• l’année dernière
Plus de vidéos sur cette chaîne : https://odysee.com/@leGrosMalin:d
Transcription
00:00 [Musique]
00:12 Très bien, j'en viens directement au sujet.
00:15 Je me suis posé des questions pendant 14 ans sur cette affaire-là,
00:19 et j'ai travaillé très dur pendant 6 ans au moins.
00:23 J'ai essayé de résumer en une phrase de 60 mots le résultat de mes recherches.
00:28 Je vais vous donner cette phrase de 60 mots.
00:31 Je vous préviens, elle ne m'est inspirée par aucune sympathie ou antipathie politique.
00:37 Alors voici.
00:39 Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs
00:45 forment un seul et même mensonge historique
00:48 qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière
00:53 dont les principaux bénéficiaires sont l'État d'Israël et le sionisme international
00:59 et dont les principales victimes sont le peuple allemand, mais non pas ses dirigeants,
01:04 et le peuple palestinien tout entier.
01:07 J'en ai terminé avec ma phrase de 60 mots.
01:10 [Musique]
01:19 Nous revoici pour cette deuxième partie d'émission spéciale toujours.
01:24 Enfin, essentiellement, c'est pas la première partie qui est spéciale.
01:27 Le format est différent, mais c'est la deuxième partie qui est spéciale.
01:30 C'est le départ pour, je veux le croire, Avalon, mais ça c'est le celte qui parle,
01:39 de Robert Faurisson.
01:42 Moi je ne prends jamais les départs des personnes comme étant quelque chose de négatif, jamais.
01:47 Ça veut pas dire qu'on a pas un petit coup de mou, hein.
01:50 Mais je pense que c'est simplement un passage.
01:54 C'est ma conception des choses.
01:57 Donc je ne perçois pas le départ de Robert Faurisson comme quelque chose de triste en soi.
02:01 Je crois que...
02:04 Je le confesse, j'ai regardé la vidéo d'Alain Soral,
02:07 on a beaucoup de griefs contre Alain Soral, on a même fait une émission contre Alain Soral.
02:11 Enfin, contre, critiquant certaines positions d'Alain Soral,
02:14 mais dans la vidéo qu'il a accordée sur Robert Faurisson,
02:18 il y avait des éléments très bons, très justes.
02:21 Notamment, j'ai beaucoup aimé quand il a dit qu'il y avait chez Robert Faurisson un côté christique.
02:26 Je suis absolument d'accord.
02:28 Mais totalement d'accord avec ce propos.
02:31 Robert Faurisson ayant face à lui la synagogue, exactement comme le Christ,
02:38 les insultes, les crachats, les menaces de vent fuir, etc.
02:43 Les coups, oui.
02:46 Seuls contre tous.
02:50 Mais portant la vérité, je ne vois pas d'autre terme que le mot "christique".
02:55 Chrétien ou pas chrétien.
02:58 Et j'ai trouvé ce mot excellent de la part d'Alain Soral.
03:01 Ce n'est pas du tout une validation par ailleurs des thèses politiques d'Alain Soral,
03:04 sur toute une série d'autres sujets, mais sur ce point très précis,
03:07 c'était le mot juste, ça m'a beaucoup touché.
03:11 Quand il a dit ce terme-là, c'était le bon terme.
03:14 Et j'ai bien aimé aussi le passage quand il a parlé de la virilité de Robert Faurisson.
03:19 Il a dit "c'est un petit bonhomme, friable, etc.
03:22 mais qui est d'un courage intérieur absolument gigantesque, je ne peux pas dire mieux".
03:28 Pareil, je ne peux pas dire mieux, je n'ai pas les meilleurs termes.
03:31 C'est ça, c'est le courage absolu contre tous les menteurs, les falsificateurs,
03:35 les vrais faussaires qui sont en face, bien sûr.
03:38 Donc, le départ de Robert Faurisson qui est parti dans l'humilité absolue.
03:46 Les gens doivent comprendre, ceux qui nous écoutent,
03:49 qui peuvent douter, je vais y revenir à titre personnel, mais d'autres aussi,
03:53 l'humilité parce que c'est quelqu'un qui finalement aura coalisé contre lui
03:58 énormément de haine chez ceux qui nous veulent tellement de bien,
04:02 et qui est parti dans la plus grande simplicité.
04:05 Une tombe sans son nom, pas de personnes conviées à la messe,
04:12 une toute petite cérémonie, pas de dépôt de fleurs ou très peu.
04:17 On part à comparer avec tout le bastringue séfarade, ashkénaze, hollywoodien, etc.
04:26 qu'on a partout en France.
04:29 Tout le machin, tout le machin.
04:32 Voilà des gens qui ont lutté toute leur vie pour la vérité.
04:35 Mais je veux dire, juste là-dessus, vous ne connaissez pas les thèses de Robert Faurisson,
04:40 ses travaux, etc.
04:42 Regardez l'homme, regardez comment il part, intéressez-vous à ces petits détails-là.
04:46 Ça dit tout ce qu'il faut savoir sur la personne,
04:50 et tout sur ceux qui vont attaquer cette personne.
04:53 Ça c'est limpide.
04:56 Et donc c'est pour ça, et je tiens, il faut rendre à César ce qui est à César,
05:00 et rendre à Soral ce qui appartient à Soral, c'est le bon terme.
05:03 C'est le terme christique.
05:05 Effectivement, c'est pour Robert Faurisson une vie de souffrance.
05:08 Une vie de souffrance personnelle, familiale, dont les gens n'ont pas idée.
05:12 Dont les gens n'ont pas idée.
05:15 Parce que c'est pas juste poster une vidéo sur Youtube
05:18 "Je ne crois pas à l'existence des chambres à gaz".
05:20 Non, c'est pas ça.
05:22 C'est personnellement, le coup est au-delà de ce que les gens peuvent croire.
05:27 Ce qui d'ailleurs, et c'est un autre élément,
05:30 disqualifie toutes les attaques qu'il a subies en disant que ce qu'il raconte est faux.
05:34 Parce que non, vous n'êtes pas candidat au suicide social, familial, personnel.
05:41 Vous n'êtes pas candidat à la peur, vous n'êtes pas candidat à la trouille quotidienne.
05:45 Vous n'êtes pas candidat aux menaces de mort, c'est pas vrai.
05:48 Seul un saint, pour le coup, seul un saint fait ça.
05:55 Seul un saint fait ça.
05:57 Celui qui sait qu'il va prendre les coups, il va être abreuvé d'injure,
06:02 il va être supplicié, mais il le fait parce qu'il y a quelque chose de supérieur.
06:08 Donc ça il faut le dire, c'est très important de le dire, pour mesurer la personne.
06:13 Quand on voit un petit bonhomme comme ça, très humble, ne payant pas une mine,
06:19 on le voit, c'est la simplicité.
06:21 Tout le monde voit qu'il y a un malice chez cet homme.
06:24 Et quand on voit les gros titres de la presse juive insultant,
06:28 même quand il est mort, le mettant en scène dans une poubelle,
06:31 écoutez, il n'y a pas grand chose de plus à dire sur ceux qui font ça.
06:35 Il n'y a pas grand chose à dire de plus.
06:37 Donc, aujourd'hui, vraiment un hommage très simple,
06:43 mais en même temps qui doit être bruyant, pour Robert Forisson.
06:48 Alors je vais maintenant donner la parole à d'autres,
06:50 sur cette disparition, ou simplement d'abord sur la disparition du professeur,
06:54 du grand professeur Robert Forisson.
06:56 Qui veut prendre la parole ?
06:58 Oui, Robert Forisson c'est un monument, c'est vraiment une personne irremplaçable
07:06 pour tout ce qui touche au révisionnisme.
07:10 Et c'est vrai que c'est la fin d'une époque, maintenant qu'il n'est plus là physiquement parmi nous.
