24:39 de la Coupe du Monde le 24 mars 2022.
24:41 On en revient souvent mais il y a beaucoup de joueurs
24:43 des deux équipes qui sont encore présents aujourd'hui.
24:45 Spalletti vraiment il a décortiqué tout ça.
24:47 On essaie de trouver en profondeur, maintenant immobilier.
24:49 C'est bien joué le travail en pivot. Tonali a failli prendre le ballon.
24:51 Ça se bat également pour la Macedoine du Nord.
24:53 Alioschi.
24:55 Bien, bien, bien.
24:57 Bien géré là.
24:59 C'est vrai que l'Italie adore se retrouver
25:01 dos au mur, adore se retrouver dans des coupes,
25:03 dans des circonstances même de Carvfar-Lahore.
25:05 On se souvient de la Coupe du Monde 2006
25:07 préparée alors qu'il y avait, on peut dire,
25:09 le plus grand scandale de l'histoire du foot italien.
25:11 C'était un pataquès terrible avec évidemment
25:13 ce qui arrivait à la Juventus. Et pourtant,
25:15 la Juventus dans ce climat absolument délétère,
25:17 l'Italie avait été sacrée championne du monde.
25:19 Avec le statut de la Juventus en fait,
25:23 c'est ça souvent.
25:25 C'est vrai qu'il y a des choses
25:27 comme ça dans l'histoire. L'Italie effectivement
25:29 aime bien, enfin aime bien, en tout cas,
25:31 arrive dans la diversité.
25:33 Sur fond de Tottenero avec ce premier tour
25:35 à trois matchs nuls
25:37 où ils étaient au bord de la sortie.
25:39 Là on se souvient dans le groupe du Cameroun notamment.
25:41 Et après, après,
25:43 le réveil de Paolo Rossi.
25:45 Et on connaît la suite, champion du monde en 82.
25:47 Paolo Rossi, un but avec la nationale
25:49 et évidemment ce pays
25:51 fabuleux, le foot italien,
25:53 une culture.
25:55 Et là c'est sûr que vraiment,
25:57 la nouvelle de la démission de Roberto Boncini,
25:59 encore aujourd'hui la casse-tête de l'os porte,
26:01 était très très sévère envers Boncini.
26:03 Ça a été vécu comme une trahison.
26:05 Quitter la nationale et puis quelques jours plus tard
26:07 s'engager avec l'Arabie Saoudite.
26:09 Di Marco.
26:11 Je sens que vous non plus,
26:13 vous ne l'avez pas dit.
26:15 En plus j'adore Roberto Boncini, vraiment un des hommes
26:17 que je préfère dans le milieu du football.
26:19 Sa carrière de joueur. On est souvent déçus par ce qu'on aime.
26:21 Je suis incroyable.
26:23 Et là c'est Alioski qui met le feu.
26:25 Au second poteau.
26:27 La tête ! Quelle occasion incroyable !
26:29 Un contre. Et c'est comme ce qu'on avait vu à Palermo l'année dernière.
26:31 Le contre sur le côté gauche.
26:33 Et c'est Miovski qui a failli ouvrir le score.
26:35 Ça fait une tête de chaque côté.
26:37 Deux occasions énormes.
26:39 Encore une perte de balle, on l'avait dit.
26:41 Dans une zone où il ne faut pas perdre le ballon.
26:43 Et derrière Alioski.
26:45 Regardez. Il a pris l'information.
26:47 Au second poteau. Il est bien.
26:49 Et son centre il est très très bon.
26:51 On l'avait dit. Toute intervention de Donaouma.
26:53 Et derrière Mouski qui ne réussit pas à recentrer.
26:55 A trouver le cadre.
26:57 Il est un petit peu en bout de tête.
26:59 Mais là, avertissement sans frais pour l'Italie.
27:01 On l'avait dit à plusieurs reprises.
27:07 Spalletti avait sûrement insisté sur le fait de bien prendre soin du ballon.
27:09 De ne pas le perdre dans des zones où les transitions peuvent faire mal.
27:11 Et là ça a fait mal.
27:13 Quel centre encore.
27:19 Magnifique d'Alioski.
27:21 Ah oui. Un déboulé.
27:23 Pas tergiversé là sur son centre.
27:25 L'Italie qui continue en tout cas.
27:27 Avec Zaccali.
27:31 Di Marco.
27:33 L'occasion encore est immobilier. Trop court.
27:35 Mais les occasions. En tout cas début de match très très agréable.
27:37 Déjà la troisième grosse occasion de ce match.
27:39 Oui. Vous avez raison. C'est un début de match où les deux équipes se livrent.
27:43 Il n'y a pas de round d'observation.
27:45 Et là encore.
27:47 Le ballon qui répond à Alioski.
27:49 Lui aussi un bon centre tendu.
27:51 Un poil trop long et trop haut pour Thierry Immobilier.
27:53 Je crois qu'il a tenté une Johan Cruyff.
27:57 Cette reprise de volet en angle fermé à l'époque de Barcelone.
28:01 Allez sur Youtube les plus jeunes si vous ne l'avez pas vu.
28:03 Ça vaut son pesant de cacahuète.
28:05 C'est pour ça qu'on vous dit toujours.
28:09 Les effronts se bollent. Il y a toujours des papiers magnifiques sur l'histoire.
28:11 Avec Deva Padouessé. Cette interview. Le ballon est en profondeur.
28:13 Ça va être une énorme occasion.
28:15 Le poteau. L'arrêt du gardien.
28:17 C'était une superbe action de Tonali.
