07/09/2023 - Le 6/9 de France Bleu Béarn Bigorre en vidéo

France Bleu Béarn Bigorre

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00:00:00 France 3 Nouvelle Aquitaine.

00:00:02 Ici c'est France Bleu Vert N'Vigor, à la radio sur l'appli Ici, tous les réseaux et sur France 3.

00:00:13 On a l'avis de vous retrouver en cette journée de jeudi, Sophie Péridieu est là, très nature aussi, elle est très nature.

00:00:19 On l'aime comme ça Sophie, spontanée. Bonjour. Bonjour, bonjour à tout le monde.

00:00:23 On salue aussi nos téléspectateurs sur France 3 Posit' Aquitaine avec Mathias Kern, très nature aussi.

00:00:28 Bonjour Eric Breu, très nature en matière.

00:00:31 Oui, mais on aime bien le naturel, 100% nature, c'est France Bleu Vert N'Vigor.

00:00:35 Nous sommes le jeudi 7 septembre et il est 7h.

00:00:46 C'est encore de la chaleur qui nous attend aussi bien en Berne qu'en Vigor, des températures chaudes encore.

00:00:52 C'est toute la semaine qui sera comme ça et vous nous le dites déjà sur notre page Facebook France Bleu Vert N'Vigor.

00:00:58 Dites-moi, est-ce que un donut vous ferait plaisir ? Ces gâteaux qui ont un succès à Tarbes.

00:01:04 C'est Nicolas Malzac qui nous présentera Dreams Donuts dans quelques instants.

00:01:08 Et Sophie Péridieu dans ce journal de 7h, on commence par ce drame hier midi à Pau.

00:01:14 Un petit garçon de 3 ans a été écrasé à la sortie de son école, l'école Maranci.

00:01:20 C'est sur le parking d'une résidence privée face au groupe scolaire avenue de Buros que l'accident s'est produit.

00:01:26 Les circonstances précises du drame restent à déterminer.

00:01:28 La conductrice du véhicule a été placée en garde à vue.

00:01:31 Selon le parquet de Pau, elle n'avait consommé ni alcool ni stupéfiants.

00:01:35 Alors évidemment dans le quartier et dans cette école, l'émotion est très grande.

00:01:40 Depuis hier, comme le confirme l'adjointe à l'éducation de Pau, Françoise Martel, qui s'est rendue sur place.

00:01:45 Je crois que l'émotion elle est pour tout le monde, pour l'école, le quartier aussi.

00:01:50 Et je pense que pour toute la ville.

00:01:52 Pour nous élus, c'est évidemment ce mot qui ressort, c'est l'émotion.

00:01:58 Devant un accident dramatique pour cet enfant et pour toute sa famille.

00:02:04 Trois jours après la rentrée, c'est quand même difficile d'admettre que ce petit bouchon ne va plus être là parmi ses camarades.

00:02:13 Hier après-midi, c'était mercredi, l'école était fermée.

00:02:16 Et elle accueillera à nouveau les enfants dès ce matin.

00:02:19 Pas question en effet de fermer l'école, au contraire, explique François-Xavier Pestel, l'inspecteur d'académie.

00:02:24 C'est important qu'on soit très présent auprès de la famille, autant que faire se peut.

00:02:28 Mais ça c'est pas d'abord nous, mais on le fait à notre mesure.

00:02:32 Auprès des équipes enseignantes, auprès des élèves.

00:02:35 Et donc très concrètement, il y aura évidemment une cellule d'écoute mise en place.

00:02:38 Nous on a des personnels, en l'occurrence une psychologue, qui est spécialement formée sur ce type de gestion d'événements traumatiques.

00:02:45 La réaction des élèves est très diverse.

00:02:48 Sur les tout-petits, ils réalisent pas forcément.

00:02:52 Il faut que la vie continue parce que la vie continue.

00:02:54 Ça n'empêche pas que nous, les adultes, on marque l'émotion, la compassion nécessaire.

00:03:00 Mais pour les enfants, il faut que la vie continue.

00:03:03 Il faut pas nier les choses, ça c'est certain.

00:03:05 Il faut dire les choses, mais avec les bons mots.

00:03:07 Vous retrouvez les détails sur francebleu.fr

00:03:11 Il y a eu 5 morts sur les routes dans les Pyrénées Atlantiques en août dernier.

00:03:14 C'est le dernier bilan adressé par la préfecture.

00:03:17 76 accidents qui ont fait 90 blessés.

00:03:20 C'est en légère hausse par rapport à août 2022.

00:03:23 Avec une forte implication des deux roues.

00:03:25 Depuis le début de l'année, 22 décès sont à déplorer sur les routes du département.

00:03:29 C'est moins qu'à la même période l'an dernier.

00:03:32 De nombreux accès de vitesse ont toutefois été constatés par les forces de l'ordre.

00:03:36 Et puis cette femme de 72 ans qui a fait une chute mortelle au pic du Midi d'Osso hier après-midi.

00:03:41 Elle était accompagnée de son mari.

00:03:43 Il y a plusieurs passages où elle est recommandée de s'encorder pour atteindre le sommet.

00:03:46 Le médecin du Samu est intervenu avec l'hélicoptère et les pompiers.

00:03:49 Mais n'a pu que constater le décès de cette randonneuse.

00:03:52 7h03, 500 personnes ont manifesté hier matin devant l'hôpital de Bagnères de Bigorre.

00:03:57 Soignants, habitants, syndicats, élus, mobilisés pour dénoncer la fermeture à répétition des urgences cet été.

00:04:04 En l'absence de médecins.

00:04:06 On en parlera avec notre invité ce matin sur France Bleu, Béarnes, Bigorre à 8h15.

00:04:10 Olivier Fritz a paroli de la CGT Santé et Action Sociale.

00:04:13 Et vous pourrez poser vos questions, témoigner au sujet des urgences, au sujet des hôpitaux en Béarnes comme en Bigorre.

00:04:19 05 59 98 09 09

00:04:23 Les salariés des forges de Tarbablé à la grève aujourd'hui.

00:04:26 Une nouvelle fois pour dire leur inquiétude.

00:04:28 Débrayage prévu de 11h à 15h dans cette grosse entreprise de métallurgie qui fabrique des munitions.

00:04:33 Malgré un mieux dans le carnet de commandes avec la guerre en Ukraine,

00:04:36 les employés réclament davantage de transparence de la direction sur les financements des futurs projets.

00:04:42 Et puis il y a un délégué du personnel, Benjamin Dues, qui est également poursuivi par l'entreprise

00:04:46 pour avoir réclamé des informations auprès de ses supérieurs.

00:04:48 Ce qui a lancé donc la grève.

00:04:50 Mais tout part de ce manque d'informations, de transparence, explique Josiane Frétier, salariée de l'entreprise de Pillar Jiat Industrie.

00:04:57 Bien sûr qu'il y a un tas de projets.

00:04:59 On voit bien que le conflit en Ukraine fait que la conjoncture nous apporterait de la charge.

00:05:06 Bien sûr qu'il y a un tas de projets.

00:05:08 Mais ce qui nous inquiète, c'est qu'on n'en voit pas la concrétisation sur le site de Tarb.

00:05:12 De tous ces beaux projets, de tous ces beaux volumes, de tout ce qui est annoncé dans la presse.

00:05:16 Tout ce qui est développement industriel, tout ce qu'on peut lire dans la presse, en fait,

00:05:20 est conditionné par l'obtention d'aides remboursables de l'Etat et qui sont toujours pas effectives à ce jour.

00:05:27 Ça fait plusieurs mois, depuis les débuts de l'année, qu'on en entend parler.

00:05:30 On annonce des volumes énormes déjà pour 2024-2025.

00:05:33 On n'est pas en position industrielle, matériellement, de pouvoir les assurer.

00:05:37 Donc on est inquiets.

00:05:38 L'inquiétude des salariés des forges de Tarb appelée à la grève, aujourd'hui, entre 11h et 15h.

00:05:44 Cinq mois après la publication d'un rapport de l'Inspection Générale des Affaires Sociales,

00:05:49 l'IGAS de Livre sortant cette fin de semaine qui dénonce les pratiques de certaines crèches privées

00:05:54 avec trop souvent des logiques de rendement, des repas insuffisants, des équipes réduites,

00:05:58 des soins minutés, un trop grand nombre d'enfants accueillis.

00:06:01 Également, on vous en parle dans le journal de 7h30.

00:06:04 France Bleu, Beyond Big Or, il est presque 7h06 et demain soir, les choses sérieuses commencent pour les amateurs de rugby.

00:06:10 Oui, c'est le premier match de la Coupe du Monde qui se déroule chez nous, vous le savez, en France.

00:06:15 Match d'ouverture France-Nouvelle-Zélande, ce sera au Stade de France à Saint-Denis.

00:06:19 Mais il y a aussi des matchs à Bordeaux et à Toulouse, pour ce qui nous concerne.

00:06:23 Et il y a fort à parier que dans nos pyrénées, terres de rugby, vous allez être nombreux devant votre petit écran,

00:06:29 ou devant un grand écran d'ailleurs, puisqu'en effet, certains bars ont mis les petits plats dans les grands,

00:06:33 comme au Samrock, un pub tarbé.

00:06:35 Dimitri est serveur et pour lui, la Coupe du Monde de rugby, c'est un rendez-vous qu'il ne fallait pas manquer.

00:06:40 On va passer le match sur nos écrans, en haut, en bas, sur les terrasses extérieures aussi.

00:06:44 On sera à 10 écrans.

00:06:45 On est à un pub, on passe tout type d'événements sportifs, donc là, forcément le rugby.

00:06:49 On est dans une région où il y a pas mal de rugbymans, donc on en profite pour faire venir du monde,

00:06:53 faire profiter un peu tout le monde des matchs.

00:06:55 Toujours dans le respect, les clients sont respectueux de tout, il n'y a jamais de dérapage.

00:07:00 Sur ce type de clientèle-là, on a très peu de dérapages.

00:07:03 Ils sont mouvementés sur le match, mais ça s'arrête, il n'y a pas de casse.

00:07:06 Ils sont très respectueux.

00:07:08 Et si, par hasard, il y a quelques-uns qui ne respectent pas grand-chose, malheureusement, ils sortiront.

00:07:13 Il y a des grosses soirées, surtout que c'est prévu que les matchs sont les week-ends, le vendredi et samedi.

00:07:17 C'est un événement déjà qu'il y a du monde en temps normal.

00:07:20 C'est sûr que ça va faire des grosses soirées.

00:07:22 France All Blacks, ce sera demain à partir de 20h pour la cérémonie d'ouverture de cette Coupe du Monde.

00:07:28 Ce sera à suivre sur France Bleu.

00:07:30 Mais ce soir, c'est du football sur France Bleu, puisque les Français jouent contre l'Irlande au Parc des Princes, 20h45.

00:07:38 Match de qualification pour l'Euro 2024.

00:07:42 Dans l'éco d'ici, dans quelques instants, à 7h15, on s'intéresse aux vendanges qui vont bientôt débuter

00:07:47 et aux problèmes récurrents de la main-d'oeuvre.

00:07:49 Depuis un certain nombre d'années, on manque de bras et les professionnels doivent s'organiser.

00:07:52 On sera avec Gilles Ladourade, de l'Association pour l'Emploi et la Formation Agricole.

00:07:58 33 degrés relevé hier sur le nord des Pyrénées-Atlantiques, avec une qualité de l'air encore mauvaise en raison des poussières du Sahara.

00:08:04 Ça devrait un petit peu s'améliorer aujourd'hui en bigorre.

00:08:07 Mais toujours une qualité mauvaise de l'air sur Pau-Lac-Hortèze, selon les observatoires d'Atmo-Paca.

00:08:12 On va passer à la météo.

00:08:14 La météo 100% locale, avec les cabinets orthopédiques FLD à Puyo, Dax et Florac.

00:08:20 À 7h08, Eric Dreux, dont vous confirmez, fait chaud.

00:08:24 Oui, il va faire chaud aussi.

00:08:26 Déjà, on a une photo amusante de Claude.

00:08:30 Comme d'habitude, c'est un poulet qui est complètement déplumé, qui fait des exercices.

00:08:34 Et qui a un ballon de rugby au-dessus des pattes.

00:08:38 Puisqu'elle nous dit, Claude, il ne faut pas oublier la soirée derrière nos bleus demain soir.

00:08:43 Elle nous dit quand même que le ciel est dégagé, étoilé, demi-lune, il va faire encore chaud.

00:08:48 Quant à Valérie, qui nous a envoyé une très belle photo de chat, il fait 19,6°C.

00:08:55 Habillé en osseaux, le ciel est étoilé, pas de sable du Sahara.

00:08:59 Elle nous dit, Valérie, excellente journée à toutes et à tous.

00:09:02 Il va faire chaud cet après-midi. On attend 24°C sur la Reims, 32°C sur Oloron, Pau et Tarbes.

00:09:08 Et même 34°C à Londres, à Hortès.

00:09:10 Et chez vous, n'hésitez pas à nous le dire. On fait la météo avec vous.

00:09:13 Il est 7h09.

00:09:17 Sophie et Mathias, et vous bien sûr, avec tout à l'heure la chanson de la douche.

00:09:27 Une douche que vous réglez plus ou moins chaude, plus ou moins froide, suivant le matin.

00:09:33 Et puisque c'est encore l'été, vous nous le confirmez aussi Mathias, pendant quelques jours encore,

00:09:37 il y a la compil des talents de l'été France Bleu, comme les talents 2023.

00:09:44 On vous propose de gagner ce coffret avec trois CD à l'intérieur.

00:09:47 Et il y a une chanson à un titre qui fait forcément partie de cette compil

00:09:52 et que nous allons essayer de chanter tout à l'heure.

00:09:54 Une chanson qui est aussi d'actualité quand il fait très très beau.

00:09:58 Je ne vous en dis pas plus.

00:10:00 Vanessa Paradis est là. On la retrouve avec Divinity.

00:10:03 Vous nous confiez, mais Mathias, c'est quand l'été de la famille ?

00:10:05 C'est à continuer.

00:10:06 Mais là, bientôt, là, à la fin.

00:10:07 À 23, je crois, septembre.

00:10:09 Je t'ai deviné, divin, idylle, tes ailes fragiles.

00:10:16 Je te devine, divine, idylle, l'amour qui sommeille dans un souffle réel.

00:10:31 Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle.

00:10:43 Je te vois l'une plume pour écrire une hymne.

00:10:52 Au clair de la lune, mon ami l'idylle.

00:11:00 Mon ami d'y'a, en a l'air un fatal.

00:11:07 Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle.

00:11:17 Mon ami d'y'a, mon ami l'idylle.

00:11:25 Seule et vague à l'âne, elle a hissé la voix.

00:11:34 Je m'a déchimère, le cœur enflamme.

00:11:43 Des étincelles, il faut qu'elles frôlent.

00:11:50 Si je ferme les yeux, elles m'appellent.

00:11:56 Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle.

00:12:06 Divin, idylle, mon ami l'idylle.

00:12:13 Mon ami d'y'a.

00:12:21 Mon ami d'y'a, mon ami l'idylle.

00:12:31 Divin, idylle avec Vanessa Paradis.

00:12:34 La date de l'été, Mathias Kern, ce sera le...

00:12:37 Le 23 septembre.

00:12:41 Vous avez raison.

00:12:45 L'été c'est le 21 juin.

00:12:47 On n'y est pas encore.

00:12:49 Et Noël c'est le 25 décembre.

00:12:51 Et nouvel an c'est le 1er janvier.

00:12:55 Nicolas Malzac nous parle de nouveautés à Pau et Tarbes.

00:13:03 Il a décidé de nous donner faim ce matin.

00:13:06 Vous avez tout compris, je suis à Tarbes, rue Piétonne.

00:13:11 Je suis allé découvrir Dreams Donuts.

00:13:14 J'ai pris 5 kilos.

00:13:17 Ce n'est pas un donut avec du sucre.

00:13:20 C'est des donuts de fous que vous nous proposez.

00:13:23 On propose au moins 16 goûts de donuts chaque jour.

00:13:27 Avec une carte qu'on renouvelle chaque semaine.

00:13:30 Avec une multitude de goûts pour satisfaire toutes les gourmandises.

00:13:34 Il y a la déco au-dessus qui est magnifique.

00:13:37 Mais il y a des trucs fourrés.

00:13:39 Pour les gourmands, c'est le paradis.

00:13:41 On propose 2 donuts fourrés à la semaine.

00:13:44 Et notre best-seller, le Kinder Bueno fourré.

00:13:47 Crème de Bueno, c'est une tuerie.

00:13:49 Je ne vous emmènerai pas à la radio.

00:13:53 Vous proposez aussi du bubble tea, du café.

00:13:57 Quand on aime le sucré ou quand on a envie de boire un café.

00:14:00 Tout est possible chez Dreams Donuts.

00:14:02 Exactement.

00:14:04 On propose une multitude de gammes de boissons.

00:14:07 La gamme Dream Corner.

00:14:09 On propose des bubble tea.

00:14:11 Chaque client crée son bubble tea.

00:14:14 En fonction de plusieurs thés, sirops, perles de fruits.

00:14:18 On propose aussi différents milkshakes.

00:14:21 Qui sont assez copieux.

00:14:23 On peut accompagner son donut avec un café normal.

00:14:27 Ou un latte macchiato, un ice café.

00:14:30 On a une grosse gamme de boissons pour accompagner ses sucreries.

00:14:36 C'est la nouveauté de cette rentrée chez Dreams Donuts.

00:14:39 Maintenant, on va pouvoir manger salé.

00:14:41 Effectivement.

00:14:43 Ce mois-ci, on commence la gamme salé.

00:14:45 Avec plus particulièrement des hot dogs.

00:14:48 A prendre sur place ou à emporter.

00:14:50 C'est à votre guise.

00:14:52 Pour compléter ce menu sucré-salé.

00:14:56 Je pense que je vais me jeter dans la vitrine.

00:14:59 Entre tous les donuts qui paraissent succulents.

00:15:03 Dreams Donuts, c'est à découvrir ici à Tarbes, rue Braubant.

00:15:07 Merci Nicolas Malzac.

00:15:08 Vous avez les photos sur France 3, Pause Sud Aquitaine.