07:16 Et moi, j'ai complètement écho avec ce que tu as dit,
07:22 tu parles de la dimension christique,
07:24 et c'est vrai qu'il a fait preuve d'un courage, d'une vertu, de façon héroïque.
07:30 Et ça c'est l'apanage des saints, c'est leur propre.
07:34 Donc ce n'est pas exagéré les comparaisons que tu utilises,
07:37 moi je suis 100% d'accord avec toi.
07:40 Et j'en profite pour saluer quelqu'un qui a aussi fait preuve de ce même courage,
07:47 c'est Vincent Raynoir, sur le même combat,
07:50 plus un combat plus politique pour la réhabilitation du National Socialism.
07:56 Et je tiens à le saluer aussi.
08:00 Maintenant pour les ordures qui le salissent,
08:05 je pense qu'ils en seront un jour pour leurs frais.
08:09 J'ai vu un tweet absolument dégueulasse de l'Alkra,
08:12 qui prétendait que le professeur était quelqu'un qui écumait de haine.
08:19 Et bien moi je mets au défi les gens qui pensent ça,
08:22 d'aller regarder une seule vidéo de Robert Faurisson,
08:25 ou même de Raynoir,
08:27 et me dire que ça c'est le visage de gens qui littéralement bavent de haine.
08:32 Je ne vous crois pas.
08:33 Au contraire, chaque fois que j'ai vu ces deux personnages,
08:37 j'ai été touché par la bonhomie qui s'en dégageait,
08:42 yes, la douceur.
08:45 Et vraiment à des kilomètres de ces caricatures juives
08:53 qu'on fait d'eux dans les médias.
08:55 Et moi vraiment je voudrais que les gens voient une fois dans leur vie,
08:59 une vidéo de ces gens là, de Robert, de Vincent, s'exprimer.
09:04 Tout le monde dit que c'est de la haine.
09:07 Il faut mettre en regard la mesquinerie, la veulerie, la haine de gens comme Jakubowicz,
09:12 avec quelqu'un comme Faurisson.
09:15 Oubliez les thèses, oubliez les prises de position,
09:19 vous croyez intégralement à la version officielle,
09:22 regardez simplement les hommes, regardez Robert Faurisson d'un côté,
09:25 vous regardez Aziza, vous regardez Jakubowicz, vous regardez tous les autres.
09:29 - Vous voyez tout le monde, vous voyez tout le monde.
09:32 - Avec une gueule cronte et ructant en disant "ce pays mérite notre haine".
09:36 - Oui. - Sérieusement.
09:38 - L'oeil ne peut pas s'y tromper, et quand on voit Vincent Renoir c'est pareil.
09:42 Balancer leur thèse par la fenêtre, mais regarder les hommes,
09:46 ça vaut tous les commentaires.
09:49 - Oui c'est très bien qu'on parle un peu de Vincent Renoir,
09:52 parce que peut-être que Faurisson on aurait dû lui porter un petit peu plus hommage souvent.
09:56 - Ah non, attention, Robert Faurisson considérait Vincent Renoir comme un héros.
10:02 - Ah oui, mais ce que je veux dire par là, c'est que c'est bien qu'on en parle,
10:07 parce que c'est vrai que Faurisson je pense a souffert un peu du manque de soutien malgré tout,
10:12 malgré que sa pudeur du Nord l'empêchait, parce qu'il était un peu anglais,
10:18 sa pudeur, et puis bon, même les français sont pudiques,
10:21 l'empêchait de se plaindre, de chialer et tout,
10:24 mais je pense qu'il manquait de soutien, et c'est bien qu'on parle de Vincent Renoir,
10:28 qui est un véritable héros aussi, lui.
10:31 - Oui, alors Robert Faurisson est écossais, pas anglais,
10:37 il est britannique par la force des choses, mais il est écossais et français.
10:41 Il est très fier de sa nationalité écossaise, et il a bien raison,
10:44 il a bien raison de le professeur Faurisson.
10:47 - C'est le combat est central, parce que...
10:50 - On va y venir sur le fond du combat,
10:53 et là je suis plus dans la partie deuil, le départ.
10:57 On m'a parlé d'une fin d'une époque, je crois que c'est Porobyts qui m'a dit ça,
11:01 enfin il m'a pas dit ça à moi spécialement, il a dit ça à tout le monde.
11:04 C'est vrai, c'est un tournant, mais en même temps je crois pas que ce soit une fin du tout,
11:07 mais ça c'est mon point de vue.
11:09 Fulbert, je prendrai ta parole,
11:12 donc on a vu toutes les hyènes écumentes, pour le coup, de la presse juive,
11:17 fulminant leur rage contre quelqu'un qu'ils ont toujours faim de ne pas connaître,
11:22 parce que c'est ça, il a été totalement occulté.
11:24 J'ai bien aimé le propos de Bruno Golnisch, ça m'a fait très plaisir
11:28 de voir Bruno Golnisch faire un espèce de comeback contre le marinisme triomphant,
11:33 disant "je ne comprends pas, vous me posez la question, vous êtes tous là,
11:36 tous les journalistes vous êtes là, vous me posez la question de savoir...
11:39 enfin vous m'interrogez sur Robert Faurisson, mais vous avez passé votre vie à ignorer ses travaux,
11:44 à ne pas l'inviter, etc."
11:46 Donc c'est bizarre, vous parlez de quelqu'un que visiblement vous ne connaissiez pas jusqu'à hier,
11:49 donc c'est curieux, ça m'a fait plaisir de la part de Bruno Golnisch,
11:52 dont on sait qu'il fait partie de la famille, bien sûr, mais c'est un peu ça.
11:58 Qui veut réagir là-dessus ?
12:01 Peut-être l'ostracisation médiatique de Robert Faurisson ?
12:04 - Oui, sur le fait que Faurisson n'a pas eu la parole, il y avait Roger Domergue,
12:14 un juif lui-même qui était révisionniste, à la suite des travaux de Faurisson,
12:19 avait dit "M. Faurisson demande depuis des années et des années un débat,
12:23 un débat libre avec autant d'historiens que l'on voudrait,
12:26 avec les historiens exterminationnistes, puisqu'ils nous appellent les négationnistes,
12:32 on pourrait les appeler eux les tenants de l'extermination des 6 millions, etc., des chambres à gaz."
12:38 Et Domergue avait dit "Mais alors, pourquoi avoir refusé ce débat ?
12:43 Parce qu'on sait très bien qu'il a raison et on ne lui accordera jamais ce forum."
12:47 Et c'est vrai que Faurisson a pu publier ses thèses dans les années 70,
12:51 et en fait, en presque 45-50 ans, personne n'a osé l'affronter sur le terrain d'un débat qui se télévisait par exemple.
13:01 - C'est très étonnant parce que finalement, posons la question rhétorique.
13:05 - Voilà quelqu'un dont on dit que les thèses sont complètement stupides.
13:10 D'ailleurs, ça a été le propos de Bruno Golnisch, je tiens vraiment, et je reviens là-dessus,
13:14 à saluer Bruno Golnisch pour cet effort devant la presse.
13:18 "À la fureur de Marine Le Pen, mais ça ne nous étonnera pas de la part de cette serpillère à Juif."
13:22 Voilà quelqu'un dont on dit qu'on peut l'écraser en 30 minutes, 1 heure, 2 heures de débat contradictoire,
13:27 c'est réglé, fin du révisionnisme, c'est terminé, toutes ces théories complètement farfelues,
13:32 ça n'a aucune base solide.
13:35 Pendant 40 ans, tous les adversaires de Robert Faurisson écrivent, réécrivent,
13:40 des thèses, font des conférences, dénoncent, tribunes, dans la presse,
13:44 le truc, les campagnes, machin truc.