28:19 Qui a fait la différence.
28:21 Le joueur de Bucasal. Parti en profondeur.
28:23 C'est un miracle.
28:25 Le poteau. Le gardien.
28:27 Et le ballon qui file.
28:29 Tonali. Qu'est-ce qu'il a envoyé sur le poteau.
28:31 On ne le voit pas assez en ce début de match.
28:33 Il m'a répondu.
28:35 Avec une douceur de Barrella.
28:37 La belle frappe de Tonali.
28:39 Premier poteau.
28:41 Le gardien a anticipé la frappe croisée.
28:43 Il lui a fallu un cheveu pour que ça fasse photo rentrant.
28:45 Les Italiens qui répondent bien.
28:47 À l'avertissement tout à l'heure.
28:49 Des Macédoniens.
28:51 Coup pour coup.
28:53 On se souvient.
28:55 A peu près la même action.
28:57 Le tir au but.
28:59 A Guadalajara.
29:01 A la quarte finale de la Communion.
29:03 Avec Bruno Bellone.
29:05 Le tir au but.
29:07 Qui avait frappé le poteau.
29:09 Et le dos de Carlos.
29:11 Le tir au but.
29:13 L'arrière gauche.
29:15 Avec la possibilité pour Zaccani.
29:17 Le joueur de l'Alazio.
29:19 Au premier poteau.
29:21 C'est Christente qui a fait une tête.
29:23 Et qui de nouveau au premier poteau.
29:25 L'Italie qui pousse.
29:27 Et ça revient.
29:29 Dimarco qui a réglé son pied.
29:31 Depuis tout à l'heure.
29:33 Il envoie du centre.
29:35 Du corner.
29:37 De la passe.
29:39 Il va trouver une merveilleuse zone.
29:41 Il varie en plus.
29:43 C'est ça qui est très intéressant.
29:45 Un coup au sol.
29:47 Un coup au second poteau.
29:49 C'est du grand Dimarco.
29:51 - Et ce gardien.
29:53 Déjà des miracles.
29:55 - Qui préserve ce qui peut l'être.
29:57 Du côté nord-macédonien.
29:59 - Le gardien du Rayo Vallecano.
30:01 Tout à l'heure il a été présent.
30:03 Il aurait pu mettre contre son camp.
30:05 Dimarco, Dev.
30:07 Regardez-moi ça.
30:09 - Comme il replonge bien.
30:11 Ce corner frappé par Dimarco.
30:13 Derrière la bonne lecture.
30:15 L'intérieur du pied.
30:17 Pour en déviation.
30:19 C'est tout ce qu'il y a à faire.
30:21 Signé Cristante.
30:23 - Ce que veut le pub italien.
30:25 C'est retrouver de l'orgueil.
30:27 Que les joueurs prennent conscience.
30:29 C'est un soir très important.
30:31 C'est une boule qu'on ne peut pas oublier.
30:33 C'est un soir très important.
30:35 C'est une boule folle.
30:37 L'Angleterre, l'Ukraine.
30:39 L'Italie, la Macédoine du Nord.
30:41 L'Angleterre 13-.
30:43 - En un mot, ils veulent une victoire.
30:45 - Ils veulent aussi des valeurs.
30:47 Ils veulent une attitude.
30:49 Ce qui s'est passé cet été a choqué les passionnés.
30:51 On veut autre chose qu'un résultat.
30:53 - Oui.
30:55 Retrouver un souffle.
30:57 Ils ont vécu un merveilleux Euro 2021.
30:59 Qui a ressemblé à un oasis dans le désert.
31:01 C'est un moment très important.
31:03 Entre la non-qualification en 2018.
31:05 Et le mondial raté en 2022.
31:07 On a l'impression que c'est quelque chose
31:09 qui a poussé comme ça.
31:11 De nu part.
31:13 Cette victoire à l'Euro.
31:15 Ils aimeraient bien retrouver ces sensations.
31:17 Retrouver cet élan.
31:19 Ils en ont sans doute les moyens.
31:21 Même si on parle beaucoup d'absence de talent devant.
31:23 Mais quand on voit ce qu'ils ont au milieu.
31:25 Il n'y a pas beaucoup d'équipes au monde.
31:27 Qui peuvent avoir deux joueurs comme Barrella et Tonali.
31:29 Christento est un solide joueur.
31:31 Mais je ne le mets pas dans cette catégorie.
31:33 Des latéraux aussi.
31:35 On sait qu'il y a parfois
31:37 une pénurie de latéraux.
31:39 Dans certains pays.
31:41 Certaines nations.
31:43 Les Italiens ont ce qu'il faut.
31:45 Il s'est reparti.
31:53 Entre latéraux justement.
31:55 Di Marco pour Di Lorenzo.
31:57 On essaye de repartir en passe courte.
31:59 Du côté italien.
32:01 Essayer de faire sortir cette équipe.
32:03 Pour ensuite aller chercher
32:05 Politano à l'opposé.
32:07 Politano.
32:09 Le Napolitain.
32:11 Qui a connu ce Palais d'Histoire de club.
32:13 Le Napoli.
32:15 L'Inter également.
32:17 Et maintenant la Nationale.
32:19 Avec Barrella.
32:21 Le ballon est au fond d'un fond.
32:23 Di Lorenzo en position déliée.
32:25 Et le ballon qui file.
32:27 C'est un moment qui avait été très bien réalisé.
32:29 Un mouvement d'école.
32:31 Comme on doit vous enseigner.
32:33 Si vous êtes aux entraînements.
32:35 Dans vos clubs.
32:37 Appui remise.
