Le replay d'Italie - Ukraine (1re période) - Foot - Qualif. Euro

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Retrouvez le replay de la première période du match Italie - Ukraine du 12/09/2023

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00:00 Il y a le feu dans la maison italienne, 3e de groupe, et qui voit les fantômes du passé ressurgir.
00:07 Ceux d'une absence encore lors d'une grande compétition internationale.
00:10 L'Italie doit s'imposer face à l'Ukraine ce soir pour se rassurer,
00:14 et se rassurer en vue de la qualification à l'Euro 2024.
00:18 - Oui, parce qu'on rappelle, il y a trois points d'écart entre les deux nations.
00:22 Certes, l'Italie compte un match de moins, étant donné sa participation au Final Four l'été dernier.
00:29 Mais en cas de défaite, ça ferait 6 points de retard.
00:32 Et là, d'un seul coup, l'histoire se compliquerait très singulièrement dans ce groupe pour la nationale.
00:38 Donc, pression maximum, et surtout après la piètre performance contre la Macédoine du Nord,
00:45 qui du coup est vraiment un cauchemar de l'équipe d'Italie.
00:48 Après le barrage malheureux pour nos amis italiens pour la Coupe du Monde 2022.
00:54 Cette fois encore un nul qui les met dans la nasse.
00:59 - Et un choix qui fera aussi également parler, c'est le maintien de la confiance de Luciano Spalletti.
01:04 Gianluigi Donnarumma, le capitaine italien, il est critiqué de plus en plus.
01:08 Il n'est plus intouchable, tout simplement dans les cages italiennes.
01:11 Encore une erreur face à la Macédoine le week-end dernier.
01:15 Il a perdu de son aura, et on parle d'une progression qui stagne pour le gardien du Paris Saint-Germain.
01:22 Et beaucoup de supporters, il y a eu un sondage notamment par exemple lancé par la Gazetta,
01:29 des losport et des internautes réclamaient notamment la titularisation aujourd'hui
01:34 du gardien remplaçant de Vicario notamment.
01:38 Ce n'est pas le cas, c'est sûr que c'est toujours compliqué.
01:41 Quand le sélectionneur change et n'accorde plus sa confiance au capitaine en plus, gardien et capitaine,
01:47 ça deviendrait compliqué de le remettre dans le 11 ensuite.
01:50 Il y a déjà peu de repères dans cette équipe.
01:53 On a l'impression qu'il y a une sorte de chantier permanent qui devra maintenant faire vraisemblablement
01:59 son Verratti de manière durable, parce que Marco Verratti va s'engager au Qatar.
02:05 Donc voilà, c'est compliqué pour des joueurs qui ont été très en vue à l'Euro.
02:10 Et l'Euro, ce n'était pas il y a 10 ans, c'était en 2021, souvenez-vous.
02:13 Et Gigio Donnarumma a même été élu meilleur joueur de cet Euro.
02:17 Ce n'est pas rien quand même, un gardien élu meilleur joueur.
02:20 Et on sent qu'il y a un vrai creux en ce moment.
02:25 Il y avait aussi des doutes sur l'accueil qu'il allait recevoir à Milan.
02:28 On sait que là-bas, son départ a été très mal vécu et il continue à être très contesté.
02:35 Et la première frappe est italienne justement pour montrer les premières intentions dans ce début de match.
02:40 Et sous les yeux de Luciano Spalletti, son deuxième match sur le banc de la nationale.
02:46 Même pour lui, là, ça devient aussi important.
02:49 Évidemment, un sélectionneur qui vient d'arriver, comme ça, ne peut pas faire tout de suite des miracles.
02:54 Mais pour que l'histoire prenne bien, il faut qu'elle commence pas trop mal.
02:59 Elle n'a pas très bien débuté en Macédoine du Nord.
03:03 Ce serait bien là que l'Italie frappe un grand coup pour que Spalletti n'ait pas tout de suite, d'ores et déjà, une espèce de pression qui ne dit pas son nom.
03:10 Et oui, pour son premier match aussi à domicile, Luciano Spalletti.
03:14 Est-ce qu'il y a un désamour à voir ? En tout cas, comment interpréter aussi que ce stade ne soit pas plein ?
03:19 La Fédération avait rabaissé un peu la jauge de 76 000 spectateurs potentiels.
03:25 Elle avait accepté de baisser à 64 000.
03:29 Et voilà, on arrive à 55 000 environ spectateurs.
03:31 C'est une belle affluence, mais on ne fait pas le plein pour un match de l'équipe nationale.
03:34 Ce qui est crucial en plus, ce n'est pas un match en bois.
03:38 C'est un match très, très important contre un très bon adversaire, l'Ukraine.
03:42 Donc oui, oui, bien sûr, en ce moment, on est un peu dans l'expectative, que ce soit au sein de l'équipe ou dans son environnement.
03:53 Voir maintenant si les choix de Spalletti, on l'a dit, 5 changements vont porter leurs fruits.
03:59 On avait vu la bonne entrée de Zaniolo quand même contre la Macédoine, même si c'était un petit peu foutraque.
04:05 En tout cas, il avait mis pas mal de cœur lors de son entrée et ça avait apporté des choses.
04:09 Mais on sent que l'équipe d'Italie cherche des repères et cherche des joueurs de valeur supérieure.
04:16 On compte bien Barrella, on compte Keza, mais il est absent.
04:20 On compte bien Tonalime, il est absent. En plus, leur joueur vedette se blesse.
04:25 Spalletti qui lui aussi est au cœur. Petite polémique.
04:32 Il a dit qu'il s'accordait un an sans entraîner une seule équipe.
04:36 Au sortir de l'été, il faisait de la fête.
04:39 Vidé émotionnellement, disait-il, du titre à Naples.