00:15:10 On voit des donuts bleus.

00:15:12 Rose.

00:15:15 Très jolis.

00:15:16 Cette heure et quart, dans quelques instants, on va parler de vendange.

00:15:21 Et du manque de main d'oeuvre.

00:15:23 Dans l'écho d'ici, vous restez avec nous.

00:15:25 Il est 7h15.

00:15:26 Le monde du sport est-il à la hauteur des enjeux environnementaux ?

00:15:35 C'est la question que l'on s'est posée dans ce nouveau numéro de Se réinventer en Nouvelle Aquitaine.

00:15:39 On a profité du passage du Tour de France à Bordeaux

00:15:42 pour interroger la responsable RSE de cet événement.

00:15:45 Elle nous explique comment elle travaille sur ces enjeux.

00:15:47 Et puis on vous réserve également une belle surprise en fin d'émission.

00:15:50 Un duo de navigateurs réunis, très engagés pour la planète.

00:15:54 Vous l'avez compris, c'est une émission à ne surtout pas manquer pour les sportifs, mais pas seulement.

00:15:59 Comment le sport peut-il faire face aujourd'hui aux enjeux du changement climatique ?

00:16:03 Se réinventer, c'est dimanche à 10h35 sur France 3.

00:16:08 Le 6/9, ici c'est France Bleu B1 de Bigorre.

00:16:12 Et la compil des artistes France Bleu, un coffret 3 CD que nous vous offrons

00:16:18 si vous découvrez la chanson que nous allons interpréter dans le jeu de la douche à 7h20.

00:16:22 Et on parle des bandes enjouées, des bandes en jeu, des bandes en jeu, des bandes en jeu,

00:16:28 qui approchent d'ailleurs dans l'écho d'ici ce matin avec vous Sophie Péridieu.

00:16:38 Vous êtes en ligne avec Gilles Ladorade, il est secrétaire général de l'ANEFA des Pyrénées Atlantiques.

00:16:45 L'ANEFA c'est l'Association Nationale pour l'Emploi et la Formation Agricole.

00:16:49 Bonjour Gilles Ladorade.

00:16:51 Bonjour.

00:16:52 Alors on a toujours du mal à trouver des bandes enjeuës en cet automne 2023 ?

00:16:57 Alors on a toujours un peu de mal d'année en année, depuis déjà plusieurs années.

00:17:03 Nous avons mis des actions en place, il semblerait quand même que cette année ça s'arrangerait un peu mieux,

00:17:09 qu'il y aurait quand même un peu plus de candidats que d'habitude.

00:17:13 Alors ça intéresse encore les locaux, les habitants du coin, les étudiants,

00:17:19 ou est-ce qu'il faut élargir un peu les recherches ?

00:17:24 Alors on élargit un peu les recherches, les étudiants on ne les a pas

00:17:27 puisque nous avons nos dates de vannages qui deviennent de plus en plus précoces

00:17:32 dues un peu au changement climatique, et donc à cette période là les étudiants sont déjà rentrés.

00:17:37 On a pas mal de gens locaux, la plupart sont aussi recrétés,

00:17:42 donc ça aussi c'est un phénomène que l'on a depuis l'année dernière,

00:17:45 on a de plus en plus de retraités qui viennent faire les vannages,

00:17:47 et après on a aussi de la main d'oeuvre étrangère qui réside en France,

00:17:52 notamment avec des réfugiés, et de la main d'oeuvre étrangère

00:17:55 qui viennent chercher du travail en France, notamment les Italiens et les Espagnols.

00:17:59 On peut élargir quand même un peu plus que le tissu local.

00:18:02 Alors vous disiez qu'on met en place pas mal de choses pour essayer d'améliorer la situation,

00:18:07 par exemple vous facilitez l'acheminement des vendangeurs,

00:18:10 il y a des bus, vous proposez un hébergement, comment ça se passe, ça dépend des propriétés ?

00:18:14 Voilà, ça dépend des propriétés, nous au niveau de la nefaille avec nos partenaires,

00:18:19 on va essayer cette année de mettre en place un bus au départ de Pau pour aller sur Monnet,

00:18:24 donc ça va être une première, c'est un peu une phase de test aussi.

00:18:29 Après avec la commune de Monnet, on a un partenariat qui met à disposition son camping municipal,

00:18:36 donc pour les personnes qui sont en tente ou en camping-car,

00:18:40 pour la maudite somme de 2 euros par jour.

00:18:43 Mais c'est vrai que le manque de main-d'oeuvre, la problématique pour recruter,

00:18:49 c'est aussi dû au transport et à l'hébergement.

00:18:52 Alors est-ce que c'est pas dû aussi au fait que les salaires sont à revoir à la hausse ?

00:18:57 Peut-être que maintenant on réclame des salaires plus importants.

00:18:59 Tant combien on gagne quand on fait les vendanges ?

00:19:01 Alors après, chaque employeur est libre de rémunérer ses vendangeurs comme il le souhaite.

00:19:08 Mais ça varie entre quoi et quoi ?

00:19:10 Ça varie entre le SMIC et un peu plus que le SMIC.

00:19:13 D'accord. Et là on se rend compte qu'il y en a qui veulent discuter le salaire,

00:19:17 qui demandent est-ce qu'il soit revu à la hausse ou pas ?

00:19:20 Alors on peut avoir des demandes sur des augmentations de salaires pour certaines personnes,

00:19:23 d'autres personnes ça peut être de la participation sur du transport,

00:19:26 ça peut être sur du panier repas, ça peut être...

00:19:28 C'est variable, chacun trouve ses arrangements.

00:19:32 Et dernière question, on a besoin de combien de vendangeurs comme ça de manière ponctuelle ?

00:19:37 En gros sur le département, parce qu'on est sur plusieurs appellations.

00:19:42 Il y a Haudeguy, Madirange, Jurançon, le secteur Béloc et le secteur Béarnes.

00:19:46 On est à peu près à plus de 1000 postes à pourvoir.

00:19:50 Merci beaucoup Gilles Ladora de l'Association Nationale pour l'Emploi et la Formation Agricole

00:19:54 d'être venu nous parler de cette main d'oeuvre nécessaire pour ces vendanges qui approchent.

00:19:59 Il est 7h20, on parle météo comme chaque matin avec vous

00:20:04 et même quelques fois quand on est en vacances, on reçoit des petits messages avec des températures de l'Espagne.

00:20:10 C'est ce qu'a fait Stéphie qui nous dit 27 degrés ce matin en Espagne.

00:20:13 Et puis Marie-France nous dit qu'il fait déjà 20 degrés à Artigelouvre, le ciel est clair

00:20:17 et je pense avoir pris une cigogne sur le toit de mes voisins.

00:20:20 Voilà, vous qui êtes spécialiste des cigognes, mon cher Mathias, il faudra vérifier ça quand même.

00:20:23 Ah vous êtes spécialiste des dates de la météo, des cigognes ?

00:20:28 Quelle chance on a !

00:20:30 Oui j'en ai des...

00:20:31 Des casquettes !

00:20:32 Il connaît bien les cigognes bien sûr, puisque vous en avez beaucoup sur les toits de votre région.

00:20:37 Oui enfin, il y en a beaucoup ici aussi.

00:20:39 C'est vrai, on en a parlé il y a quelques semaines.

00:20:41 Elles sont de folle non plus, ça fait qu'il fait bientôt ici.

00:20:43 Elles sont de passage.

00:20:44 Voilà exactement.

00:20:45 24 à Tendu à La Reims, cet après-midi, 32 sur Oloron, à Pau et Tarbes 34 sur Hortès.

00:20:52 Oui, la chaleur sera bien au rendez-vous de cette journée de jeudi.

00:20:56 C'est le moment de jouer avec nous, avec cette compil, puisque c'est encore l'été, la compil de l'été des talents France Bleu 2023.

00:21:11 Alors c'est un coffret, carrément un coffret, avec trois CD à l'intérieur.

00:21:15 Il y a les artistes France Bleu que vous connaissez, que vous aimez aussi.

00:21:18 Il y a Stromae, dans le premier CD il y a Angèle, dans le deuxième il y a quoi ? Il y a Slimane et Claudio Capeo, il y a Etchiran.

00:21:24 Et puis dans le troisième CD, il y a ce qu'on appelle les grands classiques, c'est-à-dire Chagrin d'amour, Gilbert Montagné, il y a Tencessi.

00:21:31 Et sur la plage numéro 1 de ce troisième CD, il y a une chanson qui s'appelle, qui commence comme ça d'ailleurs.

00:21:40 Est-ce qu'on peut ? Oui, voilà la douche, c'est mieux quand même.

00:21:42 "Tap sur nos systèmes, l'envie que tout le monde s'aime, le soleil donne, ce vieux désir super, qu'on serait tous un peu frères, le soleil donne, Sophie, le soleil donne, le soleil donne, la même couleur aux gens, le même couleur aux gens, gentiment."

00:22:02 Vous avez ? Ah oui, alors la bonne réponse, c'est le nom de l'artiste qu'il nous faut.

00:22:06 La chanson, c'est "Le soleil donne", bien sûr d'actualité, mais quel est l'artiste qui chante "Le soleil donne" ?

00:22:12 Vous avez une idée ? Ce coffret, 3 CD, on vous l'offre avec grand plaisir, des talents France Bleu d'été 2023, à vous de jouer !

00:22:19 Appelez maintenant au 0559 98 0909.

00:22:24 Il n'y a même pas la peine de poser la question Vianney et Zazie, comment on fait ?

00:22:27 C'est simple, il suffit d'appeler, d'avoir Melinda et de nous proposer la bonne réponse.

00:22:31 Voici le dernier titre de Zazie et Vianney.

00:22:33 "Danser dans ce drame, me prendre à la légère, comment tu fais toi ?

00:22:41 De ce vague à l'âme, j'aimerais me défaire, comment tu fais ?

00:22:49 C'est qu'une attitude, j'improvise ma voix, rien qu'une habitude, crois-moi.

00:22:57 C'est qu'une attitude, le dernier mot, je l'ai pas, sur la vie, au train, ou elle va.

00:23:05 Comment on fait quand on prend des coups ? Comment on fait, j'en sais rien du tout.

00:23:13 Comment on fait, en fait on s'en fout.

00:23:20 Danser dans ce chaos, quand tout va de travers, comment tu fais toi ?

00:23:35 De ces pas de 0, de nos cœurs à l'envers, comment tu fais ?

00:23:43 C'est qu'une attitude, je simule parfois, rien qu'une habitude, crois-moi.

00:23:51 C'est qu'une attitude, le dénouement, je l'ai pas, plus c'est dur et plus j'y crois.

00:23:59 Comment on fait quand on prend des coups ? Comment on fait, j'en sais rien du tout.

00:24:07 Comment on fait, en fait on s'en fout.

00:24:14 Tout donner, tout donner, quitte à tomber encore, tout donner, tout donner, et tant pis si j'adore.

00:24:22 À nous les grandes marées, à nous les grands flots.

00:24:30 Tout donner, tout donner, quitte à tomber encore, tout donner, tout donner, et tant pis si j'adore.

00:24:38 Après tout qu'est-ce que ça fait, on s'en sort.

00:24:45 Comment on fait quand on prend des coups ? Comment on fait, j'en sais rien du tout.

00:24:53 Comment on fait, en fait on s'en fout.

00:25:00 C'est une force, c'est une danse, c'est grave, je crois à la légère.

00:25:05 Comment tu fais, quoi ? Qu'est-ce que ça fait, j'aime, je me rémunère.

00:25:13 Comment tu fais ?

00:25:16 Comment on fait, j'aime, je me rémunère.

00:25:24 Bienvenue Zazie et les deux copains.

00:25:26 Comment on fait 7h25 ?

00:25:30 Comment on fait pour gagner ? Facile.

00:25:32 Vous vous appelez, vous faites comme Robert.

00:25:34 Bonjour Robert.

00:25:36 Oui, bonjour.

00:25:38 Un homme de lettre, Robert.

00:25:40 Vous parlez d'homme de lettre pour moi, non ?

00:25:44 Oui, bon.

00:25:46 Je suis plutôt finance.

00:25:48 Il y a le petit Robert et le grand Robert aussi.

00:25:50 Je suis retraité, c'est terminé.

00:25:56 Tant mieux parce que sinon vous auriez eu fort affaire avec Eric Devoye.

00:25:59 Oui, c'est vrai.

00:26:01 Calculer les chiffres, moi c'est pas mon truc.

00:26:03 Je crois que les auditeurs l'ont bien compris.

00:26:05 J'espère que vous contrôlez votre budget familial quand même.

00:26:10 Oui, non, c'est pas moi qui m'occupe de ça.

00:26:12 Heureusement, je suis très très nul.

00:26:16 Bon alors, mon cher Robert, on y va ?

00:26:18 Oui.

00:26:20 Ce serait quoi ?

00:26:22 Le rambouzi.

00:26:24 Le soleil donne.

00:26:26 Voilà, c'est parfait, il va encore redonner cet après-midi.

00:26:28 Le soleil donne, la compilation des talents France Bleu, elle est pour vous mon cher Robert.

00:26:32 Alors que ça donne envie de redonner même à Daniel Cabary.

00:26:36 Voilà, n'ayez jamais à en profiter.

00:26:40 Ah, ça coupe.

00:26:42 Bon ben voilà, Robert.

00:26:44 Vous voulez en profiter.

00:26:46 Un petit message à tous les contrôlés.

00:26:48 À tous les contrôleurs.

00:26:50 Merci beaucoup. Il est 7h26.

00:26:52 Il est là, à l'heure et de bonne humeur pour ses modocs, Adi Chad Daniel Cabary.

00:27:06 Adi Chad Monde.

00:27:08 Alors vous allez nous parler de quoi ce matin ?

00:27:10 Je vais vous parler de qui plutôt ?

00:27:12 De Pierrot Lacaze.

00:27:14 Grâce au soir rendu à ce lecteur Pontaqué,

00:27:16 qui, dans un courrier adressé à l'AREP,

00:27:18 réveille à la mémoire de Pierrot Lacaze,

00:27:20 sauteur en hauteur local

00:27:22 qui tenta sa chance lors des JO de Londres en 1948.

00:27:26 L'auteur rappelle l'implication de Pierrot lors de la Deuxième Guerre Mondiale

00:27:30 quand il s'est agi de cacher et de protéger des personnes en danger.

00:27:34 Monsieur Lacaze savait qu'il risquait gros,

00:27:36 mais c'était un personnage de caractère.

00:27:38 Alors vous nous parlez résistance aux JO de Londres.

00:27:42 Pierrot Lacaze s'y est distingué ?

00:27:44 Pas comme on pourrait s'y attendre.

00:27:46 N'en déplaise à notre secrétaire d'État au sport,

00:27:48 qui découvre l'absence absolue d'extraterrestres parmi nos sportifs français de haut niveau

00:27:54 et met au pied nos responsables des disciplines d'athlétisme,

00:27:57 la carence ne date pas d'aujourd'hui.

00:27:59 En 1948, pas la moindre médaille d'or pour la France chez les hommes,

00:28:03 seule Micheline Ostermeyer rafle deux titres olympiques au poids et au disque féminin.

00:28:09 Sur 22 médailles masculines, 11 vont aux États-Unis, 3 à la Suède, 8 pays se partagent le reste.

00:28:16 Et pas la France alors ? Il était loin du podium Pierrot Lacaze.

00:28:19 L'auteur qu'il passait d'habitude en mètre 95 lui aurait valu l'argent.

00:28:23 Qui sait si il y a un exploit ?

00:28:25 Mais il s'est blessé et n'a pu mener à bien son concours.

00:28:28 Mais c'est lui qui m'a raconté ce qu'il suit un jour.

00:28:31 Je l'ai lu comme voisine de table.

00:28:34 Les athlètes étaient logés à plusieurs dans une même chambre lors de ces Jeux de Londres,

00:28:39 conditions spartitiates qui rendaient difficile la concentration.

00:28:42 Ils étaient 6 dans la sienne, au deuxième étage,

00:28:46 dont un Algérien nommé Alain Mimoun.

00:28:48 Remuant le bonhomme, qui ne maîtrisait pas la langue d'oïe,

00:28:52 remuant au point d'excéder Pierrot qui lui a dit en béarnais ce qu'il pensait de lui

00:28:56 et des coureurs de fond qui gueulent en arabe.

00:28:58 Il a ouvert la fenêtre, a saisi le futur champion olympique du marathon

00:29:03 et le tenant à bout de bras à l'horizontale,

00:29:05 a entrepris de balancer l'emmerdeur du haut du deuxième étage.

00:29:09 Les copains de chambray bloquent l'entreprise, calment notre pont taquet.

00:29:13 Mimoun a eu peur et il a compris.

00:29:16 Il va se tenir à carreau et se consacrer à sa course qu'il termine deuxième

00:29:20 et qui lui vaut la médaille d'argent sur 10 000 mètres.

00:29:23 Quand on y pense, Pierrot aurait pu nous tuer un futur médaillé d'or au marathon en 1956,

00:29:29 vice-champion en 1952 sur 5 000 et 10 000 et 30 fois champion de France.

00:29:35 C'était quand même quelque chose.

00:29:37 Il a bien fait de rater quand même.

00:29:38 Merci Daniel, vous ne raterez pas votre chronique.

00:29:40 Demain on vous attend aux alentours de 7h25.

00:29:42 Allez, chiche !

00:29:43 Dans quelques secondes, il sera 7h30 et Sophie Péridieu,

00:29:49 on va parler justement de la colère des habitants de Bagnères-du-Bigod.

00:29:52 Avec cette mobilisation hier à 500 personnes, tout de même,

00:29:56 devant l'hôpital pour protester contre la fermeture des urgences

00:29:59 qui continuent encore et encore.

00:30:02 Et c'est dangereux, vont-ils nous dire.

00:30:04 On va parler des crèches privées et se poser la question

00:30:06 est-ce qu'elles sont devenues des usines à bébés ?

00:30:08 C'est ce que révèlent deux bouquins qui sortent en cette fin de semaine.

00:30:12 Et puis on s'intéressera à l'exploit de Philippe Poncey.

00:30:16 Il est atteint de BPCO et il a monté le col d'Aspin à vélo.

00:30:21 Ici, Matin, revient dans un instant.