32:39 Et un troisième qui part.
32:41 On profite de ce petit temps mort.
32:43 Parce que le programme de la chaîne d'équipe
32:45 est complètement dingo dans les prochains jours.
32:47 Il est copieux.
32:49 Pendant tous les matchs.
32:51 On en parlera.
32:53 Lundi soir à 20h.
32:55 La quarte finale de l'Euro de Volleyball.
32:57 France-Roumanie.
32:59 A Varna en Bulgarie.
33:01 Ça va être dingue.
33:03 Avec toutes les équipes.
33:05 Avec Benoit Daniel, Antonin, Rousier, Guillaume.
33:07 Au commentaire.
33:09 A 20h.
33:11 C'est un quart de finale.
33:13 On sait que cette équipe de Volleyball.
33:15 Nous a offert des moments mémorables.
33:17 Depuis des années.
33:19 20h.
33:21 Quarte finale.
33:23 On a perdu le Boff.
33:25 Et on parlera de tout ce qui ira dans les prochains jours.
33:27 On vous parlera des espoirs.
33:29 Avec Thierry Henry.
33:31 La chaîne d'équipe a acquis des droits.
33:33 Et ça, ça sera lundi.
33:35 On en parlera encore.
33:37 On a tout le temps d'aide.
33:39 On a trop de trucs.
33:41 On commence à avoir des preuves de riches.
33:43 Benoit Perez.
33:45 Chef d'édition.
33:47 Qui en parle.
33:49 A 17h50.
33:51 Slovanie.
33:53 France.
33:55 Match officiel.
33:57 Match éliminatoire.
33:59 Avec les alliés.
34:01 Slovénie.
34:03 France.
34:05 Lundi.
34:07 17h50.
34:09 Un super match de foot.
34:11 On va se régaler.
34:13 On se régale.
34:15 Depuis plusieurs jours.
34:17 Avec pas mal de matchs internationaux.
34:19 Pour les noctambules.
34:21 L'Amérique du Sud.
34:23 Didier Rousteing.
34:25 Qui nous commente l'Argentine et le Brésil.
34:27 Avec Brio.
34:29 Et le match qui...
34:31 C'est un peu calmé.
34:33 Il y a une sorte de dragon.
34:35 Exactement.
34:37 On sent que les deux équipes recherchent un petit second souffle.
34:39 On va dire.
34:41 Il y a aussi la chaleur.
34:43 Un peu.
34:45 A gérer.
34:47 C'est un peu la fin de l'année.
34:49 Où pour l'instant, tous les potentiels athlétiques ne sont pas complètement au maximum.
34:51 Il faut gérer un peu.
34:53 Il était passé devant.
34:57 Et Zaghani.
35:03 De l'Aladzio.
35:07 Vraiment avec...
35:09 L'Aladzio qui d'ailleurs...
35:11 Est l'équipe qui a le profit.
35:13 Le plus proche de cette équipe d'Alzahna.
35:15 La bande à Maurizio Sarri.
35:17 Avec le même système de jeu.
35:19 Et Zaghani sur une aile avec l'Aladzio.
35:21 Zaghani, pardon, sur une aile avec l'Aladzio.
35:23 Également aujourd'hui ici.
35:25 Et puis Immobile.
35:27 Ils ont fait une drôle de saison l'année dernière.
35:29 Les Aladziales.
35:31 C'est un peu plus dur.
35:33 En début de saison.
35:35 Pour les deux clubs romains d'ailleurs.
35:37 Alors que les deux clubs milanais, eux, se portent comme des charmes.
35:39 Pour l'instant, c'est un peu plus dur.
35:41 Du côté romain.
35:43 Et puis il y a eu un match époustouflant.
35:45 Il y a quelques minutes de Napoléon.
35:47 Le ballon est en profondeur.
35:49 Et Dmitriyevski, évidemment, attentif.
35:51 Pas de boulette.
35:53 Ah Dave, j'ai l'impression que vous pensiez que la main pouvait être savonneuse.
35:55 Oui, et puis j'ai regardé les appuis.
35:57 Parce qu'on a l'impression que sur la fin de sa prise de balle.
35:59 Ses appuis pouvaient se dérober.
36:01 Et après, allez savoir.
36:03 Après c'est le drame.
36:05 Et l'italien qui a entamé cette campagne.
36:07 Pour l'Euro 2024.
36:09 Parmi une défaite.
36:11 On peut préciser un peu cette équipe dans le pétrin.
36:13 Une défaite à domicile à Naples.
36:15 2-1 contre l'Angleterre.
36:17 Avec les buts de Reiss, de Kane.
36:19 Et puis après il y a eu la victoire à l'extérieur.
36:21 Contre Malte, Retegi, Pessina.
36:23 Donc une victoire.
36:25 Une défaite, pardon.
36:27 Et là c'est un moment si important aujourd'hui.
36:29 Allez l'Italie qui doit retrouver son second souffle.
36:31 Il y a eu des occasions.
36:33 Il y a eu un poteau.
36:35 Pas de faute de la part de Gianluca Bondicini.
36:37 La rue est qu'il a joué.
36:39 Il n'en est qu'à son troisième match de qualification.
36:41 Mais c'est parce qu'ils ont joué eux le Final Four.
36:43 De la Ligue des Nations.
36:45 Avec une défaite en demi-finale contre l'Espagne.
36:47 2-1.
36:49 Et une victoire pour la troisième place.
36:51 Contre les Pays-Bas. 3 buts à 2.
36:53 Et c'est pour ça que l'Italie a quelques matchs de retard.