13:46 Par contre, il n'y a personne pour rencontrer Robert Faurisson qui dit "Mais je suis là, invitez-moi,
13:51 je vais répondre et prouvez-moi que j'ai tort, je reconnaîtrai si j'ai tort, mais il faut me le prouver."
13:55 Personne.
13:57 C'est-à-dire que vous avez quelqu'un qui vous lance un défi, d'accord ?
14:02 Imaginez ça, un combat de rue, vous avez un caïd, il est là, il dit "Allez, je vous attends, moi,
14:08 je vous attends, quand vous voudrez, devant tous les spectateurs que vous voudrez,
14:11 dans l'endroit que vous voudrez, je vous prends, je suis face à vous."
14:15 Et vous voyez les candidats qui font le tour des télévisions, qui écrivent des livres,
14:20 qui répondent à des interviews en disant "Oui, oui, nous on répondra, etc., c'est un faible, etc."
14:25 Et jamais personne ne se présente face à lui pour lui foutre une dérouillée au coin de la rue.
14:28 Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ?
14:30 De tous les arguments, est-ce que ce n'est pas le meilleur ?
14:34 Franchement, on en a cité deux sur la façon dont il est mort, sur ce qu'il a subi,
14:41 mais même, effectivement, il s'est toujours dit ouvert au débat,
14:45 évidemment, les historiens payés par les juifs, en fait, c'est les agiographes,
14:50 pour prendre une analogie que les gens comprendront peut-être,
14:53 les agiographes payés par la synagogue ne peuvent par définition pas se lancer dans une disputatio,
15:01 une controverse contre quelqu'un qui, à la vérité, il perdrait, ils le savent.
15:07 Qui est là-dessus ?
15:09 D'ailleurs, à ce propos, on peut se rappeler la réponse de tous ces faussaires de l'histoire,
15:14 qui ne sont pas du côté dans lequel on pense, dans le journal Le Monde,
15:19 quand Forisson justement réclamait un débat loyal,
15:22 ils ont répondu, je cite,
15:24 "Il ne faut pas se demander comment techniquement un tel meurtre de masse a été possible,
15:29 il a été possible techniquement parce qu'il a eu lieu,
15:32 tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet,
15:36 il ne peut y avoir de débat sur l'existence des chambres à gaz."
15:41 Ça c'est le crédo de la réunion de la Shoah, c'est le droit à l'existence de la chambre à gaz.
15:47 En fait, c'est ça, c'est la vérité révélée, c'est-à-dire qu'en fait...
15:50 - Le Monde, février 1979, le 21 février 1979, voilà.
15:55 - Commençons par la conclusion, c'est-à-dire que ça a eu lieu,
15:58 c'est le point de départ de la réflexion.
16:00 - Maintenant on va vous montrer comment.
16:02 - Voilà, peut-être, peut-être, je veux dire peut-être.
16:05 - Nuremberg ou la Terre Promis, il disait parfois.
16:09 - Mais c'est... attendez, je vais vous donner la parole tour à tour,
16:15 mais je dis simplement, le point de départ du...
16:17 - Robert Faurisson publie dans Le Monde, ce qui est d'ailleurs miraculeux,
16:20 le destin est quand même assez espiègle.
16:22 - Par hasard, Robert Faurisson parvient à publier son truc dans Le Monde.
16:27 - Très bien son affaire.
16:28 - Réponse ?
16:29 - Euh... non, pour aborder ce problème-là, il faut déjà partir du principe que ça a eu lieu.
16:35 - Donc en fait c'est comme la vérité révélée, c'est "oui, Dieu existe, voilà, bon, c'est comme ça."
16:41 - Ensuite, nous pouvons discuter sur les modalités du pourquoi du comment.
16:46 Alors, je vois qu'il y avait plusieurs personnes qui voulaient parler,
16:49 je vais commencer avec Fulbert, ensuite je vais donner la parole à Porovitch,
16:52 et à un troisième intervenant. Fulbert.
16:55 - Oui. Mais cette fameuse déclaration-là, qu'a citée Pierrot,
17:00 je crois me souvenir qu'il s'agissait d'un article qui était en fait une déclaration
17:05 d'une trentaine d'historiens, si je ne me fais plus cette erreur, mais je ne crois pas.
17:10 Et en fait, comme tu l'as, tu avais commencé à l'exprimer avec l'existence de Dieu,
17:17 mais c'est le miracle, c'est la révélation du miracle qu'ils exposent là.
17:23 Ces crétins de pseudo-historiens exposent la révélation du miracle et se transforment en prêtres.
17:31 C'est pour ça que des gens disent, voilà, les adversaires disent,
17:37 voilà, il y a la religion d'un choah qui est incontournable.
17:41 Ça remonte à cette fameuse déclaration des 34, je crois, historiens.
17:46 - Je crois qu'ils sont 38 ou 39, mais je demande à des participants de vérifier.
17:52 - 6 millions.
17:54 - Alors, ils étaient 38, ils étaient 380, et je pense dans un siècle,
17:59 ils étaient 3 800 historiens dixites, les historiens juifs, non mais c'est une blague.
18:04 - Pourowicz, ensuite, vous les proposez à exprimer.
18:09 - Vous savez, les mots sont piégés, c'est assez cocasse quand on pense à cette citation que nous a fait Pierrot.
18:15 C'est qu'ils nous appellent négationnistes, mais c'est un très mauvais terme.
18:19 Nous, on n'y va a priori, on est révisionnistes.
18:23 C'est-à-dire, simplement, on demande à examiner les preuves, et à partir de là,
18:27 réexaminer, et à partir de là, tirer des conclusions.
18:30 C'est eux, les exterminationnistes, parce que c'est eux qui postulent, dès le départ,
18:35 qu'il y a eu génocide et qu'il y a eu chambres à gaz.
18:37 Donc, il ne faut pas accepter ces dénominations, elles sont vraiment, une fois de plus, mensongères.
18:43 - Alors, là, on s'adresse, je dois le dire, et je donnerai la parole, bien sûr, à qui voudra la prendre après,
18:49 on s'adresse à un public qui comprend les clés, les tenants, les aboutissants de ce débat-là.
18:54 Alors, je dois dire, parce que beaucoup de gens qui nous écoutent sont absolument convaincus
18:58 que les chambres à gaz ont existé.
19:00 Et il ne faut pas leur jeter la pierre, c'est comme ça.
19:02 Bon, moi, la première fois que j'ai eu affaire à ce truc-là, c'est totalement par hasard.
19:08 J'arrive chez un ami, qui était versé dans ces questions-là, et je l'ignorais,
19:14 et qui me dit, je ne sais même plus comment, ni pourquoi, et puis, au hasard, comme ça,
19:21 je dis, oui, peut-être pas le low-cost, mais oui, la déportation, je ne sais plus.
19:28 Et il me dit, mais ça n'a pas existé.
19:30 Il ne me dit pas, la déportation n'a pas existé, il me dit, les chambres à gaz,
19:35 l'élimination systématique des juifs par l'arme de la chambre à gaz, ça, ça n'a pas existé.
19:41 La déportation a existé, mais pas l'élimination des juifs systématique par la chambre à gaz.
19:46 Moi, réflexe, quasiment transi, si vous voulez.
19:52 Mais quoi ? Mais tout le monde le sait, c'est étrange.
19:57 Et il me dit, mais non, c'est faux.
19:59 Je dis, mais allez, arrête, tu ne vas pas me raconter des conneries, c'est faux,
20:02 comment ça tu me dis que c'est faux ? Je sais, moi.
20:04 Et qu'est-ce qui m'est venu à l'esprit tout de suite ?
20:06 J'ai été à l'école, j'ai vu les images.
20:09 Et les images, c'était quoi ? On m'a dit, simplement, parce que c'était assez court comme ça à l'école,
20:13 mais il y avait une page, en général c'est une page.
20:16 Voilà, les juifs ont été machin truc, et tout, on voyait des juifs avec des étoiles jaunes.
