Retrouvez le replay des derniers kilomètres de la 7e étape du Tour de Suisse du 17/06/2023.
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00:00 La course reprend ses droits.
00:02 Désormais, nous sommes à 21 km de l'arrivée.
00:06 Il y a quelques minutes, ils sont passés sur cette ligne,
00:10 où ont été pris les temps pour le classement général.
00:13 Les temps sont donc figés.
00:14 Tout le peloton est passé dans le temps de Julien Bernard,
00:18 qui a franchi la ligne en tête.
00:21 Et comme l'avaient décidé les coureurs,
00:22 et bien comme juste après la côte d'Outenberg suit,
00:27 les hostilités commencent à l'instant,
00:29 au moment où nous revenons de cette pause publicitaire.
00:32 Avec une première attaque d'un coureur de la formation IF Education Easy Post,
00:37 il s'agit de Nelson Paules, que vous avez entendu tout à l'heure.
00:40 Paules qui a porté la première attaque et qui va déclencher les hostilités.
00:44 Van Aert qui est juste derrière, on a vu la jump Bruce Mack essayer de contrôler.
00:47 Ça fait mal dans le peloton là.
00:49 Ça fait extrêmement mal cette montée, ce changement de rythme.
00:54 Oui, alors Paules donc qui a été repris.
00:59 Et ça va se prolonger, on a vu...
01:04 juste derrière le coureur de l'équipe Jaico,
01:07 l'Ethiopien Walei Agos, qui est bien placé.
01:13 Moi je dis ça et puis Edwou, il est là en quatrième position.
01:20 Brian Cocard dans le premier groupe.
01:23 Derrière c'est la INEOS qui essaye de faire la jonction entre le premier peloton.
01:28 Oui, il y a eu une cassure quand même dans ce peloton.
01:32 Derrière les premiers 25 coureurs, on voit Wout van Aert en deuxième position.
01:44 Ce n'est pas une petite bosse.
01:46 On voit le dénivelé que les coureurs ont pris.
01:48 Ils étaient en bas au niveau de là où il y a les voitures.
01:50 Ils sont déjà tout là-haut.
01:52 Beaucoup dénivelé en très peu de temps.
01:55 Van Dijk qui est en train de mener là.
01:57 En fait, on a tout simplement décidé du côté de la jungle,
01:59 de monter à un fort tempo,
02:00 essayer de faire exploser les sprinters les plus rapides de ce peloton.
02:07 Van Dijk qui fait le travail pour le gain de l'étape.
02:10 On le rappelle, parce que l'idée n'est pas de favoriser Wilco Kelderman,
02:15 puisque les temps du classement général ne subiront aucune influence
02:21 liée désormais à la victoire d'étape.
02:23 Il y a pas mal de coureurs qui sont rentrés.
02:29 Finalement, on a un premier groupe assez conséquent.
02:31 On s'est fait un peu surprendre au pied.
02:33 Là, c'est Michel Ketkowski qui vient en tête.
02:36 Oui, pour la formation Ineos.
02:39 Pitcock, Nervaez dans les premières positions.
02:43 Et là, on reprend de la pente après ce virage à droite.
02:46 Je pense qu'on veut essayer de distancer Kaden Groove.
02:50 Regardez là-bas à gauche, le sommet de cette coute.
02:53 Regardez en bas à droite aussi, ça explose de partout.
02:56 On a dit que, je viens de dire qu'en plus,
02:58 on s'était bien groupé un bon groupe à l'avant.
03:00 Là, clairement, la dernière partie avec plus de pourcentage,
03:03 c'est en train de tout exploser.
03:05 Là, c'est sauf qui peut.
03:07 On est en train de s'accrocher comme on peut.
03:09 On est en train de s'accrocher comme on peut.
03:11 On est en train de s'accrocher comme on peut.
03:13 C'est sauf qui peut. On est en train de s'accrocher comme on peut.
03:16 Quentin Paché de la Groupe AMAC
03:21 essaye de faire l'effort tout en bas de l'écran à droite.
03:23 On a Evenpool aussi en bas, qui est en train de rentrer.
03:25 Juste à droite de l'écran.
03:27 Pitcock, Nervaez, Katozki qui amène pour la Ineos.
03:33 Devant vous, devant Nart.
03:35 Kevin Vermark qui est là pour la équipe DSM en cinquième position.
03:40 Ça s'écarte un petit peu, on va le revoir.
03:42 Tout ces coureurs qu'on voit en première position,
03:48 c'est quand même tous des clients pour la victoire d'étape.
03:51 Oui, c'est surtout tous des champions.
03:53 On le sait, un ancien champion du monde.
03:55 Pitcock, champion du monde dans plusieurs catégories.
03:58 Devant Nart, on ne va pas faire l'éloge de son palmarès.
04:01 On se posait la question de qui ?
04:03 Il fallait que ce soit un champion qui montre l'exemple.
04:05 Et c'est le cas.
04:07 On a vu Ayuso qui se relevait plus ou moins.
04:10 Il était à l'arrière de ce groupe avec un petit peu de retard.
