Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Retrouvez "La session de rattrapage" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-session-de-rattrapage
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00:00 Jean-Luc Lemoyne est avec ses papiers et ses idées terribles.
00:03 Bonjour Jean-Luc !
00:04 Vous avez complètement craqué, mais bonjour Philippe Vandervelde !
00:07 J'ai complètement craqué.
00:08 Tous les jours, Jean-Luc vous intéressez à un problème pour nous, c'est votre session
00:10 de rattrapage.
00:11 En général, le vendredi, vous revenez sur tout ce qui n'a pas été dans la semaine.
00:15 Alors, je vous ai préparé un petit poème.
00:19 Vous, donnez-moi chance.
00:21 Les petites erreurs n'ont pas d'importance.
00:23 Vous, donnez-moi chance.
00:25 Ah, je me souviens pas.
00:26 Ma chance, je crois.
00:27 Non, il y a écrit "chance" sur mon texte.
00:28 C'est ma chance.
00:29 C'est d'où "petite erreur".
00:31 Les petites erreurs n'ont pas d'importance.
00:33 Laissez-moi vivre, grand fou.
00:34 Sinon, je vous pète les genoux.
00:35 Écoutez Philippe, un, je vais vous dire, vous ne m'impressionnez pas avec vos menaces.
00:42 Et deux, j'espère que vous ne visez pas l'Académie française avec vos poèmes.
00:45 Parce que sinon, je vous encourage vivement à penser à un plan B.
00:47 Ça devient n'importe quoi ces lancements.
00:49 On sent que c'est la fin de saison.
00:51 Là, la voiture avance, mais il n'y a plus de pneus, on est sur la jante.
00:54 Ça se voit, Philippe.
00:55 Ou plutôt, ça s'entend.
00:56 Vous savez quoi ? On n'a même pas parlé de série, ça tombe bien.
00:59 On a une pause, on revient, on est avec Gérald Brice-Viré en direct.
01:02 Non.
01:03 Culture Média.
01:04 Je cherchais dans mon cerveau le nom de l'émission.
01:06 L'association pour la recherche sur Alzheimer a besoin de vous.
01:09 Écoutez, si vous ne retenez toujours pas le nom de l'émission, dans un sens, tant mieux.
01:16 Vous ne vous attachez pas.
01:18 C'est comme la dame à côté de vous.
01:20 Ce n'est pas encore très clair sur mon identité.
01:22 Parce que même quand vous donnez son nom, vous avez un doute.
01:25 Bonjour, bonjour à toutes et à tous.
01:27 Salut Anissa, ravi de commencer la semaine avec vous.
01:29 Avec Culture Média, vous c'est Anissa.
01:31 Oui, c'est bien ça, c'est Anissa.
01:32 Vous vous êtes coupé malade.
01:33 Il vient de le dire.
01:34 La mauvaise voix du type.
01:36 Pas du tout.
01:37 Vous vous souvenez, Philippe, la dame à côté de vous, qui a toujours des petites
01:40 interventions pertinentes, qui sait toujours ponctuer les infos, comme pendant le journal
01:44 des médias de Rémi Jacob.
01:46 Le top 3 du prime time.
01:47 ZTF1 qui arrive en tête avec HPI.
01:50 Aucun suspect.
01:51 Ça rime avec jeudi.
01:52 C'est vrai.
01:53 Rémi Jacob qui dit "c'est vrai".
01:55 Alors pour info, HPI, ça rime aussi avec lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi.
02:00 Mais pas dimanche.
02:01 Non, sinon c'est Asperanche.
02:02 Mais merci Anissa.
02:03 Anissa qui nous a aussi régalé cette semaine avec un lancement dont elle a le secret.
02:07 C'était sur Imagine Dragons et c'est déjà au Panthéon de la radio.
02:11 On va mettre l'ambiance avant de recevoir Pef avec Imagine Dragons.
02:14 Ça s'appelle "Waves" et il chante "Le deuil" dans cette chanson.
02:18 Belle matinée à l'écoute d'Europe.
02:20 Anissa, la reine des ambiances réussies.
02:24 Une chanson sur le deuil, belle matinée.
02:26 Et juste après, on écoutera la danse de l'été signée Benjamin Biollet.
02:29 Pardon.
02:30 Excusez-moi.
02:31 Je veux donner de leçon à personne mais c'est pas ça une ambiance réussie.
02:35 Pour détendre les gens, il faut savoir y faire.
02:37 Et justement, Pef, dont vous parliez à l'instant, nous a dit comment Christian Clavier faisait
02:41 pour détendre les gens sur un tournage.
02:43 C'est un coquin.
02:44 Christian, il veut faire rire.
02:46 Il arrive, il enfile.
02:48 Voilà.
02:49 Il n'a pas de chichi.
02:50 Il arrive, il enfile.
02:52 On devrait faire ça en entourant le studio.
02:54 Non ? Vous ne pouvez pas ? Olivier ? Laurent ? Personne ?