20:20 Ils ont été déportés, transi, machin, etc.
20:24 Holocauste, chambre à gaz, et on montre généralement une photo de fours crématoires, en général,
20:29 et de gens émaciés avec des tenues de prisonniers de camp de concentration.
20:35 Pour moi, c'est bon, c'est validé.
20:37 On les a pris, on les a arrêtés, on les a mis dans des trains, on les a foutus dans des camps,
20:43 et là, tout de suite, on les a exécutés, etc.
20:45 C'était comme ça dans mon crâne.
20:48 Mon collègue m'a expliqué ça, et je vous dis, c'était de l'ordre du réflexe.
20:53 J'ai dit non, non, non.
20:56 Je vous assure, j'étais même assez virulent, j'ai dit tu peux pas parler comme ça.
21:02 Et puis, j'ai eu le tort d'ouvrir un bouquin sérieux de révisionnisme.
21:08 Et en plus, compte tenu de ma formation, j'étais assez versé dans la technicité, si vous voulez,
21:14 de démonstration de ce genre de fait.
21:16 Et je me suis dit, là, j'ai un problème, parce que c'est pas du tout des dossiers bidons,
21:20 c'est quand même très très sérieux.
21:22 Bon, je vous passe toute l'évolution, parce que là, il faut se référer à la matière elle-même,
21:26 et là, bon, c'est une aventure intellectuelle en soi, donc allez-y.
21:30 Mais je suis passé, si vous voulez, de l'évidence, parce qu'on me l'avait appris,
21:39 au doute, au doute très profond.
21:43 Et c'est vraiment de l'ordre, vous comprenez, c'est pas de l'ordre du savoir,
21:46 c'est pas de l'ordre "je sais, je ne sais pas", c'est de l'ordre "est-ce que je crois, est-ce que je ne crois pas".
21:50 Et même mon questionnement, c'était celui-là, "est-ce que je crois ou est-ce que je ne crois pas".
21:53 C'était pas du tout "est-ce que c'est vrai ou est-ce que c'est faux".
21:57 Et bon, après, quand vous vous intéressez à la contextualisation, à tout,
22:06 quand vous lancez dans ce... vous comprenez, "ah merde, je me suis fait salement enculer",
22:11 c'était faux de bout en bout.
22:14 Bon, attention, je dis ça en toute honnêteté, c'est-à-dire que je ne suis pas en train de dire
22:19 "ah non, non, il n'y a aucun tort de l'autre côté", c'est pas ça que je suis en train d'expliquer,
22:23 c'est pas "on passe du tout blanc contre le tout noir, au tout noir contre le tout blanc",
22:27 c'est pas ça que je suis en train d'expliquer.
22:28 Mais ce qui est sûr et qu'on peut dire sans trembler, c'est que toute la version officielle de WWII
22:34 est totalement vérolée.
22:36 Totalement vérolée, mensongère, écrite par les vainqueurs.
22:40 On me dira "malheureux vaincu", c'est vrai, mais c'est comme ça.
22:44 Et bien sûr, les travaux du professeur Fourisson et combien d'autres travaux
22:49 n'allaient pas résumer le révisionnisme aux seuls travaux du professeur Fourisson.
22:54 Il y a quantité de chercheurs qui ont travaillé extrêmement sérieusement sur ces questions
22:59 et pas uniquement sur le monde concentrationnaire,
23:02 sur quantité d'autres choses qu'on tenait pour acquises.
23:07 Permettez-moi, et je vous redonne la parole, simplement de, juste à l'attention de ceux qui nous écoutent,
23:12 pour simplement susciter leur curiosité.
23:16 Et je pense que c'est même par là qu'on niquera la loi Fourisson.
23:19 Je ne comprends même pas pourquoi personne ne l'a jamais...
23:22 Peut-être que quelques personnes l'ont essayée, mais je ne comprends pas.
23:25 Pourquoi je dis la loi Fourisson ? C'est parce que le professeur Fourisson souhaitait qu'on appelle la loi Fabius-Guessot
23:29 la loi Fourisson parce qu'elle était faite spécialement pour lui. C'est pour ça que je dis ça.
23:33 Vous savez que le propre de la loi Fabius-Guessot, c'est de rendre illicite, illégale,
23:40 la contestation des conclusions du tribunal de Nuremberg.
23:44 Tribunal militaire, par les puissances victorieuses, contre les vaincus, immédiatement après la défaite.
23:52 Je ne sais pas si beaucoup de gens aimeraient être jugés par un tribunal comme ça, après avoir perdu un combat, mais bon.
23:57 Tribunal qui a spécifié dans ses statuts que tout ce que le tribunal considérait comme vrai, était vrai.
24:08 C'est particulier comme tribunal, il n'y a même pas besoin de prouver, ça ne sert à rien.
24:15 Il y a un coin qui démontre que ce tribunal est une farce. C'est lequel ?
24:21 C'est que le massacre de Katyn des officiers polonais, systématique, a été attribué par le tribunal de Nuremberg
24:29 à la demande du juge soviétique, qui par ailleurs était le même juge qui s'occupait des procès de Moscou.
24:34 Tellement iniques ces procès qui sont passés dans le langage populaire comme des procès par définition iniques.
24:39 On appelle un procès de Moscou un procès truqué.
24:42 C'était ce même magistrat qui a présenté l'Union soviétique au tribunal de Nuremberg.
24:47 Posez-vous quelques questions.
24:50 Ce bonhomme là a dit "vous ne pouvez pas interroger Katyn".
24:53 Il a dit ça à ses collègues juges français, britanniques, américains.
24:57 "Vous ne pouvez pas poser des questions là-dessus, c'est les allemands".
24:59 Tout le monde a dit "d'accord, c'est prévu par les statuts, si vous dites que c'est les allemands, c'est les allemands".
25:03 A l'avantage de l'Union soviétique, l'exhumation des fichiers de l'Union soviétique, de l'URSS,
25:10 ont permis de démontrer, et ça a été reconnu par Vladimir Poutine,
25:13 que l'exécution des officiers polonais à Katyn a été le fait de l'armée rouge, sur ordre de Staline.
25:18 Gorbatchev avant lui l'avait avoué.
25:23 Je vous propose, au titre de la loi Fabius-Guessot, de poursuivre quelqu'un qui dirait
25:33 "ce ne sont pas les soviétiques qui ont commis le crime, ce ne sont pas les allemands,
25:39 vous êtes fondés à le poursuivre et il doit être condamné pour ça".
25:42 Il faut poursuivre Poutine alors, ça tombe bien.
25:46 Et voilà, c'est-à-dire que si quelqu'un se présente en France et dit
25:49 "ce ne sont pas les allemands qui ont assassiné les officiers polonais à Katyn, ce sont les soviétiques",
25:55 vous êtes dans l'illégalité.
25:58 Personne n'a jamais exploité cette faille, il faut l'exploiter.
26:01 Parce que ce serait la démonstration que le jugement du tribunal de Nuremberg n'est pas incontestable.
26:07 Et s'il n'est pas incontestable, la loi Fabius-Guessot est caduque.
26:11 Personne n'a jamais... à ma connaissance, peut-être que des gens l'ont fait, c'est possible,
26:16 mais il faut le motif, il faut pouvoir poursuivre quelqu'un.
26:19 Alors ça se travaille, il faut le faire, parce qu'on démontrerait par l'absurde
26:24 que ce tribunal était une farce contre les vaincus,
26:30 dont les conséquences sont beaucoup plus larges que ça, mais je ne vais pas y revenir.
26:34 C'est juste pour dire à ceux qui nous écoutent, qui se disent
26:38 "mais comment peut-on contester quand même les conclusions du tribunal de Nuremberg ?"
26:41 Je vous en donne un élément de notoriété publique.
26:44 Oui, la loi Fabius-Guessot est bidon, la preuve, elle est assise sur un truc bidon,
26:48 le tribunal de Nuremberg qui a menti sciemment.
