MADAGASCAR - Actes de barbarie - Régime ra8
- il y a 15 ans
Lâcheté généralisée
L’instauration de la terreur, la seule manière de faire taire les contestations et de tuer les mouvements et les rassemblements ainsi que pousser cette population à se terrer chez elle à moins d’être tuée comme des lapins, est de créer deux fronts d’où elle ne peut avoir aucune chance de sortir.
C’est donc cela la stratégie présidentielle annoncée il y quelques semaines pour venir à bout de ses adversaires qui ne sont autres que la population et moins les opposants politiques au régime.
Le premier front est ainsi les forces de répression de l’Emmo/Nat, de la garde présidentielle et d’autres groupements de sécurité appuyée par des éléments civils militarisés et commandés par des étrangers rompus et spécialisés dans la répression.
Le second front, qui jusqu’à présent était nébuleux, se précise: celui des casseurs et des pilleurs.
Si l’on ignorait encore ou plutôt l’on pensait que ce n’était pas possible s’ils agissaient de leur propre chef, profitant des manifestations et des rassemblements de foule pour perpétrer leurs actes criminels, leur cas se précise de jour en jour.
Comme samedi dernier dans le quartier des 67 ha. Leur récupération par un camp ne fait plus aucun doute. Surnommés de « gros bras », ils ont montré qu’ils sont l’autre bras de ces forces de répression.
La stratégie est on ne peut plus claire: serrer la population dans un étau en la faisant réagir pour donner un semblant d’explication valable et acceptable aux yeux d’une frange de l’opinion, aux actes de barbarie.
L’instauration de la terreur, la seule manière de faire taire les contestations et de tuer les mouvements et les rassemblements ainsi que pousser cette population à se terrer chez elle à moins d’être tuée comme des lapins, est de créer deux fronts d’où elle ne peut avoir aucune chance de sortir.
C’est donc cela la stratégie présidentielle annoncée il y quelques semaines pour venir à bout de ses adversaires qui ne sont autres que la population et moins les opposants politiques au régime.
Le premier front est ainsi les forces de répression de l’Emmo/Nat, de la garde présidentielle et d’autres groupements de sécurité appuyée par des éléments civils militarisés et commandés par des étrangers rompus et spécialisés dans la répression.
Le second front, qui jusqu’à présent était nébuleux, se précise: celui des casseurs et des pilleurs.
Si l’on ignorait encore ou plutôt l’on pensait que ce n’était pas possible s’ils agissaient de leur propre chef, profitant des manifestations et des rassemblements de foule pour perpétrer leurs actes criminels, leur cas se précise de jour en jour.
Comme samedi dernier dans le quartier des 67 ha. Leur récupération par un camp ne fait plus aucun doute. Surnommés de « gros bras », ils ont montré qu’ils sont l’autre bras de ces forces de répression.
La stratégie est on ne peut plus claire: serrer la population dans un étau en la faisant réagir pour donner un semblant d’explication valable et acceptable aux yeux d’une frange de l’opinion, aux actes de barbarie.