Saint-Lizier. Un final grandiose pour les "Grands Rendez-vous" de Marie Cantagrill

  • l’année dernière
Saint-Lizier. Un final grandiose pour les "Grands Rendez-vous" de Marie Cantagrill "Je suis vraiment très heureuse du succès remporté par tous les concerts. Le public a répondu présent, et nous avons eu à chaque fois un accueil chaleureux et attentif. Alors, puisqu’on est heureux, vivement l’an prochain !". Pour le final du festival "Les Grands Rendez-Vous", porté par la violoniste Marie Cantagrill, la cathédrale était comble dimanche dernier. Cette nouvelle édition avait débuté le 12 août, avec un époustouflant duo violon-piano avec Eloise Urbain. Et lors de l’interprétation magistrale des "Quatre saisons" de Vivaldi, la violoniste toujours souriante et non sans humour, a donné les clefs au public pour qu’il puisse s’ouvrir aux subtilités de ce célèbre concerto, mais finalement peu connu dans toute sa complexité et sa dimension narrative. "Vivaldi utilise de nombreux effets, déjà largement employés dans l’opéra, un genre dont il maîtrise à la perfection les codes", a-t-elle expliqu

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Transcript
00:00 [Musique]
00:16 Je suis frère avec Trish Heureuse du succès de la récompense de la part de Sless Concerts.
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00:23 Le public a répondu présent et nous avons c'est une agréable fois une accueille heureux et tentative.
00:28 [Musique]
00:31 Alors, je suis Frère Heureuse, je suis très heureux et heureux.
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00:37 Pour le final du festival Les Grands Rendez-Vous, pour le parrain violoniste Marie Cantagriol,
00:42 la cathédrale est à l'écoute de l'émanciper.
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00:48 Cette nouvelle édition a va débuter le 12 avril avec une épisode flamboyante du violon piano avec Eluzer Baïna.
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00:57 Avec l'interprétation magistrale des quadricensons de Vivaldi,
01:01 la violoniste tournée sur Yann Tertron-Sandmauer a donné les clés sur public pour créer au public sa souffrance
01:07 subtile et décessive de concerto mais finalement n'a pas connu d'instaurations complexes et de sédiments généraux.
01:13 [Musique]
01:16 Vivaldi utilise de nombreux effets, déa la chaîne temporelle sans scène opéra,
01:21 un genre dont il m'intrige dans la perfection des codes à théâtre explique.
01:25 [Musique]
01:28 Marie Cantagriol est l'orchestre de Jean-Pierre Déjariche et on se donne l'excès de bretoutes, les finesses et l'oeuvre,
01:34 tout en conservant son intensité.
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01:38 Et à également présent l'Ouest de ce concert-événement,
01:41 le compositeur Jean-Christophe Rozas-Cellarade y a donné de sèches compositions sans sons.
01:46 [Musique]
01:49 Marie Cantagriol a déailleur synthétisé en première mondiale.
01:53 [Musique]
01:55 C'est toujours intéressant d'y avoir l'oeuvre en présence du créateur,
01:59 car on est sûr qu'il sait le son de communauté.
02:02 [Musique]
02:04 Les compositeurs disparaissent, on fait de notre mieux,
02:07 mais c'est évidemment une époque sauf pour les écrits et pensées, à théâtrisme et avant.
02:13 [Musique]
02:15 En autre cas la violoniste Sera un concert de 16 septembre prochain,
02:19 elle utilise de moins théâtrique.
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02:24 Nous interprétons en nouveau les quatres sons.
02:27 [Musique]
02:29 Nous offrons également des aris jaunes, une oeuvre contemporaine pour violon-set-cordes,
02:35 créé par le compositeur espagnol Javier Armenter, intitulé Aris.
02:39 [Musique]
02:42 Une pièce écrite en 2016, loge d'une résidence théâtrique.
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