26:51 Et on a quantité d'exemples, mais celui-là est le plus emblématique.
26:54 Maintenant je vous donne tous la parole, qui veut enchaîner,
26:58 toujours sur Robert Faurisson, ses travaux.
27:01 Sur le tribunal de Nuremberg, Faurisson avait une image assez lumineuse, je trouve.
27:06 Il disait "imaginez un ring de boxe avec deux boxeurs,
27:10 et au bout d'une heure de combat, vous avez un boxeur qui arrive à triompher de l'autre.
27:15 Le boxeur qui a gagné décide d'organiser un tribunal
27:18 et de juger la personne qu'il est parvenu à vaincre,
27:21 le boxeur qu'il est parvenu à vaincre d'après ses propres lois
27:24 et sans aucun juge extérieur ou alors des juges qui seraient complètement à sa botte.
27:28 Et il estime, à juste titre, que le tribunal de Nuremberg,
27:33 c'est évidemment la justice rendue par ceux qui ont, pour une raison ou pour une autre, gagné,
27:38 contre ceux qui ont perdu, malheur au vaincu, comme on dit.
27:43 Et aussi on peut dire que Faurisson a cru lui-même aussi au Chambragast,
27:49 tu parlais tout à l'heure du fait que tu t'étais interrogé à partir d'un certain moment,
27:54 mais que tu avais cru.
27:56 Faurisson a cru également, il le dit, et il a commencé à travailler sur les travaux de Racinier,
28:01 qui n'était pas vraiment de nos idées puisqu'il était un élu socialiste et communiste.
28:06 Racinier a été déporté dans des camps, je crois que c'était à Majdanek notamment.
28:13 - Donc c'était un déporté de gauche.
28:16 - Oui c'est ça, c'était un "résistant" après le langage de nos adversaires,
28:20 c'était quelqu'un qui avait été arrêté par les nazis, par les nationaux socialistes,
28:24 parce qu'ils n'étaient pas de leurs idées, c'était un activiste, etc.
28:27 Il a été déporté, il dit lui-même qu'il a relativement souffert,
28:31 parce qu'il y avait les chiens, les bergers allemands, etc. qui l'ont embêté.
28:37 Mais en même temps il dit "j'ai vécu dans ces camps-là, ce n'était pas une partie de plaisir forcément,
28:42 mais je n'ai pas vu de preuves d'extermination massive,
28:45 et je n'ai pas vu non plus de preuves de chambres à gaz".
28:49 Et il a écrit deux livres, notamment sur le mensonge d'Ulysse,
28:55 qui est paru une dizaine d'années après la guerre, je crois.
28:59 Et à partir du moment où il a publié ses travaux, d'ailleurs le Parti Communiste s'est distancié de lui.
29:05 Curieusement. Mais pour dire que c'était quelqu'un qui n'était pas de nos idées au départ,
29:09 et c'était le point de départ du travail de Faurigian,
29:11 mais Faurigian se dit "comment ça se fait qu'un déporté lui-même
29:14 dise que ces chambres à gaz n'auraient pas existé ?"
29:17 Il y a également Maurice Bardèche qui a écrit...
29:21 - Alors, Maurice Bardèche, soyons un petit peu...
29:24 parce qu'il faut toujours être rigoureux et honnête,
29:26 il a écrit que Maurice Bardèche était collaborationniste et de l'extrême droite.
29:30 Donc on peut quand même dire qu'il était de parti pris...
29:34 Je te pose la question.
29:36 - Oui, c'est tout à fait possible.
29:38 C'était le beau-frère de Brasillac, donc on connaît les deux.
29:42 Mais c'était aussi un produit de l'excellence française.
29:46 C'était quelqu'un qui venait de la campagne du Loiret,
29:50 je ne sais plus, du Cher, je crois,
29:53 qui avait été en droit assez paumé,
29:55 et puis en fait il avait fait normal-sup avec la philosophe juive Simone Weil.
29:59 C'était un type extrêmement brillant.
30:02 Bon, maintenant cela dit, ce qui est intéressant,
30:04 c'est de voir qu'il n'y a pas que Bardèche,
30:06 il n'y a pas que un type d'extrême droite,
30:08 il y a aussi quelqu'un qui était déporté, qui était communiste.
30:11 - Et Faurisson lui-même n'était pas quelqu'un...
30:13 - Faurisson était centriste et athée, je crois.
30:15 - Comment ?
30:16 - Faurisson se disait ouvertement centriste et athée politiquement aussi.
30:19 Ce n'était pas un néonazisme.
30:21 - C'est un truc qu'il faut absolument que les gens le comprennent,
30:24 enfin ceux qui nous écoutent.
30:26 Robert Faurisson n'était pas d'extrême droite.
30:28 Si les gens se disent "ah oui, mais attention, il milite pour le..."
30:31 Non, non, non, Robert Faurisson c'est vraiment quelqu'un,
30:34 c'est un professeur de province qui veut s'intéresser à une matière,
30:39 en fait, par curiosité intellectuelle au départ,
30:42 mais qui l'a amené dans une aventure absolument incroyable.
30:44 Mais au départ c'est un professeur de lettres,
30:46 ce n'est pas du tout...
30:48 Durant l'occupation, il le dit, moi durant l'occupation j'étais gaulliste,
30:51 j'étais pour de gauche, je détestais les allemands.
30:54 Donc c'est plus tard qu'il s'est dit que l'unilatéralisme,
31:01 la brutalité qui avait été véhiculée contre l'Allemagne,
31:04 était bizarre.
31:06 Et sans aide, je ne crois même pas qu'on puisse dire
31:09 que Faurisson était pro-allemand du tout.
31:13 - Non, non, il était assez hostile au départ.
31:15 - Ah non, dans sa vie durant le conflit,
31:17 il était radicalement hostile à l'Allemagne.
31:19 Mais plus tard, il a dit, je crois qu'il a voulu être juste.
31:24 C'est ça son truc, il dit exact, exactitude, exact.
31:28 Je pense qu'il a quand même voulu être juste,
31:30 c'est-à-dire ne pas passer aux allemands ce qu'ils avaient fait,
31:36 mais être précis.
31:38 - Oui, il a été sur place...
31:42 - Non, vas-y, vas-y.
31:45 - Non, je veux dire que oui, il enseignait,
31:48 donc j'avais parlé de Barbèche qui était issu de l'excellence,
31:51 à un moment donné on avait une éducation en France
31:54 qui était une instruction nationale,
31:56 qui fonctionnait parfaitement,
31:58 donc c'est l'Allemand en tout cas, Barbèche était issu de ça,
32:00 mais Faurisson lui aussi, il a fait de très brillantes études,
32:03 il était devenu professeur d'université,
32:05 quand tu l'as mentionné, il était anti-allemand
32:08 pour une double raison, puisque...
32:10 - Maître de conférences.
32:12 - À la Sorbonne d'ailleurs aussi.
32:14 - Je te laisse reprendre, simplement je précise,
32:16 maître de conférences.
32:18 - Oui, Lyon 2, et puis la Sorbonne aussi.
32:21 Et puis d'autre part, donc il était double mentiellement,
32:25 puisque sa mère était écossaise,
32:27 donc c'était le Royaume-Uni qui était en guerre contre l'Allemagne,
32:29 de même que la France était aussi en guerre contre l'Allemagne,
32:31 donc il a vécu, il était vivant, il était jeune,
32:33 très jeune au moment de la guerre,
32:35 il disait lui-même qu'il avait gravé, je crois,
32:37 sur l'abattant de sa table d'écoliers
32:39 que mort à Laval, puisque Laval était favorable aux...
32:43 - Oui, oui, oui, en fait, après sa déclaration à la radio
32:47 qu'il souhaitait la victoire de l'Allemagne,
32:49 ça avait été un choc pour lui en disant
32:51 comment un Français peut souhaiter la victoire de l'Allemagne,
32:54 ça l'avait beaucoup choqué, ça.