04:13 De toute façon, sa position au classement général de troisième
04:17 ne sera pas mise en cause dans cette fin d'étape.
04:20 Ce n'est pas le sommet.
04:21 C'était le sommet du grimpeur, mais ça continue de monter
04:24 jusqu'à l'arche rouge.
04:26 Ou alors, attendez, Peter Sagan, c'est fini.
04:28 C'est fini pour lui aussi.
04:30 On a aperçu au passage de l'arche du meilleur grimpeur
04:33 du Grand Prix de la Montagne.
04:35 Il veut une poule et rentrer sur le premier groupe.
04:37 On va voir. Je ne sais même pas si on a 15 coureurs dans le premier groupe.
04:40 Peter Sagan ne gagnera pas aujourd'hui.
04:43 Il ne gagnera pas surtout d'étapes sur ce Tour de Suisse.
04:46 Lui qui en avait conquis 18 au cours de sa carrière.
04:49 Et ce sera la première fois depuis 2010, je crois,
04:53 qu'il disputera cette épreuve sans obtenir de gains d'étapes demain.
04:58 Ce n'est pas lui faire injure que de dire qu'il n'est pas le favori
05:01 du contre la montre.
05:04 Allez, allez, allez, allez, allez !
05:07 Allez, je pense qu'on va laisser Peter Sagan tranquille
05:11 et qu'on va revenir sur les premiers coureurs de ce peloton.
05:15 Tchatchkovski va pas mal quand même, parce qu'il a tout fait exploser
05:18 dans la dernière partie de l'ascension.
05:20 On aperçoit Evenpool.
05:22 Je pense qu'il y a une quinzaine de coureurs dans ce premier groupe.
05:25 Et d'ailleurs, on a vu qu'on est loin derrière.
05:28 Il va falloir s'organiser. Il ne reste pas beaucoup de kilomètres.
05:32 Kasper Asgreen pour la Deckenhink, qui est présent à l'avant.
05:38 On retrouve des coureurs de classique sur ce type d'effort.
05:42 C'est une montée quand même très typée puncher.
05:46 Asgreen en dernière position.
05:50 Romain Grégoire aussi pour la Groupama.
05:53 Nelson Paules, c'est lui qui a lancé les hostilités.
05:58 Un autre coureur de la UEF qu'on n'a pas identifié dans sa roue.
06:02 13 ou 14 coureurs, je crois.
06:04 Ce n'est pas Jonas Rutsch.
06:06 Possible.
06:08 On l'a vu tout à l'heure aux avant-postes.
06:11 Je ne pense pas.
06:12 En tout cas, on a l'équipe INEOS qui est peut-être la mieux représentée dans ce groupe.
06:17 On voit les trois coureurs Gviankovski, Peckhok et Narbáez.
06:24 On a élu.
06:25 On aurait.
06:26 Alors ça attaque encore là.
06:27 Pour l'équipe DSM.
06:28 Au passage, au sommet.
06:31 Ce n'est pas le Grand Prix de la Montagne, mais on est vraiment au sommet maintenant.
06:34 On va attaquer la descente.
06:36 Je pense que c'est le Grand Prix de la Montagne.
06:38 C'est l'Arche aux Roux.
06:40 6 km de l'arrivée.
06:42 C'est la couleur du maillot.
06:43 Alors que celui qui roule actuellement tête, c'est Kevin Vermeerck.
06:46 Pour l'équipe DSM, coéquipier de Romain Bardet.
06:51 Un sacré groupe devant.
06:53 Ça a de l'allure.
06:56 Narbáez, Evenepoel, Grégoire, Woodvarnart.
07:00 C'est quand même des noms qui sonnent bien.
07:05 Et je pense que le deuxième coureur de la EF, ça doit être Honoré.
07:08 A confirmer.
07:10 On n'a pas encore vu.
07:11 Mikkel Frohlich Honoré.
07:13 On ne sait plus trop quoi faire là, j'ai l'impression.
07:21 Vu ce qu'ils se sont mis là, ils ont besoin de souffler.
07:26 C'est-à-dire qu'on ne sait plus quoi faire.
07:28 Il n'y a pas beaucoup d'équipiers pour tous ces coureurs,
07:30 hormis chez Ineos.
07:33 Woodvarnart, ils vont essayer de lui faire un peu sa fête.
07:37 Là, il est tout seul.
07:39 Il fait vraiment figure d'épouvantail dans un groupe comme ça,
07:42 avec sa vitesse de pointe.
07:45 On a vu les qualités de Woodvarnart en un virage.
07:49 En prenant le virage un peu plus vite, il est presque revenu.
07:52 C'est vraiment une qualité dingue.
07:55 Ça lui permet de boucher des trous, de faire des écarts en seulement un virage.
08:00 C'est uniquement sur la technique.
08:02 On ne sait pas trop quoi faire là.
08:05 On ne sait pas quoi faire.
08:07 On ne sait pas quoi faire.
08:09 On ne sait pas quoi faire.
08:11 C'est vraiment un virage. C'est uniquement sur la technique.
08:14 On a 13 coureurs ensemble pour l'instant aux avant-postes.