36:57 Il faut maintenant faire le plein.
36:59 Côté national.
37:01 Et pour revenir dans la course à cette qualif.
37:03 Ça peut aller très vite maintenant avec Bardi.
37:05 Mais la bonne intervention encore de Di Marco.
37:07 Il est évidemment altruiste.
37:09 Le ballon pour Thiro Immobilier.
37:11 Il tente de provoquer avec Di Marco.
37:13 On a déjà fait ce schéma plusieurs fois dans ce match.
37:15 Et dégagement en catastrophe.
37:17 Barmaneff.
37:19 Ça va être un cornière pour l'Italie.
37:21 C'était plus dur cette fois.
37:23 Cette petite remise piquée.
37:25 Pourquoi ? Parce qu'il y avait un peu moins de profondeur
37:27 dans la défense qui avait anticipé qu'il plusait
37:29 cette remise de Di Marco.
37:31 Il y avait un joueur au sol.
37:33 Qui s'était quitté au sol ?
37:35 La réception du centre.
37:37 Mais à l'entrée de la surface, il y avait un joueur.
37:39 Et Tania Ossone.
37:41 Mais si le jeu reprend, c'est qu'il va mieux.
37:43 - Dimitri Gniewski.
37:45 Un des héros évidemment de ce match à Palerme.
37:47 Match de barrage à la Coupe du Monde.
37:49 Immense surprise.
37:51 Tonali au premier poteau.
37:53 La bonne intervention de l'attaquant.
37:55 Mioski.
37:57 On essaie de dégager avec Bardi maintenant.
37:59 Et le ballon qui est récupéré.
38:01 Di Marco.
38:03 À la vare, c'est Jérôme Brizard et Eric Wattelier.
38:05 Et le 4ème arbitre,
38:07 Bastien Dechepie.
38:09 - Pourquoi un match
38:13 bien agréable pour l'instant.
38:15 Une première demi-heure
38:17 je ne sais pas vous Yoann,
38:19 mais que je n'ai pas vu passer.
38:21 Et vraiment avec beaucoup de rythme.
38:23 Beaucoup d'intention surtout.
38:25 Et des occasions nettes.
38:27 Et du répondant en face.
38:29 Parce que la Macédoine du Nord a montré
38:31 qu'elle avait des moyens elle aussi
38:33 de faire mal à l'Italie.
38:35 Pas forcément dans les mêmes proportions.
38:37 Mais en tout cas, ils sont là.
38:39 Il ne faut surtout pas les prendre à la légère.
38:41 Ce que ne font pas les Italiens du reste.
38:43 C'est pour ça qu'ils mettent beaucoup de rythme,
38:45 d'intensité.
38:47 - Immobilier qui a tenté encore le travail en pivot.
38:49 Avec Tonali très haut sur le terrain.
38:51 L'Italie qui insiste.
38:53 - Immobilier capitaine quand même.
38:55 C'est une vraie marque de confiance
38:57 pour un joueur qui est relativement discuté.
38:59 Parce qu'en équipe nationale,
39:01 ils ne donnent pas exactement ce qu'ils donnent à Lazio.
39:03 - Attention.
39:05 Iovski qui fait des dégâts dans ce match.
39:07 Il va y avoir une occasion pour le Napolitain.
39:09 Elmas.
39:11 Il a frappé le sauvetage.
39:13 Le sauvetage demande Chini.
39:15 Mais attention, les Macédoniens en contre
39:17 font des dégâts considérables.
39:19 - Qu'est-ce que c'est bien fait.
39:21 Se débouler plein centre.
39:23 Et Elmas, regardez comme il fixe.
39:25 Le petit décalage pour Aliovski.
39:27 Je pense que Donnarumma était sur la trajectoire.
39:29 Mais il valait mieux assurer le coup.
39:31 Et c'est ce qu'a fait Mancini.
39:33 - C'est un sacré match en tout cas.
39:35 Deuxième grosse occasion pour les Macédoniens.
39:37 Avec Elmas que Spalletti a dit hier en conférence de presse.
39:39 Qu'il considérait comme son fils en temps de souvenir au Napoli.
39:41 Avec Elmas qui fait la différence.
39:43 Un cinquantième sélection aujourd'hui.
39:45 Aliovski encore en second poteau.
39:47 Donnarumma qui voit le ballon filer dans sa surface de réparation.
39:49 Donnaly qui doit être également présent.
39:51 Bareilly, est-ce qu'il concède le corner ?
39:53 Non, on arrive à s'en sortir.
39:55 - On le disait à l'instant.
39:57 Que la Macédoine du Nord avait du répandant.
39:59 Ils l'ont montré.
40:01 Ils l'ont montré là sur cette situation.
40:03 Là encore, ça aurait pu faire du dégât.
40:05 Et toujours cette capacité de projection.
40:07 - Et oui.
40:09 C'est une équipe vraiment insouciante.
40:11 Parce que franchement, dès qu'ils ont la moindre opportunité.
40:13 Ils y vont.
40:15 Il y a des centres.
40:17 Avec Aliovski qui fait vraiment un sacré début de match.
40:19 Aliovski qui joue en Arabie Saoudite.
40:21 A l'Ali.
40:23 Esgian.
40:25 Aliovski.
40:27 - A l'Ali.
40:29 Avec des sacrés clients.
40:31 Marez.
40:33 Firmino.
40:35 L'ami Saint-Maximin.
40:37 Une drôle d'équipe.
40:39 Et une drôle d'effectif.
40:41 - Et encore on voit Di Barqua.
