C'est sans doute une des arrivées les plus surprenantes dans l'équipe de TPMP, celle de Jacques Cardoze, ancien présentateur de Complément d'enquête et qui fut pendant de nombreuses années les correspondant de France 2 aux USA. Hier soir, pour sa première, il a montré ses capacités évidentes à maîtriser l'actualité et à intervenir dans les débats de société avec de vrais arguments.
Mais surtout, il a confirmé dès le début de l'émission, que c'est lui qui avait appelé Cyril Hanouna pour participer à l'émission. Et il a même pris la parole, pourquoi il avait fait ce choix, en forme de pieds de nez à tous ceux qui veulent donner des leçons à la télé:
"Moi, ce que je trouve génial, c'est ta capacité à écouter" a-t-il tout d'abord lancé à Cyril Hanouna. Puis il ajoute : "On est dans une période où on donne beaucoup de leçons. La presse donne beaucoup de leçons. Mais moi, des émissions où tu passes 2h30 à parler de société, à parler de différents sujets. Et avec le sourire si possible, je n'en connais pas beaucoup et en plus tu le fais avec beaucoup de gens.
Il y a quelque chose que je ne supporte pas à la télé, c'est les donneurs de leçons. Il y a la grande télé, celle qui a une grande réputation, qui est respectueuse, et puis il y a l'autre. C'est ce qu'on dit sur la place de Paris, mais moi je n'aime pas ce discours-là. Donc je suis très heureux d'être là. Merci à toi"
Mais surtout, il a confirmé dès le début de l'émission, que c'est lui qui avait appelé Cyril Hanouna pour participer à l'émission. Et il a même pris la parole, pourquoi il avait fait ce choix, en forme de pieds de nez à tous ceux qui veulent donner des leçons à la télé:
"Moi, ce que je trouve génial, c'est ta capacité à écouter" a-t-il tout d'abord lancé à Cyril Hanouna. Puis il ajoute : "On est dans une période où on donne beaucoup de leçons. La presse donne beaucoup de leçons. Mais moi, des émissions où tu passes 2h30 à parler de société, à parler de différents sujets. Et avec le sourire si possible, je n'en connais pas beaucoup et en plus tu le fais avec beaucoup de gens.
Il y a quelque chose que je ne supporte pas à la télé, c'est les donneurs de leçons. Il y a la grande télé, celle qui a une grande réputation, qui est respectueuse, et puis il y a l'autre. C'est ce qu'on dit sur la place de Paris, mais moi je n'aime pas ce discours-là. Donc je suis très heureux d'être là. Merci à toi"
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00:00 et ensuite, on s'est kiffé, on a pris un verre ensemble,
00:03 on s'est parlé, on s'est appelé derrière,
00:04 et tout de suite, c'est vrai que ça n'a pas traîné,
00:06 au bout de cinq minutes, je t'ai dit "c'est bon, c'est bon, tu viens".
00:11 Moi ce que je trouve génial, c'est ta capacité à écouter,
00:15 l'échange qu'on peut avoir ici, le débat,
00:18 parce qu'on est dans une période où on donne beaucoup de leçons,
00:21 la presse donne beaucoup de leçons,
00:23 mais moi des émissions où tu passes deux heures et demie
00:25 à parler de société, à parler de différents sujets,
00:28 et avec le sourire si possible, j'en connais pas beaucoup,
00:31 et en plus tu le fais avec beaucoup de gens,
00:33 et puis en plus tu sais, moi,
00:37 il y a quelque chose que je ne supporte pas à la télé,
00:39 c'est les donneurs de leçons.
00:41 Il y a la grande télé, celle qui a une grande réputation,
00:46 qui est respectueuse.
00:47 Qui n'est pas regardée.
00:49 Et puis il y a l'autre.
00:50 C'est ce qu'on dit, sur la place de Paris.
00:53 Mais moi je n'aime pas ce discours-là.
00:54 Pour moi, on doit respecter tout le monde,
00:56 et j'aime tout le monde,
00:59 et tu m'as offert cette occasion de pouvoir être ici,
01:03 et de pouvoir parler, de débattre.
01:05 J'aime la contradiction, donc je suis très heureux d'être là.
01:07 Merci à toi.
01:07 - On est très content de t'avoir avec nous.
01:08 Jacques Cardos qui t'attend là.
01:09 - Bravo !
01:10 - Merci mon Jacques.
01:11 Allez !