08:17 Sur ce que l'on a vu, ce sera difficile maintenant de revenir de l'arrière.
08:21 À moins qu'on s'observe, alors que vous avez ici le château de Weinfelden.
08:27 Weinfelden, où sera jugé tout à l'heure l'arrivée de cette étape,
08:33 dans le canton de Thuringe.
08:36 On a vu la route de l'attaque.
08:38 On a vu la route de l'attaque.
08:40 On a vu la route de l'attaque.
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13:16 On a bien Mickael Frolic honoré pour l'équipe IF.
13:20 Wout Van Aert bien sûr pour la formation Jumbo-Visma.
13:24 Romain Grégoire pour l'équipe Groupama-FDJ.
13:28 Kevin Vermaak pour la formation DSM.
13:32 Et Walei Agos Beret pour la formation Jaiko Alula.
13:37 Voilà en tout cas les coureurs qu'on a identifiés pour l'instant.
13:41 Donc il doit en manquer encore 6 ou 7.
13:45 Qu'il reste à dévisager au sein de ce groupe que vous avez actuellement à l'image.
13:55 Il peut leur faire coucou.
14:01 Il est incroyable ce coureur.
14:04 Il est incroyable et qui de mieux qu'un champion du monde pour briller sur cette journée si particulière.
14:13 On le retrouve ici.
14:17 Il a dû contourner l'îlot directionnel.
14:28 Il était d'abord parti vers la droite.
14:31 Avant finalement de devoir contourner cet îlot pour reprendre la bonne direction.
14:35 Allez encore 11 km.
14:40 C'est facile ça descend.
14:43 Il a un vélo qui roule tout seul.
14:47 Regardez la différence grâce à cette vue d'hélicoptère.
14:51 On dit que les lignes droites ce n'est pas forcément favorable à un échappé.
14:55 Mais là bon, il s'en accommode fort bien.
14:58 Et derrière on ne s'entend pas.
15:00 Tout le monde est un peu à fond.
15:02 Certains coureurs n'ont pas d'équipiers.
15:04 Les NEOS sont 3 donc obligatoirement on les regarde faire le travail.
15:08 Katošičkis a déjà beaucoup donné.
15:10 Nelson Paules qui va prendre un petit relais.
15:13 On a Samuel Batistela apparemment pour l'équipe Astana.
15:18 Kasper Asgreen vous l'avez dit Patrick ?
15:20 J'ai oublié de le citer l'équipier de Remco Evenepoel.
15:23 Ça c'est Batistela.
15:25 Le 147 je l'avais cité c'est Wermerck.
15:30 Attention aux petites cassures.
15:32 Il y a deux coureurs de l'équipe IF.
15:34 On a cité Mikel Frolic honoré.
15:36 Mais il y a aussi Nelson Paules.
15:38 Il n'y a pas Paules ça c'est sûr.
15:40 C'est plutôt honoré.
15:42 On est d'accord pour ces deux là.
15:45 On va finir par tous les avoir.
15:49 Et là c'est le panneau des 10 km que Remco Evenepoel va franchir maintenant.
15:56 On a quand même bien la confirmation que Remco Evenepoel de jour en jour
16:01 ça va de mieux en mieux et il va nous mettre un suspense pour la journée de demain.
16:06 On rappelle ce que disait notre collaborateur Pierre Carré
16:13 qui annonçait qu'au sein de la formation Sudal Quickstep
16:19 ont songé à l'hypothèse d'aligner Remco Evenepoel au départ du prochain Tour de France.
16:26 Ça n'a rien d'officiel.
16:28 C'est une discussion mais apparemment ça agite les esprits dans cette formation.
16:33 Alors que pour l'instant officiellement rien n'est dit.
16:36 Enfin si, on dit que Patrick Lefebvre, le manager général de cette équipe
16:41 a dit qu'il ne serait pas aligné.
16:44 En tout cas Pierre Carré n'y croit pas trop.
16:47 Mais c'est vrai que sur son programme rien n'est indiqué pour la suite de la compétition.
16:52 Si, une course c'est le championnat de Belgique.
16:56 C'est vrai que sa saison a été chamboulée avec le Covid pendant le Tour d'Italie.
17:02 Il a fallu revoir les plans.
17:04 Il y a forcément du questionnement.
17:07 Ce Tour de Suisse qui s'est rajouté à son programme.
17:10 Maintenant, la grosse interrogation sur la suite après le championnat de Belgique.
17:16 Lui qui a été champion du monde en Australie et qui va remettre son titre en jeu en août.
17:22 Ce sera l'un des champions du monde à avoir porté le maillot orquinciel le moins de temps.
17:28 Et en plus avec toutes les courses qu'il remporte, tous les maillots distinctifs qu'il doit porter.
17:32 Heureusement qu'il y a l'entraînement pour lui pour avoir le maillot de champion du monde sur le dos.
17:38 Il nous manque un coureur dans ce groupe a priori que l'on n'aurait pas identifié.
17:44 Je vous rappelle les trois coureurs de la formation Ineos Grenadiers.
17:48 Thomas Pitcock, Michel Vyachtovsky et Jonathan Narvaez.