04:42 Et puis deux mois après, il est sur le banc.
04:44 C'est aussi une opportunité suite au départ de Roberto Mancini.
04:48 Qui lui aussi fait polémique.
04:50 Il y en a quelques-unes.
04:51 Oui, il y en a quelques-unes.
04:52 Il y a le terrain et en dehors du terrain. En Italie, en ce moment, il y a effectivement beaucoup d'actualités.
04:56 On rappelle pour ceux qui auraient habité sur Mars, Mancini qui a quitté ses fonctions d'abord pour des raisons privées,
05:03 soi-disant manque de confiance, etc. Pour quelques jours plus tard s'engager en Arabie Saoudite.
05:08 Contre évidemment des sommes sonantes et trébuchantes.
05:11 Et du côté italien, là encore, il y a eu un sentiment de trahison.
05:14 Donc voilà, vous avez tout le tableau avec ça. Bon match.
05:17 Allez, maintenant, place au foot, place au terrain avec 5 premières minutes.
05:21 C'est bien fait.
05:22 L'initiative des Italiens avec une nouvelle percée. Le ballon dans les pieds de Nicolo Barrella.
05:26 Une des valeurs sûres. Côté italien Di Marco est monté.
05:30 Raspadori, voilà ça tourne. Di Lorenzo, il y a des solutions, il y a du monde.
05:34 Et les deux points ensuite de Bouchane.
05:37 C'est très dur là, ce petit ballon en cloche là de Di Lorenzo à l'endroit le plus dense de la défense ukrainienne.
05:46 Il a avalé le terrain tout simplement, les maîtres.
05:50 Fratezi.
05:52 Un bon retour mais attention, il y a aussi ce pressing. Ils sont très très hauts.
05:56 Le ballon dans la surface de réparation. Il est dos au but.
05:58 Raspadori qui essaie de rejouer sur Zaniolo.
06:01 C'est dur ce qui tente dans cette surface. Il faut peut-être un peu simplifier.
06:06 Une petite louche comme ça face aux géants ukrainiens en défense centrale, ce n'est pas exactement conseillé.
06:12 Il faut vraiment être d'une grande précision.
06:16 Mais en tout cas les Italiens qui mettent la pression en ce début de match.
06:20 Ils ont bien entré dans leur match.
06:25 Ils pressent assez haut ce début de partie.
06:29 Ils veulent obliger les ukrainiens sans doute à allonger une première relance pour ensuite récupérer le ballon.
06:38 Les Italiens sont bons dans la qualité de pressing. Ils l'organisent très très bien.
06:43 En ce moment ce qui leur fait davantage défaut c'est les talons en attaque.
06:47 Et là encore le ballon récupéré, on en avait parlé.
06:50 Gratté, chippé avec Zaniolo qui peut en profiter. Il conserve ce ballon au pied.
06:55 Il sort bien mais derrière il y a encore cette volonté d'attaquer, d'aller gratter ces ballons.
07:01 Là c'est Locatelli qui permet aux Italiens de récupérer mais ça va être perdu derrière.
07:05 Ça profite à l'Ukraine. Première offensive à la gauche.
07:09 Ça passe par Zinchenko.
07:11 Ils ont bien suffrainé cette transition ukrainienne. Très bon repli italien.
07:18 Les ukrainiens qui ont explosé moins vite.
07:21 Aussi du fait de ne pas avoir Mudrick sur le terrain qui lui va à 2000 à l'heure.
07:26 Derrière Zinchenko, premier centre. Très freiné par Bastoni.
07:32 Di Marco.
07:34 Bonhomme.
07:40 Quelques sifflets pour le gardien parisien.
07:44 C'est plus l'ancien Milanais certainement qu'on siffle que le gardien italien qui est en difficulté ces derniers temps.
07:50 Oui, c'est évident que c'est ça. On l'appelait "Dollar Roubaix" souvenez-vous ce surnom.
07:57 Jeter des fous aux dollars.
08:00 Il a subi une grosse campagne populaire contre lui.
08:06 Il a mis une arçon avec une autre truc. Il a mis des armes encore une fois avec la profondeur de Fratezi.
08:14 Il n'a pas pu bien se l'emmener sur sa touche de balle Fratezi.
08:18 Ce sera le premier corner de la rencontre. Il est pour l'Italie avec ce bon travail du joueur de l'Inter.
08:25 Pas beaucoup de temps de jeu à l'Inter qui est barré par Barrella évidemment.
08:29 Salano, Glou et Mkhitaryan, d'un seul coup il est un peu au passé qui est à l'eau.
08:36 Il doit prendre un petit quart d'heure par ici.
08:38 Une heure de jeu en trois matchs.
08:40 Un petit souci aussi de rythme et de confiance peut-être.
08:44 Ce joueur qui est très bon joueur. C'est comme tout, il faut jouer.
08:49 Raspadoni, Di Marco.
08:51 C'est tout tiré, mais derrière qui n'a juste absolument pas ce centre.
08:55 Di Marco, on sait qu'il a une main à la place du pied.
08:59 C'est souvent plutôt de l'autre côté d'ailleurs.
09:01 C'est plutôt en débordement de son côté gauche.
09:04 Il envoie à peu près ce qu'il veut où il veut.
09:06 Mais là c'était un peu plus compliqué.
09:09 Quatre joueurs de l'Inter en ce moment en titulaire italien.
09:14 Di Marco, Pastoni, Barrella et donc Fratezi.
09:18 Non, il s'est trompé. Le jeu était à gauche.
09:23 Il a voulu repartir à droite vers Jarmolenko.
09:26 Mais il n'a pas fait la différence le joueur de Kiev.
09:30 Locatelli repasse Scalvini.
09:34 Bien, bien, bien. C'est Roberti.
09:43 Une ouverture, je crois, un peu difficile.