32:56 - Exactement, il y a plein d'anecdotes,
32:58 il raconte aussi une fois qu'il avait vu au moment de la "libération"
33:03 un soldat allemand à moitié-vivre
33:05 violer une femme française, ou quasiment ça,
33:08 en tout cas lui faire rentrer dedans un descendant.
33:11 - À la "libération" ?
33:13 - Pardon ?
33:15 - À la "libération" ?
33:17 - Oui, oui, il a vécu...
33:19 - Un soldat allemand à la "libération" qui viole ?
33:21 - Non, un soldat américain, pardon, je me suis mal exprimé.
33:23 - Ah oui, voilà.
33:25 - Un soldat américain qui a violé quasiment,
33:27 en tout cas fait des attouchements, etc., à une française,
33:31 il avait dit "mais pendant des années et des années d'occupation allemande,
33:34 je n'ai pas vu ce genre de scène".
33:36 Donc il avait déjà commencé à se remettre en cause.
33:38 Et après, pour ce qui est de Foray-Historique,
33:40 il était certes professeur de littérature,
33:42 mais il disait, il faisait le reproche
33:44 "mais monsieur Foray-Historique, vous n'êtes pas historien,
33:46 comment est-ce que vous pouvez vous permettre de parler d'une période historique ?
33:49 Vous ne connaissez pas la méthode historique".
33:51 Il dit "mais il n'y a pas de méthode historique,
33:53 il y a une méthode qui consiste à analyser des documents.
33:56 Vous pouvez analyser des documents qui sont des lettres,
33:58 vous pouvez analyser des lieux,
34:01 puisqu'il a été donc dans les camps de concentration,
34:03 il a même suspendu son enseignement,
34:05 il a arrêté son enseignement pour se rendre,
34:07 il n'était pas payé pour ça,
34:09 se rendre sur place et essayer de confirmer
34:12 ce qu'avait dit Racini, essayer de trouver vraiment etc.
34:15 Il a fréquenté les musées des différents camps.
34:21 Plus que ça, il s'est rendu aux Etats-Unis,
34:24 aller dans les archives,
34:27 chercher ce qu'il était censé trouver en disant
34:29 "vous savez, j'ai été à Washington,
34:31 j'ai été dans telle ou telle université,
34:33 je n'ai rien trouvé de plus que ce qu'on nous présentait déjà".
34:36 Il a dit ça aussi.
34:38 Et le fait qu'il parlait anglais,
34:40 parfaitement de par sa mère,
34:42 ça lui a permis aussi de rencontrer Fred Leuchter,
34:45 qui était le spécialiste des chambres à gaz.
34:47 Il y a bien des chambres à gaz qui existent pour tuer des gens,
34:50 mais ce sont des chambres à gaz qui permettent de tuer une personne.
34:54 C'est comme ça qu'on condamne les gens à mort dans un certain nombre de cas.
34:57 On condamnait.
34:59 On n'utilise plus aujourd'hui cette méthode d'exécution,
35:03 mais à l'époque on l'utilisait.
35:05 Exactement.
35:06 Et à l'époque où Faurisson faisait ses travaux,
35:08 il y avait quelqu'un qui était spécialiste de ça,
35:10 qui s'appelait Fred Leuchter,
35:12 que Faurisson avait rencontré.
35:14 Leuchter a été aussi dans les camps de concentration,
35:17 et il a estimé que ce n'était pas possible de gazer des gens de façon massive,
35:20 parce qu'après il y a toute la question d'aération.
35:24 C'est pire que ça.
35:27 D'abord je veux dire un mot sur Fred Leuchter,
35:33 qui est un autre martyr.
35:35 Fred Leuchter n'est pas du tout un militant d'extrême droite.
35:39 Ce n'est pas du tout même un historien.
35:43 Ce n'était pas un polémiste,
35:46 et même pas un journaliste.
35:48 Il avait un défaut, ce monsieur.
35:50 C'était un spécialiste qui construisait des chambres à gaz
35:54 pour le système pénitentiaire américain.
35:56 Un technicien, si vous voulez.
35:59 Et le professeur Faurisson a eu l'idée, l'opportunité,
36:05 de le contacter en lui disant
36:07 "écoutez, est-ce que vous accepteriez de faire une expertise pour moi ?"
36:10 Et le professeur a dit "d'accord, pourquoi pas, allons-y".
36:14 Alors je vous passe les détails, mais le professeur Leuchter
36:19 a eu sa vie brisée par ça.
36:25 C'est quelqu'un qui s'est rendu sur place,
36:27 qui a fait un travail scientifique,
36:28 et qui a donné sa conclusion.
36:30 Qui n'était pas politique.
36:32 Ce n'est pas quelqu'un qui cherchait une conclusion a priori.
36:34 Les autres cherchent une conclusion a priori, comme ils l'ont dit.
36:37 Ça a existé, donc il faut trouver les preuves.
36:39 Dixit le monde, comme on a dit.
36:41 Monsieur Leuchter n'a pas abordé ça comme ça.
36:46 Il a dit "bon, j'ai déjà conçu des chambres à gaz,
36:49 donc j'ai une expertise, vous me demandez d'aller l'expertiser,
36:52 je vais l'expertiser, je vais vous dire si ici,
36:54 en parlant, compte tenu des bâtiments, de l'espace,
36:57 est-ce que c'est possible, prélèvement, etc."
37:00 Il rend sa formule, il dit "non, ici, il n'y aura plus de gazage".
37:06 Il a fini la nuit sur des parkings, dans des petits boulots, etc.
37:12 C'est terrible ce qui arrive à ce garçon.
37:14 Persécuté par les juifs.
37:17 Les gens n'ont pas idée de ce qu'a été l'aventure révisionniste.
37:22 Les gens n'ont pas idée de ça.
37:24 C'est des persécutions qui ont eu lieu sans aucun bruit.
37:27 Simplement connues dans quelques petits milieux,
37:29 dans l'isolement le plus complet.
37:31 Et sans rien demander.
37:33 On pourrait dire "ah, mais le professeur Forisson, il savait
37:35 dans quoi il avait mis le doigt, il avait vu l'hostilité, etc.
37:38 Il comprenait, etc."
37:39 Leuchter, il n'a rien demandé.
37:40 C'est un technicien, on lui a demandé "rendez-nous une conclusion".
37:42 Il rend sa conclusion, on lui détruit sa vie.
37:46 Que les gens méditent là-dessus.
37:50 Je rends la parole à Alexis.
37:53 Oui, donc ça pour dire que justement,
37:56 Leuchter comme d'autres, il y a aussi notamment Ernst Sündel
38:00 au Canada aussi qui avait été persécuté,
38:03 notamment qui avait été emprisonné à des premiers à l'être,
38:06 à l'avoir arrêté.
38:08 Et tout ça pour dire que pour connaître et s'intéresser à l'histoire
38:11 des prétendus chambres à gaz, des prétendus génocides des juifs,
38:15 comme dit Hitler, comme dit Forisson.
38:18 Hitler n'a pas parlé de prétendus génocides.
38:21 Justement, il n'y a pas d'ordre demandant l'élimination massive des juifs.
38:28 Alors il n'y a pas, comme le dit Forisson, il n'y a pas de budget,
38:32 il n'y a pas d'ordre écrit,
38:35 il n'y a pas de coordination politique,
38:40 et de l'aveu, comme il dit, c'est le professeur Forisson,
38:43 "Reportez-vous sur les travaux."
38:46 Parce que nous ce qu'on dit ici,
38:49 ça ne peut pas être équivalent aux travaux de 50 ans.
38:54 Donc allez bosser les sujets, les annales révisionnistes,
38:58 les travaux bien évidemment de Vincent Renoir,
39:01 ceux de Robert Forisson qui sont disponibles, allez-y, renseignez-vous.