17:52 Le coureur d'Astana, l'italien Baptiste Ella.
17:56 Les deux coureurs de la formation OIF, Nelson Paules et Mikel Frolicho-Noré.
18:01 Wout van Aert pour l'équipe Jumbo-Visma.
18:04 Romain Grégoire pour l'équipe Groupama-FDJ.
18:06 Kasper Asgreen, l'équipier de ce coureur que vous avez actuellement en tête, Remco Evenepoel.
18:12 Et donc Kasper Asgreen ne prend pas de relais derrière, vous vous en doutez bien.
18:15 Kevin Vermaerck de l'équipe DSM.
18:18 Walei Agos Beret pour la formation Jaiko Halula.
18:24 Christopher Juliensen, un deuxième coureur pour la formation Jaiko Halula.
18:31 C'est ce coureur qui nous manquait jusqu'à présent.
18:33 Ah non, c'est le groupe de chasse.
18:35 C'était écrit en bas.
18:39 C'est le groupe de chasse, donc il n'est pas devant Juliensen.
18:41 Enlève vite.
18:45 Et ça continue de creuser.
18:47 34 secondes désormais et 1'37 sur le groupe qu'on vient de voir, Juliensen.
18:56 Qu'est-ce qui se passe là dans sa tête ?
18:59 Les émotions doivent être partagées entre "je vais gagner une étape",
19:05 tout ce qui s'est passé ces derniers jours, le maillot de champion du monde.
19:09 C'est un symbole, Renko Evenepoel.
19:12 C'est plus qu'un coureur, il incarne toute cette nouvelle génération
19:17 d'attaquants, de coureurs complets, qui ont pas froid aux yeux, plein d'audace.
19:23 Aussi du charisme du côté du Belge.
19:26 On prend parti, on prend position.
19:32 Celui qui nous manque, c'est un coureur de l'équipe Bora.
19:34 Il y a un coureur de l'équipe Bora dans ce groupe.
19:36 Vous allez le voir, c'est Matteo Fabbro.
19:39 Il suffisait de demander.
19:41 Le petit italien, grimpeur de poche.
19:45 On a donc une seule équipe qui est représentée par 3 coureurs,
19:48 c'est la formation Ineos Grenadiers.
19:50 On a une équipe qui est représentée par 2 coureurs,
19:54 c'est l'équipe IF Education Easy Post.
19:57 Chez Soudal Quick-Step, ils sont présents en tête,
20:00 mais aussi dans ce groupe avec Kasper Asgren en tête,
20:04 et Remco Evenepoel.
20:06 Après, on a des individualités.
20:08 Beret pour Jaiko Eloula, Merckx pour DSM,
20:12 Romain Grégoire pour Groupama FDJ,
20:15 Van Aert pour Jumbo Visma, Fabbro pour Bora Hansgrohe,
20:20 et Baptiste Tella pour l'équipe Astana.
20:24 Et là, Wout Van Aert, il aurait pu faire figure de favori,
20:28 s'il n'y avait pas eu cette tentative de très loin
20:31 de la part de Remco Evenepoel.
20:34 Et tout à l'heure, rappelez-vous, on avait Sébastien Joli en ligne,
20:43 on lui demandait comment un coureur de 20 ans
20:46 pouvait-il appréhender un drame pareil.
20:49 Et bien, vous le voyez, Romain Grégoire, à sa façon,
20:53 justement, il s'en accommode en se glissant dans cette échappée.
20:57 - Regroupement. - Il y a un gros groupe qui est en train de rentrer.
21:01 C'est un peu logique, en sortant des pas,
21:04 regardez les 44 secondes maintenant.
21:07 Il y a notamment l'équipe Cofidis, la manœuvre avec Brian Cocard.
21:11 Quand on va leur dire qu'il y a Remco avec 45 secondes d'avance,
21:16 et que ses équipes sont déjà très contentes d'avoir bouché le trou
21:21 sur le groupe Wout Van Aert, il va falloir continuer les gars,
21:24 la 5 bornes.
21:27 Quentin Paché de la Groupe Amas,
21:30 Ewan Costiou d'Arkea.
21:33 - Il y a du Cofidis, également.
21:36 Il y a au moins 3 coureurs de Cofidis qu'on a vus dans les...
21:39 - Oui, ils ont ramené Brian Cocard. - Brian Cocard, donc.
21:43 - Merlier qui est là, Tim Merlier.
21:49 - Donc Van Aert, Merlier, Cocard,
21:53 ça fait beaucoup de sprinteurs, mais...
21:56 - Pascal Helicorne, d'impression, le meilleur grimpeur de ce Tour de Suisse.
22:00 - Oui, qui ferme la marche. Je vous disais, beaucoup de sprinteurs,
22:03 mais ça ne suffira pas parce que devant, il y a un attaquant
22:06 qui est sorti à plus de 17 km de l'arrivée
22:09 et qui fait un formidable baroude d'honneur, c'est Remco Evenepoel.