09:45 Mais finalement il se l'emmène bien pour ensuite centrer Raspadoni.
09:48 Qui peut se mettre en position de frappe.
09:50 Et ça passe au-dessus alors qu'il y avait l'espace entre le gardien et le poteau.
09:55 On ne sait pas trop comment il avait fait pour se frayer un chemin sur ce centre.
09:58 Regardez le bon contrôle.
10:00 Derrière il se l'emmène.
10:02 J'ai même cru qu'il se l'était emmené un peu de la main.
10:03 Mais non, c'est la cuisse de l'adversaire.
10:05 Et derrière, juste après rebond, elle s'envole.
10:08 C'est dommage qu'il n'ait pas pu se pencher vers l'avant pour attraper au moins le cadre.
10:12 Et après au gardien de jouer.
10:14 Il est remuant depuis le début de la rencontre.
10:16 Oui, il bouge bien. Vous avez raison, il est disponible.
10:18 Ce sixième ballon et sa première frappe.
10:21 Déjà deux tirs pour l'Italie.
10:25 Le tir encadré.
10:28 Zagnolo.
10:30 Ce changement d'aile. Bien joué Zagnolo.
10:35 Une pause-piste à Di Marco. Dans la surface !
10:40 Et Bouchane qui a du mal à s'en saisir.
10:42 Ça va revenir avec ce centre.
10:44 Ils sont quatre dans la surface de réparation côté italien.
10:46 Di Marco qui s'est couché pour frapper.
10:48 En ce moment, on a la défense ukrainienne.
10:51 Je pensais que Di Marco allait prendre sa chance.
10:56 Aller frapper, mais il a mis un petit centre.
10:59 D'ailleurs, c'était Zagani.
11:04 Et après il a frappé Di Marco.
11:06 Il s'était contré.
11:08 Zagani qui doit montrer autre chose.
11:10 Il a été beaucoup trop sage dans ce match contre la Macédoine du Nord.
11:15 Match au doigt levé.
11:17 Il faut davantage de personnalité.
11:19 Il ne faut pas être trop scolaire.
11:21 Il faut prendre des risques.
11:23 Là, par exemple, peut-être que ça méritait une prise d'initiative.
11:26 Une frappe.
11:28 Le joueur de la Lazio.
11:30 Le dernier très bon.
11:32 Kulcov.
11:39 Le pied de Lionel Messi.
11:42 La glissade.
11:44 Pas de faute.
11:46 Ça peut profiter aux Italiens.
11:48 La glissade.
11:50 Cette fois-ci, le verrou a sauté sur cette frappe de Fratezi.
11:54 Lui aussi était en vue depuis le début de la rencontre.
11:57 Il met sur de très bons rails l'équipe italienne 1 à 0 face à l'Ukraine.
12:01 La glissade.
12:03 Tout de suite vue.
12:05 Dès qu'il a perdu ses appuis, derrière il y a eu le feu.
12:07 Fratezi qui ne s'est pas posé de question.
12:09 On va le voir.
12:11 Le Fratezi d'Italia.
12:13 Il est redoutable.
12:15 Mais ça récomplance.
12:19 Bien sûr, ça vient d'une erreur ukrainienne.
12:22 Bien sûr qu'elle y est l'erreur.
12:24 Mais cette erreur est aussi provoquée par la pression que mettent les Italiens depuis le début.
12:28 Regardez où ils vont chercher.
12:30 Ça provoque des fautes.
12:32 Il ne va pas le chercher aussi haut.
12:34 Le latéral ukrainien ne glisse pas comme ça.
12:36 Il ne perd pas ses appuis.
12:38 Et Zaccani qui sert parfaitement Fratezi.
12:40 Qui allume premier poteau.
12:42 Et ça récompense en tout cas les 12 bonnes premières minutes italiennes.
12:47 Qui ont pris ce match par le bon bout.
12:49 Maintenant on va voir si les Ukrainiens sont en mesure de réagir.
12:54 C'était le 8ème ballon dans la surface pour l'Italie.
12:57 Oui, c'est beaucoup en si peu de temps.
12:59 Aucun pour l'Ukraine.
13:04 On craignait que les Italiens soient un peu timides.
13:10 Peut-être pris par la pression.
13:12 Pas du tout.
13:13 Ils sont très bien entrés.
13:14 Ils ont été récompensés.
13:16 Ça va les mettre en confiance.
13:21 Bien sûr contre la Macédoine du Nord aussi.
13:24 Ils avaient ouvert le score.
13:26 Mais beaucoup plus tardivement.
13:28 Et après la fin de match avec une équipe qui naturellement...
13:33 Le tout pour le tout.
13:35 Les avait mis dans les cordes.
13:36 Au regard surtout de leur manque de confiance actuelle.
13:38 Là cette fois.
13:39 Ils ont concrétisé rapidement leur domination.
13:43 Et ils vont peut-être davantage pouvoir cadrer cette partie.
13:46 Un peu moins subir une éventuelle réaction ukrainienne.
13:49 Voilà.
13:50 En continuant de maîtriser la balle comme ils le font.
13:52 On le sait.
13:55 Ils ont un milieu de terrain redoutable les Italiens.
13:56 Autant il y a un peu...
13:58 Il y a pénurie devant.
14:00 Autant au milieu ils sont quand même...
14:03 Ils sont bien fournis.
14:05 On le rappelle.
14:08 Il n'y a pas tonnali.
14:10 Il y a des absents effectivement.
14:17 Bien Tampere.
14:18 Son petit extrait.
14:19 Politano.
14:21 Mancini aussi sans forfait après avoir été appelé.
14:23 Le ballon dans la surface.
14:24 Il est bon.
14:25 Encore Raspadori.
14:26 Il s'est touché par Bouchane.