40:43 Qui n'arrête pas de donner de l'allant.
40:45 Comme Di Lorenzo.
40:47 A droite, à gauche et à droite.
40:49 C'est ça le jeu de l'Italie.
40:51 - C'est un bon moment pour lui.
40:53 Il y a quand même eu deux frissons en devant le but de Donnarumma.
40:55 On essaie de combiner avec Cristente.
40:57 Et le ballon qui est perdu.
40:59 Ça pèle encore très vite.
41:01 Alibastoni.
41:03 Le joueur de l'Inter.
41:05 Zakani.
41:07 On n'a pas assez vu en ce début de match.
41:09 Attention au second poteau.
41:11 Aliovski qui se gâche de la tête.
41:13 Politano.
41:15 Aliovski.
41:17 Et l'arbitre qui s'y va être un coup franc en faveur de la Massa.
41:19 Voilà, il ne joue plus du tout le ballon.
41:21 Et effectivement, il y a...
41:23 Voilà, regardez là.
41:25 Avec l'avant-bras surtout.
41:27 Parce que s'il y va avec le corps, ça va.
41:29 Mais là il s'aide du bras.
41:31 Et forcément c'est répréhensible.
41:33 En tout cas Aliovski qui des deux côtés du terrain fait un très bon premier période.
41:39 Il fait une très bonne impression ce piston gauche macédonien.
41:45 - L'Italie devra vraiment s'empouiller pour se qualifier.
41:47 A 7 euros dans quelques mois.
41:49 Ça va être extraordinaire.
41:51 14 juin, 14 juillet en Allemagne.
41:53 Et d'ailleurs vous verrez après ce match.
41:55 Restez avec nous puisqu'il y aura l'émission 24 minutes chrono avec Bessaoud Benter.
41:59 Il vous sera présent d'ailleurs, Dave, pour voir tous les buts, toutes les images des matchs de ce week-end.
42:04 Ça va être formidable.
42:06 Et dans la foulée, l'équipe du soir avec Karim Benani.
42:09 23h25 l'équipe du soir.
42:11 Là Dave, est-ce que vous allez jusqu'à l'équipe du soir ?
42:13 - Non.
42:14 - Vous vous arrêtez à 24 minutes chrono ?
42:16 - Non, je vais y aller ce soir pour une fois.
42:17 Je l'en laisse un peu aux autres.
42:19 Mais il ne faut pas me provoquer.
42:21 Il ne faut pas me chauffer.
42:23 Je peux y aller.
42:24 Je peux très bien y aller.
42:25 - Karim Benani avec évidemment ses ovailles.
42:27 Ils parleront évidemment de ce match contre l'Allemagne.
42:29 France-Allemagne, France, pardon.
42:30 Mardi soir avec un débat.
42:32 Est-ce que Allemagne-France reste une affiche très importante ?
42:34 Attention avec Di Lorenzo.
42:36 Allez l'Italie qui doit faire quelque chose avant la fin de ce premier période.
42:39 Tonali encore qui s'est éproché.
42:41 Et la Macédoine du Nord qui arrive à se dégager par Agnowski.
42:43 Mais ça va, ce n'est que partie remise.
42:45 Et Di Lorenzo encore.
42:46 Sacré début de match.
42:47 Di Lorenzo, allez vraiment de l'agressivité, de l'impact.
42:49 - Il était bon centre.
42:50 Il était bon centre.
42:51 À chaque fois, il trouve la bonne zone.
42:52 Vous aviez raison, c'était Tonali cette fois qui s'était bien projeté.
42:55 Et du bout du pied, la défense qui avait repoussé.
42:57 Mais ce n'est pas encore fini.
42:59 Oui, il y a faute.
43:01 Il y a faute de Barrella, je crois, sur le contre-effort.
43:04 Et il y a Macédonia qui joue vite.
43:06 - Attention avec Elmas, le joueur du Napoli, que connaît-il bien.
43:10 Il est juste à côté.
43:12 Spalletti.
43:13 Elmas, Elmas, Agnowski qui fait des différences énormissimes.
43:16 Attention.
43:17 Oh là là, c'est Cristante, le joueur de la Roma, qui doit dégager un petit peu en catastrophe.
43:21 On essaye vraiment la qualité technique italienne pour remonter le ballon tranquillement.
43:24 Pour essayer de sortir de ce pressing macédonien.
43:27 - C'est très bien fait, cette sortie de balle.
43:29 C'est très bien fait.
43:30 - Et ça va être un coup franc, très certainement, non ?
43:31 Est-ce que Monsieur le Texier va jouer ?
43:33 - Généreux, là, un peu.
43:34 Un peu généreux.
43:35 Il me semble quand même qu'il y avait un petit quelque chose sur Politano, je crois.
43:38 Mais encore, vous avez vu la fixation d'Elmas.
43:42 Toujours les déboulés d'Aliovski, là, sur son couloir gauche, avec un centre bien tendu
43:48 au ras du sol, légèrement en retrait.
43:51 Bien défendu par la défense italienne.
43:55 Pour l'instant, un match très plaisant, malgré les conditions, parce que ce terrain-là
44:02 invite pas forcément aux enchaînements audacieux.
44:06 Et pour l'instant, c'est plutôt pas mal, plutôt pas mal du tout, même.
44:11 - Il y a de la langue.
44:12 Mais est-ce que vous n'alliez pas, quand vous étiez enfant, comme moi, jouer sur ce
44:14 terrain un petit peu, comment dire, tabossé, avec des troupeaux à chadorès ?
44:19 - On jouait pieds nus sur du verre pilé.