22:21 - Evenepoel, c'est vrai qu'on avait noté ses limites en montagne,
22:26 ses limites du moment, où il était constamment en résistance,
22:30 que ce soit sur la route de Villars-sur-Olon,
22:33 sur celle le lendemain de l'Oech-les-Bains ou de la Pounte,
22:38 mais s'il a perdu du temps lors de l'étape Rennes,
22:42 auparavant, parfois en difficulté, parfois attaquant aussi,
22:46 en taquant, puis en difficulté, il avait parfaitement limité les dégâts.
22:49 Et si vous regardez les places qu'il a réalisées,
22:52 deuxième du contre-la-montre initial à Eids-y-Deln,
22:56 quatrième à Villars-sur-Olon, deuxième à l'Oech-les-Bains,
23:01 dixième à la Pounte et aujourd'hui peut-être une victoire qui lui tend les bras.
23:07 S'il parvient à résister, c'est bien parti à ce groupe important de coureurs.
23:11 Justement, Jumbo-Visma avec Wood-Von Arth,
23:15 va essayer malgré tout de se rapprocher de l'homme de tête.
23:20 C'est Kun Böhmann ou Sam Omen qui roule actuellement ?
23:25 C'est Sam Omen.
23:27 Il est genre sur deux.
23:29 Ah d'accord, vous en prenez un chacun comme ça vous êtes sûr de citer.
23:33 En tout cas, on roule pour l'équipe Jumbo-Visma.
23:42 À la poursuite de cet échappé.
23:45 Malheureusement, ce sera pas possible de rattraper Evenpool comme ça.
23:50 3,8 km, 50 secondes quasiment.
23:53 Oui, même s'il venait à perdre du terrain,
23:59 on ne voit pas comment en 3 km on peut reprendre autant de temps maintenant.
24:02 Là, il faut reprendre quasiment 15 secondes par km à Evenpool sur du plat.
24:07 Gorka Izagire est en dernière position.
24:10 Gorka, pardon, Young Izagire.
24:13 Devant, on voit bien que ça ne coince pas du tout pour Evenpool.
24:21 Tout va bien.
24:23 Ultra bien posé, très aéro.
24:27 Il pénètre, les mains juste posées pour bien pénétrer dans l'air.
24:32 Il n'y a rien qui dépasse, ça va très vite.
24:35 Quel tempérament, quel coureur.
24:38 C'est impressionnant ce mental, ce champion.
24:43 Vous savez que depuis le Tour de Suisse l'année dernière
24:50 et sa victoire dans le contre-la-montre final de cette épreuve,
24:54 il n'a gagné que des courses en World Tour,
24:59 auxquelles il faut ajouter aussi le championnat national contre-la-montre,
25:04 le championnat de Belgique contre-la-montre et bien sûr le titre de champion du monde.
25:07 Il y en a eu un paquet quand même de victoires.
25:10 Je vais les compter, il y en a eu 10 ou 11.
25:13 Il y en a eu 13, 13 victoires depuis l'année dernière, quasiment jour contre jour,
25:23 uniquement des grandes courses.
25:25 C'est surtout ces stats sur ces objectifs qui sont impressionnants.
25:29 Quand c'est un objectif, il est rarement plus loin que le podium,
25:33 et c'est souvent victorieux.
25:35 Sauf s'il est écarté par un virus un peu malin.
25:39 C'était le cas malheureusement sur les routes du Giro,
25:41 alors qu'il avait déjà obtenu deux victoires d'étape.
25:44 Et rappelons qu'il avait abandonné au soir de la 9ème étape à Cesena,
25:49 le contre-la-montre de Cesena qu'il avait remporté,
25:53 tout en étant déjà souffrant, ressentant les symptômes de la Covid-19.
26:00 Nelson Paules est sorti pour chercher la place de deux.
26:05 Sur le pavé kilométrique, on vous indique le retard de ce groupe, 48 secondes,
26:10 et on vous indique également le retard du groupe des favoris,
26:16 qui possède deux minutes de retard.
26:19 Je ne suis pas sûr, parce que le maillot jaune, on ne vous l'indique pas.
26:23 Est-ce qu'il est à deux minutes ou au-delà, ça reste anecdotique,
26:26 puisque si vous nous rejoignez maintenant,
26:28 alors que l'on passe sous la flamme rouge en ce qui concerne Renko Evenepoel,
26:31 on vous rappelle que les temps pour le classement général
26:34 ont été figés à 25 km de l'arrivée.
26:37 Décision prise dans le cadre de cette étape particulière,
26:41 au lendemain de l'annonce du décès de Gino Medair sur le Tour de Suisse.
26:46 On pourrait lui dire quand même à Renko de commencer à tourner les jambes,
26:52 pour demain de faire la petite récup, ça lui évitera de faire de l'homme trainer après.
26:56 Voilà, c'est bon, ça y est.
26:59 On commence à penser à demain.
27:01 N'oublie pas que je t'ai mis favori pour le classement général depuis le début de semaine.
27:04 Faut pas que tu me déçoives, Renko.
27:06 Et là déjà, vous voyez, sa force, sa motivation, sa détermination,
27:12 c'est évidemment à la mémoire de Gino Medair qu'il l'a dédié.
