• l’année dernière
Ayant tenu toutes ses promesses, la 6e étape du Tour d'Espagne a été remportée par l'impresionnant Sepp Kuss, qui s'est montré le plus costaud d'une échappée composée initialement d'une quarantaine de coureurs ! Victorieux en solitaire, l'Américain de la Jumbo-Visma a devancé deux Français, Lenny Martinez (Groupama-FDJ) ayant pris la deuxième place à 26 secondes et Romain Bardet (Team dsm firmenich) la troisième à 31". Membre de l'échappée le mieux placé au classement général, Lenny Martinez s'empare du maillot rouge, les cadors ayant coupé la ligne près de 3 minutes après le vainqueur du jour. Quel début de Vuelta de rêve pour celui qui n'est âgé que de 20 ans et dispute le premier Grand Tour de sa carrière ! Les favoris de ce 78e Tour d'Espagne se sont expliqués dans les 5 derniers kilomètres de la montée finale, et le perdant du jour se nomme Remco Evenepoel ! Le Belge de la Soudal Quick-Step a coincé lorsque Primoz Roglic (Jumbo-Visma) s'est dressé sur les pédales et a concédé une trentaine de secondes au Slovène, ainsi qu'à Jonas Vingegaard, revenu sur son coéquipier avec un temps de retard. Les deux coureurs de la Jumbo-Visma ont franchi la ligne ensemble.

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Transcription
00:00 Pas mal. J'étais bien, mais je n'ai pas pu accélérer comme les autres.
00:09 J'ai dû garder mon rythme et au final, j'ai été 30 secondes plus lent que les meilleurs.
00:16 Je ne me sentais pas vraiment tout à l'extérieur. C'était plus un effort de contrôle.
00:22 Mais je ne pouvais pas passer cette limite.
00:25 Il y a quelques jours comme ça et aujourd'hui, c'était mon tour.
00:30 Sans avoir les meilleurs pieds.
00:33 On dirait que tu as trouvé ton rythme dans les deux ou trois dernières kilomètres. Est-ce vrai ?
00:37 Oui, je pouvais accélérer dans les deux dernières kilomètres.
00:40 C'était un peu bizarre, un peu de...
00:43 Disons, un mauvais moment. La course était vraiment difficile.
00:48 Je crois que je devais trouver mon rythme.
00:52 Je devais me rétablir un peu.
00:55 La bonne chose, c'est que je pouvais accélérer dans les deux dernières kilomètres.
00:58 J'avais encore quelque chose à faire dans les dernières 500 mètres.
01:01 Mais comme je l'ai dit, si c'était un mauvais jour, c'est ok.
01:06 As-tu eu des souffrances à l'épreuve de la course ?
01:09 Non, pas vraiment.
01:12 Je commence à ressentir des jambes lourdes quand la course a été arrêtée.
01:18 On a eu un moment facile.
01:21 C'est là que j'ai commencé à ressentir des jambes plus lourdes.
01:25 Espérons que ce soit l'un des meilleurs jours de ces trois semaines.

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