44:22 - Ah, les terrains enstabilisés.
44:25 - Mais évidemment.
44:26 - C'était fantastique.
44:27 Benoit Pérez, en régie, notre chef d'aide, qui dit "Mais est-ce que Monsieur le Texier
44:30 n'aurait pas oublié son sifflet, en tout cas, en vestiaire ?"
44:33 Mais c'est vrai que c'est agréable, comme, d'avoir un arbitre qui laisse jouer.
44:36 On essaie de percer encore, c'est fait, avec Zaccani.
44:38 Zaccani, le genre de l'Alazio, la bonne intervention de la défense centrale.
44:42 - Oui, centre un petit peu gentillet, là, de Zaccani.
44:45 Il doit avoir plus de personnalité, plus de prise de risque.
44:49 Oui, un centre, c'est une prise de risque, c'est une décision.
44:53 Et là, il l'a un peu mis de manière un peu académique, un peu scolaire.
44:57 Voilà, il faut chercher une zone plus risquée, mais aussi plus payante.
45:06 - Et là, pourquoi les Italiens montrent qu'ils sont saignants ?
45:09 - C'est Chiesara qui aurait dû jouer aujourd'hui à la place de Zaccani,
45:12 mais il s'est baissé hier à l'entraînement.
45:14 Et donc, cette chance, évidemment, pour Mathia Zaccani, 28 ans,
45:17 avec encore, attention, un terrible contre, macédonien, avec Elmas.
45:20 Elmas, Elmas, Elmas, il va frapper, la frappe d'Elmas !
45:23 Et l'arrêt de Donnarumma, parce que la Macédoine avait marqué
45:26 contre l'Italie à la 92ème à Palerme, sur une action à peu près similaire.
45:29 Un joueur qui part, une frappe lointaine, mais cette fois-ci, Donnarumma était présent.
45:33 - Oui, Elmas qui s'est encore bien servi, cette fois, du déboulé d'Aliovski.
45:38 Cette fois, il ne l'a pas servi, il s'en est servi pour, lui, se repiquer et frapper.
45:42 - Elmas, d'ailleurs, qui a été fêté par la Fédération de la Macédoine du Nord,
45:47 il y a quelques minutes, quelques minutes avant le début de ce match,
45:49 avec un maillot, évidemment, avec le chiffre 50, puisque c'est sa 50ème sélection.
45:54 Tout sourire.
45:55 - Et regardez Spalletti qui essaie de guider ce joueur, il faudra évidemment du temps.
45:58 Spalletti, c'est un joueur, c'est un entraîneur avec, évidemment, une manière particulière de jouer.
46:03 - Oui, beaucoup de principes de jeu, oui, bien sûr.
46:05 On se met derrière et on balance des longs exocettes, évidemment.
46:09 - C'est pensé.
46:11 - Oui, c'est pensé, il y a des mouvements à acquérir, il y a des zones de pressing très précises,
46:15 il y a une façon de faire circuler le ballon et de lancer de l'autre côté en transition.
46:22 On ne fait pas n'importe quoi, mais tout ça ne se fait pas en quelques jours lors d'un rassemblement.
46:26 - Mais pour l'instant, ce que montrent les Italiens, c'est pas mal.
46:28 Il a manqué un poil d'efficacité.
46:30 - C'est ça.
46:31 - Entre Dmitriyevski, le gardien, qui fait mieux que son match, et puis le poteau qui n'a pas souri,
46:36 il y a eu des occasions.
46:39 Il y a eu aussi des situations en face.
46:41 Donc un match bien vivant.
46:43 Attention au jeu aux pieds de De La Roma.
46:45 C'est toujours un peu le triangle des Bermudes quand on lui envoie la balle en retrait.
46:49 - Incroyable, 55ème sélection déjà.
46:53 Battra-t-il un jour Buffon ?
46:56 55ème sélection pour Buffon, c'était lorsqu'il avait 27 ans.
46:59 De La Roma n'en a que 24.
47:01 Avec le ballon, on s'est récupéré.
47:03 Mais évidemment, De La Roma a tant de chemin à parcourir pour égaler Buffon.
47:06 Buffon, champion du monde 2006, gardien absolument héroïque.
47:09 Et qui va avoir un rôle très important dans ce groupe, dans l'encadrement.
47:13 Avec le Romanista, le joueur de La Roma, Mancini.
47:18 On décale pour Di Lorenzo.
47:20 Petit moment cru de ce match.
47:23 - Bien naturel, parce qu'il y a beaucoup d'occasions, de situations, de rythmes.
47:30 Regardez encore.
47:32 - Immobilier, Ali, il doit faire l'effort, il doit inventer quelque chose.
47:35 Zaccani, qui doit faire plus également.
47:37 Immobilier de Zaccani, c'est l'occasion.
47:39 Immobilier, et Tonali était là.
47:41 La frappe qui est contre Mekhié, l'occasion de Politano.
47:43 Il y avait un pied de la Masselle-Ouen du Nord.
47:45 Mekhié, l'occasion encore pour l'Italie.
47:47 Qui pouvait faire mieux et qui pouvait faire plus.
47:49 - Mais c'est pas Atazanov qui passait par là, presque par hasard.
47:52 Je charrie un peu.
47:54 - C'est vrai, il passait par l'autre.
47:59 Le jeune impôt, il allait voler une pomme dans le jardin du voisin.
48:02 Mais quelle occasion immobilier.
48:04 - Super centre en retrait.
48:06 Non, c'est toujours Alijovskii qui lui, pas la hasard du tout.