27:20 Et le public ne s'y trompe pas.
27:24 Le champion du monde.
27:26 Quel bel hommage avec ce maillot irisé sur les épaules.
27:29 On attendait un geste de champion.
27:31 Eh bien, Renko Evenepoel le donne ici au franchissement de la ligne d'arrivée à Weinfelden
27:37 en remportant cette étape.
27:39 Sa septième victoire de la saison.
27:41 Probablement la plus particulière dans un contexte qu'il ne connaissait pas.
27:47 Renko Evenepoel renoue avec la victoire
27:50 avant de disputer demain le contre la montre où il jouera le classement général.
27:55 Allez, derrière, on va se battre pour la deuxième place.
28:01 Lorenzo Manzin qui est là pour la totale énergie.
28:04 Brian Coquart aussi à la lutte avec Wood Manhart.
28:07 Finalement, c'est Manhart qui est passé sur la ligne juste devant Lorenzo Manzin, il me semble.
28:12 Brian Coquart devant peut-être se contenter de la troisième place de ce spring,
28:17 c'est-à-dire la quatrième place de cette étape.
28:20 Wood Manhart, en tout cas, peut avoir quelques regrets de ne pas avoir remporté cette étape
28:25 parce qu'il était le plus rapide du peloton.
28:27 C'était néanmoins un sprint assez serré.
28:29 Et la victoire pour Evenepoel.
28:33 Merci à tous les trois, Patrick Chassé, Christophe Ribault, Pierre Roland.
28:36 On reste avec vous quelques instants.
28:37 On espère avoir des réactions bien sûr au micro de notre revali spécial, Charles-Antoine Nora.
28:41 Je rappelle à tous nos spectateurs passionnés de moto que dans un instant,
28:44 on retrouvera les 24 heures de Spa.
28:46 La course est partie depuis 14 heures, mais on a le temps de débriefer un petit peu.
28:50 On vous raccourcit un tout petit peu le débrief, mais c'est normal, il y a la moto à côté.
28:53 On est à Spa en direct avec des changements de leader annoncés.
28:57 Qu'est-ce qu'on retient de cette fin de course ?
28:59 On savait que le début de course serait particulier, serait léger, chacun à un rythme plutôt calme.
29:04 Finalement, les coureurs ont joué le jeu en fin de course, on ne s'y attendait peut-être pas.
29:09 On retient surtout en tout cas que la mémoire de Gino Meder a été respectée,
29:14 et surtout le vœu de sa famille qui avait demandé aux coureurs de faire la course,
29:19 que la vie reprenne, et qu'elle reprenne de la plus belle façon.
29:23 Certes, il y a eu cette course neutralisée jusqu'à 25 km de l'arrivée,
29:28 mais ensuite on a eu une belle explication, immédiatement on revoit ici ce sprint,
29:32 sprint très disputé, je ne vais pas dire qu'on l'a disputé comme s'il y avait la victoire au bout,
29:36 parce que de toute façon Remco Evenepoel s'était mis hors de portée.
29:40 Mais on voit quand même que Wout van Aert s'est livré totalement pour aller arracher cette 2ème place
29:47 devant Lorenzo Manzà au passage sur la ligne.
29:51 Et puis voilà, je ne sais pas si vous voulez ajouter quelque chose,
29:54 mais c'est vrai que cette étape, je ne sais pas si on en retiendra autre chose que ce moment de recueillement,
30:01 mais surtout cette façon qu'ont eue les coureurs, une façon assez intelligente de se remettre au sport de façon progressive.
30:07 Non mais il ne faut retenir que ça, il faut retenir le symbole du champion du monde Evenepoel qui gagne,
30:14 le respect des... alors que là on voit le reste du groupe, le reste du peloton qui arrive tout simplement.
30:22 Et le leader, Mathias Kjellmoze qui a franchi la ligne.
30:24 Messieurs, je vous coupe parce qu'on a le premier français au micro de Charles-Antoine Nora, Brian Cocard.
30:32 On imagine que c'est compliqué de se jouer la gagne après autant d'émotions, après une journée aussi difficile.
30:38 Ah ouais, les deux derniers jours ça a été très compliqué à gérer.
30:44 On est une grande famille, même si on frotte tout au long de l'année pour avoir la meilleure position possible.
30:54 Mais on ne fait pas du vélo pour ce qui est arrivé.
31:01 J'ai vu un petit texte de Romain Bardet hier et on l'a fait un millier de fois.
31:07 Un jour, quelque chose de dramatique arrive.
31:13 Ouais non, c'était pas facile après nous.
31:17 On avait l'équipe, on avait fait le choix de vouloir courir aujourd'hui.
31:22 On lui a rendu un hommage hier.
31:25 Aujourd'hui, malgré tout, c'était aussi un hommage à Gino et on a fait la course les 25 derniers kilomètres.
31:31 Je pense que c'était le meilleur qu'on promis.
31:34 Il va falloir qu'on reprenne un peu tous nos esprits, qu'on rentre à la maison, auprès de notre famille, nos amis, de nos proches,
31:46 pour digérer un petit peu tout ça parce que c'est dramatique ce qui est arrivé.
