«Pascal et Olivier», la nouvelle télénovelas de CNews
Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Retrouvez "La session de rattrapage" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-session-de-rattrapage
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00:00 - Salut évidemment Jean-Luc Lemoyne, bonjour ! - Bonjour, on s'est tous mélangés.
00:02 - Oui, tous les jours vous intéressez Jean-Luc à un programme pour nous, c'est votre session de rattrapage.
00:06 Et aujourd'hui c'est vendredi, qu'est-ce qu'il y a au menu ? Du boisson !
00:09 (rires)
00:11 - Est-ce que vous vous rendez compte que ce vendredi n'a aucun sens Philippe ?
00:14 Mais pourquoi voulez-vous que je vous fasse du poisson ?
00:16 Non, non, si je vous ai écrit n'importe quoi comme lancement, c'est juste pour endormir votre vigilance
00:20 car le vendredi, vous le savez, je m'occupe de mes chouchous, c'est-à-dire vous.
00:24 Est-ce que je vous ai déjà parlé de ma passion pour les télé-novelas ?
00:27 - Oui ! - Eh ben bonne nouvelle, j'en ai trouvé une nouvelle !
00:30 Ça s'appelle Pascal et Olivier.
00:31 Et c'est diffusé tous les soirs sur... - Ah la tête d'Olivier !
00:34 - C'est diffusé tous les soirs sur CNews.
00:36 Résumé des épisodes précédents.
00:38 (rires)
00:39 Olivier est troublé depuis qu'il a fait la rencontre de Pascal,
00:42 qu'ils croisent tous les soirs au moment de démarrer son émission.
00:44 Depuis, il tente désespérément d'attirer son attention pour devenir son meilleur ami
00:48 en trouvant de nouveaux sujets de conversation.
00:50 Mais à chaque fois, il se prend un petit tacle en retour.
00:53 - On reviendra un tout petit peu sur la série dans le milieu des infos,
00:55 on reviendra surtout sur la bataille et la vie d'Alain Lassante, évidemment.
00:59 - Non, je vais vous parler quand même d'un récord.
01:01 - Mais un peu. - Vous parliez vite !
01:03 (rires)
01:06 - Ah, il était triste, mon petit canaillou.
01:08 Je vous dis un secret, la semaine dernière, après la rubrique,
01:12 Olivier m'a dit "Ah, j'ai eu peur, j'ai cru que t'allais ressortir le passage
01:15 où Pascal a dit aux gens de regarder une autre chaîne."
01:17 Ben non, je l'ai pas fait parce que déjà, j'ai un coeur,
01:20 et surtout parce que je l'avais pas vu.
01:22 (rires)
01:23 - Et puisque c'est demandé gentiment,
01:25 c'était le soir où Olivier Véran était l'invité de "Face à Baba" sur C8.
01:29 Donc au moment de faire la transition entre son émission et celle d'Olivier,
01:32 Pascal nous a dit ce qu'il fallait regarder.
01:34 - Olivier Véran dans son émission "Face à Baba",
01:36 c'est sur C8, c'est Cyril Hanouna, bien évidemment.
01:39 (musique)
01:43 - Dans le meilleur de l'info avec lequel vous avez rendez-vous également,
01:46 y'a pas Cyril Hanouna dans la vie.
01:48 - Ouais, il en avait gros sur la patate, mon Olivier.
01:51 - Alors pour lui remonter le moral, on va s'occuper de Philippe Vordel.
01:54 Et je voulais vous féliciter Philippe,
01:56 car vous avez fait une belle interview de Pierre Demare cette semaine.
01:59 D'abord, en l'annonçant, le sens du teasing.
02:02 - Enfin, le phénomène de la chanson francophone, une fulgurance,
02:05 comme on avait pas vu depuis longtemps, c'est Pierre Demare, son premier titre.
02:08 "J'ai épousé un an, je me souviens plus du titre, je l'ai mal noté, j'aurais mieux fait."
02:12 (rires)
02:13 - Moi aussi, j'adore cette chanson.
02:15 "J'ai épousé un an, je me souviens plus du titre, je l'ai mal noté, j'aurais mieux fait."
02:18 J'ai écouté son album, c'est fort.
02:20 Mon titre préféré, c'est "J'aime ta violence, bordel, qu'est-ce que j'ai fait de mes filles,
02:22 j'ai mon stylo, je les avais laissé là-bas pourtant."
02:24 (rires)
02:25 Bon, ça peut arriver d'oublier un titre, hein.
02:27 Et puis, faut avouer, à moitié pardonner.
02:29 L'essentiel, c'est d'être nickel quand après, l'invité est en face de vous.
02:32 - Cet album s'appelle...
02:34 "Je le trouve plus, je l'avais pas noté, j'aurais dû le noter."
02:36 - Regarde.