39:05 Mais comment dire...
39:08 Je me suis égaré, qu'est-ce que je disais ?
39:12 - Oui, on parlait de l'ordre "absence d'or, absence de budget" pour l'élimination.
39:18 Mais ce que je voulais dire c'est que Leuchter était un spécialiste des gazages au maximum.
39:24 - Attends, je veux dire un truc, autant pour moi.
39:27 Donc je dis pourquoi, parce que c'est lors du procès de Toronto, au Canada,
39:35 contre Zundel, ma mémoire est exacte.
39:39 - ... et témoin, je vous passe les détails.
39:45 Raoul Hilberg, vous trouvez encore les bouquins de cette crapule juive
39:50 dans toutes les universités françaises, même les lycées.
39:53 "La destruction des juifs d'Europe".
39:57 Rempli de bobards, mais bon, peu importe.
40:01 La conclusion de Raoul Hilberg à ce procès,
40:05 face à tous les questionnements précis, techniques de Robert Faurisson et de tous les autres,
40:12 en disant "voilà, ici, là, répondez sur cette question, ici, truc, cet élément".
40:17 Des semaines de procès, Raoul Hilberg, le pape de l'Holocauste, dit
40:24 "L'Holocauste a été rendue possible parce que des gens, dans l'administration allemande,
40:31 par un concours de circonstances, sont tous tombés d'accord pour le faire".
40:37 - Une transmission de pensée.
40:39 - Oui, c'était de la télépathie.
40:41 Les types sont tous tombés d'accord, sans se parler.
40:45 Ils sont tous tombés d'accord.
40:48 Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la portée de l'aveu.
40:50 Le type a été aussi loin que possible jusqu'à l'aveu de l'escroquerie.
40:56 Il n'a pas dit "c'est faux".
40:58 Il a dit "ça s'est passé parce que les types, un tel en Pologne,
41:04 un tel en administration allemande en France, un autre en Autriche,
41:08 quelque part, au même moment, en moins d'un an, ils se sont tous mis d'accord,
41:11 on ne sait pas trop comment, et puis ça s'est passé".
41:14 - C'est un miracle supplémentaire pour valider la Shoah.
41:19 C'est tout. L'Holocauste.
41:21 - C'est le fameux "incredible meeting of minds".
41:25 - Vous avez ensuite des gens extrêmement connus,
41:32 comme tout à l'heure j'ai parlé de la philosophe juive Simone Weim,
41:35 qui s'écrit différemment, celle qui a fait la loi sur l'avortement,
41:39 qui était Simone Jacob, qui a prétendument été gazée à Auschwitz,
41:43 sous le nom de Simone Jacob, mais qui s'en est sortie, on ne sait pas trop comment.
41:46 - C'est un miracle.
41:48 - Un gigori krasutik.
41:50 - Oui, krasutik.
41:52 - Qui ne s'est jamais fait un miracle de plus, décidément.
41:55 - Oui, c'est ça.
41:57 - Je m'interroge si ce n'est pas plutôt une cure de gaz,
42:00 parce que ça prolonge la vie, cette affaire.
42:03 - Oui, Simone Weim, qui est connue pour l'avortement,
42:08 elle avait dit "mais monsieur Fourisson, on ne peut pas trouver les preuves des chambres à gaz,
42:14 nous n'avons pas à les trouver, puisqu'on sait très bien qu'au moment de la libération
42:18 par les britanniques et les soviétiques, les soldats nazis ont détruit, ont fait exploser ces chambres à gaz.
42:25 - Merde !
42:27 - Alors qu'à chaque fois, ce sont des choses, justement,
42:29 Fourisson a été très bon là-dessus, c'est qu'il a poussé les gens dans leur retranchement.
42:32 Il y avait un mythe qui était partagé par tous, c'est qu'il y avait des chambres à gaz au Missile,
42:36 et puis après, quand il a interrogé dans le détail, il a dit "oui, mais non, on sait très bien qu'ils les ont détruites,
42:40 c'est pour ça qu'on ne les trouve pas".
42:42 Ou sur le lieu aussi où ont été gazées les gens,
42:45 il y a eu une évolution de la "pensée officielle", surtout de la "censure officielle".
42:50 Au départ, on disait "oui, les chambres à gaz, il y en a partout,
42:53 il y en a dans le camp alsacien du Stroutov, il y en a dans les camps allemands,
42:59 dans les camps autrichiens, dans les camps polonais".
43:02 Et puis après, vous avez par exemple des gens qui étaient très connus, très célèbres,
43:08 comme Martin Brozat, qui dirigeait, je crois, le musée de Darao, qui était à côté de Munich.
43:13 - C'est à Munich, le musée, oui.
43:15 - Oui, c'est ça, c'est dans la banlieue de Munich, le lieu Darao.
43:19 Et il a dit, il a fait publier un texte qui s'appelle "Keine Vergasung in Darao",
43:24 c'est "Pas de gazage à Darao".
43:26 Et donc, c'était déjà un recul de la pensée officielle,
43:30 ce qui fait que quand vous ouvrez un livre, normalement, un manuel d'histoire,
43:34 de terminal ou autre, vous avez écrit "il n'y a eu de gazage qu'en Pologne".
43:38 Bon, mais Faurisson, évidemment, il ne s'arrêtait pas en disant "bon, je m'en ai mis, non, non,
43:43 ce n'est pas qu'il n'y en a pas eu uniquement en Pologne, c'est qu'il y en a eu nulle part,
43:46 et vous le savez très bien, enfin, en tout cas, vous devriez le savoir".
43:48 Donc il a réussi comme ça, parce que c'était quelqu'un qui était spécialiste de l'analyse de documents,
43:52 à savoir pourquoi il a fait un document...
43:55 - Ah oui, parce que les gens doivent savoir ça, parce que dans la version officielle, en 1946-1947,
44:00 officiellement, ce n'est pas des ondis, des raconteurs,
44:03 4 millions de gens avaient été gazés à Auschwitz.
44:06 - 4 millions et demi.
44:09 - Voilà, 4 millions et demi de gens avaient été gazés à Auschwitz tout de suite après la guerre,
44:15 truc officiel, etc. On était déjà à 6 millions, on est tombé depuis à 1 million,
44:20 mais on est toujours à 6 millions, c'est miraculeux comme arithmétique, je ne sais pas comment tu penses.
44:25 - D'ailleurs, il y a une petite chose assez piquante, je trouve,
44:29 c'est que dans l'histoire officielle de l'Holocauste, il y avait, c'est déjà de la numérologie,
44:38 il y avait 12 camps d'extermination, et tous se trouvaient en Pologne, en territoire polonais.
44:46 Or, lorsque toute cette affaire démarre à l'issue de la Seconde Guerre mondiale,
44:51 très vite, il y a la formation, dans la fin des années 1940, du Bloc de l'Est,
44:57 avec le mur de fer, le rideau de fer.
45:03 Or, plus personne, vu la tension de la guerre froide,
45:09 ne savait aller véritablement enquêter et officiellement du côté polonais,
45:15 puisque celui-ci se trouvait de l'autre côté du rideau de fer,
45:19 ce qui a permis de faire perdurer cette version jusqu'à aujourd'hui, en réalité.
45:25 Alors, il faut dire un truc que les gens ne savent pas,
45:28 parce qu'évidemment, ce n'est pas un truc qui est promu par les grands médias,
45:31 ni par les livres d'éducation, surtout de Fernand Matin.
45:37 Vous savez que la version officielle, les chambres à gaz, vous savez ce que...
45:40 Parce que, posez-vous la question, moi je pose la question,
45:42 même je me la poserai, enfin je me la suis posée, mais je la pose à tous.
45:46 On dit aux gens, les juifs ont été gazés. Posez la question aux gens.