48:11 Attention le gardien, Dimitrijevskii.
48:13 - Atazanov était bien dans les parages.
48:15 Mais ça manque quand même.
48:17 - C'est vrai que cette équipe italienne doit être plus pragmatique.
48:20 Doit faire davantage offensivement.
48:22 Parce que là, quand on compte les occasions, c'est absolument incroyable.
48:24 - Vous avez mis combien ? 40 minutes pour utiliser ce mot pragmatique.
48:27 Je vous attendais au tournant, Johan.
48:29 - Vous savez que j'adore le football italien.
48:31 Le respect total.
48:33 La presse italienne avait en parlé.
48:35 C'est vrai que quand on voit que le meilleur buteur de l'histoire de la sélection,
48:39 c'est Luigi Riva, 35 buts.
48:41 Et ça fait des décennies qu'il a arrêté sa carrière.
48:44 Et ces derniers ans, personne n'arrive à la rattraper.
48:47 - C'est pas faute d'avoir eu des très grands buteurs.
48:51 Des très grands avancantes.
48:54 Mais parfois, on va dire un peu météoriques.
48:57 Comme Toto Schilacci.
48:59 - L'idée-roi du Mondial 90.
49:01 - Des joueurs comme ça.
49:03 Mais ils sont quand même des sacrés attaquants.
49:05 Des neufs, ou pas neufs d'ailleurs.
49:07 Parce que Del Piero, Baggio n'étaient pas des neufs.
49:09 - Quatrième meilleur buteur de l'histoire.
49:11 De la Nationale, 27 buts.
49:13 Roberto Baggio.
49:15 Et Roberto Baggio, on se souvient.
49:17 Ce Mondial 98.
49:19 Et ce ballon en quarts de finale.
49:21 - Qui flirte avec la lucarne.
49:23 On l'a tous vu dedans.
49:25 Et Di Gio qui sourit.
49:27 Donnarumma.
49:29 Parce que son confrère, Norm Macedonien,
49:31 lui est plus mal en point.
49:33 On l'a vu se faire manipuler au niveau du dos, de la fesse.
49:36 Je ne sais pas si c'est son intervention finale près de la ligne.
49:40 Est-ce qu'il a fait un mauvais appui ?
49:43 En tout cas, ils en ont besoin.
49:45 Parce qu'il est dans un très bon soir.
49:47 - C'est comme à Palerme, l'année dernière.
49:50 - Il est chaud, il est inspiré.
49:52 Il a ce qu'il faut de Baraka.
49:54 - Le poteau tout à l'heure de Tonali.
49:56 - Exactement.
49:58 Et quand ce n'est pas lui, ce sont ses défenseurs
50:00 qui donnent leur corps à la science.
50:02 - Carrément.
50:04 - J'ai osé.
50:06 - Franchement, vous exagérez encore plus que moi.
50:08 - Un peu de dramaturgie.
50:10 Je n'ai jamais fait de mal, Johan.
50:12 - On va voir s'il va y avoir un changement avec Tchichkovski.
50:15 Qui évolue à Chypre.
50:17 Qui se prépare éventuellement à rentrer.
50:19 - C'est là.
50:21 Il y a un appui.
50:23 Il s'est bloqué dans la terre.
50:25 Regardez.
50:27 Là.
50:29 - Et l'état du terrain.
50:31 Catastrophique.
50:33 On espère vraiment pour lui qu'il va pouvoir continuer à jouer.
50:36 - Quand nous étions petits, il y avait ce qu'on appelle
50:39 l'éponge magique.
50:41 J'ai toujours trouvé ça formidable.
50:43 - Quand j'écoutais la télé, je ne comprenais pas.
50:46 Pierre Salviac, souvent l'utilisait en rugby.
50:48 On se disait...
50:50 En général, les joueurs se relevaient.
50:52 On pensait qu'elle était vraiment magique.
50:54 - Évidemment.
50:56 - Comme on disait l'expression, c'est une victoire à 6 points.
50:59 Je pensais vraiment que c'était des victoires à 6 points.
51:02 Le foot est ésotérique.
51:04 - C'est un appel de l'imaginaire.
51:06 Ramenez-nous l'éponge magique.
51:08 Je la vois moins.
51:10 Je vois des kinés, des brancards.
51:12 Une petite éponge magique.
51:14 Il se relevait.
51:16 - Remettre de grand-mère.
51:18 Avec Tchichkovsky qui continue son entraînement.
51:21 En parlant de magie, des éponges magiques.
51:24 La Ligue 2, c'est magique.
51:27 Ça sera la semaine prochaine.
51:29 Samedi prochain dans une semaine à 19h.
51:32 Valenciennes-Bordeaux à 19h.
51:35 Et la semaine suivante, Concarneau.
51:38 Le 23 septembre.
51:40 Quel bonheur de commenter les Bretons
51:42 qui ont marqué leur premier but en Ligue 2.
51:45 - Et qui ne jouent pas si mal.
51:47 Concarneau, il y a du jeu.
51:49 - C'est peut-être comme le dit certains,
51:51 l'équipe qui joue le mieux au ballon.
51:53 Ils ont perdu leur numéro 9
51:55 lors de la première journée à Grévin contre Bastia.
51:58 Une équipe qui joue très bien.
52:00 - C'est un centre à l'italienne.
52:02 Il s'en prie.
52:04 Il avait pris le meilleur, Mioski.
52:06 Il a failli marquer un centre d'Alioski.
52:09 Mais le ballon est passé juste à côté.
52:12 - Demetriyevski qui a repris sa place dans les buts.