31:53 Merci Brian.
31:55 Que c'est difficile, on relativise après ces mots de Brian Coquart qui a fini 4ème de cette étape remportée par Remco Evenpool.
32:03 Mais on le rappelle, Gino Madère, le coureur suisse, décédé hier à 26 ans des suites de cette énorme chute.
32:09 On ne pense qu'à ça et pourtant la course continue.
32:12 C'était les volontés de sa famille, continuer de rouler, continuer de vivre.
32:14 Messieurs, un petit mot de l'étape de demain parce qu'on y retourne demain à 17h pour la dernière étape, le contre la montre.
32:20 Oui, le contre la montre, ce sera un chrono qui sera quand même assez difficile et qui sera assez long, surtout 26 km.
32:27 Ça apportera des modifications au classement général puisqu'on rappelle que le podium se tient en 18 secondes.
32:32 Félix Gall, le coureur de l'équipage de ZR Citroën, 2ème derrière Mathias Schelmose à 8 secondes, devrait selon toute logique perdre du temps.
32:40 Juan Ayuso face à Mathias Schelmose, un duel, les deux hommes se sont séparés de 18 secondes au profit du coureur danois.
32:49 Peut-être arbitré par Remco Evenepoel, vainqueur aujourd'hui et qui figure en 4ème position à 46 secondes au lendemain de cette victoire que l'on vient de vivre.
33:00 C'est un chrono qui est, Pierre-Roland, quand même vallonné, notamment sur sa deuxième partie.
33:06 Oui, c'est un chrono qui est très difficile, qui va être difficile.
33:10 On voit à l'image le départ, mais on voyait aussi Remco Evenepoel déjà sur l'entraîneur en train de penser à l'étape de demain.
33:21 Avec ce chrono, on voit la difficulté au milieu, enfin sur la deuxième partie.
33:25 Donc voilà, des écarts et surtout un suspense qui est total pour l'étape de demain.
33:30 France, on rappelle que demain, on ne sera pas en direct pour ce contre la monte, mais on pourra le vivre en direct sur la plateforme l'équipe live à partir de, je crois, 14h30.
33:39 Et puis seulement à partir de 17h00, il me semble, sur la chaîne l'équipe.
33:43 Exactement, parce que vous savez qu'on aura la moto, on aura du football, on aura plein de choses à vivre.
33:47 Il y a vraiment beaucoup d'événements qui se bousculent tout ce week-end sur la chaîne l'équipe.
33:50 On va attendre les classements qui vont s'afficher dans un instant.
33:53 Je vous rappelle la suite des festivités.
33:55 On ira à Spa-Francorchamps dès qu'on aura la suite et la fin des classements de cette étape du Tour de Suisse.
34:00 Parce que les 24 heures de Spa continuent.
34:02 Ils se sont lancés de toute beauté tout à l'heure à 14h00 avec plein de Français, plein de favoris.
34:06 C'est la deuxième étape du Championnat du Monde d'endurance.
34:09 Il y a vraiment beaucoup d'enjeux et de points à aller gratter.
34:12 On sera dans une belle soirée football ensuite avec deux belles affiches des Qualifiers à l'Euro 2024.
34:18 18h, Norvège-Ecosse, 20h45, Portugal-Bosnie.
34:21 Là aussi, il y aura du lourd entre Erling Haaland sous vos yeux ou encore Cristiano Ronaldo côté Portugal.
34:28 Nos deux émissions, foot du soir, 24 minutes chrono avec Benoît Cossé
34:31 ou encore l'équipe du soir autour de Karim Benhani pour débriefer de toute cette soirée football.
34:36 Ensuite, on recommencera demain avec encore d'autres festivités.
34:40 On va être en direct des Pays-Bas dans un instant parce que c'est un week-end de Ligue des Nations.
34:44 Petite finale et grande finale à suivre demain en direct sur notre antenne.
34:48 On va aller prendre la température sur place.
34:50 Il y a eu des conférences de presse aujourd'hui, on en sait un petit peu plus.
34:53 Giovanni Castaldi sera avec nous dans un instant pour nous dire un petit peu ce qui se passe là-bas.
34:58 En attendant, on revient en Suisse. Mathias Kelmoze, le leader avant cette dernière étape.
35:04 Oui, c'est bien ça. Mathias Kelmoze qui est un coureur de 22 ans qui devrait participer au prochain Tour de France.
35:10 Qui aujourd'hui est resté dans l'ombre comme les autres leaders que j'ai cités, Félix Gall ou Juan Ayuso
35:18 parce que les temps étaient figés à 25 km de l'arrivée.
35:21 On revoit justement le moment où la course s'est animée au-delà de cette ligne où étaient fixés les temps.
35:29 Et surtout cette attaque de Remco Evenepoel qui a lancé avec Beret la course.
35:37 L'Ethiopien d'ailleurs, Agoswelle Beret, n'a pas pu accompagner le champion du monde parce que c'était assez foudroyant.
35:44 Et derrière, on ne s'est pas organisé de la meilleure façon pour pouvoir résister à cette offensive.