00:30:25 Ce soir, Serfrance 3.

00:30:28 Un serial killer, je ne m'y attendais pas.

00:30:30 Pourquoi vous pensez que c'est lui qui a tué Maya Lane ?

00:30:32 Tsa se vient d'essayer de me renverser.

00:30:34 C'est arrivé quand ?

00:30:36 Il y a une heure à peine dans Bagnères.

00:30:37 Madame, ça va ?

00:30:38 Qui a accès à ma chambre ?

00:30:40 Pourquoi tu demandes ça ?

00:30:41 Le mode opératoire est strictement identique.

00:30:43 Et Tsa, c'est toujours en liberté.

00:30:45 On va tout reprendre depuis le début pour voir où on s'est trompé.

00:30:47 Bordel !

00:30:48 T'as assez morflé pendant 16 ans.

00:30:50 Vous n'avez pas le droit de me placer, moi !

00:30:52 Et toi, t'as eu le droit de l'hypoter sur ta fausse agression ?

00:30:54 Tu ne trouves pas que ça sonne bizarre ?

00:30:57 Il faut qu'on s'en déçue.

00:30:59 Le passé ne lâche pas ses proies.

00:31:01 J'ai menti.

00:31:02 Ce soir à 21h10 sur Serfrance 3.

00:31:04 Et en intégralité sur la plateforme Serfrance.tv.

00:31:07 Ce programme est disponible en audio description.

00:31:11 [Musique]

00:31:27 France Bleu, Berne, Bigorre.

00:31:29 Ici, on parle d'ici.

00:31:31 Bonjour à vous qui venez de nous rejoindre en ce jeudi 7 septembre.

00:31:36 On salue et on embrasse Régine, Réjeanne et Renne aujourd'hui.

00:31:39 Puisqu'elles sont à l'honneur.

00:31:41 Le soleil aussi, même s'il y a quelques nuages chez vous.

00:31:44 C'est de la chaleur cet après-midi.

00:31:46 Et dans ce journal de 7h30, signée Sophie Péridieu à la Une,

00:31:52 ce matin, la colère des habitants de Bagnères-du-Bigorre.

00:31:54 Plus de 500 personnes se sont rassemblées hier matin

00:31:57 devant l'hôpital de la commune.

00:31:59 Des habitants, des soignants, des élus syndicaux, des élus,

00:32:03 mobilisés pour dénoncer les fermetures à répétition de ces urgences.

00:32:07 Cet été, par manque de médecins, on en a déjà parlé sur France Bleu Berne-Bigorre.

00:32:11 Des urgences qui sont fermées la nuit, d'ailleurs depuis un an déjà.

00:32:14 Là, c'est depuis dimanche qu'elles étaient fermées

00:32:17 pour une réouverture prévue aujourd'hui.

00:32:19 Cette situation inquiète, Dominique Débureau est venue manifester.

00:32:22 Elle est ergothérapeute au service rééducation de l'hôpital de Bagnères.

00:32:25 La vie des patients est en danger, nous dit-elle.

00:32:28 C'est très grave parce qu'on voit bien qu'il y a des services à l'hôpital de Bagnères

00:32:31 où les gens sont extrêmement en danger parce qu'ils sont extrêmement malades

00:32:36 et qu'il n'y a pas de services d'urgence à Bagnères.

00:32:39 Donc, il y a une mise en danger pour cette population très fragile.

00:32:42 Et pour la population entière de Bagnères, on est tous concernés.

00:32:47 Moi, mes enfants, ma famille, mes voisins, toute la population est conservée

00:32:53 parce que nous n'aurons pas de possibilité d'être pris en charge rapidement

00:32:57 et on est en danger de mort par rapport à un AVC, un infarctus et toutes ces choses-là.

00:33:01 Il y a une mise en danger très grave et donc il va y avoir des morts.

00:33:05 C'est évident qu'il va y avoir des morts du fait que la direction, l'ARS et la préfecture

00:33:11 ne mettent pas tout en œuvre pour pouvoir protéger la population du Haut-Adour.

00:33:16 Et quand les urgences sont fermées, les malades doivent aller à Tarbes, à une vingtaine de kilomètres.

00:33:20 Vous retrouvez les infos sur francebleu.fr

00:33:23 et on en parle tout à l'heure avec notre invitée à 8h15.

00:33:26 Et avec vous, racontez-nous vos expériences, vos urgences, vos témoignages.

00:33:31 Avez-vous constaté ce manque de médecins ?

00:33:33 Quand pensez-vous qu'il faudrait-il faire 05 59 98 09 09 ?

00:33:39 Ce drame à Pau, avenue de Buros, hier midi, un petit garçon de 3 ans s'est fait écraser

00:33:44 par une voiture à la sortie de l'école Maranci.

00:33:47 Cela s'est passé en fait dans un parking, une résidence privée, à l'heure de la sortie des classes.

00:33:51 On était mercredi hier.

00:33:53 Les circonstances de l'accident sont encore à préciser.

00:33:56 La conductrice de la voiture a été placée en garde à vue.

00:33:59 Ce matin, une cellule d'aide psychologique accompagnera les élèves de cette école paloise.

00:34:04 La préfecture a communiqué les chiffres de sécurité routière pour le mois d'août.

00:34:07 Il y a eu 5 morts sur la route dans les Pyrénées-Atlantiques,

00:34:10 76 accidents qui ont fait 90 blessés.

00:34:13 C'est en légère hausse par rapport à août 2022,

00:34:16 avec une forte implication des deux roues motorisées.

00:34:19 De nombreux excès de vitesse ont été constatés par les forces de l'ordre.

00:34:23 Une femme de 72 ans a fait une chute mortelle au pic du Midi d'Osso, hier après-midi.

00:34:27 Elle était accompagnée de son mari.

00:34:29 Le médecin du Samu est intervenu avec l'hélicoptère des pompiers,

00:34:32 mais n'a pu que constater le décès de cette randonneuse.

00:34:35 Un jeune Palois de 20 ans est lui jugé cet après-midi en comparution immédiate à Pau,

00:34:40 le 23 août dernier au péage de l'A64.

00:34:43 Il a refusé de se soumettre à un contrôle.

00:34:45 Il a pris la fuite et dans la manœuvre, il a roulé sur le pied d'une gendarme.

00:34:49 Il a été interpellé avant-hier et sera donc jugé tout à l'heure

00:34:52 pour violences volontaires aggravées.

00:34:54 Dans les Yvelines, c'est une course-poursuite qui a eu lieu hier soir

00:34:57 et qui s'est soldée cette fois par la mort d'un adolescent de 16 ans,

00:35:00 un jeune conducteur de deux roues qui avait refusé un contrôle

00:35:03 et qui s'était enfui avant de percuter une voiture de police.

00:35:07 France Bébé, Anne Bigor, il est 8h moins 25.

00:35:09 Les crèches privées sont-elles devenues des usines ABB ?

00:35:13 Deux livres sortent en librairie pour dénoncer les dérives du secteur bas business,

00:35:18 écrits par deux journalistes du Parisien qui sortent aujourd'hui,

00:35:22 et le second, Le Prix du Berceau, sort demain,

00:35:25 signé de deux journalistes d'investigation du collectif WeReport.

00:35:29 Il y a cinq mois déjà, Ligas, dans un rapport très sévère,

00:35:32 pointait du doigt certaines pratiques des crèches privées.

00:35:35 Julien Morcelli.

00:35:36 Avec un recours parfois systématique au surbooking,

00:35:39 plus d'enfants accueillis que les crèches n'en ont la capacité,

00:35:42 des soins minutés, des repas rationnés,

00:35:45 des employés parfois contraints de partager des bouts d'omelettes entre les enfants

00:35:48 parce que chaque semaine, il en manque.

00:35:50 Avant même la publication de ces deux livres,

00:35:52 le porte-parole du gouvernement reconnaît qu'il y a un problème.

00:35:55 Il faut entrer pleinement dans la culture du contrôle,

00:35:58 dit Olivier Véran.

00:35:59 Car ils sont rares, seulement une crèche sur dix,

00:36:02 contrôlée chaque année, selon un autre rapport de l'Inspection Générale des Affaires Sociales,

00:36:06 publié il y a trois ans.

00:36:07 Depuis, il y a eu le drame de Lyon.

00:36:09 Un bébé décédé l'an dernier après avoir avalé de la soude

00:36:12 et les contrôles se sont accentués.

00:36:14 Mais il reste variable, puisque ce sont les conseils départementaux

00:36:17 qui en ont la compétence.

00:36:18 Il y a aussi ceux opérés par la CAF,

00:36:20 mais il s'agit là seulement de contrôles financiers.

00:36:23 Dans un communique, la Fédération Française des entreprises de crèche

00:36:26 estime que les dérives pointées par ces deux livres sont des exceptions

00:36:29 et ne doivent pas jeter l'opprobre sur tout un secteur.

00:36:33 Les salariés des forges de Tarbes appelaient à la grève.

00:36:37 Aujourd'hui, débrayage prévu de 11h à 15h

00:36:39 dans cette entreprise de métallurgie qui fabrique des munitions.

00:36:42 Malgré un mieux dans les carnets de commandes avec la guerre en Ukraine,

00:36:45 les employés réclament davantage de transparence de la part de la direction

00:36:49 sur les financements des projets futurs

00:36:51 et sont inquiets de leur avenir.

00:36:53 Et puis maintenant, Sophie, cet exploit réalisé par Philippe Poncé,

00:36:57 atteint de BPCO.

00:36:58 Alors, monter le col d'Aspin à vélo, c'est déjà pas donné à tout le monde.

00:37:01 Et c'est encore plus difficile lorsqu'on est sous assistance respiratoire.

00:37:04 Et pourtant, hier, Philippe Poncé l'a fait.

00:37:07 77 km de Saint-Larys à Lourdes en passant par Aspin.

00:37:10 Donc, pour alerter sur sa maladie,

00:37:12 la BPCO, la bronchopneumopathie chronique obstructive.

00:37:17 C'est une maladie pulmonaire très courante en France

00:37:20 qui touche 5 millions de Français.

00:37:22 Beaucoup ne sont d'ailleurs diagnostiqués qu'aux urgences.

00:37:25 Alors hier, Philippe Poncé était accompagné d'une équipe d'infirmiers

00:37:28 et qui butent une cinquantaine de bouteilles d'oxygène

00:37:30 et de deux coureurs professionnels,

00:37:32 le Bagnéré Bruno Armirail et l'Italien Claudio Chiappucci.

00:37:37 S'il réalise cet exploit, c'est pour alerter et altérer l'attention

00:37:41 sur cette maladie répandue mais peu connue.

00:37:44 Ceux qui sont à mon stade à cette heure sont plutôt à l'hôpital

00:37:47 en train de souffrir ou dans des centres de réhabilitation aussi en train de souffrir

00:37:51 ou isolés chez eux parce que personne ne les connaît.

00:37:53 D'ailleurs, on re-rentre dans une canicule aujourd'hui

00:37:56 et tout le monde oublie qu'il y a 220 000 personnes qui sont en survie

00:38:00 mais qui sont un problème et ces gens-là, aujourd'hui, une fois de plus,

00:38:03 c'est eux qui vont payer le prix cher face à la chaleur.

00:38:06 Et c'est pour les 220 000, pour le million qui est diagnostiqué

00:38:09 et surtout pour les 4 autres millions qui ne sont toujours pas diagnostiqués

00:38:12 et qui inexorablement avancent vers le handicap sans que cela n'affecte qui que ce soit

00:38:17 et ça dure depuis plus d'un demi-siècle.

00:38:19 Donc, tout le monde espère que je tienne le plus longtemps possible.

00:38:22 J'espère aussi tenir le plus longtemps possible.

00:38:25 Voilà, je suis bien entouré. On retrouvera Bruno Armirail à Bagnères.

00:38:30 Mes équipiers sont là. Et Claudio Chiappucci alors.

00:38:33 Philippe Ponce, c'est Roger Parugo au CIO qui réalise régulièrement des courses à vélo

00:38:37 pour alerter et médiatiser sa maladie.

00:38:41 La pression monte. Le coup d'envoi de la Coupe du monde de rugby qui se déroule en France, c'est demain soir.

00:38:46 Premier match France-Nouvelle-Zélande, donc, au Stade de France, à Saint-Denis,

00:38:51 retransmis sur France Bleu dès 20h avec la cérémonie d'ouverture.

00:38:56 Bien sûr, ce soir sur France Bleu, il y a du football puisque la France joue contre l'Irlande

00:39:01 au Parc des Princes, match de qualification pour l'Euro 2024.

00:39:05 L'infotrafic 100% local avec Orpi Pyrénées, vos agences immobilières du Béarn

00:39:10 pour achats, ventes ou locations gestion.

00:39:13 Orpi Pyrénées, l'esprit coopératif, ça change l'immobilier.

00:39:17 Qu'est-ce qui se passe ?

00:39:18 Ça coince déjà. Dans pas mal d'endroits, surtout plus en Béarn qu'en Bigorre.

00:39:26 Comme d'habitude.

00:39:27 Oui, mais en Bigorre, attention, il y a le marché autour de la place Marcadieu.

00:39:32 Il y a beaucoup de places.

00:39:33 Il paraît qu'on peut se garer pas trop loin et il y a des navettes.

00:39:35 C'est Eric Benthard qui me disait ça.

00:39:37 C'est vrai, mais dans le centre, évitez quand même la place Marcadieu et tous les alentours.

00:39:43 Alors en revanche, oui, parce que c'est jour de marché à Tarbes,

00:39:45 mais c'est aussi jour de marché à Salis-de-Béarn.

00:39:47 Sur la route, vous êtes très nombreux à Sauvagnon, devant le 5e RHC, la rocade de Pau.

00:39:52 Au niveau de l'hypodrome, saturée ce matin, la rue Berlioz également, la route de Tarbes à Hidron.

00:39:57 Et ça commence à se charger sur l'avenue Roski, qui va de Gans à Juronçon.

00:40:03 Alors si on regarde la météo, il y a peut-être des nuages chez vous.

00:40:07 C'est ce que vous nous dites en tout cas, mais les températures sont déjà très agréables ou très belles, suivant le cas.

00:40:14 Il fait 20 degrés autour de Pau.

00:40:17 C'est vous qui nous le dites.

00:40:18 Vous avez raison.

00:40:19 Vous avez même, comme Annie, la possibilité de nous envoyer un petit message.

00:40:23 On est à 19° à Aurins, ce matin, ça va chauffer.

00:40:26 Elle nous dit "je viens vous faire un petit coucou, gardez bien le moral sur tout et bon courage à tous.

00:40:30 Gros bisous et bon jeudi".

00:40:32 Sabine nous dit qu'il fait 17° à Ballyros.

00:40:35 Et cet après-midi, le mercure montera jusqu'à 24° à la Reims.

00:40:39 32° sur Laurent, Pau et Tarbes.

00:40:41 34° sur Hortès.

00:40:43 Il est 8h20.

00:40:46 Le 6/9, France Bleu Berne, Bigorre.

00:40:50 Éric Dreux.

00:40:52 Sophie Péridieu et Mathias Kern qui sont là à mes côtés pour vous présenter l'info.

00:40:55 Nous aurons le plaisir d'avoir dans quelques instants, direct avec nous, Christian Galouille.

00:41:00 Il est passionné de Harley Davidson.

00:41:02 Mais en général, la passion de la Harley, ça continue et surtout ça fait des amis.

00:41:07 Ça fait des potes aussi parce que plus le club est grand et plus la passion se partage.

00:41:12 S'il est là, c'est pour nous parler d'un événement qui aura lieu à partir de demain,

00:41:16 samedi et dimanche, une concentration de Harley, manifestation autour de cela.

00:41:22 Ça va se passer à Souboulou mais lui viendra nous en parler d'ici quelques instants.

00:41:25 Le respect d'Aretha Franklin.

00:41:30 Un mot qu'il ne faut pas oublier d'ailleurs.

00:41:32 À 7h41 tout de suite.

00:41:34 [Musique]

00:41:38 [Musique]

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00:43:27 [Musique]

00:43:32 [Musique]

00:43:37 [Musique]

00:43:42 Respect avec Aretha Franklin.

00:43:46 Comme chaque matin avant de parler de Harley Davidson,

00:43:49 nous allons donner la parole à Cédric Bazir qui vous propose des offres d'emploi chaque jour.

00:43:53 Ce matin on parle de postes d'AES.

00:43:56 Avec nous pour en parler, Laurence Pinchon, bonjour.

00:43:59 Bonjour.

00:44:00 Vous êtes la directrice du CIVOM du pays de Naï.

00:44:02 L'AES, pour celles et ceux qui ne connaissent pas, qu'est-ce que c'est déjà ?

00:44:05 Alors l'AES c'est l'accompagnant éducatif et social.

00:44:08 Ça regroupe anciennement les AVS, auxiliaires de vie sociale,

00:44:12 et les AMP, aides médicaux psychologiques.

00:44:15 Donc vous en recherchez deux ?

00:44:16 Voilà, un ou deux, puisqu'on a actuellement des postes disponibles

00:44:21 vu qu'on vient de signer une convention de partenariat,

00:44:25 notamment avec l'Étincelle 64,

00:44:27 et qu'on a besoin de beaucoup d'heures d'accompagnement

00:44:31 pour des personnes atteintes d'un handicap psychique.

00:44:35 Quelles vont être exactement les missions ?

00:44:37 Sur le service d'aide à domicile, ce sont des missions d'AVS plutôt classiques

00:44:41 avec beaucoup d'aide à la personne,

00:44:43 puisque le CIVOM Autonomie fait 85% de l'aide à la personne

00:44:48 avec toutes les missions classiques de lever, de coucher,

00:44:52 d'aide à l'habillage, aide au repas, évidemment les tâches ménagères,

00:44:56 il peut y avoir aussi de l'aide à la toilette,

00:44:59 toutes les missions d'aide à la personne.

00:45:01 Et dans le cadre des prises en charge PCH,

00:45:04 donc prestations de compensation du handicap,

00:45:07 là on n'est plus sûr de l'accompagnement de personnes

00:45:11 atteintes de troubles ou de handicaps.

