Un test de "nage en eaux libres" devait avoir lieu ce vendredi 4 août dans la Seine, mais a été reporté à cause d'une pollution du fleuve trop importante.
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00:00 Sauf qu'il y a une cuve de rétention qui est en train de se construire de 50 mètres de diamètre, 30 mètres de profondeur,
00:05 50 000 mètres cubes, environ 20 piscines olympiques qui vont justement résorber de manière très forte
00:11 cette problématique de déversement des eaux pluviales.
00:14 Donc il ne devrait pas y avoir ce problème pendant les Jeux olympiques.
00:16 Maintenant, l'autre aspect à prendre en compte, c'est qu'on reste en milieu naturel extérieur.
00:20 Et ça, ça peut arriver dans n'importe quel endroit du monde.
00:23 On est sur une pratique sportive en extérieur.
00:26 Orages, tempêtes, ouragans, ce sont des choses qui peuvent arriver. Et ça aussi, Paris 2024 l'a prévu avec une contingence,
00:31 c'est-à-dire un report de la compétition si jamais il venait à y avoir ce type de problème à l'avenir.
00:37 Mais la Seine, ce n'est pas une piscine qu'on peut nettoyer. Le monde entier aura les yeux rivés sur nous.
00:41 Il faut rester ambitieux. Mais réellement, est-ce qu'on a un plan B ?
00:46 Alors, il n'y a pas de plan B pour l'instant. Il n'y a pas de plan B.
00:48 Justement, ce type d'épreuve sert aussi à analyser un petit peu toutes les situations
00:53 et toutes les possibilités d'organisation qui ont été émises.
00:57 La Fédération française de natation, Gilles Cézionnal, notre président, est très vigilant sur ce sujet.
01:01 Et croyez bien qu'on va suivre ça de très très près.
01:03 - Laurent Valdiguay, je ne sais pas si vous voulez réagir sur la pollution de la Seine,
01:07 mais on va parler de la sécurité, en tout cas à un an des Jeux olympiques.
01:13 Parce que Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, a demandé...