52:16 Je pense que s'il prête la mi-temps,
52:19 ils vont essayer de tenir comme ça.
52:22 Et peut-être le tester, le manipuler
52:25 pendant les 15 minutes de pause.
52:28 - Il faut demander un remplacement.
52:31 Il n'y a pas trop de sollicitation.
52:34 - Le masque qui a fait l'effort pour Bardi.
52:37 La projection à Tanazov.
52:39 Il est trouvé.
52:41 Il se rapproche de la surface de Lannacy.
52:44 Le ballon récupéré par Cristente.
52:47 Il faut aller très rapidement.
52:49 L'arbitre qui percute un joueur de la Macédoine du Nord.
52:52 - Il ne s'est pas relevé, je crois.
52:55 Mais Bardi a tardé un peu.
52:58 On a senti qu'il ne savait pas trop quoi faire de ce ballon.
53:02 Il ne l'a pas mis suffisamment dans l'espace.
53:05 Et ça a freiné la vitesse de la transition nord-macédonienne.
53:10 - En tout cas, très belle prestation de la Macédoine du Nord.
53:14 - Il faut être deux pour un bon match.
53:17 Ils sont là, eux aussi.
53:19 - Oui, parce que pour l'instant, c'est une victoire et deux défaites
53:22 lors de leurs 3 premiers matchs.
53:24 Le ballon est en profondeur.
53:26 Ils sont trois pour essayer de contrer Zaccani.
53:30 Et d'ailleurs, ils arrivent à le contrer.
53:33 Allez vite, allez maintenant.
53:35 Avec Di Marco.
53:37 Bastoni.
53:39 Mancini.
53:41 Allez, on essaie de trouver des solutions.
53:44 - Il faut revoir Barrella.
53:46 On les a un peu perdus.
53:48 - Le mauvais choix d'Immobilien en cette première période.
53:51 - Le Lazzi, allez.
53:53 Mais c'est vrai que là, c'est aux deux créateurs,
53:56 entre guillemets Barrella et Tonali, sans doute,
53:58 de davantage se montrer.
54:00 Il y a eu des moments dans ce match où ils étaient présents,
54:02 notamment en début de partie.
54:04 Mais là, ça fait quelques minutes qu'on ne les voit plus trop.
54:07 Et c'est quand même eux qui ont ce petit truc en plus.
54:11 On a du mal peut-être à les trouver.
54:13 Est-ce que du côté macédonien, on les prend mieux en charge ?
54:16 - La victoire pour l'Italie est absolument fondamentale
54:19 dans la course à la qualification.
54:20 Les deux premiers de chaque groupe vont directement
54:23 au prochain euro, alors que l'Italie,
54:26 dans le pire des cas, passera par les barrages.
54:29 Après, il y aura des barrages, mais les barrages ont été fatales
54:31 à l'Italie pour la dernière qualification à la Coupe du Monde.
54:33 Franchement, il vaut mieux finir dans les deux premiers.
54:35 Ça va se jouer en Angleterre, Ukraine, Italie,
54:37 Macédoine du Nord avec l'Italie qui essaie d'insister
54:39 avec Di Marco maintenant pour Chiro Immobilier.
54:41 C'est bien joué cette fois-ci pour Barrella.
54:43 C'est bien joué dans les petits espaces.
54:44 Chiro Immobilier, le ballon qui est trop fort.
54:46 - Encore cette prise de balle là.
54:48 Trop forte, ce n'était pas facile, c'est vrai.
54:50 Mais voilà, il faut réussir dans ces petits espaces.
54:53 C'est là où on attend aussi Chiro Immobilier.
54:55 C'est aussi ça le très haut niveau.
54:58 Sous la pression, être capable là de réussir une prise de balle
55:02 et de pouvoir se l'emmener pour frapper.
55:04 Et là, non, évidemment, sa touche de balle, elle est trop longue.
55:07 Je ne sais pas si vous avez remarqué le numéro 17,
55:10 nord-macédonien, Isely, qui maintenant va presque
55:13 en individuel alternativement sur Barrella et Tonali.
55:17 Ils sont dans sa zone pour...
55:19 Il a bien compris que c'était eux les dépositaires du jeu.
55:22 Et à chaque fois, il va les chasser.
55:24 Regardez, là, il n'est pas loin de Tonali.
55:26 Quand c'est Barrella qui vient dans sa zone, il le prend.
55:28 Et il les prend presque en individuel.
55:30 C'est intéressant et c'est peut-être lié aussi
55:32 à leur baisse d'influence au milieu italien.
55:35 - Attention pour l'Italie de ne pas tomber dans une forme
55:40 de frustration, d'impatience.
55:43 Regardez, un mauvais ballon encore de Di Lorenzo
55:45 qui est de moins en moins vu en première période.
55:47 Attention, le contre encore, Macedonia.
55:49 C'est absolument incroyable.
55:50 C'est trop facile.
55:51 Peut-être la frappe et le ballon qui est contré.
55:53 Mais il y avait encore le feu à Bastogne.
55:54 Et c'est Mioski qu'on a beaucoup vu qui était là,
55:56 qui avait été parfaitement lancé.
55:57 Mais franchement, ce que fait Bardi le numéro 10,
55:59 le capitaine de milieu de terrain, est fabuleux.
56:01 Bardi, Elmas, Mioski.
56:03 Attention, attention, Cuffoé.
56:06 C'est la mi-temps, ici à Scoppio 0-0
56:10 entre la Macédonie nord-italie.
56:11 On se retrouve avec David Vapadou dans quelques instants.

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