00:45:14 Donc là c'est de l'accompagnement, c'est de la stimulation,

00:45:18 il n'y a pas de ménage, c'est vraiment de l'accompagnement dans la vie quotidienne.

00:45:24 Le permis est obligatoire ?

00:45:25 Alors le permis est obligatoire évidemment, puisqu'on est sur 7 communes,

00:45:29 6 communes jusqu'au 31 juillet,

00:45:32 donc Baudrec, Bénéjac, Bourdette, Higon, Mirapex et Naïs.

00:45:36 Et depuis le 1er août, la commune d'Arbéoste a aussi adhéré au CIVOM Autonomie de la Plaine de Naïs.

00:45:41 Donc on embauche d'abord un CDD,

00:45:44 et puis à l'issue d'un ou plusieurs CDD,

00:45:47 si la personne souhaite rester et si nous souhaitons la garder,

00:45:50 on propose une titularisation dans le cadre de la fonction publique territoriale,

00:45:54 mais au régime général, c'est-à-dire à moins de 28 heures semaine.

00:45:58 Laurence, pour les personnes qui souhaitent postuler, comment faut-il faire ?

00:46:01 Alors on peut venir nous rencontrer au centre de multishervice de Naïs,

00:46:05 ou nous contacter par téléphone au 0559 1302 75,

00:46:11 ou nous envoyer un mail avec une lettre de motivation et un CD

00:46:15 à civomautonomie.naïs@gmail.com

00:46:19 Vous avez été parfaite, merci Laurence, très belle journée à vous !

00:46:22 Merci à vous, au revoir !

00:46:24 C'est Dirk Bazir que vous retrouverez dès demain à partir de 8h20 sur France Bleu, Béarnes, Bigorre.

00:46:29 Je ne sais pas s'il est venu en Harley Davidson, en tout cas il est dans nos studios.

00:46:32 Christian, Galoui, que nous retrouverons, qui fait partie de l'association Juste Rider.

00:46:37 Ici Matin, revient dans un instant.

00:46:41 La vengutz, din Biural Pais, la vostre emissio en Utsita.

00:46:48 A mettons soca viscut la lengue utsitana et sa culture.

00:46:52 Dans Biural Pais, on parle occitan.

00:46:56 Chaque semaine, Cyrine Tijani et Marius Blenet sillonnent la région

00:46:59 pour donner la parole à celles et ceux qui font vivre cette langue occitane.

00:47:03 Entre mer et montagne, de ville en village, Biural Pais vous réserve de belles surprises.

00:47:09 A la simo de pesenas.

00:47:12 A la simo, uno decimo de pesenas.

00:47:14 Biural Pais en occitan, dimanche à 10h10 sur France 3.

00:47:19 [Musique]

00:47:31 Le 6/9, ici c'est France Bleu B1 de Vigore.

00:47:35 Et on parle manifestation comme chaque jour, spectacle, rendez-vous qu'il ne faut pas rater.

00:47:42 Hier nous étions avec Pascal Obispo.

00:47:44 Et aujourd'hui c'est quelqu'un qui a la même coiffure que Pascal Obispo, Christian Calouille.

00:47:49 Je me moque mais ce n'est pas gentil.

00:47:51 Non, non, non, mais je suis content.

00:47:52 Mais non, mais non, Christian est en pleine forme.

00:47:54 Et "juste ridé" avec un beau jeu de mots quand même.

00:47:58 Ben oui, parce que oui, oui, on est juste ridé.

00:48:01 Mais enfin ridé de plus en plus quand même.

00:48:03 Oui, juste ridé.

00:48:04 Mais enfin en tout cas c'est la passion qui vous anime.

00:48:06 Puisque votre passion, vous, on l'a compris pour celles et ceux qui vous voient actuellement sur France 3,

00:48:11 au Sud Aquitaine, c'est quoi ? C'est le blouson de cuir, c'est la Harley Davidson.

00:48:16 Oui, c'est vrai.

00:48:17 Donc ça c'est une passion.

00:48:18 C'est une passion qu'on essaye de faire partager.

00:48:22 Parce que toutes les passions, on essaye de les amener ailleurs.

00:48:28 Alors si justement on vous écoute et si on a envie de participer à cette grande FED Bike Week à Sumoulou,

00:48:36 ça commence demain et vous êtes prêt pour trois jours là ?

00:48:38 Absolument.

00:48:39 C'est donc vendredi, samedi et dimanche.

00:48:43 Donc le programme, donc vendredi, c'est à partir de l'après-midi,

00:48:52 le grand match de rugby qu'on attend tous.

00:48:58 Oui, vous l'attendez aussi en biker aussi, il y en aura beaucoup de bikers qui seront là pour le match de rugby ?

00:49:05 On espère.

00:49:06 Oui, bien sûr des bikers, mais nous on aime l'ouverture.

00:49:10 On aime, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, faire partager notre passion

00:49:14 et que les gens comprennent mieux ce qui se passe dans ce milieu-là.

00:49:18 Et de faire participer, de faire aimer, c'est très important pour nous.

00:49:24 C'est une histoire de passion parce que les Geste Ridé, vous êtes là depuis un peu plus de dix ans en association, c'est ça ?

00:49:29 Onze ans, oui.

00:49:30 Onze ans, et vous vivez quoi ? Votre but c'est de vivre votre passion, de la faire partager ?

00:49:35 Le mythe américain un peu quand même, non ?

00:49:38 Absolument, on est des petits enfants de l'Amérique, oui c'est vrai.

00:49:43 Si je vais vous faire écouter ça, Christian...

00:49:46 Je n'ai besoin de personne en ce moment.

00:49:50 J'adore Brigitte Bardot.

00:49:52 Vous vous êtes fait beaucoup de potes en plus d'onze ans,

00:49:56 puisqu'il y a beaucoup de gens qui viennent et qui vous rejoignent.

00:50:00 Absolument, c'est-à-dire qu'en fait, c'est pas du tout fermé.

00:50:03 C'est-à-dire qu'en fait, nous, l'association c'est vrai, on est en Harley-Davidson,

00:50:08 par contre, notre manifestation de Soumoulou, qui dure trois jours, accueille tout le monde.

00:50:13 C'est le but quand même que tout le monde s'amuse, que tout le monde...

00:50:18 On pourra faire des tours ?

00:50:20 Absolument, il y aura des baptêmes, il y aura des...

00:50:23 Pour ceux qui n'ont pas forcément les moyens de s'offrir une Harley-Davidson, parce que ça coûte un peu quand même ?

00:50:27 C'est une question d'envie.

00:50:29 Bon, il y a des animations, il y a des concerts aussi de rock ?

00:50:31 Huit concerts de rock, sur les trois jours.

00:50:35 Donc le vendredi, je vous l'ai dit, il y a une soirée DJ.

00:50:40 Samedi ?

00:50:41 Samedi.

00:50:42 Donc c'est toute la journée, avec un show-bike.

00:50:45 Un show-bike, c'est, on dit, la meilleure, la plus belle moto.

00:50:50 Enfin, ce qu'on trouve de plus belle moto, et ça c'est réservé à des spécialistes et au public.

00:50:56 Donc ils font partie de ce comité, qui va élire la plus belle de moto, etc.

00:51:02 C'est très, très...

00:51:04 Rendez-vous donc à Soumoulou, Christian, on l'a bien compris, qu'on ait une Harley-Davidson ou pas.

00:51:08 On revient, show-bike, buvette, food truck, il y aura plein de choses à vivre.

00:51:13 L'emplacement, alors donc, pour les personnes...

00:51:15 Sur la Grande Place.

00:51:16 Oui, sur la Grande Place à Soumoulou.

00:51:17 Sur la Grande Place à Soumoulou, on vous attend tous et...

00:51:21 Et vive la Harley !

00:51:23 Vive la moto en général.

00:51:25 Vive la moto, voilà.

00:51:26 Merci beaucoup Christian Galou d'être venu nous en parler en direct dans nos studios.

00:51:30 Au revoir.

00:51:31 Merci, au revoir.

00:51:32 Bye bye.

00:51:33 Et la météo, la météo elle est belle, et elle sera belle d'ailleurs à Soumoulou pour les 3 jours de cette fête.

00:51:39 Oui, puisqu'on attend aujourd'hui 24 sur la Reims, 32 à Ouleron, Apo et Tarbes, 34 sur Hortèze.

00:51:45 Ça va chauffer encore une fois.

00:51:47 Et AssettoR52, il est là, il est venu par moto.

00:51:54 Bonjour Eric Benfart.

00:51:55 Oh non, ça ne serait pas très prudent.

00:51:57 Je n'ai jamais dépassé le scooter.

00:51:58 Ah le scooter, d'accord.

00:51:59 Parce que j'en suis toujours au petit vélo avec les roues derrière.

00:52:01 Oui, mais j'ai des petits trous aussi sur le scooter, c'est assez pratique, ça évite dans les virages comme ça.

00:52:05 Exactement.

00:52:06 Alors vous, le road trip, pourtant ça ne vous fait pas peur, vous faites des trucs de dingue vous quand même des fois.

00:52:09 Je suis parti presque en vélo, j'aurais pu y aller jusqu'à l'Estel Bétharame, découvrir un joli lieu de logement,

00:52:15 là si vous voulez profiter de 2-3 jours de détente entre Béarnes et Bigorre.

00:52:19 Il y a le Viologie, je ne sais pas si vous connaissez cet établissement.

00:52:22 Oui, je suis passé devant, mais j'ai suivi.

00:52:24 Une histoire de famille où on mange bien, on dort bien dans un cadre naturel, l'occasion de le découvrir.

00:52:30 Qu'on soit touristes ou vacanciers ou juste en week-end, on s'arrête au Viologie à l'Estel Bétharame et on retrouve Marie-Pierre et Francis Gaye.

00:52:39 Bonjour.

00:52:40 C'est une histoire de famille ici.

00:52:41 Nous sommes la troisième génération et nos filles maintenant vont nous rejoindre, donc ça fera peut-être la quatrième génération.

00:52:46 C'est une entreprise que la grand-mère de Francis avait faite en 1951. Pour tout vous dire, on a fêté les 70 ans.

00:52:53 Les gens qui viennent ici dans cet établissement, qui est à la fois hôtel et restaurant, le Viologie à l'Estel Bétharame.

00:52:59 Nous avons la clientèle de tourisme, nous avons aussi quelques repas de famille avec beaucoup d'habitués, la clientèle locale.

00:53:05 Et nous avons aussi des gens qui sont là pour le travail, des commerciaux, des soirées étapes, des gens qui viennent se déplacer pour le travail.

00:53:12 Ça nous aide beaucoup sur l'hiver.

00:53:14 Oui, puisqu'on est à cheval entre Béarnes et Bigorre.

00:53:15 Tout à fait, on est à cheval entre Béarnes et Bigorre.

00:53:17 C'est vrai que l'Estel Bétharame, c'est une commune un peu particulière. Vous êtes originaire d'ici ?

00:53:21 Mon mari est né dans la maison, moi je suis catalane.

00:53:23 Et vous êtes venue par amour ?

00:53:24 Voilà, nous sommes connus au lycée hôtelier à Toulouse et ça donne des enfants très souples.

00:53:28 Là on est installé au bar avec un joli salon, il y a encore des tables à côté, j'ai vu qu'il y avait un salon encore avec la télévision au fond.

00:53:35 On est presque un peu chez soi.

00:53:37 C'est beaucoup d'entretien, ça c'est vrai, c'est beaucoup d'entretien. Mais bon, d'avoir aussi tout cet espace, ça nous aide beaucoup et surtout cette année.

00:53:44 Combien de chambres ici ?

00:53:45 Nous avons 28 chambres et 5 petits bungalows que nous louons l'été qui sont dans le parc.

00:53:50 Ça nous fait une capacité de 33 chambres.

00:53:52 Oui parce qu'on n'a pas dit, mais autour de la piscine, il y a un énorme parc en plus. On est vraiment au cœur de la nature.

00:53:56 Au niveau hectare, je ne saurais pas vous dire combien il y en a. Francis, on saurait mieux vous dire ça que moi.

00:54:01 Parce que c'est lui qui tombe, c'est ça ?

00:54:02 Non, c'est mon beau-père qui tombe. Il n'a pas le temps, lui il est en cuisine, il ne tombe pas. C'est Pierre qui occupe ça.

00:54:07 Il est à la retraite, on l'occupe.

00:54:09 Et vu la taille du jardin, il doit être bien occupé toute la semaine.

00:54:12 Exactement.

00:54:13 Côté cuisine, qu'est-ce que vous proposez ? Déjà j'ai vu les petits déjeuners, ils sont copieux. Le midi comme le soir, on doit bien manger.

00:54:20 C'est une cuisine du terroir. Francis était parti ce matin chercher les petits chèvres fermiers.

00:54:24 On retrouve les produits locaux, bien sûr la terrine de foie gras, le canard.

00:54:29 C'est quoi la petite recette maison ici ?

00:54:32 Le foie gras secolé et puis on voit aussi l'éternelle garbure qu'on fait.

00:54:35 La recette, il faudrait lui demander à lui quand vous allez revenir.

00:54:38 Donc un week-end ne suffirait pas, il me reviendra.

00:54:41 Au vieux logis à la vaisselle Bétharame.

00:54:43 Merci beaucoup Marie-Pierre.

00:54:44 Merci beaucoup.

00:54:45 Il y a des clients qui appellent pour réserver, visite-moi.

00:54:47 On y va. Merci.

00:54:48 Vous prenez des risques Eric Benthara.

00:54:50 Oui, oui, des beaux logements, des beaux restos et demain je vais en prendre des risques.

00:54:53 Ah bon ?

00:54:54 Je ne vais aller pas très loin, aux eaux d'Açon, voir les serpents qui sont installés derrière une vitre m'attendit. Je ne suis pas convaincu.

00:54:59 Pour vous qui vous laisse sortir.

00:55:01 Merci !

00:55:03 Le bruit qui court.

00:55:04 D'ailleurs, France, le père de l'écorce.

00:55:07 Ah, non, je ne suis pas gentil. C'est vrai.

00:55:10 Bon, vous avez témoigné que je ne suis pas gentil, c'est ça Eric ?

00:55:12 Mais non, vous n'êtes qu'amour.

00:55:14 Oui, c'est vrai.

00:55:15 Bon, alors avant de retrouver les dingues de rugby, votre feuilleton, c'est l'heure de jouer car le bruit qui court n'a toujours pas été trouvé.

00:55:21 Toujours pas ?

00:55:22 Toujours pas. Écoutez le vite.

00:55:23 Le bruit qui court.

00:55:26 Ce clac, clac, clac, clac, c'est 50 euros pour la personne qui va découvrir ce bruit.

00:55:31 On n'est pas loin, paraît-il, parce qu'on ne connaît pas la réponse, mais on ne l'a pas encore.

00:55:35 Je n'arrive pas à savoir ce que c'est.

00:55:37 Bon, 05 59 98 09 09, à vous de jouer.

00:55:41 Le bruit qui court sur France Bleu, père de l'écorce.

00:55:45 C'est bon ? Vous l'avez ? 05 59 98 09 09.

00:55:53 Mathieu, est-ce qu'un de vous fait des signes ? Je ne sais pas si c'est pour nous aider ou quoi.

00:55:57 Je crois que c'est pour nous induire en erreur, c'est ça ?

00:55:59 Oui, parce que la pompe à vélo, ça ne fait pas ce bruit-là.

00:56:01 Arrêtez, Mathias, arrêtez. On n'est pas dupes non plus.

00:56:04 Elles sont toutes dingues de rugby.

00:56:06 Sortez les parapluies aujourd'hui pour le tournoi des petits clubs de Vichy où Nelly,

00:56:09 sous la pluie, encourage sa nièce depuis le bord de la pelouse.

00:56:24 Alors moi, je suis Tata, effectivement, grande supportrice de ma nièce, Élise.

00:56:29 Elle a 8 ans et demi.

00:56:30 Élise fait du rugby depuis 8 mois.

00:56:32 Alors là, elle est là, toute petite, mais qui en voit déjà.

00:56:37 Toute la famille un petit peu derrière elle.

00:56:40 Là, Tata, elle est fière.

00:56:42 D'autant plus au rugby, qui est quand même un univers très masculin.

00:56:45 Et je trouve que c'est bien d'emmener aussi des petites filles se défouler un petit peu sur les terrains.

00:56:50 C'est ça qui est sympa, je trouve.

00:56:52 Ça permet de passer des bons moments, et pour elle, et pour nous.

00:56:55 Et voilà, quoi, des bons souvenirs derrière.

00:56:57 Elle joue en U10.

00:56:59 Et elle adore plaquer.

00:57:00 Ça, c'est son truc.

00:57:02 Elle aime courir, elle se débrouille pas trop mal, pour une petite bichette.

00:57:05 Mais il y a une bonne équipe derrière.

00:57:07 Donc chacun son point fort, chacun son point faible, comme on dit.

00:57:10 Ils sont dehors.

00:57:13 Et malgré la pluie, le beau temps, peu importe.

00:57:16 Mais au moins, ça se défoule, ça se bat un peu.

00:57:19 Et ça fait du bien un petit peu à tout le monde.

00:57:21 Alors, se battre dans le bon sens du terme, hein.

00:57:24 Entre guillemets, avoir un petit peu une rage de compétition, c'est bien aussi.

00:57:28 Ça fait du bien au caractère un petit peu à tout le monde aussi.

00:57:31 Plus c'est mixte, mieux c'est, justement.

00:57:33 Ça amène un petit peu aussi, voilà, de gagne.

00:57:36 Et au contraire, ça apprend aussi un petit peu aux garçons de laisser faire un petit peu aux filles.

00:57:41 Et vice-versa, de les filles, de venir avec des garçons, de s'entraider justement avec des garçons.

00:57:46 Parce que des fois, c'est un peu compliqué quand on est petit, mais justement.

00:57:49 Là, c'est facile, ça devient facile.

00:57:51 Je trouve que c'est un sport qui permet vraiment de s'ouvrir aux autres.

00:58:02 Même sous la pluie, et peu importe le temps.

00:58:04 Même sous la neige, peu importe.

00:58:06 Je pense que c'est ça qui doit leur plaire un petit peu aussi.

00:58:09 C'est d'être dans la gadoue, de salir un peu, ils ont le droit.