45:49 Comment vous représentez le truc ? C'est quoi une chambre à gaz ?
45:51 Les juifs ont été gazés comment ?
45:53 Les gens vont se dire, il y a des sortes de pommeaux de douche qui tombent,
45:57 et il y a du gaz qui sort.
45:59 Les gens se représentent ça comme ça.
46:02 Déjà, quand je me suis intéressé au truc, et que j'ai appris qu'officiellement,
46:06 ce n'était pas ça, c'est qu'on mettait des granulés,
46:09 je me suis dit, qu'est-ce que c'est que ce truc ?
46:11 Du gaz avec des granulés ? Je ne comprends pas.
46:13 Déjà, il y a une dissonance cognitive. Il y a un truc bizarre.
46:17 Parce que pour moi, on ouvrait des vannes, le gaz arrive à fond,
46:21 les mecs sont cramés en 10 minutes, 15 minutes,
46:25 "au revoir, merci mon chien".
46:27 Et quand on m'a dit, non, non, on ouvre des trous dans le toit
46:32 et on verse des boîtes de granulés,
46:35 c'est bizarre comme système.
46:39 Mais entre-temps, ce qui a été reconnu, notamment par l'historien officiel,
46:44 même pas révisionniste, Conan,
46:47 c'est que les ouvertures dans les chambres à gaz qui existent à Auschwitz,
46:52 les ouvertures carrées dans lesquelles on déversait, soi-disant,
46:55 ces fameuses boîtes de granulés, ont été faites par le système...
47:00 - Les soviétiques, après.
47:02 - Oui, par le système communiste polonais.
47:04 C'est-à-dire que, comprenez bien,
47:06 les preuves sont tombées entre les mains des communistes,
47:10 c'est-à-dire des staliniens de l'Union soviétique
47:12 et ensuite de leurs alliés en Pologne.
47:15 C'est entre eux, les armes du crime sont entre leurs mains.
47:18 Les mecs vous disent "voilà l'arme du crime, etc."
47:22 mais je vais rentrer un petit peu dans les détails techniques ici.
47:25 Et on vous dit "voilà les ouvertures, etc."
47:27 Depuis, ça a été prouvé que c'est faux.
47:29 Les ouvertures que vous voyez dans le truc, les trucs carrés,
47:32 c'est prouvé, c'est reconnu, c'est reconnu, c'est faux.
47:35 C'est pas les vrais trucs, c'est faux, c'est complètement bidon,
47:37 ça a été monté après coup.
47:39 C'est reconnu, ok ?
47:41 C'est pas les révisionnistes ont acculé les mecs
47:43 et les mecs ont dit "ouais ok, c'est pas vrai".
47:45 Fourisson a dit "mais vos fours crématoires",
47:48 il arrive vers les fours crématoires, etc.
47:50 qui sont jouxtants, les chambres à gaz, jouxtants, ok ?
47:53 C'est à côté, ça les touche.
47:55 - Le gaz en question est censé être entrement inflammable.
47:58 - C'est pas renflammable, c'est explosible.
48:00 Il peut péter le truc. - Oui, explosif, pardon.
48:02 - Bon, voilà, bon.
48:04 Il passe son doigt dans le four crématoire,
48:08 il dit "il y a pas de suie, comment ça se fait ?"
48:12 Le guide polonais,
48:14 le mec est briefé, archi-briefé,
48:17 il dit "oui oui, reconstruction".
48:20 Fourisson lui dit "ah, reconstruction ?
48:24 Vous avez des plans ?"
48:26 "Ah bah oui, vous avez des plans !"
48:29 Le type lui dit "oui oui, nous avons des plans".
48:33 Il lui file tous les plans d'époque,
48:36 des fameuses chambres à gaz.
48:39 Pas l'ombre d'une chambre à gaz, y'a rien, c'était une morgue.
48:43 Parce que dans des camps, les gens doivent comprendre ça,
48:46 dans ces immenses camps où on mettait des prisonniers politiques,
48:49 c'était la guerre !
48:51 - Et puis on les faisait travailler.
48:53 - On les faisait travailler, les terroristes, bon.
48:55 - Y'avait des juifs, etc.
48:57 Y'avait des gens qui mouraient.
48:59 - Alors, interrogez-vous de l'époque de la peste noire,
49:02 au Moyen-Âge.
49:04 Y'avait des juifs, mais c'est pas la question.
49:06 Bon, une épidémie, qu'est-ce qui se passe ?
49:08 On les brûle instantanément.
49:10 On les enterre pas, sauf avec de la chauve.
49:12 Sinon, on les brûle. Pourquoi ?
49:14 Pour pas que l'épidémie se répande avec les cadavres.
49:16 C'est un truc...
49:18 - À cause de la vermine, ouais.
49:20 - C'est vieux comme le monde.
49:22 C'est pour ça qu'il y a des fours crématoires dans les trucs.
49:25 Et donc c'était une morgue, avec des fours crématoires.
49:28 Je vous l'accorde, c'est pas très gay,
49:30 je suis pas en train de dire que c'était un camp de vacances.
49:32 Mais c'était une morgue, une nécessité,
49:34 dans le cadre de la guerre,
49:36 dans un système autoritaire,
49:38 - par ailleurs, on peut penser le plus grand mal du Troisième Reich,
49:40 c'est pas le problème -
49:42 mais c'était ça.
49:44 Reconstruction, par les communistes,
49:46 de l'arme du crime principal
49:48 contre le Troisième Reich,
49:50 qui avait occupé la Pologne,
49:52 et d'ailleurs, je ne reproche pas du tout aux polonais
49:54 d'avoir des griefs contre l'Allemagne, c'est très légitime.
49:56 Mais à l'initiative des communistes,
49:58 on pourrait être à minima circonspects.
50:01 Mais plus encore,
50:03 de l'aveu même
50:05 des historiens officiels.
50:07 Vous savez, il y a la fameuse porte en bois
50:09 avec la fenêtre.
50:11 - Le petit carreau.
50:13 - Voilà, alors,
50:15 les antirévisionnistes, d'ailleurs les serviteurs des juifs,
50:17 ont dit "non, non, mais attendez, ça,
50:19 ils le disent comme ça, ils disent
50:21 "oui, ils sont en prothèse à du doigt, mais
50:23 il ne faut pas y faire attention,
50:25 parce que c'est quand les polonais ont voulu remettre en l'état
50:27 la chambre à gaz
50:29 qu'ils ont abattu un mur de trot.
50:31 Du coup, cette porte,
50:33 qui n'était pas communicante avec la chambre à gaz,
50:35 s'est retrouvée communiquante avec la chambre à gaz.
50:38 Donc il ne faut pas trop faire attention à ça.
50:40 Question ? Ah bon ?
50:42 Les polonais ont remis en état
50:45 l'arme du crime ?
50:47 Ils ont modifié l'arme du crime ?
50:50 Tiens, ils étaient objectifs
50:52 quand ils ont modifié l'arme du crime ?
50:54 Ils n'avaient pas de motifs derrière eux ?
50:56 Vous pouvez enchaîner comme ça.
50:58 Toute l'affaire est bidon,
51:00 et je ne vais même pas parler
51:02 des accusations qui avaient cours
51:04 après-guerre.
51:06 C'est-à-dire qu'au départ,
51:08 on ne gazait pas nécessairement uniquement les juifs,
51:10 on les électrocutait, vous ne savez pas ça ?
51:12 On les tuait par vapeur d'eau chaude.
51:14 Vous ne savez pas ça non plus ? Je vous l'apprends.
51:16 Et est-ce qu'on les tue par télépathie ?
51:18 Écoutez,
51:20 si les gens se versent là-dedans,
51:22 ils vont découvrir le royaume du bobard.
51:25 Ça a été le truc.
51:27 Ceci étant dit, ne blanchissons pas le portrait,

Recommandations