14:27 Très remuant Raspadori.
14:30 Cesa et Pellegrini.
14:32 Ils sont aussi absents.
14:34 Cesa c'est vraiment la tuile.
14:36 Parce que lui pour le coup c'est vraiment le talent supérieur de cette équipe sur le plan offensif.
14:41 Trop souvent il se blesse.
14:44 Notamment lors de stables barrages.
14:46 Il était absent.
14:47 Il avait raté une partie de la campagne de qualification.
14:49 Il n'avait pas été présent lors de ces barrages.
14:51 Et on voit bien que sans lui tout est beaucoup plus dur.
14:55 Rappelons aussi qu'en cas de non qualification directe.
14:59 Si l'Italie ne termine pas dans les deux premières positions de ce groupe C.
15:03 Il y aura le strapentin, le barrage.
15:05 Puisque l'Italie a terminé première de son groupe de Ligue des Nations.
15:09 Et ses premières places de groupe permettent aux équipes de s'offrir une place en barrage.
15:15 Alors évidemment la route est encore longue.
15:17 Mais ca laisse encore un espoir.
15:20 Un joker.
15:21 Exactement un joker.
15:23 Et Metavic se prend vite passé par là.
15:26 Vu les deux dernières expériences.
15:28 Coupe du monde on se souvient.
15:31 Contre la Suède pour le Mondial 2018.
15:33 Et puis on rappelle la Macédoine du Nord.
15:36 Et cette frappe.
15:37 Cette frappe venue d'ailleurs.
15:40 Qui était allée dans le soupirail de Donnarumma.
15:43 Qui n'a pas été non plus impérial sur ce coup là.
15:45 Mais en tout cas là les Italiens qui.
15:51 Qui avaient un job à faire sur ce match.
15:52 Et qui sont en train de bien le faire.
15:53 Alors on est qu'au quart d'heure de jeu.
15:55 Mais c'est bien.
15:56 C'est important ce but de fratésie.
15:58 Parce que dans ce groupe c'est l'Angleterre est devant avec 13 points.
16:01 Et dans le même temps il y a 3 équipes à 7 points.
16:05 L'Italie passe deuxième devant l'Ukraine.
16:07 Confrontation directe donc.
16:10 Qui prennent le pas sur la différence de but général.
16:12 Et la Macédoine du Nord également est à 7 points.
16:14 Parce qu'elle est en train de battre la Malte 1 à 0.
16:18 Il est important parce qu'il y aura encore bagarre.
16:21 Même si l'Italie compte un match en moins.
16:23 C'est une terrible glissade.
16:26 C'est des soudains comme ça qu'on voit.
16:31 Qui étaient descendus très très bas à la pression.
16:34 Comme ça pour aider ses partenaires.
16:38 Et finalement sa perte d'appui qui a été fatale.
16:45 C'est ce que recherchent les Italiens pour récupérer les ballons.
16:50 C'est pas mal pensé pour l'instant ce dispositif.
16:55 Et bien rien ne le fait courir parce qu'ils ont des joueurs pour ça.
16:59 Et celui qui court notamment c'est Fratézie.
17:04 Encore le buteur, il a levé la tête, il a vu les solutions.
17:06 Il peut y aller aussi.
17:07 Derrière Barilla.
17:08 Oh l'extérieur le pointu.
17:09 Qu'est-ce qu'il a tenté ?
17:10 En tout cas ce n'était pas gagné.
17:11 C'est freiné, c'est contré.
17:12 Fratézie.
17:13 Derrière lui.
17:14 Il y a Zerniolo.
17:15 Il est vu, il est servi.
17:16 Oh Barilla là, qu'est-ce qu'il avait tenté ?
17:19 Il ne s'est pas facilité forcément la tâche.
17:22 D'un bleu.
17:24 Barilla.
17:25 Il est arrivé jusqu'à Di Lorenzo.
17:28 Barilla encore.
17:31 Raspadori qui peut se retourner.
17:34 Raspadori dans cette crise de balle, il est tonique.
17:37 Tintin à la louche.
17:40 C'est dur, c'est dur cette passe.
17:42 Il faut se barrer.
17:43 Les pieds sont gênés.
17:44 Derrière là, frappe l'antenne.
17:46 C'est topé par Locaté.
17:47 C'est bien que ça se finisse par une frappe.
17:52 Toujours que ça aboutisse à quelque chose.
17:55 On va revoir.
17:57 Regardez Barilla.
17:58 Il prend l'extérieur et ça prend le visage de Zabarni.
18:02 Est-ce qu'elle était cadrée ?
18:04 Je ne sais pas.
18:05 Ça ne devait pas être trop loin quand même.
18:08 Si ce n'était pas cadré.
18:09 On ne saura pas jamais.
18:12 On ne saura pas tout de suite.
18:13 Un jour, on saura.
18:15 En tout cas, les Italiens qui continuent à prendre ce match par le bon bout.
18:23 Qui ne tombent pas dans une apathie comme ça.
18:29 Classement en direct.
18:31 Deuxième position récupérée par l'Italie.
18:35 Mais voilà, trois équipes à rester.
18:37 Don Romain, il s'en joue au pied légendaire.
18:40 Ça devient un vrai problème.
18:42 Maintenant, c'est de l'autorité publique, mondiale.
18:46 Tout le monde va le chasser là-dessus.
18:48 Au lieu de prendre le ballon, d'attaquer le ballon, il laisse un peu rouler.
18:52 Il se met en difficulté.
18:54 Toujours ce qu'il fait.
18:55 Il s'oriente mal.
18:56 Il ne prend jamais l'information au départ.
18:58 Il y a un vrai problème là-dessus.
18:59 En tout cas, ce qui a déclenché Benzema lors de ce fameux huitième de finale face au PSG.