35:51 Et on n'a donc pas pu contrarier l'objectif qui était celui du champion du monde.
35:56 De rendre hommage à Gino Meyder en franchissant la ligne.
36:01 Un maillot irisé, ici vainqueur de la 7ème étape du Tour de Suisse.
36:06 Le champion du monde, Remco Evenepoel, qui quelques semaines après son abandon sur le Tour d'Italie, renoue avec le succès.
36:13 Merci Patrick Chassé, on n'a pas fini de rendre hommage à Gino Meyder tout au long de ce week-end.
36:18 Et demain, pour la dernière étape, tout le monde du cyclisme pense à lui et à sa famille.
36:23 Retour au football, parce que c'est un beau week-end de Ligue des Nations qui nous attend.
36:28 Avec la petite finale demain à 15h entre les Pays-Bas et l'Italie.
36:31 Et puis la grande finale à 20h45 avec Croatie-Espagne.
36:35 Une Ligue des Nations qui se déroule aux Pays-Bas à Rotterdam où l'on va retrouver notre spéciale Diomenic Astaldi.
36:41 On rappelle que les Bleus sont éliminés et pourtant on parle quand même de l'équipe de France.
36:45 Enfin surtout d'un joueur je crois en conférence de presse.
36:48 Bonjour France, quel plaisir de vous entendre. Vous avez l'air en pleine forme, ça fait vraiment plaisir.
36:55 Oui effectivement puisque ce matin à midi ici aux Pays-Bas, il y avait la conférence de presse de l'équipe espagnole
37:01 avec l'entraîneur, le sélectionneur de la Fuente et puis le joueur Rodri.
37:05 Et un journaliste a tenté cette question sur Kylén Mbappé, puisque vous le savez, l'avenir de la star du Paris Saint-Germain.
37:10 Agite la planète football. Alors est-ce que c'est une bonne ou une mauvaise chose si jamais, on est toujours dans les si,
37:16 concernant l'avenir de Kylén Mbappé, s'il rejoignait la Liga et forcément le Real Madrid ?
37:21 La réponse du sélectionneur espagnol, on l'écoute.
37:23 Malgré tout le respect que j'ai pour Mbappé, je ne m'en préoccupe pas.
37:29 Je me préoccupe surtout du match de demain. Je me préoccupe de mes joueurs.
37:33 Et je m'assure qu'ils se sentent tous très bien pour ce match.
37:36 Malgré tout le respect que j'ai pour Kylén, qui est un grand joueur, je m'en fiche.
37:41 Mais comment ça il ne se préoccupe pas de Mbappé ? C'est bien le seul, bien tenté en tout cas le journaliste.
37:46 Je vous relance sur la grande finale en Portugal-Bosnie. Pardon, c'est les qualifiers.
37:52 Croatie-Espagne, oui mais il y a trop de foot. Écoutez, moi je suis perdu avec tous ces matchs de foot.
37:55 Croatie-Espagne, donc 20h45. On se disait dans la rédaction, difficile de trouver un favori.
38:01 Vous avez une tendance, vous, qui se détache, Giovanni ?
38:05 Mais France, c'est bien que vous vous trompiez sur les matchs.
38:09 Ça veut dire qu'on a beaucoup de matchs en direct, en clair, sur la chaîne L'Equipe, à offrir à nos téléspectateurs et à nos téléspectatrices.
38:14 Oui, moi je l'ai dit hier un petit peu dans l'équipe de Greg, pour moi la Croatie se détache.
38:20 Parce que je trouve qu'ils ont fait un match fantastique face aux Pays-Bas.
38:23 Je trouve que l'Espagne a fait un bon match face à une très très faible équipe italienne.
38:28 Et puis c'était un petit peu d'ailleurs le sens de la conférence de presse tout à l'heure,
38:32 quand on a eu le sélectionneur croate Dalic et le joueur Ivan Perisic.
38:36 Il y a toujours ce spectre un peu de Luka Modric qui plane sur cette équipe croate.
38:40 Tous ont envie d'offrir un titre au capitaine de la sélection croate.
38:45 On ne sait pas d'ailleurs s'il prendra sa retraite après cette finale de la Ligue des Nations.
38:49 Et vraiment, je trouve que les Croates sont déterminés.
38:52 Il y a un milieu de terrain exceptionnel avec Mateo Kovacic, Brozovic et Luka Modric.
38:56 Donc pour moi, il y a vraiment une avance pour les Croates que je vois favoris de cette finale.
39:00 Merci beaucoup Giovanni. Profitez bien de l'entraînement des Croates qu'on aperçoit derrière vous.
39:04 Et merci de m'avoir corrigé. Donc Croatie-Espagne demain 20h45 pour la finale de la Ligue des Nations en direct de Rotterdam.
39:10 Recoiffez-vous aussi. Vous restez bien avec nous.
39:12 Juste après la pub, on passe en mode moto.
39:14 Les 24 heures de Spa qui sont parties depuis quelques heures maintenant.
39:17 Beaucoup de suspense, beaucoup de Français, beaucoup d'enjeux à suivre. A tout de suite.
39:20 [Musique]