02:37 - Là, on est sur un petit problème de mémoire, quand même, hein, Philippe.
02:39 Mais là où j'ai eu le plus peur, c'est sur la phrase suivante.
02:41 J'ai cru que vous nous aviez fait un petit AVC.
02:43 (musique)
02:45 - On est avec Pierre Demaher en compagnie de...
02:47 musique.
02:48 - Voilà.
02:49 - Ça s'arrête là.
02:50 - Non mais comment ça se passe ?
02:51 Vous nous donnez les mots, on doit les trier nous-mêmes.
02:53 Non, j'ai rien compris.
02:54 Ou sinon, vous vous prenez pour Yoda.
02:55 On peut réécouter ce petit bijou ?
02:57 - On est avec Pierre Demaher en compagnie de...
02:59 musique.
03:00 - Voilà, c'est exactement.
03:02 Bonne semaine, donc.
03:03 Parce que même quand vous voulez être gentil, je suis pas sûr de vos choix.
03:06 Mercredi, j'étais dans ma voiture, hein, pour venir faire ma chronique,
03:10 quand je vous ai entendu faire le sommaire, avec des références très très jeunes.
03:13 - Les trois Stooges seront là.
03:15 Bruno Donnet pour ses télescopes à Jean-Luc Lemoyne,
03:17 et sa session de rattrapage, et Rémi Jacob pour le journal des médias.
03:21 - C'est quoi cette référence ?
03:22 Vous savez que les moins de 70 ans ne l'ont pas.
03:24 - Je sais.
03:25 - Moi, j'ai entendu les trois Stooges, déjà.
03:27 - Non, mais les trois Stooges.
03:28 - Ce qui est une bonne présentation, en effet.
03:30 Mais sinon, les trois Stooges, hein,
03:32 pour ceux qui connaîtraient pas, c'est un trio d'humoristes américains des années 40.
03:35 - Voilà, et qu'on donnait le nom au groupe Diggy Pop.
03:37 Le premier groupe s'appelle les Stooges.
03:38 - Vous ne pouvez pas trouver un trio plus valorisant pour Bruno Donnet et Rémi Jacob ?
03:42 Les trois mousquetaires, les trois petits cochons,
03:44 un truc qu'ils puissent mettre sur leur carte de presse, quoi.
03:46 Mais je vous fais confiance, Philippe, car vous trouvez toujours des solutions.
03:49 Parce que même quand vous vous retrouvez coincé dans un cul-de-sac,
03:51 vous savez toujours vous en sortir.
03:53 Comme hier, avec Daniel Rousseau.
03:54 - Prochain projet, ça sera quoi, Daniel Rousseau ?
03:56 - Ben, il y a plein de choses.
03:59 Il y a peut-être de la mise en scène.
04:01 - Ah.
04:02 - Voilà.
04:03 - Vous en avez déjà fait, ou pas ?
04:04 - Oui.
04:05 - Non, je ne m'en souviens pas, alors du coup je ne vais pas vous lancer là-dessus.
04:07 - Il faut prévenir, quand vous mettez un coup de frein à la main
04:13 et que vous partez en marche arrière,
04:14 je pense qu'on va vous installer un bip de recul.
04:16 C'est plus prudent.
04:17 Parce qu'apparemment, votre invité n'avait pas compris qu'il fallait faire demi-tour.
04:20 - Non, parce que j'avais monté les sourires des hommes, par exemple.
04:23 - Merci beaucoup, Lucas.
04:25 - Ça veut dire oui, d'accord, on passe à autre chose.
04:27 Mais je vous rassure, ça ne s'est pas vu.
04:29 Et vous savez pourquoi ça ne s'est pas vu, Philippe ?
04:31 - L'avantage de la radio sur la télé, c'est que tu n'es pas emmerdé par les images.
04:34 - Ah, le petit malin.
04:35 Allez, bon week-end à tous.
04:36 - Merci, Jean-Luc, quel plaisir.
04:38 Je suis obligé de mesurer chaque mot, maintenant, toujours.
04:41 Jean-Luc Lemoyne, qu'on retrouve lundi, qu'on retrouve tout à l'heure
04:44 dans "Historiquement Votre", de 16h à 18h,
04:46 avec Stéphane Berne, sur Europe 1.
04:48 Vous avez entendu qu'on a donné vos bons chiffres, ce matin, dans le journal des médias.
04:50 - Oui, ça fait plaisir.
04:51 Et demain soir aussi, il y a un Prime sur France 3,
04:53 le grand show de l'humour.
04:54 - Présenté par vos soins ?
04:55 - Bah oui, sinon je ne vous reparlerai pas.
04:56 - Non, vous aurez dû participer dans le show.
04:58 Vous êtes le présentateur.
04:59 - Je présente le grand show de l'humour.
05:01 le grand show de l'humour.