• l’année dernière
La lieutenante-colonel Nassima Djebli, porte-parole de la gendarmerie nationale, était en direct sur BFMTV.

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Transcription
00:00 travail, on peigne fin, zone par zone et qu'on revient au point de départ parce
00:04 qu'on est peut-être passé à côté de quelque chose et vraiment pour être
00:07 certain de ne rien louper et c'est pour ça que tous les moyens sont engagés.
00:11 Donc ça c'était au niveau terrestre mais ensuite au niveau aérien.
00:14 On a effectivement les hélicoptères de la gendarmerie qui sont engagés avec une
00:18 caméra thermique. Comme il fait chaud sur le secteur, les hélicoptères sont
00:22 passés ce matin à 5 heures parce que c'est là où il fait le moins chaud et c'est là
00:24 justement où on a plus de facilité pour détecter une présence.
00:29 Voilà donc on mobilise tous les moyens de la gendarmerie.
00:33 On a été surpris que cette caméra thermique ne donne pas plus d'indications.
00:37 Comment l'expliquer ?
00:39 Alors il y a plusieurs choses. C'est vrai qu'il fait chaud, c'est pour ça qu'on va pas l'employer à midi.
00:43 On va justement l'employer à 5 heures du matin.
00:46 Ensuite il y a aussi des cavités. Donc le petit il a pu se reposer sous une roche.
00:52 Il y a des zones boisées. Donc il faut aussi discriminer tous les éléments qui
00:58 nous sont donnés par la caméra thermique en étant appuyés au sol.
01:02 Et c'est vraiment ensemble qu'on va tenter de le retrouver. Il y a une battue qui va
01:07 être menée prochainement pour aussi rechercher quelque chose parce qu'il a
01:11 pu aussi bouger. Donc il faut se dire aussi qu'on est sur une zone où on
01:16 quadrille au peigne fin et en tout cas on est tous mobilisés pour le retrouver, que
01:20 ce soit la gendarmerie, les sapeurs-pompiers, les habitants et je
01:24 Je souligne l'engagement de tout le monde pour retrouver le petit.

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