19:05 On a l'impression que ça a créé une brèche dans l'armure de Donnarumma.
19:10 Et que maintenant, tout le monde s'y engouffre.
19:12 En tout cas, il y a un frisson qui parcourt le stade et l'échine des supporters italiens.
19:16 À chaque fois que Donnarumma reçoit un ballon dans cette situation.
19:20 Il y a aussi, pour sa défense, comme beaucoup de gardiens actuels,
19:26 les consignes de relancer court, de prendre parfois des risques au pied.
19:30 Mais parfois, certains gardiens sont un peu jusqu'au boutiste.
19:33 Au lieu d'assurer plutôt une bonne défense, un beau coup de pied loin devant.
19:37 Ils veulent trop respecter les consignes et ils se mettent en difficulté.
19:40 Je crois que Donnarumma a une limite technique presque.
19:43 Sur cet exercice, secteur de jeu qui maintenant est fondamental dans le jeu d'un gardien.
19:52 Parce qu'en plus, ça crée une brèche dans sa confiance.
19:54 Parce que derrière, s'il y a un arrêt à faire...
19:56 Ouh là, bien joué !
19:57 Danilo lui a fait la différence.
19:59 Et derrière, sans problème pour Bouchane.
20:01 Il n'a pas de problème de confiance.
20:03 On l'avait vu rentrer tambour battant dans le match en Macédoine.
20:07 Il avait fait beaucoup de différence.
20:11 Il avait aussi commis l'irréparable.
20:13 Parce que c'est lui qui avait commis la faute un peu bêtement.
20:15 Qui avait amené l'égalisation de Bardi sur Koufran.
20:19 Mais globalement, il était rentré avec beaucoup d'enthousiasme.
20:25 C'était comment ?
20:35 L'inoxydable, c'était pas dingue.
20:37 Mais ça lui fait 33, 34 ans, quelque chose comme ça.
20:40 Et 79 sélections ?
20:43 Personnage, Dante Hilo, chrétien revendiqué.
20:48 De décalé.
20:50 Il dénonce les tatouages dans le football par exemple.
20:55 C'est pas mal fait ça !
20:57 Pour Iermolenko qui ne peut pas s'emmener correctement ce ballon.
21:00 C'est là qu'on voit qu'Iermolenko, c'est plus tout à fait le même joueur quand même.
21:03 Parce que là, cette balle, elle était...
21:05 On voit là la petite feinte.
21:07 Le petit pont.
21:08 Feinte du crochet extérieur du gauche et petit pont de l'intérieur du droit.
21:13 C'est très bien fait de la part d'Osegnolo.
21:18 Oui, Iermolenko disait qu'il y avait une bonne opportunité.
21:21 Il était court sur sa prise de balle.
21:23 Et là en plus, on tourne en tête avec Sudakov.
21:26 De Vlik.
21:27 Sudakov, Zinchenko.
21:29 Kolenko, première montée.
21:34 Sudakov, c'est pas mal lui aussi au niveau des prises de balle.
21:37 Les joueurs du Shakhtar.
21:39 Zinchenko.
21:45 Première possession ukrainienne dans le camp italien.
21:48 22ème minute de jeu.
21:52 Pas mal ça dans l'intervalle.
21:54 Edi Marko a...
21:56 Il était venu gêner justement cette transmission.
21:59 Oui, parce qu'il l'a lue depuis le début cette passe.
22:03 Et il a juste eu à se mettre dans la trajectoire.
22:06 Et oui, il se prend l'épaule dans la figure.
22:13 Il n'y a pas faute, c'est de l'engagement de part et d'autre.
22:16 Très bien lu en tout cas de la part d'Edi Marko.
22:19 En sacré latéral gauche.
22:22 Le joueur de l'Inter.
22:26 3 matchs 2 passes décisifs déjà avec l'Inter cette saison.
22:29 Oui, cet apport-là.
22:31 Et puis oui, il y a ce côté combatant, chiffonnier.
22:36 Il y a de la personnalité.
22:39 Et lui, il va encore avaler les mètres.
22:42 Fratezzi.
22:44 Zagnolo.
22:45 Le relais Fratezzi, c'est un peu long.
22:47 Oui, c'est un peu long.
22:48 Alors, c'est vrai qu'il a les cannes pour l'instant.
22:50 Mais au bout de 80 mètres, il doit être un peu plus précis pour le retrouver.
22:54 Le joueur de l'Inter, le buteur pour l'instant, le seul buteur du soir.
23:05 Le buteur, lui aussi, qui est décrié en Italie.
23:23 Parce que autant il est un sériel buteur avec Lalladio, plusieurs fois meilleur buteur de Serie A.
23:30 Autant l'équipe d'Italie, souvent très compliquée.
23:35 Et là, il a mis un but ô combien important, mais qui n'a pas suffi, hélas.
23:41 16 buts en 56 élections.
23:43 C'est peu.
23:44 Lalladio.
23:45 Un buteur qui a des tels stats avec Lalladio.
23:49 C'est trop peu.
23:51 Zacchani.
24:02 Pareil, là.
24:03 Di Marco.
24:04 Bastoni.
24:05 Scalvini.
24:06 Le joueur de la Talenta à 19 ans seulement pour Giorgio Scalvini.
24:09 Oui, oui.
24:10 Et il a mis un but.
24:11 Il a mis un but.
24:24 Il a mis un but.
24:48 Et vous avez vu la stat. Après 25 minutes de jeu, zéro faute commise dans cette rencontre.
24:53 Du jeu, du jeu, du jeu, et pas de faute.
24:55 C'est vrai.
24:56 C'est pas réalisé.
25:04 Peut-être même un peu sage ce match.
25:07 Même un match qui est annoncé comme un 100 ans la poudre.
25:11 Le match Couprès, le match de tous les dangers.
