Jeudi dernier, l’Olympique de Marseille et Igor Tudor annonçaient la fin de leur histoire. Forcément, les premières rumeurs ont fusé concernant les premières pistes pour remplacer le géant croate. Ce lundi, Pablo Longoria était devant les médias et a donné quelques nouvelles indications sur le profil, que nous vous avons dépeint, du prochain homme fort du banc marseillais.
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00:00 Cette identité de jeu c'est une grande question,
00:02 spécialement parce qu'il existe beaucoup de façons de jouer.
00:05 Je crois que donner continuité à cette identité de jeu,
00:09 dans ce moment dans le monde du football actuel,
00:11 je crois qu'il y aura
00:13 des demi-entraîneurs qui jouent de la même façon.
00:17 Je ne crois pas qu'on va continuer tout à fait
00:21 à jouer dans un marquage individuel dans tous les terrains,
00:24 spécialement parce que ce type de jeu de marquage individuel
00:28 c'est une question très spécifique.
00:30 C'est une question qu'on a vu qu'il faut tenir
00:33 à niveau mental, à niveau de concentration,
00:36 à niveau technique et à niveau physique,
00:39 que c'est très important.
00:40 Ce n'est pas une excuse,
00:42 mais c'est vrai que la plus grande part des entraîneurs maintenant
00:46 qui jouent ce style de jeu
00:48 sont de différentes tendances pendant la saison
00:51 en fonction des raies de concentration
00:54 et des raies physiques de ces équipes.
00:58 Et même les erreurs que tu commis à niveau individuel,
01:01 ça se voit beaucoup.
01:02 Dans le moment que tu joues un marquage individuel
01:04 et que ce joueur fait une erreur,
01:06 ça commence à se transmettre dans un erreur collectif.
01:10 On parle plutôt de ce style de danse en façon générale.
01:15 Je crois que ce type de style de jeu,
01:17 on a cru au commence de la saison
01:19 que jouer un type de football physique
01:22 qui régnait des doigts à l'individuel,
01:24 ça pouvait nous porter à réduire la distance
01:27 avec l'heure du classement.
01:30 Je crois que pendant un moment de la saison,
01:32 on était capable et on était à ce niveau là-bas.
01:36 Et en même temps, à niveau européen,
01:38 je crois avoir la possibilité
01:39 pratiquement jusqu'au dernier moment
01:41 de qualifier en huitième de finale,
01:43 c'est quelque chose
01:44 que l'on a réduit un peu la distance.
01:46 La saison dernière,
01:48 et avec tout l'honnêteté du monde,
01:49 on était content de gagner le Parc des Saloniques
01:52 et avec tout le respect du Parc des Saloniques,
01:54 qui est un club qui fait ses campagnes européennes,
01:58 on allait à Caravar,
02:00 et même on avait souffert pendant la première mi-temps,
02:03 cette saison avec Sport Lisbonne,
02:05 qui a fait une bonne campagne européenne,
02:06 à Intracran pour qu'ils viennent de jouer
02:10 et de gagner la Europa League.
02:12 Et avec Tottenham, qui est un club
02:14 avec toutes les possibilités économiques,
02:16 on parle pas de la tendance
02:18 pendant la saison qu'on était en haut,
02:20 et dans le moment final,
02:22 avec tous les changements d'entraîneurs,
02:24 ils ont fait un final de saison,
02:26 comme le nôtre,
02:28 on va se le dire,
02:31 on était compétitif.
02:34 C'est quelque chose
02:35 dans lequel on a fait beaucoup d'améliorations.
02:38 Je crois que le football,
02:40 il tend vers un football plutôt physique.
02:42 Je crois que les talents,
02:44 chaque fois moins,
02:45 il y a de l'espace dans le football,
02:47 parce que la différence des talents des joueurs,
02:48 c'est quelque chose qui est un gape énorme.
02:51 Mais je crois que pour chercher
02:53 de plus en plus de compétitivité,
02:55 de ces effectifs, chaque année, plus physiques,
02:57 c'est la tendance dans laquelle
02:59 il tient le football moderne.