00:58:12 C'est peut-être le moment où les parents autorisent.

00:58:15 Donc, ouais, ouais. Non, non, c'est bien, ça.

00:58:17 C'est bien, les Dingues de Rugby sont à retrouver sur francebleu.fr.

00:58:20 À demain !

00:58:22 Le bruit qui court sur France Bleu, B.R.N.B. Gore.

00:58:27 Il n'a pas fini de courir.

00:58:29 Oh là là, qu'il n'a pas fini de courir ce bruit.

00:58:31 Alors, Mathias, c'était pas un indice, Mathias ?

00:58:33 Non, c'était le coup de pompe.

00:58:35 Oui, c'était dans le jingle.

00:58:37 Ah oui, d'accord.

00:58:38 Bon, nous avons et nous jouons avec Joël.

00:58:42 Bonjour Joël.

00:58:43 Bonjour.

00:58:44 Alors Joël, avez-vous une idée pour nous mettre sur la piste et pour 50 euros de cartes cadeau ?

00:58:48 Eh bien, peut-être un va-et-vient, un poussoir, un bouton de couloir ou un va-et-vient.

00:58:53 Un va-et-vient.

00:58:55 Non, c'est comme l'argent, ça va, ça vient et quand ça vient, ça va.

00:59:00 Je vous remercie, bonne journée.

00:59:01 Merci Joël.

00:59:02 À bientôt.

00:59:03 À bientôt, c'est Eliane qui est avec nous.

00:59:05 Bonjour Eliane.

00:59:06 Oui, bonjour.

00:59:07 Alors Eliane, ce serait quoi ?

00:59:08 Ah ça y est, moi je l'ai trouvé.

00:59:09 Ah ça y est, alors.

00:59:10 Ça y est, un batteur.

00:59:11 Un batteur ?

00:59:12 Oui, mais pas celui qui clac, clac, clac.

00:59:15 Ah le batteur, l'instrument de cuisine ou le musicien ?

00:59:19 Non, non, le musicien.

00:59:20 Ah le musicien, ben non.

00:59:22 Non, non, non, c'est pas ça.

00:59:24 Je suis désolé, merci Eliane.

00:59:26 Au revoir.

00:59:27 À bientôt, Étienne.

00:59:28 Étienne, est-ce que vous le tenez alors, ce bruit qui court ?

00:59:33 Oui, effectivement.

00:59:35 Alors ce serait quoi ?

00:59:36 Un bruit de planche à roulettes qu'on pose par terre.

00:59:41 Ah le skateboard ?

00:59:45 Le skateboard.

00:59:46 Bon, écoutez, c'est le… c'est la bonne réponse ?

00:59:48 Ah ben non, non, non.

00:59:49 C'est pas ça, merci Étienne.

00:59:51 On rejoue dans une heure, c'est promis avec vous.

00:59:53 Mathias Kern dans ce journal.

01:00:02 On va revenir à des choses beaucoup moins drôles.

01:00:04 Oui, ce drame devant une école maternelle à Paule, à Colle-Marency.

01:00:09 Un enfant de 3 ans est mort, il a été renversé par une voiture hier midi.

01:00:13 On parlera aussi des urgences à Bagnères-de-Bigorne.

01:00:15 On parlera d'ailleurs avec vous au 05 59 98 09 09.

01:00:20 On va parler plus largement de la santé, de l'accès aux soins sur nos territoires.

01:00:24 Vous nous appelez dès maintenant.

01:00:26 Et puis la Coupe du monde de rugby, c'est pour demain l'ouverture.

01:00:29 Oh là là, il y en a qu'à attendre.

01:00:31 Ici Matin, revient dans un instant.

01:00:57 Ici, c'est France Bleu, Béarnes-Bigorne.

01:01:00 Nous sommes le jeudi 7 septembre, il est 8 heures.

01:01:05 Et c'est encore du soleil qui nous attend et de la chaleur.

01:01:13 Il y a peut-être ce matin quelques nuages, mais ce sont des nuages trompeurs.

01:01:17 Cet après-midi, encore des températures qui dépasseront les 30 degrés.

01:01:21 Vous avez la parole, c'est l'espace où vous pouvez donner votre avis.

01:01:26 Et bien sûr, vous pouvez vous inscrire dès maintenant pour participer à notre interactivité.

01:01:31 Tout à l'heure, 05 59 98 09 09.

01:01:34 Mathias Kern, dans ce journal de 8 heures, une cellule d'aide psychologique est mise en place ce matin à l'école Maranciapo.

01:01:42 Il va falloir trouver les mots, les mots pour les enfants, les parents, mais aussi pour l'équipe enseignante.

01:01:47 Après ce drame terrible à la sortie de l'école hier midi, un enfant de 3 ans mort écrasé sous les roues d'une voiture

01:01:54 dans un parking d'une résidence de l'avenue de Buros.

01:01:57 Un choc, évidemment, pour tous les habitants du quartier.

01:02:00 Je me dis, mais ça aurait pu arriver à n'importe lequel d'autre.

01:02:04 On a beau faire attention en tant que parents, grands-parents, qu'on va chercher les enfants,

01:02:08 on a beau faire très, très attention, et puis quand il y a des personnes comme ça qui sont pas...

01:02:12 Je m'en fout, mais quoi.

01:02:14 Alors maintenant, c'est vrai que c'est horrible, parce que pour les expliquer à des gosses qui ont 2 ans et demi, 3 ans dans une classe,

01:02:20 pourquoi leur petit copain, il est plus dans la classe ?

01:02:22 Expliquer maintenant à la maman qui a vu ça, ou aux personnes qui ont vu ça...

01:02:27 Je pense déjà rien que à mon beau-fils qui a vu le petit se faire rouler dessus, quoi.

01:02:32 Je le connais, il va avoir du mal à s'en remettre, quoi.

01:02:35 Je sais pas, il n'y a pas de mots pour expliquer ça.

01:02:37 Les témoignages de Lucie au micro de Justine Clot, elle habite dans cette résidence,

01:02:43 donc juste en face de l'école maternelle Marancille, adjointe à l'éducation de Pau.

01:02:49 Françoise Martel s'est rendue sur place hier.

01:02:51 Les personnels sont choqués, bien évidemment, parce que c'est un enfant qui était déjà dans cette école l'année dernière.

01:02:57 Donc ils le connaissaient, ils connaissent sa famille, ses frères, ses sœurs.

01:03:02 Et évidemment, de toute façon, lorsqu'un enfant disparaît dans des conditions aussi dramatiques,

01:03:09 la douleur, l'émotion, retranspire dans tous les propos et les échanges que l'on peut avoir.

01:03:16 Il va y avoir un accompagnement avec des psychologues qui seront là pour parler avec les enfants,

01:03:21 pour être là avec les enseignants et également avec les agents qui travaillent sur cette école.

01:03:28 Donc tout a été mis en place à la fois par la collectivité et l'éducation nationale.

01:03:32 Et les circonstances précises de ce drame restent à déterminer.

01:03:36 La conductrice du véhicule a été placée en garde à vue hier.

01:03:39 Ce qu'on sait déjà, c'est qu'elle n'avait pas consommé d'alcool ni de stupéfiants.

01:03:43 Vous retrouverez les précisions sur cette affaire sur francebleu.fr.

01:03:47 Dans ce contexte, la préfecture des Pyrénées-Atlantiques a publié hier son bilan concernant la sécurité routière.

01:03:54 Au mois d'août, cinq personnes sont mortes sur les routes du département.

01:03:57 90 blessés également sur un an, c'étant en légère hausse avec une forte implication des deux roues motorisées.

01:04:04 Dans les Yvelines, un adolescent de 16 ans est mort hier soir à l'hôpital.

01:04:08 Il a été grèvement blessé lors d'une course-poursuite avec la police un peu plus tôt dans la journée.

01:04:12 Il aurait refusé de se soumettre à un contrôle.

01:04:15 Il aurait pris la fuite à scooter avant de percuter une deuxième voiture de police.

01:04:19 Un jeune Palois de 20 ans lui est jugé cet après-midi pour avoir roulé sur le pied d'une gendarme.

01:04:25 C'était en voulant échapper à un contrôle au péage de peau.

01:04:28 Il a été interpellé avant-hier et il comparaît pour violences volontaires aggravées.

01:04:33 France Bleu Bernby Gorillez, 8h04, un accident mortel aussi hier en montagne au pic du Midi d'Osso.

01:04:39 Une femme de 72 ans a fait une chute en contrebas d'une cheminée.

01:04:43 Elle était accompagnée de son mari dans ce secteur où il y a plusieurs passages

01:04:46 où il est recommandé d'être assuré de s'encorder pour atteindre ce sommet emblématique.

01:04:51 Malgré l'intervention des secours, cette femme est décédée sur place.

01:04:54 Plus de 500 personnes encore mobilisées pour l'hôpital hier à Bagnères-de-Bigor.

01:04:58 Des habitants, des soignants, des syndicats et des élus également rassemblés.

01:05:03 L'enjeu c'est de sauver le service des urgences qui fonctionne en pointillés depuis des semaines maintenant par manque de médecins.

01:05:08 Depuis dimanche c'est tout simplement fermé, il faut aller à Tarbes en cas d'urgence.

01:05:13 C'est problématique pour Suzy, c'est une habitante de Bagnères.

01:05:17 Je viens pour défendre les urgences parce que je pense qu'il y a un réel problème politique

01:05:22 où le gouvernement fait tout pour casser le service public.

01:05:26 Je trouve ça gravissime, les AVC on ne les soigne plus ici.

01:05:29 Donc un AVC que ce soit sur la vallée de Campan ou même à Bagnères, je pense qu'on y passe.

01:05:34 Alors que normalement si c'est pris dans les 20 minutes, c'est ce que disent les médecins,

01:05:38 ça devrait pouvoir être sauvé sans trop de séquelles.

01:05:41 Donc je pense que l'enjeu est très très important, très grave.

01:05:45 J'espère que tous les élus vont se mobiliser, que toute la population va se mobiliser.

01:05:49 Le délégué syndical parlait de ville morte la prochaine fois, j'espère que ça se fera

01:05:53 parce que les commerçants, tout le monde est impacté.

01:05:55 Les commerçants, les écoles, la population, quand c'est un problème de santé, il est primordial.

01:05:59 Ce service des urgences à Bagnères de Bigorre qui doit en théorie rouvrir ce matin,

01:06:04 on en parle avec notre invité tout à l'heure à 8h15, Wilfried Zapparoli de la CGT Santé et Action Sociale.

01:06:11 Et avec vous aussi ce matin, vous réagissez, vous intervenez sur ce sujet.

01:06:15 Quelle solution, quelle mesure pour améliorer l'accès aux soins sur nos territoires ?

01:06:19 Est-ce que vous vous êtes retrouvés dans une situation délicate comme cela

01:06:23 à cause de ces fermetures à répétition ?

01:06:26 Est-ce que vous vous sentez tout simplement abandonné en quelque sorte par la santé ?

01:06:30 Vos témoignages dès maintenant, vous vous inscrivez, vous réagissez en direct.

01:06:33 Tout à l'heure au 05 59 98 09 09.

01:06:36 Lui a réalisé un exploit pour faire connaître sa maladie.

01:06:39 Est-ce que vous connaissez la BPCO ?

01:06:42 C'est une maladie pulmonaire qui touche tout de même 5 millions de Français,

01:06:46 parfois diagnostiqués tardivement.

01:06:48 Philippe Poncé en souffre, mais il a eu le courage de gravir le col d'Aspen à vélo hier

01:06:52 sous assistance respiratoire.

01:06:54 Il est allé jusqu'au bout à Lourdes.

01:06:56 Cette histoire va inspirer Daniel Corsan dans son billet d'humeur.

01:06:59 Le 6 josé, c'est juste après ce journal.

01:07:01 Les salariés des forges de Tarbes sont appelés à faire grève aujourd'hui.

01:07:05 Cette entreprise de métallurgie qui fabrique des munitions, le carnet de commandes.

01:07:09 C'est pourtant bien ampli depuis le début de la guerre en Ukraine,

01:07:12 mais les employés réclament plus de transparence de la part de la direction

01:07:15 sur les financements de ces futurs projets.

01:07:18 Deux livres dénoncent ce matin les pratiques dans certaines crèches privées

01:07:22 5 mois après la publication d'un rapport de l'inspection générale des affaires sociales.

01:07:26 Ces enquêtes de journalistes dénoncent des logiques de rendement,

01:07:30 des repas insuffisants, des essais qui préduit des enfants

01:07:33 accueillis en nombre plus que prévu initialement face à ces pratiques dénoncées.

01:07:39 Le gouvernement dit vouloir plus contrôler ces structures privées.

01:07:43 La Coupe du monde de rugby débute demain, vous le savez,

01:07:46 et vous pourrez suivre les matchs des Bleus sur France Bleu.

01:07:49 Il y a commencé par ce match de gala, ce match d'entrée,

01:07:52 ce France-Nouvelle-Zélande pour ouvrir le bal, ça promet demain soir

01:07:55 et ça donne des ailes à tous les fans de rugby.

01:07:58 Certains sont même prêts à rechausser les campons cette saison,

01:08:01 reprendre une licence, comme ce club du RC-Bal,

01:08:05 une entente entre Billers et l'Escar.

01:08:08 Moi c'est Franck Larocque, surnom Barbu,

01:08:11 pour les enfants de l'école de rugby, un chabalou.

01:08:15 Parce qu'à l'époque j'avais les cheveux longs et la barbe un peu plus longue,

01:08:18 donc je ressemblais un peu à un chabal.

01:08:20 J'ai repris l'entraînement, c'est dur parce que c'est les choses.

01:08:23 Ça fait 7 ans qu'on a arrêté, c'est pas du tout les mêmes,

01:08:26 et c'est pas facile, mais bon c'est juste une envie.

01:08:30 Je me suis dit c'est peut-être l'année, en plus on monte en région 1 avec le bal,

01:08:34 on monte d'un niveau, et dans la poule on a Monin,

01:08:39 avec qui on est en entente en jeunes,

01:08:41 et comme il y a des jeunes que j'ai entraînés à Monin et au bal

01:08:44 qui montent en senior cette année,

01:08:46 j'ai dit tiens, il y a un petit match mon M-Bal,

01:08:48 petit pari, essayer d'arriver à faire ce match-là.

01:08:51 Voilà, chabalou qui décide donc de revenir sur le terrain à 47 ans.

01:08:56 Avant le rugby, Mathias, il y a quand même du foot ce soir aussi.

01:08:59 Oui, moins de pression tout de même pour ces Bleus-là

01:09:01 qui jouent contre l'Irlande ce soir au Parc des Princes,

01:09:03 match de qualification pour l'Euro 2024.

01:09:06 Tout va bien pour Kylian Mbappé et ses coéquipiers déjà.

01:09:10 4 matchs, 4 victoires là aussi,

01:09:12 ce sera à vivre sur France Bleu, Béarn Bigor.

01:09:15 8h09 sur France Bleu, la météo du jour avec encore de grosse chaleur et du soleil pour aujourd'hui, Eric.

01:09:22 Oui, c'est vrai. Ce matin, vous profitez de la relative fraîcheur,

01:09:26 mais oui, vous nous l'indiquez.

01:09:28 Nicole nous dit 19 à 1 rôle, le ciel est couvert,

01:09:31 mais attention, très très vite, les nuages arrivent.

01:09:33 Nous avons aussi un bonjour de Sylvie.

01:09:35 Bonjour Eric et toute l'équipe, il fait 20 degrés à Arbus, ça va être chaud.

01:09:39 Bonne journée à toute l'équipe de France Bleu, Béarn Bigor, bisous, merci.

01:09:42 Sylvie, pour vos bisous qui nous font très plaisir,

01:09:46 parce que la chaleur, elle sera là cet après-midi.

01:09:49 24 attendus en Valais d'Ausso à La Reims,

01:09:51 32 sur Haulauron, Pau et Tarbes,

01:09:54 et vous avez même 34, comme vous pouvez le vérifier sur la carte,

01:09:57 sur le Canal 33 de France 3 Pau Sud Aquitaine,

01:10:00 34 sur Hortès.

01:10:03 Il est presque 8h10.

01:10:08 Le 6/9, France Bleu, Béarn Bigor, Eric Dreux.

01:10:12 Sophie, Pierre-Idieux, Mathias Kern et toute l'équipe,

01:10:15 et beaucoup de monde sur la route à ce matin,

01:10:17 vous êtes nombreux à Tarbes, je vous le disais, en raison du marché tout à l'heure,

01:10:21 il y aura beaucoup moins de place forcément,

01:10:23 la rue Georges Lasalle est encombrée, on n'avance pas à Tarbes,

01:10:26 la rue du 4 septembre, la rue de Trenès,

01:10:29 le Pouaille à Ibosses aussi, qui affiche complet, on n'avance pas au Pouaille,

01:10:33 la rocate de Pau est saturée de tous les côtés,

01:10:36 l'avenue Didier Dora à Pau, le boulevard du recteur Jean Sarrail,

01:10:39 le boulevard Alsace-Lorraine, sur Buros également,

01:10:42 c'est dur d'arriver à Pau et sur la route de Tarbes à Hydron.

01:10:45 Prenez votre mal en patience, d'autant que dans quelques instants,

01:10:47 il va oser pour nous, c'est Daniel Corsan.

01:10:51 Et puis vous aurez la parole dans quelques instants aussi,

01:10:54 vous vous inscrivez pour participer à notre débat 0559 98 0909,

01:10:59 petit déjeuner, tout va bien, petit café aussi,

01:11:03 pour bien attaquer cette journée de jeudi, avant de s'en aller.

01:11:05 Viens contre moi, viens tout contre moi, viens toucher le bout de mes doigts,

01:11:14 viens sentir le goût de mes lèvres, viens plonger dans l'oubli et le rêve.

01:11:22 Parle-moi, parle-moi d'amour, je veux tes bises et tes velours.

01:11:30 Et ta faute, tout contre ma faute, tu me rends folle, c'est vraiment, vraiment trop.

01:11:39 Mais je dois m'en aller, je ne veux plus t'aimer.

01:11:47 Mais je dois m'en aller, il faut de t'oublier.