25:14 Peut-être un peu moins depuis 5 minutes, mais les 20 premières étaient de très bonne facture côté italien.
25:20 Et ça allait vite, peut-être trop vite pour les Ukrainiens qui avaient un temps de retard,
25:25 qui étaient trop loin pour justement aller au contact et potentiellement faire des fautes.
25:30 Di Marco.
25:31 Pareil, là.
25:34 Di Marco qui est retrouvé aux abords de la chirurgie de réparation.
25:36 Deuxième poteau.
25:37 Il aurait pu les laisser, mais ça revient.
25:38 C'était pas mal fait aussi.
25:40 Raspadori, ça passe au-dessus.
25:42 Il faut qu'il se couche davantage.
25:44 Ça fait deux fois qu'il n'attrape pas le cadre.
25:46 Je ne dis pas que c'est simple.
25:47 Mais là, qu'est-ce que c'est bien fait de la part de Di Marco qui le sait que ça se joue au second poteau.
25:52 Là, Raspadori doit vraiment essayer de la rabattre au maximum.
25:57 On lui enverra les cassettes de Pelé qui montrerait ça.
26:00 Il faut viser le sol.
26:01 Voilà, il ne faut pas viser la lucarne sur les reprises de volée.
26:03 Il faut viser le sol.
26:04 Comme ça, même si on ne l'apprend pas très bien, on attrape le cadre.
26:09 C'est un bon joueur Pelé qui a dit ça.
26:11 Mais qui a mis quelques buts.
26:13 En tout cas, c'est bien.
26:16 Il continue d'avoir des intentions du côté italien.
26:19 Regardez comment il récupère les ballons.
26:22 Cette équipe italienne qui sans cesse donne l'impression d'être renouvelée.
26:32 On voit des nouveaux visages, des nouveaux joueurs parfois testés, parfois à manque de solutions.
26:37 Ici, on n'a pas le choix.
26:38 Il n'y a que trois joueurs sur cette pelouse à plus de 30 sélections.
26:43 Le plus capé, c'est Donnarumma, 56 sélections.
26:45 On n'a pas des totems comme Yarmolenko qui en est à 116 caps désormais.
26:51 30e sélection pour Di Lorenzo, l'arrière-droit.
26:56 C'est quelque chose du problème de vie des Italiens.
27:02 On cherche, on cherche, on cherche.
27:04 On est même allé chercher des Reteggi parfois.
27:08 C'est compliqué.
27:09 47 désormais pour Barrella.
27:11 Barrella, c'est une valeur sur le cou.
27:14 Cette question, la Gazetta se l'est posée.
27:17 Pourquoi il n'y a plus de champions italiens qui naissent, qui sortent un peu du lot ?
27:22 Il y a plein de choses, la formation, peut-être autre chose.
27:27 Je ne sais pas.
27:28 C'est une réalité que depuis le titre mondial de 2006,
27:35 régulièrement, le vieil Italien a baissé de manière régulière.
27:43 Et ce n'est pas faute d'avoir essayé de ratisser.
27:46 De la part de Roberto Mancini, il faisait des listes à 33 joueurs par exemple.
27:49 Régulièrement, c'était des listes très élargies.
27:52 Est-ce que finalement, ça a servi de desservi ?
27:55 Si à chaque fois, vous changez trop d'équipe, ce sont des joueurs qui ne se connaissent pas.
27:59 C'est aussi ça comme inconvénient.
28:01 C'est un nouveau cycle désormais.
28:05 Mais gros chantier pour Luciano Spalletti.
28:07 Pour l'instant, tout se passe bien.
28:09 Derrière, c'est le travail.
28:10 Et on va en profiter, juste devant le gardien.
28:12 Avec ce but, est-il en position de hors-jeu ?
28:14 Oui.
28:15 Ce ne sera pas un doublé.
28:17 Pas pour cette fois.
28:18 Je crois que Raspadori lui dit "moi, je n'étais pas hors-jeu".
28:23 Dans le feu de l'action, c'est fait.
28:25 Dans le feu de l'action, elle est là, la balle, il frappait dedans.
28:27 Attention, pour les Ukrainiens, avertissements sont en frais.
28:31 Oui, c'était Fratesi qui l'avait contrée une première fois.
28:33 Et c'est quand il la contre qu'il est hors-jeu.
28:35 On va vérifier.
28:38 Ça pourrait effectivement y avoir.
28:40 Est-il être déjugé, monsieur Hernández ?
28:45 D'Assange-Sérot se met à espérer.
28:49 Oui, monsieur Del Sérot-Grandenay qui est justement devant son écran pour analyser les images,
28:54 être sûr de la décision.
28:56 Il n'y a pas non plus 3 mètres à un hors-jeu.
28:59 Effectivement, on peut peut-être jeter un petit coup d'œil.
29:03 Remontrez-nous ça, messieurs.
29:05 On va vous le faire, vous le voir.
29:07 Oui, ça fait but !
29:11 Et ça y est, le doublé pour David de Fratesi.
29:13 C'est fou ça, il avait l'air hors-jeu sur la première frappe.
29:16 Il est finalement bien validé.
29:19 Et l'Italie qui mène 2 à 0 après une demi-heure de jeu.
29:22 L'opportunisme des joueurs de l'Inter.
29:25 En tout cas, il y a une forme de justice sur tout ce que montre l'Italie.
29:29 Y compris sur cette situation où, là encore, il y avait le feu dans la défense ukrainienne.
29:35 On a cru hors-jeu.
29:36 Parce que c'est vrai qu'il semblait...
29:39 Et oui ! On ne l'avait pas vu, il était couvert là au centre.
29:43 Cet angle-là, ce n'est plus du tout la même histoire.
29:45 Exactement.
29:46 Bouchane, surpris, qui a du mal à se coucher.