02:56 Là, je me sens un peu seul.
02:59 Pas spécialement.
03:01 Ça détendrait tout le monde.
03:02 Bon, je pense qu'il parlait d'un costume mais la phrase était quand même très bizarre.
03:05 C'était une grande émission ce jour-là car toujours lors de la venue de Pef, Stéphanie
03:09 Noir nous parlait de la chanteuse Rosalia.
03:11 Et pour la remercier de sa très bonne chronique, vous avez dit ça Philippe.
03:14 Rosalia, merci beaucoup.
03:15 Culture Média continue, on se remet de nos émotions.
03:18 Non, elle c'est Stéphanie.
03:20 Mais ce n'est pas grave, on s'en fout.
03:22 Appelez la machine, ce n'est pas ça le plus grave.
03:24 Le plus grave c'est la transition que vous avez faite après.
03:26 On va aller en 97.
03:28 Vous aviez déjà cette tenue en 97 ?
03:30 C'est une vanne.
03:31 Non, c'est méchant.
03:32 C'est une information, c'est un truc.
03:33 Parce que moi j'étais déjà habillé comme ça en 97.
03:35 Je pense que c'est le camembert qui dit au Rockfort "tu pues".
03:37 Moi j'étais habillé comme ça en 97.
03:39 C'est-à-dire que c'est un monsieur en pantalour qui ose parler de mode.
03:43 Ça c'est bon Philippe.
03:45 Vous essayez maladroitement de faire une transition, ça se transforme ici le sol air
03:48 en Stéphanie Rosalia Loire.
03:50 Un message qui finit par vous péter en pleine figure.
03:52 Parce que quand même l'invité se permet de vous faire remarquer que vous avez un pantacourt.
03:56 Le pantacourt, qui je le rappelle à tous, est le vêtement des gens qui n'ont plus le goût à la vie.
04:01 Ça commence comme ça et ça finit par venir à la radio avec un bob et des méduses au pied.
04:05 La semaine dernière, pour faire illusion, et comme aujourd'hui d'ailleurs,
04:09 vous avez quand même tenté le combo pantacourt-t-shirt-veste.
04:13 Il y a des sorcières qui ont été brûlées pour moins que ça.
04:17 Je me demandais d'où ça vous était venu cette idée étrange.
04:21 Eh ben j'ai compris.
04:23 Il y a quelqu'un qui vous veut du mal Philippe.
04:25 Votre styliste maléfique, celui qui essaie de faire basculer tout le paf dans le fashion faux pas,
04:30 Olivier Benkemoun.
04:32 Eh oui, faites pas l'innocent.
04:35 Même Pascal Praud vous voulait le faire tomber.
04:37 Je suis tombé sur ça sur CNews.
04:38 Je pense que c'est pas une bonne décision.
04:40 Je peux vous donner du bon mot moral.
04:42 Mettez un bermuda, vous irez mieux.
04:45 Vous mettrez vos jambes à l'air, ça vous fera du bien.
04:48 Autour de vous, les gens sont heureux de découvrir vos jambes.
04:50 Moi je les connais, je vous ai déjà vues en short.
04:52 Je sais quel bonheur vous pouvez apporter.
04:55 Le démon, le Christ in accordiona de Wish.
04:59 Vous pensez que je n'allais pas le voir,
05:01 à tenter de transformer CNews et Europe en camping ?
05:03 Monsieur se balade 24h/24 en costume 3 pièces ou en chemise décolletée jusqu'au nombril,
05:07 et il conseille aux autres de s'habiller en touriste.
05:09 Tout ça pour garder le titre de mec le plus élégant du paf.
05:12 Lamentable mentalité.
05:14 Vivement que cette saison se termine.
05:16 Même si je suis inquiet.
05:17 Je rappelle qu'Anissa va animer en juillet le club de l'été.
05:19 Et quand je vois dans quel état elle est en juin, on est pas bien.
05:22 Je vais vous demander, est-ce que vous seriez prêts mon cher Philippe
05:25 à tronquer les bouteilles contre des Qubis cet été pour boire du vin ?
05:29 Moi j'allais dire non.
05:30 Ah bon ? Mais les Qubis c'est la vie.
05:32 Elle est complètement cramoisie Anissa.
05:35 On comprend mieux pourquoi elle annonce les chansons comme ça.
05:37 Nancy Sinatra, Ziz Bouz, Armée for Walking.
05:43 Ces bouzes sont faites pour marcher.
05:45 On se moque pas.
05:46 C'est pas facile d'annoncer des titres à 2,6 grammes.
05:48 Allez, vivement le club de l'été.
05:51 Merci pour cette promo Jean-Luc.
05:52 Merci beaucoup Jean-Luc.
05:53 On vous retrouve tout à l'heure dans Historiquement Vaud de 16 à 18 heures
05:56 avec Stéphane Bern sur Europe 1.
05:57 Et je précise, je n'ai pas de pantacourt.
05:59 C'est des berludins mais j'ai les jambes courtes.