01:11:54 C'est encore, c'est encore du pas, quand tu sens l'effet de mon corps,

01:12:21 tu me tiens là jusqu'à l'horreur.

01:12:25 Doucement, dis-moi les mots que j'adore.

01:12:29 Parle-moi, parle-moi d'amour, je veux tes bises et tes velours.

01:12:37 Et ta faute, tout contre ma faute, tu me rends folle, c'est vraiment, vraiment trop.

01:12:46 Mais je dois m'en aller, je ne veux plus t'aimer.

01:12:54 Mais je dois m'en aller, il faut de t'oublier.

01:13:02 C'est encore, c'est encore du pas, quand tu sens l'effet de mon corps,

01:13:11 tu me tiens là jusqu'à l'horreur.

01:13:16 Parle-moi, parle-moi d'amour, je veux tes bises et tes velours.

01:13:24 Et ta faute, tout contre ma faute, tu me rends folle, c'est vraiment, vraiment trop.

01:13:34 Mais je dois m'en aller, il faut de t'oublier.

01:13:45 Mais je dois m'en aller, je ne veux plus t'aimer.

01:13:53 Mais je dois m'en aller.

01:13:55 Niagara, je dois m'en aller à 8h13 sur France,

01:13:58 ne partez pas sans nous avoir envoyé un petit message,

01:14:00 ou participer peut-être à notre débat, le thème ce matin, ce sera Mathias.

01:14:05 Le thème c'est la santé, la santé sur nos territoires,

01:14:08 on en parle avec cette manifestation hier qui a mobilisé du monde à bannir de bigorres

01:14:12 pour se mobiliser pour les urgences, les urgences qui fonctionnent en pointillés là-bas.

01:14:18 Et on en parle avec nous, on parle de santé, plus largement, l'accès aux soins sur nos territoires.

01:14:22 Et vous nous appelez pour témoigner au 0559 98 0909.

01:14:28 Le 6/9, France Bleu Berne Bigorre.

01:14:32 Et c'est le moment qu'on attend pour oser avec Daniel Corsan.

01:14:36 Et si j'osais ce matin, je dirais qu'est-ce qu'il ne faut pas faire aujourd'hui pour se faire remarquer.

01:14:42 C'est l'aventure de Philippe Ponssé qui nous fait dire ça aujourd'hui.

01:14:46 On vous raconte son défi complètement fou ce matin dans nos journaux sur France Bleu Berne Bigorre.

01:14:51 Philippe Ponssé souffre d'une BPCO, une bronchopneumopathie chronique obstructive.

01:14:58 Une pathologie peu connue et pourtant très répandue.

01:15:02 Ils sont 5 millions en France.

01:15:04 Philippe Ponssé et les 4 999 999 autres vivent sous respirateur permanent.

01:15:14 Tous les jours, des bouteilles le suivent pour l'aider à respirer.

01:15:17 Et pour témoigner de son quotidien, il a monté une opération un petit peu folle hier.

01:15:23 Une randonnée à vélo de 70 km de Saint-Larry à Lourdes en passant par le col d'Aspin.

01:15:31 Un truc de fou !

01:15:32 Alors il s'est entraîné, plusieurs dizaines de cyclistes l'ont accompagné dont Bruno Armirail et Claudio Capucci, l'ancien vainqueur du Tour de France.

01:15:41 Des valides pour l'encourager et aussi pour porter ses bouteilles.

01:15:45 Philippe Ponssé est arrivé en haut de l'Aspin en faisant des pauses régulièrement.

01:15:50 Et il est arrivé à Lourdes aussi.

01:15:52 Tout ça pour la cause, pour qu'on en parle.

01:15:55 Et on ose dire ce matin, qu'est-ce qu'il ne faut pas faire aujourd'hui pour se faire entendre ?

01:16:01 Dans ce monde surmédiatisé, pour sortir de l'ordinaire, se faire remarquer dans le tumulte ambiant.

01:16:09 Parler fort pour se faire entendre et dire des choses pourtant évidentes.

01:16:14 Aidez-nous à soulager 5 millions de personnes.

01:16:17 Ou alors ces derniers jours, aidez-nous à ce que les restos du cœur ne mettent pas la clé sous la porte dans 3 ans.

01:16:24 Merci Daniel Corsan.

01:16:26 Vous pouvez vous faire entendre sans hurler forcément, mais oui.

01:16:29 Vous pouvez donner votre avis, la santé.

01:16:32 Ça vous concerne peut-être de près ou de loin les urgences.

01:16:35 Vous nous appelez 05 59 98 09 09. Il est 8h16.

01:16:40 Et dans quelques instants, c'est Wilfried Zapparoli, l'invité de la rédaction, l'invité de France Bleu Béarn.

01:16:46 Bigorre ce matin.

01:16:48 Ici Matin, revient dans un instant.

01:16:53 Le 6/9, ici Daniel Corsan.

01:16:57 Le 6/9, ici c'est France Bleu Béarn Bigorre.

01:17:24 Et vous aurez la parole dans quelques instants.

01:17:28 Vous la prenez au 05 59 98 09 09.

01:17:31 A vos côtés ce matin, l'invité de France Bleu, Mathias Kirn, c'est le secrétaire départemental CGT santé 65, Wilfried Zapparoli.

01:17:39 Bonjour Wilfried Zapparoli.

01:17:41 Bonjour.

01:17:42 Merci d'être avec nous ce matin, au lendemain de cette manifestation à bannière de Bigorre,

01:17:47 alors que les urgences de l'hôpital vivent sous tension, au rythme des fermetures à répétition depuis des semaines maintenant.

01:17:54 Quel est l'enjeu aujourd'hui ? Est-ce qu'une fermeture définitive à terme est envisagée là-bas ?

01:18:00 Nous, la CGT, on le craint maintenant.

01:18:04 On a des revendications pour y pallier.

01:18:07 Notamment, nous ce qu'on demande, c'est vraiment l'autonomie de recrutement des médecins urgentistes sur le site de bannière de Bigorre,

01:18:13 quand l'organisation actuelle ne peut pas y répondre.

01:18:16 C'est-à-dire que c'est très compliqué de recruter des médecins à bannière ?

01:18:20 Pas qu'à bannière, c'est un problème national.

01:18:23 Aujourd'hui, on a des difficultés pour recruter des médecins urgentistes.

01:18:27 Sur le site des Hautes-Pyrénées, c'est géré par l'hôpital de Tarbes, qui est l'hôpital pivot.

01:18:34 Statistiquement, ils préfèrent réserver le personnel médical pour les grandes urgences de Tarbes,

01:18:44 et s'actifier en "bannière de Bigorre".

01:18:48 Donc là, pour qu'on comprenne bien, si un médecin disponible, ça ouvre, si il n'y en a pas, ça ferme ?

01:18:53 Ça marche à peu près comme ça ?

01:18:55 Tout à fait. Aujourd'hui, on est dépendant de ça.

01:18:58 Comme je vous dis, il y aurait peut-être des solutions,

01:19:01 mais pour cela, il faut donner vraiment une autonomie à cet établissement de pouvoir recruter sur ces cas ponctuels.

01:19:07 Les urgences, la médecine, est-ce que vous vous retrouvez confronté à ce problème ?

01:19:12 Vous donnez votre avis, tout simplement, 05 59 98 09 09, on vous attend.

01:19:16 Alors, quand les urgences sont fermées à Bannières, les malades doivent donc aller à Tarbes,

01:19:20 c'est une vingtaine de kilomètres entre Bannières et Tarbes, c'est trop loin pour vous ?

01:19:24 On le sait, il y a des urgences qui sont vitales, chaque seconde est importante.

01:19:31 Donc, à partir de là, dès qu'il y a un éloignement en termes de temps,

01:19:35 de fait, c'est une perte de chance pour la population et le tourisme,

01:19:39 puisque c'est une région qui est basée sur le tourisme.

01:19:42 Hier, on a pu mesurer aussi l'inquiétude des habitants, ils étaient nombreux lors de cette manifestation,

01:19:46 on a compté environ 500 personnes.

01:19:48 Finalement, c'est tout un territoire qui se sent abandonné,

01:19:51 aujourd'hui, comme à une autre époque, avec la maternité d'Oloron en Béarnes.

01:19:56 Oui, tout à fait, ils sentent que ce territoire va être sacrifié au profit de Tarbes,

01:20:04 de la ville pivot sur notre territoire.

01:20:08 Et de fait, ils n'acceptent pas, surtout que toutes les solutions ne sont pas explorées

01:20:13 pour maintenir cet accès aux soins tant essentiel.

01:20:17 Justement, cette solution, vous dites qu'il faudrait que l'hôpital se gère tout seul,

01:20:21 mais est-ce que c'est aussi simple que ça de faire venir des médecins aujourd'hui dans les Hauts-de-Pyrénées ?

01:20:26 C'est un problème national, on a parlé de 150 services d'urgence qui avaient des tensions cet été,

01:20:31 hier, selon le syndicat SAMU Urgences de France.

01:20:35 Pourquoi ils viendraient à Bagnères-de-Bigorre finalement, ces médecins ?

01:20:38 Parce que peut-être que dans l'organisation actuelle,

01:20:42 ils ne se retrouvent pas sur une table lourde Bagnères-de-Bigorre,

01:20:47 parce que je précise que vraiment, c'est une organisation sur trois établissements.

01:20:51 Certains médecins intérimaires ne se retrouveraient pas dans ce dispositif-là,

01:20:55 ils pourraient venir de façon ponctuelle sur un site,

01:20:59 si c'était l'établissement qui organisait ça,

01:21:03 mais pas sur la totalité de l'organisation,

01:21:06 vraiment sur du ponctuel, on reste bien sur une organisation ponctuelle.

01:21:10 Effectivement, au niveau national, vous l'avez dit,

01:21:13 il y a 1013 services d'urgence qui se fermaient au moins une fois pendant la période estivale,

01:21:17 sur cette fin à peu près.

01:21:19 J'ai un message clair à dire au gouvernement,

01:21:21 c'est qu'il arrête de banaliser cette situation de dégradation,

01:21:24 pour justifier une action.

01:21:27 C'est vraiment intolérable et insupportable d'entendre ça.

01:21:30 - Oui, pourtant on a entendu après le Covid,

01:21:33 après cette grande période, que l'hôpital était un enjeu,

01:21:37 qu'il y aurait des moyens mis sur la table,

01:21:39 vous ne les voyez pas venir, vous, dans les Hautes-Pyrénées,

01:21:41 ces moyens, ces promesses, ces enveloppes énormes,

01:21:44 on a parlé de plusieurs millions, même de milliards d'euros.

01:21:48 - En tout cas, moi ce que je constate, c'est qu'au fil des mois,

01:21:51 il y a de plus en plus de services qui ferment,

01:21:53 et des personnels qui quittent le navire.

01:21:56 Donc non, effectivement, pendant la période Covid,

01:21:59 il y a eu un arrêt en focus, parce que toute la population pensait Covid.

01:22:03 Donc effectivement, ces questions de santé sont venues,

01:22:05 et tout le monde a pu s'apercevoir vraiment de l'état de notre système de santé.

01:22:09 Aujourd'hui, on va dire, le quotidien a repris le dessus,

01:22:12 et ces questions-là, elles se retrouvent des fois un peu éloignées.

01:22:17 Mais quand on... les perspectives, moi, elles sont très claires,

01:22:20 je suis vraiment très inquiet, parce que quand on voit

01:22:22 le projet de loi de financier la sécurité sociale,

01:22:24 où on nous annonce déjà des économies,

01:22:26 alors juste pour vous donner un chiffre,

01:22:28 on va nous augmenter le budget de 2,6%,

01:22:32 et quand on fait le lien avec l'inflation qui a plus de 5,6%,

01:22:36 il ne faut pas être fort mathématicien pour comprendre

01:22:38 qu'il va falloir faire des économies au niveau de la santé et de l'hôpital en général.

01:22:41 On parle donc de santé ce matin sur France Bleu, Béarne Bigor.

01:22:45 Est-ce que vous partagez, vous qui nous écoutez ce matin,

01:22:48 les inquiétudes de Wilfried Zapparoli, secrétaire départemental CGT Santé dans les Hautes-Pyrénées,

01:22:54 vous nous appelez au 0559 98 0909, vous réagissez ce matin ?

01:22:59 Est-ce que vous vous êtes retrouvés dans des situations délicates cet été,

01:23:03 ou même avant, dans les hôpitaux ?

01:23:05 Est-ce que vous vous sentez abandonné en quelque sorte sur nos territoires ?

01:23:08 Est-ce qu'il est de plus en plus difficile cet accès aux soins ?

01:23:12 On en parle avec vous dès maintenant, 0559 98 0909.

01:23:17 - Et que vous habitez en Béarne, en Bigor ?

01:23:20 On peut avoir même des témoignages d'infirmiers et d'infirmières,

01:23:23 si vous êtes patient.

01:23:24 Les urgences, les contraintes, la dégradation, vous avez constaté tout cela.

01:23:28 On en parle d'ici quelques instants avec vous.

01:23:31 On parle météo, et oui c'est important aussi,

01:23:33 parce que la météo fait partie de votre vie,

01:23:35 et la chaleur, si vous souffrez de la chaleur, ça va être le cas aujourd'hui encore.

01:23:39 Puisqu'à 8h23, Bernadette Noudil fait 20 degrés ce matin à Sorrentis,

01:23:43 le ciel est clair, excellente journée.

01:23:45 Anne à Air sur la Dour, nous dit que c'est un petit peu baissé par rapport à hier,

01:23:49 il va faire encore chaud, oui.

01:23:50 Christophe, 20 degrés à Pau, le ciel est nuageux,

01:23:54 et très très vite remplacé par du soleil ce matin.

01:23:57 On attend 24 à La Reince, 32 sur Oloron, à Pau et Tarbes, 34 sur Hortès.

01:24:04 - La météo 100% locale, avec les cabinets orthopédiques FLD, à Puyaux, Dax et Florac.

01:24:10 - 8h24, on retrouve dans ce 6/9, Mathias Kern et son invité Wilfried Zapparoli,

01:24:19 secrétaire départemental de la CGT Santé 65.

01:24:22 - Et on vous retrouve vous aussi au téléphone 0559 98 0909,

01:24:27 il reste quelques minutes pour nous appeler pour parler santé,

01:24:30 pour parler justement de ces services d'urgence,

01:24:32 mais aussi peut-être plus largement de vos médecins,

01:24:34 si vous avez des difficultés à trouver un médecin traitant.

01:24:37 Vous nous appelez, dès maintenant, on attend vos témoignages.

01:24:41 - Et en attendant, voici Zaz et Léo Rizzi, ça s'appelle Serendipia à 8h24.

01:24:48 - Sur le chemin de ma quête, je guette les enprises et les à côté.

01:24:55 C'est pas la fin qui m'intéresse, je sais que la vie m'a déjà tout donné.

01:25:02 Sur la route avant tout, sur la route avant tout,

01:25:07 quand je doute et que je prends des cours,

01:25:11 quand je prendrai ma respiration, une destination et je rejoins.

01:25:18 Sola agit iras ea, j'étais certaine de ce que je cherchais.

01:25:25 Si nos adas nos avas si buenos eran,

01:25:29 ce que je ne cherchais pas m'a cromé.

01:25:33 Serendipia, Serendipia.

01:25:37 Sur le chemin de la plaie et de la promesse,

01:25:41 j'ai pris des chaussures et j'ai marché.

01:25:44 Il y a tant de rives et de malaises

01:25:48 que ça pèse sans personne derrière.

01:25:51 C'est l'attitude, c'est l'attitude

01:25:55 de marcher sans penser à l'altitude.

01:25:59 Quand tu vois la sortie,

01:26:02 souviens-toi que le bois est plus grand que toi.

01:26:06 Sola agit iras ea,

01:26:10 mi corazzo sale quando corre.

01:26:14 Si nos adas nos avas si buenos eran,

01:26:18 ce que je ne cherchais pas m'a cromé.

01:26:21 Sola agit iras ea,

01:26:25 j'étais certaine de ce que je cherchais.

01:26:29 Si nos adas nos avas si buenos eran,

01:26:33 ja que vos que te encontrais a ti.

01:26:36 Serendipia, Serendipia.

01:26:40 Serendipia, Serendipia.

01:26:44 Serendipia, Serendipia.

01:26:48 Serendipia, Serendipia.

01:26:52 Sola agit iras ea,

01:26:57 j'étais certaine de ce que je cherchais.

01:27:01 Si nos adas nos avas si buenos eran,

01:27:05 ce que je ne cherchais pas m'a cromé.

01:27:08 Sola agit iras ea,

01:27:12 mi corazzo sale quando corre.

01:27:16 Si nos adas nos avas si buenos eran,

01:27:20 ce que je ne cherchais pas m'a cromé.

01:27:23 Serendipia, Serendipia.

01:27:27 Serendipia, Serendipia.

01:27:31 Serendipia, Serendipia.

01:27:35 Serendipia, Serendipia.

01:27:39 Avec l'accent Serendipia, c'était Zaz et Léo Ritzy sur France Bleu, Berne, Bigorre.

01:27:45 8h27 dans quelques minutes, avant de retrouver le journal de Sophie Péridieu, le journal de 8h30.

01:27:51 On parle santé ce matin, Eric avec Ludovic qui nous appelle ce matin.

01:27:57 Oui bonjour, ma question, je voulais savoir, notre docteur est parti à la retraite,

01:28:03 est-ce normal qu'il ne soit pas remplacé ?

01:28:07 Oui, Wilfried Zapparoli, je rappelle que vous êtes secrétaire départemental CGT santé 65,

01:28:12 ça arrive souvent, comme ça que des médecins ne soient pas remplacés sur le territoire.

01:28:16 Est-ce qu'il y a des solutions à vos yeux ?

01:28:20 Malheureusement cette situation arrive de plus en plus, faute de médecins informés,

01:28:26 et surtout qu'on arrive à rendre attractifs nos territoires.

01:28:32 Effectivement il y a des médecins qui ne sont pas remplacés,

01:28:35 et beaucoup d'usagers, de citoyens se retrouvent sans médecin généraliste.