29:49 Alors, premier but, il le prend à côté de son poteau avant de le fermer.
29:52 C'est Zabarni qui le couvre comme ça.
29:57 Et derrière, la finition, elle est bonne.
29:58 Thierry Robon aussi qui vient aider Fratesi.
30:01 Ça fait 2 à 0 désormais.
30:02 C'est une équipe italienne en ballant, en tout cas dans cette première demi-heure.
30:05 C'est vrai.
30:06 Et qui récolte les fruits de ses bonnes intentions.
30:10 Le pressing est bon, l'organisation est bonne.
30:15 Il y a plutôt de la justesse technique parce qu'ils arrivent à mettre cette balle dans la surface.
30:19 Vous le disiez tout à l'heure, dans les 10-12 premières minutes, il y avait déjà 8 ballons joués dans la surface.
30:25 Donc c'est bien que cette équipe italienne, dans la progression du jeu, est plutôt convaincante.
30:31 Il fait bien circuler le ballon.
30:34 Regardez comme ici, là, on sort du pressing ukrainien.
30:37 Bon, qui n'est quand même pas un pressing folichon.
30:43 Mais voilà, ils ont cette capacité en plus sur les changements de côté.
30:46 Ça fait très très bien pour le coup.
30:48 À chercher à l'opposé, où on peut jouer des 1 contre 1 ou des fixations.
30:56 C'est très agréable à voir là ce qu'ils font les Italiens.
31:00 Il va falloir que les Ukrainiens par contre montent un peu le volume.
31:03 Parce que voilà, regardez, ils sont trop à distance là.
31:06 Et oui, Di Marco, de l'autre côté, Zaniolo est oublié, tout seul, le numéro 21 italien.
31:12 Mkhatidi.
31:17 Di Marco Zaccani.
31:21 Ils font des petits triangles là, comme à l'entraînement.
31:27 Dilo Anzo, ça arrive, côté droit, sur Zaniolo.
31:30 Lui, il peut le jouer.
31:32 Et oui, il peut le jouer.
31:33 Pour le centre, dans les 5,5 mètres, derrière Di Marco.
31:37 Ça part bien, ça part fort, mais c'est contré.
31:39 Prolongé par Stepanenko.
31:41 Je suis convaincu que ce n'est pas Zaccani qui l'a même contré.
31:44 Ça fait 10 frappes désormais pour l'Italie.
31:50 C'est le coup, le demi-1.
31:52 Mais oui, ça traduit ce qu'on voit en tout cas.
31:59 Le rapport de force qui, pour l'instant, est absolument en faveur de l'Italie.
32:04 Et qui est juste, qui plus est.
32:06 Il n'y a pas que les intentions, il y a de la justesse, il y a de la qualité.
32:09 Et c'est la première frappe cadrée qui ne va pas au fond pour les Italiens.
32:16 La possession, on la ressent à l'avantage de l'Italie à 60%.
32:23 Ça tourne, Locatelli, Barrella, Tremobile, on le trouve un peu partout.
32:29 C'est très bien ce que font les Italiens.
32:32 Les Mendoz ukrainiens, c'est vous qui êtes venu faire sortir les cocos.
32:37 En sortant, vu la qualité technique italienne aujourd'hui, on trouve à l'opposé.
32:42 Ce qu'ils font très bien depuis le début.
32:44 Zagnolo, il a l'espace, il a trop de champ.
32:47 Il a trop de champ, il a manqué de justesse.
32:50 Personne dans l'axe.
32:51 Le champion d'Europe en titre, il n'a pas dit son dernier mot.
32:54 Certes, on la disait au pied du mur, cette équipe italienne.
32:58 Elle est bonne cette balle.
32:59 Elle est bonne.
33:00 Elle a profité d'off-peak dans un angle impossible.
33:03 Et derrière, le soutien qui a tardé à venir.
33:06 C'est vrai, c'est la première.
33:07 Faute.
33:08 Faute.
33:09 Voilà, rencontre.
33:10 Faute, faute, faute.
33:11 Sur Bastoni.
33:12 Qui l'eut cru.
33:14 Et c'était le deuxième ballon dans la surface seulement pour l'Ukraine.
33:18 Et là, pour une fois, il y avait eu de l'idée sur ce petit ballon croisé.
33:24 Et derrière, le bouton de pique qui est un contre trois.
33:29 Timide réaction ukrainienne.
33:35 Dans un match ultra maîtrisé par la National.
33:46 Pas de passe auprès.
33:49 Ils font déclencher.
33:51 C'est lent, c'est lent parce que ça ne bouge pas du côté ukrainien.
33:55 Il paraît s'amorfer.
33:57 Le joueur de Bormousse déplace un peu dans la profondeur.
34:02 Soudakov.
34:06 Il doit mettre de l'ordre.
34:09 Il a le talent en plus pour créer.
34:15 Voilà, allez déclencher quelque chose.
34:17 Pierre Molenko.
34:19 Un peu emprunté pour l'instant, Andréa Molenko, le capitaine.
34:25 Tout est laborieux, y compris une simple passe à trois mètres.
34:30 Zinchenko, qu'on a très peu vu aussi.
34:33 On parlait de joueurs supérieurs.
34:36 Là, c'est une bonne passe.
34:38 Pierre Molenko qui peut regarder la position de ses coéquipiers.
34:41 Il ne part pas de ses pas, Pierre Molenko.
34:43 Il appuie un petit peu pour qu'elle arrive à Zinchenko.
34:45 Non, mais là Andréa Molenko, elle ne peut pas faire une passe pareille.
34:48 Ce n'est pas possible.
34:50 Il avait été mis en position parfaite pour fixer et mettre une passe au centre.
34:58 Il reste dix minutes dans le temps réglementaire de cette première période.