01:28:39 Donc si on fait le lien avec la crise qui se passe aux urgences,

01:28:43 on est en train de mettre des services d'accès aux soins,

01:28:46 on va attirer des jeunes médecins qui sortent de leur internat,

01:28:51 on va les concentrer sur ces structures-là, parce que c'est plus attractif, mieux payé,

01:28:55 où c'est qu'on peut choisir nos jours de travail,

01:28:59 et ça va mettre en difficulté les territoires pour recruter des nouveaux et des jeunes médecins.

01:29:06 Merci beaucoup d'avoir été avec nous ce matin, Wilfried Zapparoli,

01:29:09 je rappelle que vous êtes secrétaire départemental CGT dans les Hautes-Pyrénées,

01:29:14 en ce qui concerne la santé. Merci à vous, bonne journée.

01:29:17 Il est 8 ans 29, Sophie Péridieu dans ce journal de 8 ans et demi,

01:29:22 on revient à une actualité dramatique hier.

01:29:25 Oui, cet enfant de 3 ans qui a été écrasé à la sortie de son école Maranci à Pau,

01:29:30 on retournera à Tarbes où les salariés des forges sont appelés à la grève,

01:29:35 et puis on parlera de cet exploit réalisé par un homme qui souffre de problèmes respiratoires.

01:29:41 Rendez-vous dans 30 secondes maintenant.

01:29:44 Ici Matin, revient dans un instant.

01:29:47 Tous les jours sur France 3, l'info commence ici, dans votre région.

01:29:54 Retrouvez toute l'actualité dans vos 48 éditions régionales.

01:29:58 Ici 12-13, ici 19-20, multipliez les regards, à la une ce soir en Auvergne,

01:30:04 multipliez les points de vue, en Picardie, en Bourgogne, vivez l'actualité depuis votre territoire.

01:30:10 Ici 12-13 et ici 19-20, toute l'info, vu de votre région.

01:30:15 Tous les jours sur France 3 et sur la plateforme France.tv

01:30:18 Nous sommes le jeudi 7 septembre, bonjour à vous qui venez peut-être de nous rejoindre,

01:30:34 il est 8h30, c'est encore de la chaleur même s'il y a des nuages chez vous.

01:30:38 Le soleil sera là cet après-midi avec des températures chaudes.

01:30:41 On détaille tout cela à la fin de ce journal et bien sûr avec vous sur la page Facebook France Bleu, Berne, Bigor.

01:30:47 Sophie Péridieu le soutient après le drame ce matin à l'école Marroncy à Pau.

01:30:52 Un petit garçon de 3 ans a en effet été écrasé à la sortie de l'école hier midi.

01:30:57 Ça s'est passé sur le parking d'une résidence privée en face du groupe scolaire, donc avenue de Bureaus à Pau.

01:31:02 Les circonstances précises de l'accident restent à déterminer.

01:31:05 La conductrice de la voiture a été placée en garde à vue.

01:31:08 Selon le parquet de Pau, elle n'avait pas consommé d'alcool ni de stupéfiants.

01:31:11 Dans le quartier, bien sûr, l'émotion est immense, comme le confirme l'adjointe à l'éducation de Pau, Françoise Martel, qui s'est rendue sur placière.

01:31:18 Je crois que l'émotion elle est pour tout le monde, pour l'école, le quartier aussi,

01:31:24 et je pense que pour toute la ville.

01:31:26 Pour nous élus, c'est évidemment ce mot qui ressort, c'est l'émotion.

01:31:31 Devant un accident dramatique pour cet enfant et pour toute sa famille.

01:31:37 Trois jours après la rentrée, c'est quand même difficile d'admettre que ce petit bouchon ne va plus être là parmi ses camarades.

01:31:46 Hier après-midi, c'était mercredi, l'école était fermée, mais elle accueillera à nouveau les enfants évidemment ce matin.

01:31:52 Pas question de fermer l'école, au contraire, c'est ce qu'explique François-Xavier Pestel, l'inspecteur d'académie.

01:31:57 C'est important qu'on soit très présent auprès de la famille, autant que faire se peut, mais ça c'est pas d'abord nous.

01:32:03 Mais on le fait à notre mesure, auprès des équipes enseignantes, auprès des élèves,

01:32:08 et donc très concrètement il y aura évidemment une cellule d'écoute mise en place.

01:32:11 Nous on a des personnels, en l'occurrence une psychologue, qui est spécialement formée sur ce type de gestion d'événements traumatiques.

01:32:18 La réaction des élèves est très diverse.

01:32:22 Tous les tout-petits, ils réalisent pas forcément, enfin il faut que la vie continue, parce que la vie continue.

01:32:28 Ça n'empêche pas que nous les adultes, on marque l'émotion, la compassion nécessaire.

01:32:34 Mais pour les enfants, il faut que la vie continue.

01:32:36 Il faut pas nier les choses, ça c'est certain, il faut dire les choses, mais avec les bons mots.

01:32:40 Et les infos sur ce dramatique accident sur francebleu.fr.

01:32:45 Quant à la préfecture, elle a communiqué les chiffres de la sécurité routière pour le mois d'août.

01:32:49 Il y a eu 5 morts sur les routes des Pyrénées-Atlantiques, 76 accidents, tout qui ont fait 90 blessés.

01:32:55 C'est en légère hausse par rapport à août 2022, avec beaucoup de deux roues motorisées représentées dans ces accidents.

01:33:02 De nombreux excès de vitesse également constatés par les forces de l'ordre.

01:33:06 Une femme de 72 ans a fait une chute mortelle au pic du Nid d'Ossau.

01:33:10 Ça s'était passé hier après-midi. Elle était accompagnée de son mari, le médecin du SAM.

01:33:13 Il n'a pu que constater le décès de cette randonneuse.

01:33:16 8h33, 500 personnes ont manifesté hier matin devant l'hôpital de Bagnères-de-Bigor.

01:33:21 Des soignants, des habitants, des syndicats, des élus, tous mobilisés pour dénoncer la fermeture à répétition des urgences cet été.

01:33:28 En l'absence de médecin, nous en parlions tout à l'heure avec notre invité, Wilfried Zapparoli de la CGT Santé et Action Sociale.

01:33:36 Il craint carrément une fermeture des urgences totales et demande une autonomie de recrutement pour des médecins.

01:33:43 Vous retrouverez cette interview sur francebleu.fr.

01:33:46 Les salariés des forges de tarbes appelaient à la grève aujourd'hui.

01:33:49 Une nouvelle fois pour dire leur inquiétude par rapport à l'avenir.

01:33:54 Ils doivent débrayer de 11h à 15h.

01:33:57 Les forges de tarbes, c'est une grosse entreprise de métallurgie qui fabrique des munitions.

01:34:01 Et malgré un mieux, plus de positifs dans le carnet de commandes avec la guerre en Ukraine,

01:34:06 les employés ne savent pas trop où on va.

01:34:09 Ils demandent davantage de transparence de la direction sur les financements des projets futurs.

01:34:14 Explique Josiane Frétier, salariée de l'entreprise depuis l'ère Giat Industries.

01:34:18 Bien sûr qu'il y a un tas de projets.

01:34:20 On voit bien que le conflit en Ukraine fait que la conjoncture nous apporterait de la charge.

01:34:27 Bien sûr qu'il y a un tas de projets.

01:34:29 Mais ce qui nous inquiète, c'est qu'on n'en voit pas la concrétisation sur le site de tarbes.

01:34:34 Tous ces beaux projets, de tous ces beaux volumes, de tout ce qui est annoncé dans la presse,

01:34:38 tout ce qui est développement industriel, tout ce qu'on peut lire dans la presse,

01:34:42 est conditionné par l'obtention d'aides remboursables de l'Etat

01:34:46 et qui ne sont toujours pas effectives à ce jour.

01:34:48 Ça fait plusieurs mois, depuis le début de l'année, qu'on en entend parler.

01:34:51 On a nos évoluts énormes déjà pour 2024-2025.

01:34:54 On n'est pas en position industrielle, matériellement, de pouvoir les assurer.

01:34:58 Donc on est inquiet.

01:34:59 Et les salariés, donc, appel à la grève, protestent aussi contre les poursuites

01:35:04 engagées contre un délégué du personnel qui a réclamé des informations auprès de ses supérieurs, disent-ils.

01:35:11 Cinq mois après la publication d'un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales,

01:35:15 l'IGAS de livres sortant cette fin de semaine,

01:35:18 il dénonce des pratiques dans certaines crèches privées.

01:35:21 Un trop grand nombre d'enfants, des repas insuffisants, des équipes réduites,

01:35:26 des soins minutés. Dans un communiqué, la Fédération française des entreprises de crèches

01:35:31 estime que ces dérives sont des exceptions.

01:35:34 France-Belle-Berne, Bigorne, 9h - 25.

01:35:36 C'est un véritable exploit qu'a réalisé Philippe Poncé hier dans nos Pyrénées.

01:35:40 Alors qu'il est sous assistance respiratoire, il a fait 77 km à vélo pour alerter sur sa maladie.

01:35:47 La BPCO, la bronchopneumopathie chronique obstructive,

01:35:51 c'est une maladie pulmonaire courante en France,

01:35:54 qui touche 5 millions de Français.

01:35:56 Philippe Poncé veut la faire connaître en multipliant les défis.

01:35:59 Hier, c'était du vélo de Saint-Larry-sous-Lens à Lourdes,

01:36:03 en passant par le col d'Aspin. Hugo Osiyou y était.

01:36:05 Pour pouvoir courir l'étape, Philippe Poncé est relié à deux bouteilles d'oxygène.

01:36:09 Une qu'il porte sur le dos et une autre sur le vélo d'un autre coureur.

01:36:13 Il va devoir rester sous assistance respiratoire pendant toute l'étape,

01:36:17 mais ça ne lui fait pas peur.

01:36:18 Voilà, je suis bien entouré, mes équipiers sont là.

01:36:21 Ça va être très violent, très long.

01:36:23 On va faire en sorte d'arriver au sommet, mais ça ne sera pas fini,

01:36:25 puisqu'ensuite, il faudra rejoindre Bagnères, il faudra rejoindre Rastug.

01:36:30 Là encore, ça va être très difficile, et puis Lourdes,

01:36:32 donc on n'est pas au bout, c'est une très longue étape, quand même 77 km.

01:36:35 C'est pour ceux qui sont aussi atteints de la BPCO que Philippe s'impose cette course.

01:36:39 Toutes les précautions sont prises et il faut marquer un arrêt

01:36:42 toutes les 20 minutes pour se ravitailler en oxygène.

01:36:44 Nathan est un des infirmiers du peloton.

01:36:46 Là exactement, on réapprovisionne du coup Philippe avec de l'oxygène.

01:36:50 Et là, on le branche sur une ventilation pour qu'il ait un dévié beaucoup plus important.

01:36:54 La montée du col d'Aspin a été très difficile.

01:36:56 Il a fallu s'arrêter toutes les 10 minutes pour récupérer de l'oxygène,

01:37:00 mais Philippe a tenu bon.

01:37:01 Ça va aller.

01:37:03 Quand on est parti, je sais que c'est ses mains qui sont un peu plus dures que les autres.

01:37:06 Il va falloir qu'on y arrive, vu le vent qu'il y a derrière, on ne peut pas faire demi-tour.

01:37:10 Philippe n'aura pas abandonné, il est parvenu à franchir le col d'Aspin

01:37:14 et est arrivé à Lourdes dans les environs de 17 heures.

01:37:16 Mission accomplie donc.

01:37:18 Il a été accompagné notamment jusqu'à Lourdes par le coureur banniéré Bruno Armirail.

01:37:24 La pression monte à la veille d'envoi de la Coupe du monde de rugby qui se déroule en France.

01:37:29 C'est demain soir avec le premier match France-Nouvelle-Zélande.

01:37:32 Ce sera retransmis sur France Bleu dès 20h avec la cérémonie d'ouverture avant la rencontre choc à 21h15.

01:37:37 On en reparle dans 100% Sport dans quelques instants.

01:37:40 Ce soir, il y a du foot.

01:37:41 Les Bleus sont opposés à l'Irlande.

01:37:43 C'est à 20h45 au Parc des Princes et c'est un match de qualification pour l'Euro 2024.

01:37:48 Ce sera également à vivre sur France Bleu.

01:37:51 Avant de passer à la météo, je crois savoir qu'il va faire très chaud encore, la circulation.

01:38:10 La circulation, il y a du monde aussi. C'est plutôt le rouge.

01:38:13 Ce matin, vous êtes très nombreux sur le boulevard de la Paix à Pau.

01:38:16 On nous annonce que ça n'avance pas sur l'avenue Jean Mermoz, l'avenue de Saragosse, les Allées Catherine de Bourbon, la Rocade de Pau, le boulevard Touras.

01:38:25 Puisque c'est jour de marché à Tarbes, évitez le centre, la place Marcadieu.

01:38:30 Prenez plutôt une navette qui a été faite pour ça si vous allez au marché.

01:38:33 La rue Saint-Jean à Tarbes est saturée ce matin.

01:38:36 La rue du 4 septembre et le boulevard Clos de Debussy.

01:38:40 On va revenir sur la météo. Avec vous, Carmen nous dit 19 à un petit 19 à Mirepex.

01:38:45 Bonne journée à toute l'équipe.

01:38:47 Micheline nous détaille sur la page Facebook France Bleu Bern, Bigorre, la météo.

01:38:51 Elle nous dit que les Pyrénées sont sombres et brumeuses.

01:38:54 Oui, il y a peut-être des nuages chez vous, mais ça nous annonce encore une fois du soleil et de la chaleur pour cet après-midi.

01:39:00 Puisqu'on annonce pour les températures maximales 24 à la Reims.

01:39:05 On dépasse les 32 degrés à l'ombre sur Oloron, Pau et Tarbes et 34 sur Hortèze.

01:39:12 Tous aux abris Sophie, cet après-midi alors ?

01:39:15 Oh ben voilà !

01:39:16 C'est comme ça, on ne peut rien y faire.

01:39:18 Et ce sera comme ça toute la semaine et les 8h39.

01:39:22 Sophie Péridieu et Mathias Kern, vous allez peut-être frissonner dans quelques instants.

01:39:31 Mais ça, c'est l'effet Thierry Sagardoïto.

01:39:35 Il est notre chroniqueur judiciaire et il vous raconte cette semaine l'affaire Jean-Louis Lahr.

01:39:41 C'est "Questions sans réponse", c'est déjà la quatrième partie, le quatrième épisode que nous allons retrouver d'ici quelques instants.

01:39:47 Et puis si vous avez des rougeurs et des démangeaisons, et si c'était une dermite ?

01:39:53 Non pas "Kermite" !

01:39:55 Je croyais une allergie.

01:39:56 Non, "Dermite", on va en savoir plus dans 10 minutes maintenant avec le docteur Kier Zak qui nous rejoint tout à l'heure.

01:40:03 Les Suprêmes avec "Baby Love".

01:40:07 Il est déjà 9h20, ça passe !

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01:42:30 Ça a un son très années 60 et c'est normal quand même.

01:42:37 C'était "Baby Love" avec les Suprêmes dont une certaine Diana Ross.

01:42:41 Il est 8h42, "Questions sans réponses", c'est la nouvelle affaire classée depuis lundi.

01:42:47 Quatrième épisode d'aujourd'hui en compagnie de Thierry Sagardoïto.

01:42:50 Nous sommes le 7 août 1983 et deux gendarmes tombaient sous les balles d'un commando de quatre activistes basques

01:42:57 dans un camping du village landais de Léon.

01:43:00 L'un des fuyards incertain Jean-Louis Lart, originaire du village d'Elet, est introuvable

01:43:04 et certains de ses amis suspectent les forces de l'ordre de l'avoir tout bonnement abattu.

01:43:08 Alors Thierry, que disent les autorités sur cette mystérieuse affaire ?

01:43:12 Côté gendarmerie, le patron de la section recherche paloise, Charles Sands, est formel.

01:43:19 Les écoutes téléphoniques et les indicateurs n'ont rien donné.

01:43:24 Popo a donc disparu des radars de son propre chef.

01:43:28 Une thèse officielle qui ne convainc nullement Gabriel Muesca pour qui,

01:43:32 même s'il était habile et intuitif, Popo n'a pu s'évaporer dans la forêt de Pin.

01:43:37 Le dispositif de recherche déployé peu après le drame était tel qu'il n'a pu passer à travers seul et sans moyens.

01:43:43 Ses frères de lutte pensaient dans un premier temps qu'il s'était planqué quelque part et qu'il faisait le mort.

01:43:49 Mais au fil des mois, ils ont émis une autre hypothèse.

01:43:53 Popo a été localisé, neutralisé par les gendarmes, éliminé et enterré à la sauvette, comme chez les barbouzes.

01:44:01 En avril 1984, Iparet Tarak publie un communiqué qui accuse ouvertement les forces de l'ordre.

01:44:08 Selon l'organisation séparatiste, si Popo en avait réchappé, il aurait donné de ces nouvelles à sa mère.

01:44:15 L'ex-ennemi public, Philippe Bidart, avance quant à lui une hypothèse.

01:44:19 Les gendarmes étaient excédés par le meurtre de l'un des leurs et s'ils ont interpellé Popo,

01:44:24 ils l'ont interrogé brutalement et il en est mort. Ils l'ont fait disparaître, comme ça, sans laisser de trace.

01:44:29 Peu après la fusillade, la police avait placardé partout les photos des suspects en fuite, dont celle de Jean-Louis Lahr.

01:44:37 Elle fut pourtant retirée quelques mois plus tard, comme si la police savait déjà qu'il n'était plus de ce monde.

01:44:43 Des hypothèses à foison, certes, mais qui ne reposent sur aucune preuve tangible.

01:44:49 Lors du procès aux Assises en mars 2000, à Paris, les accusés de la fusillade de Léon tentèrent de percer le mystère,

01:44:57 mais les autorités policières de l'époque restèrent de marbre. Rien à déclarer.

01:45:03 Connaîtra-t-on un jour la vérité ? La suite demain matin, bien sûr, à 9h20 avec Thierry Sagardoïto, sur France Bleu, Béarnes, Bigorne.

01:45:11 Dans quelques instants, le 100% Sport, Sophie Péridieu, on parle badminton, alors.

01:45:14 Oui, c'est ça.

01:45:16 Ici matin, revient dans un instant.

01:45:22 Ce dimanche jeudi soir.

01:45:26 C'est l'un des épisodes les plus marquants du rugby français.

01:45:39 Dax face à Montmarsan en 1963.

01:45:45 Une rencontre qui reste comme l'une des plus belles fêtes dans toutes les têtes.

01:45:49 Quand le rugby tutoie l'exceptionnel.

01:45:52 Le rugby est une fête. Jeudi à 23h05, sur France 3.

01:45:58 Le 6/9, ici, c'est France Bleu, Béarnes, Bigorne.

01:46:16 Et à 8h46, c'est le 100% Sport consacré, vous l'avez compris, au rugby ce matin.

01:46:21 Et c'est bien normal, Sophie Péridieu.

01:46:23 Oui, puisque nous sommes à un peu plus de 24h du coup d'envoi de la Coupe du Monde,

01:46:26 qui se déroule en France.

01:46:28 Et le choc entre le 15 de France et les Néo-Zélandais, les All Blacks, ce sera demain soir.

01:46:32 On connaît depuis hier la composition des Bleus.

01:46:35 Ce sera sans le Béarnais, Antoine Astoy hors groupe.

01:46:37 Sans Jonathan Danty, pas tout à fait remis de sa blessure, remplacé par Yoram Moefana.

01:46:43 Une charnière Mathieu Jalibert, Antoine Dupont.

01:46:46 Le demi de mêlée, irremplaçable capitaine des Bleus, c'est qu'il est attendu au tournant.

01:46:49 On a tous cette responsabilité-là aujourd'hui, de faire quelque chose de grand pour cette Coupe du Monde.

01:46:54 On a tous cette volonté féroce de s'inscrire dans le palmarès de cette compétition.

01:46:59 Chose que personne n'a réussi à faire jusqu'à maintenant.

01:47:02 Et oui, il y a eu une certaine pression parce qu'on est attendus,

01:47:06 parce qu'on a développé un espoir chez les gens depuis 4 saisons maintenant, avec les résultats qu'on a eus.

01:47:12 Mais je pense que la pression est moins élevée que la motivation et l'exigence qu'on se fixe, et notre ambition surtout.

01:47:19 Les fans de rugby prêts à vibrer pour cette Coupe du Monde ?

01:47:22 Et puis ça motive certains même à reprendre le rugby, exemple avec l'histoire de Franck Larocque en Béarnas.

01:47:27 A 47 ans, il a décidé de reprendre une licence de joueur.

01:47:30 Il fait partie du RCBAL, BRAS PT Télescar, depuis des décennies.

01:47:35 Il a été président du club, il a entraîné les enfants maintenant.

01:47:39 Il va revenir sur le terrain, Marion Aquilina.

01:47:42 Pour commencer, on a demandé à Franck Larocque à quel poste il jouait.

01:47:45 Talonneur ou pilier, mais bon maintenant, je ne lance plus très droit, alors je pense que je vais peut-être finir pilier.

01:47:51 Franck Larocque, 47 ans, 1m72, 112 kg.

01:47:55 Et au RCBAL, il a passé plus de la moitié de sa vie à entraîner les cadets.

01:47:59 Il a aussi été président du club.

01:48:01 Pendant 7 ans, il a dû arrêter de jouer pour des raisons de santé.

01:48:04 Mais là, il veut reprendre.

01:48:06 Je me suis rendu compte que j'avais pris un peu de poids et qu'il fallait faire quelque chose.

01:48:09 J'ai trouvé cette solution de reprendre le rugby.

01:48:13 On verra bien.

01:48:14 J'ai dépassé le quintal, il faudrait que je repasse en dessous.

01:48:17 C'est ce que dit Franck Larocque, qui attend quand même son certificat médical.

01:48:21 Et là, il se prépare et ce n'est pas anodin.

01:48:23 Donc là, j'ai repris l'entraînement physique.

01:48:26 Contact un peu, je ne fais pas encore les matchs qu'ils font en fin d'entraînement.

01:48:31 C'est beaucoup de contact.

01:48:32 Le but du jeu, c'est que j'y arrive bien.

01:48:35 Je ne vais pas reprendre de suite non plus.

01:48:37 Je ne serai pas pour les deux.

01:48:38 Parce qu'il y a la Coupe du Monde et j'ai des places.

01:48:40 Je ne serai pas là au mois de septembre.

01:48:42 Jusqu'au 1er octobre, on ne me verra pas sur les terrains.

01:48:44 L'objectif, c'est d'être prêt pour le face-à-face avec Monin.

01:48:47 Parce qu'il connaît des joueurs de cette équipe-là, il en a entraîné certains.

01:48:51 Le rugby, la Coupe du Monde qui démarre demain soir à suivre sur France Bleu.

01:48:57 Tout comme le foot ce soir.

01:48:59 C'est un match de qualification pour l'Euro 2024.

01:49:02 Les Bleus face à l'Irlande au Parc des Princes.

01:49:04 Ça sera à 20h45 après 4 matchs et 4 victoires.

01:49:08 Un nouveau succès ce soir.

01:49:09 Les Français seraient presque déjà qualifiés pour l'Euro l'été prochain.

01:49:13 100% sport avec Energy DCI.

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01:49:23 Il est 8h49 depuis quelques jours.

01:49:28 Vous avez rendez-vous maintenant tous les matins avec le Dr Kierzek.

01:49:32 Qui vous donne plein de conseils, plein d'astuces.

01:49:35 Pour que vous vous sentiez mieux dans votre corps.

01:49:38 Alors Dr Kierzek, ce matin, on vous retrouve sur notre antenne.

01:49:42 Et gros problème sur notamment la peau.

01:49:45 Vous savez, c'est pas très agréable.

01:49:47 Il y a des rougeurs et des démangeaisons sur le cuir chevelu ou le visage.

01:49:50 Est-ce que c'est grave ou pas alors ?

01:49:52 Bonjour. Alors grave ou pas grave, ça seul votre médecin ou un dermatologue va pouvoir vous le dire.

01:49:56 Mais généralement les rougeurs ou les démangeaisons sont plus gênants que graves.

01:50:01 Et ce sont les symptômes de différentes infections cutanées.

01:50:04 Mais notamment la dermite, cette fameuse dermite ou dermatite qui est une inflammation de la peau.

01:50:09 Et qui peut être en rapport avec des allergies, une irritation ou encore des infections.

01:50:14 La peau est rouge, ça démange.

01:50:16 Parfois il y a même des squam ou des pellicules.

01:50:18 La dermite séboréique en particulier, c'est le cuir chevelu qui démange.

01:50:22 Et ça peut être responsable des pellicules.

01:50:23 La peau est sèche, elle est sensible.

01:50:25 Alors je parlais de la dermite séboréique.

01:50:27 Mais il y a aussi la dermite liée à l'atopie, à l'allergie.

01:50:30 C'est ce qu'on appelle l'eczéma qui est souvent héréditaire et allergique.

01:50:34 Mais la dermite séboréique, surtout quand on a passé une bonne période de vacances

01:50:38 et qu'on reprend avec le stress de la rentrée, c'est souvent lié au stress.

01:50:42 Ah d'accord, dû au stress alors docteur ?

01:50:45 Non, le stress va aggraver la situation.

01:50:48 Ça n'arrange pas la situation, ça déclenche ou ça aggrave les symptômes.

01:50:51 Mais la dermite séboréique en réalité elle est liée à un champignon.

01:50:54 Ce champignon, il va être traité par des antifongiques.

01:50:58 Quand il y a un champignon, on va le traiter par un médicament antifongique ou un shampoing.

01:51:02 Donc si vous avez le cuir chevelu qui gratte, il y a des petits conseils à respecter.

01:51:06 Lavez-vous régulièrement les zones touchées avec ce shampoing ou ce nettoyant doux.

01:51:10 Et votre médecin va pouvoir vous prescrire ce médicament antifongique

01:51:14 que vous allez utiliser entre les différents shampoings que vous achetez par exemple en pharmacie.

01:51:19 Et puis dans les autres conseils, il faut éviter les facteurs aggravants.

01:51:22 Et le stress en fait partie, donc la gestion du stress va être capitale.

01:51:26 Pratiquez des techniques de gestion du stress, la méditation, le yoga, la relaxation.

01:51:31 Moi j'adore l'auto-hypnose, on en parlera très prochainement.

01:51:34 Et puis il faut éviter aussi les facteurs aggravants, tout ce qui est agressif pour le cuir chevelu.

01:51:38 Et dans les agressions, il y a aussi la consommation d'alcool ou de toxiques.

01:51:42 Ça c'est pas très bon parce que de l'intérieur vous allez un peu vous intoxiquer.

01:51:46 Alors c'est surtout pas contagieux, c'est juste un peu embêtant.

01:51:49 Mais si vous voyez quelqu'un qui se gratte, parlez-lui en, proposez-lui ces techniques.

01:51:53 Proposez-lui éventuellement d'écouter cette chronique. Et en attendant, portez-vous bien.

01:51:56 Portez-vous bien, c'est pas faux.

01:51:58 Le Dr Kierzek que vous retrouvez chaque matin à 9h moins 10.

01:52:02 Ah ce bruit qui court depuis quelques jours, il nous pose des problèmes.

01:52:12 Alors on est là, puisqu'on ne connait pas la réponse.

01:52:14 Tiens, rassurez quand même nos téléspectateurs et nos auditeurs aussi.

01:52:17 On ne connait pas, Eric Benthard ne connait pas non plus la solution.

01:52:20 Non, pas du tout.

01:52:22 Eric Benthard, il n'a même pas le droit à la parole.

01:52:25 Non mais moi j'ai renoncé, en tout cas, si ça vous intéresse.

01:52:29 Parce que normalement je ne suis pas censé parler à mon aubeur.

01:52:31 J'ai renoncé, vous non plus, vous n'avez pas trouvé Eric.

01:52:33 Non, je ne renonce pas, on essaie de trouver, on cherche quand même.

01:52:35 Allez tous ensemble, écoutez bien, écoutez bien ce bruit qui court.

01:52:40 50 euros à gagner si vous avez une petite idée, allez-y.

01:52:44 Voilà ce clac, clac, clac, clac, enfin.

01:52:50 C'est agaçant.

01:52:52 Oui c'est agaçant parce que on ne sait pas.

01:52:54 Vous allez peut-être nous aider maintenant en composant le Eric.

01:52:57 05 59 98 09 09

01:53:00 Ah c'est pour ça que vous êtes là alors.

01:53:02 Juste pour vous expliquer.

01:53:04 C'est très bien.

01:53:05 La spikrine.

01:53:06 Il faudrait une perruque peut-être, mais ils oseraient pas.

01:53:08 La spikrine, tout de suite.

01:53:10 Le bruit qui court sur France Bleu Bernby Gore.

01:53:14 Yves, saurez-vous le reconnaître ?

01:53:16 Appelez-nous maintenant 05 59 98 09 09

01:53:21 France Bleu Bernby Gore, à votre service.

01:53:27 Avec Anna Luciani et Eric Benta.

01:53:29 Et oui, Anna Luciani, que nous retrouvons.

01:53:32 Bonjour Anna.

01:53:33 Bonjour Eric, comment ça va ?

01:53:35 Eh bien écoutez, ça va bien, je ne vous vois pas, mais ça va bien.

01:53:38 Oui, je vais bien aussi, j'accueille mes invités qui vont arriver là.

01:53:42 Il y a un petit peu de retard, mais il n'y a pas de souci.

01:53:44 C'est normal, attendez, j'ai annoncé plein d'embouteillages partout.

01:53:47 C'est pour ça, il y a eu la rentrée entre temps.

01:53:50 Il y en a qui ne sont pas encore au courant qu'il y a eu la rentrée.

01:53:53 C'est peut-être ça, l'histoire.

01:53:55 Oui, c'est peut-être ça, ça bouchonne pas mal.

01:53:57 Quand on change nos habitudes de circulation,

01:53:59 "Ah ben tiens, les voilà, je les vois arriver, donc il n'y a pas de souci."

01:54:02 C'est bien les bons.

01:54:03 J'espère, oui, c'est les bons.

01:54:05 C'est bon.

01:54:07 Elles ont tout de sourire, elles ont même des sacs à dos.

01:54:11 Peut-être qu'elles ont apporté des produits pour consommer local.

01:54:15 En tout cas, on va découvrir tout ça dans quelques instants.

01:54:17 Oui, alors Eric Quebantard, on parlera de ?

01:54:20 On va parler de l'usage de cet amap.

01:54:22 À quoi ça sert ? Avec un témoin, c'est Agnès Lafaille.

01:54:25 Les amaps, c'est pratique pour pouvoir avoir des fruits, des légumes de saison.

01:54:29 Et puis aussi, peut-être pour faire des économies.

01:54:32 On va voir avec Agnès, qui va témoigner de l'amap de Bernadette,

01:54:36 si ça lui permet de payer moins cher, ses fruits et ses légumes.

01:54:39 Parce que le problème, c'est que dans ces conneries, il faut aussi un peu cuisiner.

01:54:42 Ah voilà.

01:54:43 Alors, on adore manger.

01:54:45 Ce n'est pas un problème.

01:54:46 Justement, si ce n'est pas un problème, Sophie,

01:54:48 appelez-nous pour témoigner au 0559 98 0909.

01:54:51 Parce qu'on attend aussi vos témoignages.

01:54:53 Est-ce que vous utilisez des amaps, ou la cognette de l'araignant,

01:54:56 ou les jardins de Bigorre dans l'Aude-Pyrénée ?

01:54:58 Vous êtes un utilisateur.

01:55:00 Pourquoi c'est utile pour vous, 0559 98 0909 ?

01:55:05 Et puis après, dans Bienvenue chez vous, Anna, on va parler de vin ?

01:55:10 Oui, de vin et de spiritueux, avec un concept original.

01:55:13 Ça s'appelle Wine Wonder.

01:55:15 Wonder, ça veut dire vagabondage.

01:55:17 C'est quelqu'un qui est bien voyagé, qui est allé à travers le monde,

01:55:20 et qui a ramené plein d'idées, et surtout, plein de produits.

01:55:23 Et aussi, c'est Pauline Usabiaga, qui sera avec nous.

01:55:27 Et puis, ça déménage, Wine Wonder.

01:55:29 On va découvrir la nouvelle adresse, et on va découvrir le concept aussi,

01:55:32 à partir de 10h.

01:55:33 Et vous pourrez gagner 40 euros de bande achat

01:55:35 pour les marchés des producteurs de pays.

01:55:37 Et 50 euros maintenant, alors, tout de suite.

01:55:40 Il n'y avait pas une chanson de Michel Delpech qui s'appelait "Wine is Wine" ?

01:55:51 Oui, c'est ça, c'est pas tout à fait pareil.

01:55:53 Bon, alors...

01:55:54 White is white.

01:55:56 Alors, ce bruit qui court a peut-être inspiré Cathy, que nous retrouvons.

01:56:01 Bonjour Cathy.

01:56:02 Bonjour.

01:56:03 Alors, ce serait quoi pour vous ?

01:56:05 Quand je ferme la ceinture de sécurité de ma voiture, j'ai l'impression que c'est ce bruit.

01:56:10 La ceinture de sécurité, est-ce que c'est la bonne réponse ?

01:56:14 Ah non !

01:56:15 Bon, ben non.

01:56:16 C'est dommage.

01:56:17 C'est dommage, oui.

01:56:18 C'est peut-être que la ceinture de Cathy a fait ça aussi, vous avez bien...

01:56:20 Non, mais en tout cas, c'est pas la bonne réponse de notre bruit qui court.

01:56:23 Merci Cathy.

01:56:24 Merci à vous, bonne journée, au revoir.

01:56:26 Bonne journée, on va voir si Gilles est plus inspiré ce matin, alors.

01:56:29 Oui, bonjour.

01:56:30 Gilles, bonjour.

01:56:31 Bonjour.

01:56:32 Alors, Gilles, c'est pas ça, me dit-on.

01:56:46 Bonne journée à bord.

01:56:47 Merci Gilles.

01:56:48 Merci beaucoup.

01:56:49 Raymond va peut-être gagner les 50 euros de carte cadeau, si c'est la bonne réponse

01:56:54 forcément.

01:56:55 Raymond, alors.

01:56:56 Oui, bonjour.

01:56:57 Alors.

01:56:58 C'est pas ça non plus.

01:57:01 Oh là là, mon Dieu.

01:57:04 Raymond, bon, solution de...

01:57:07 Une petite consolation quand même.

01:57:10 Petite consolation, on joue dans une heure avec Anne-Lucie Annie.

01:57:13 Bon, mais on recommencera.

01:57:14 Exactement, c'est important.

01:57:15 Bonne journée.

01:57:16 Bonne journée, merci.

01:57:17 Est-ce que tu fais un petit peu de musique ?

01:57:18 Oui, merci.

01:57:19 Est-ce que tu fais un petit peu de musique ?

01:57:20 Oui, merci.

01:57:21 Est-ce que tu fais un petit peu de musique ?

01:57:22 Oui, merci.

01:57:23 Est-ce que tu fais un petit peu de musique ?

01:57:24 Oui, merci.

01:57:25 Est-ce que tu fais un petit peu de musique ?

01:57:26 Oui, merci.

01:57:27 Est-ce que tu fais un petit peu de musique ?

01:57:28 Oui, merci.

01:57:29 Est-ce que, Tiffan, nous pouvons réécouter vite ce bruit ?

01:57:30 Qui court ?

01:57:31 Oui ?

01:57:32 Non ?

01:57:33 Clac, clac, clac.

01:57:34 Allons-y alors.

01:57:35 Le bruit qui court.

01:57:38 On va remercier, on va dire merci quand même à nos téléspectateurs de France 3 pouces

01:57:43 Sud, à Kitten, les programmes continuent sur France Bleu, bien entendu, vous restez avec

01:57:47 nous.

01:57:48 Mais pour les personnes qui ont pu nous voir à la télévision, merci Sophie Perridieu.

01:57:52 Oui, à tout à l'heure.

01:57:53 Bah, à tout à l'heure, mais merci quand même.

01:57:56 Et puis, Mathias Kern, merci beaucoup.

01:57:58 Merci à vous.

01:57:59 On vous souhaite une très bonne journée, restez bien à l'écoute des programmes de

01:58:03 France Bleu.

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