35:04 Dominée par l'Italie.
35:06 C'est un peu sur notre faim quant au jeu ukrainien.
35:11 Il va vite faire du coaching à côté ukrainien.
35:14 Yara Molenko, j'ai l'impression que ce n'est pas un serveur pour lui.
35:18 Après, on le sait.
35:19 C'est un joueur qui a beaucoup bourlingué, qui avait quitté un temps le haut niveau.
35:25 Là, il est revenu au Dynamo Kiev.
35:28 Quinze ans après ses débuts.
35:29 Alors, ok, ce n'est pas mal symboliquement, mais ça veut aussi dire que ça sent un peu la faim.
35:34 C'est beaucoup plus dur.
35:37 Il a eu cinq matchs, trois buts avec le Dynamo Kiev depuis le début de la saison.
35:41 Il y a peut-être un niveau qui lui permet de faire ça.
35:44 Je ne sais pas, peut-être que je suis sévère là, mais en tout cas, il ne me paraît pas dans les meilleures dispositions.
35:52 C'est un sacré joueur.
35:53 Ouh là là !
35:54 La vista de Zinchenko, avec derrière le ballon pour Dovbik.
35:58 La frappe !
35:59 Et le deux points de Donnarumma qui se couche bien.
36:01 C'est la première frappe ukrainienne.
36:05 Et attention, on relance un petit peu nonchalante côté italien.
36:08 Jarmolenko, le danger qui va revenir avec la montée de Konopia.
36:12 Jarmolenko.
36:13 Zinchenko, on va tourner autour de cette surface de réparation italienne.
36:20 Ça fait la deuxième alerte là.
36:22 Krivtsov.
36:24 Les Italiens sont vigilants.
36:29 C'est un temps un peu plus faible.
36:31 Jarmolenko, Konopia qui est resté aux avant-postes pour se mettre en position de passer à Dovbik.
36:35 Et derrière, il n'a plus pas été le premier sur le ballon.
36:38 C'est sorti.
36:39 C'est Dillorenzo qui est revenu sur le ballon.
36:43 Qui est venu se recentrer.
36:44 Tabarni.
36:45 Et encore une vague jaune.
36:47 Une vague ukrainienne.
36:49 Sudakov.
36:53 Zinchenko.
36:54 Jarmolenko.
36:58 Et il passe.
36:59 Difficile de la redresser aussi en première attention.
37:04 Très bonne frappe là de Dovbik.
37:08 Sur cette recupération.
37:12 Et Sudakov, enfin, dont on parlait, qui lui a la touche créative, technique, supérieure.
37:20 Il doit multiplier ce type de situation.
37:24 En tout cas, là, on l'a vu.
37:26 Il est derrière le bon enchaînement de Dovbik et de Narmoik.
37:29 Il s'est bien interposé.
37:30 Souvent critiqué avec ses pieds.
37:33 Autant sur sa ligne, ça reste un gardien quand même.
37:36 Très très très haut niveau.
37:37 Et là, non, non, non.
37:39 Il est quand même pas dans une situation si inconfortable.
37:42 Jarmolenko pour balancer.
37:46 Saucisse merguez pareil.
37:48 Et la petite frappe tactique.
37:53 Il va se le prendre le jaune.
37:54 Oui, oui, oui.
37:55 Petit acte, petit jeu sur Zagnolo.
37:59 Il va même coller le coup.
38:01 Peu de fautes.
38:07 Et un carton pour l'Ukraine.
38:10 Il va coller le coup de l'arrière gauche.
38:12 Everton.
38:13 Pastoni.
38:17 Eddy Marco, les compères de l'Inter.
38:21 Voilà.
38:22 On attend la pause sur cette rencontre.
38:23 Et puis restez bien avec nous.
38:24 Puisque dans quelques minutes aussi, l'équipe de la mi-temps avec Olivier Ménard et tous
38:29 ses chroniqueurs pour débriefer les 45 premières minutes du match amical entre la France et
38:34 l'Allemagne, évidemment.
38:35 Pour la deuxième période de cette Italie-Ukraine.
38:38 Et on va voir comment ça va se passer.
38:40 Et on va voir comment ça va se passer.
38:42 Et on va voir comment ça va se passer.
38:43 Et on va voir comment ça va se passer.
38:44 Et on va voir comment ça va se passer.
38:45 Et on va voir comment ça va se passer.
38:46 Et on va voir comment ça va se passer.
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42:01 Et on va voir comment ça va se passer.
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43:01 Et on va voir comment ça va se passer.
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43:34 Et on va voir comment ça va se passer.
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43:40 Et on va voir comment ça va se passer.
43:43 Et on va voir comment ça va se passer.
43:46 Et on va voir comment ça va se passer.
43:49 Et on va voir comment ça va se passer.
43:52 Et on va voir comment ça va se passer.
43:55 Et on va voir comment ça va se passer.
43:58 Et on va voir comment ça va se passer.
44:01 Et on va voir comment ça va se passer.
44:04 - Par ce ballon qui traîne.
44:07 - Il est tonique.
44:16 - Il vient de répondre avec Stéphane Henco.
44:19 - Il est très bagarreur ce Zagnolo.
44:22 Un peu provocateur parfois.
44:25 - Di Lorenzo, première remise en jeu.
44:31 - C'est bien fait le bon appel.
44:34 Mais la bonne anticipation aussi.
44:37 - Di Lorenzo.
44:40 - C'est le rouge sur lui.
44:43 - Trop fort.
44:46 N'importe quoi.
44:49 - Il est très agressif.
44:52 - Il est très agressif.
44:55 - Il est très agressif.
44:58 - Il est très agressif.
45:01 - Il est très agressif.
45:04 - Il est très agressif.
45:07 - Il est très agressif.
45:10 - Il est très agressif.
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