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00:00 le temps ou alors les mots
00:07 le temps ou alors les mots. Mon
00:11 le temps ou alors les mots. Mon
00:15 le temps ou alors les mots. Mon
00:18 le temps ou alors les mots. Mon
00:21 le temps ou alors les mots. Mon
00:24 le temps ou alors les mots. Mon
00:27 le temps ou alors les mots. Mon
00:30 le temps ou alors les mots. Mon
00:30 le temps ou alors les mots. Mon est-ce que c'est? En tant que
00:36 est-ce que c'est? En tant que
00:36 est-ce que c'est? En tant que maire de Dakar, Manglègnan,
00:40 maire de Dakar, Manglègnan,
00:40 maire de Dakar, Manglègnan, tigèque, au troisième mandat de
00:43 tigèque, au troisième mandat de
00:43 tigèque, au troisième mandat de Kutissouf. En tant qu'acteur
00:45 Kutissouf. En tant qu'acteur
00:45 Kutissouf. En tant qu'acteur politique, président Manglègnan,
00:47 politique, président Manglègnan,
00:47 politique, président Manglègnan, tigèque, au troisième
00:57 tigèque, au troisième
00:57 tigèque, au troisième mandat de Kutissouf.
01:01 mandat de Kutissouf.
01:01 mandat de Kutissouf. Mais
01:05 parce que
01:08 bon, on peut voir le le coup de
01:19 troisième mandat et t'as eu un
01:24 troisième mandat et t'as eu un
01:24 troisième mandat et t'as eu un petit ascandue, du tibéri, du
01:26 petit ascandue, du tibéri, du
01:26 petit ascandue, du tibéri, du japonien, il y a d'un gars qui a
01:29 japonien, il y a d'un gars qui a
01:29 japonien, il y a d'un gars qui a éliminé n'y a pas de monotone.
01:31 président, toi, tu sais, nous
01:32 président, toi, tu sais, nous
01:32 président, toi, tu sais, nous savons et Dieu peut nous aider.
01:36 Donc,
01:39 référendum.
01:42 Et président, violence
01:45 Et président, violence
01:45 Et président, violence bouliguiste
01:48 Et président, violence bouliguiste et je pense que
01:51 et je pense que
01:51 et je pense que troisième mandat
01:57 président
02:00 de la guerre. Parce que président
02:08 de la guerre. Parce que président
02:08 de la guerre. Parce que président Nantelle Bouni Wote Senegal.
02:11 Nantelle Bouni Wote Senegal.
02:11 Nantelle Bouni Wote Senegal. J'ai dit que c'est un gars qui a été
02:16 J'ai dit que c'est un gars qui a été
02:16 J'ai dit que c'est un gars qui a été connu. Parce que nous ne
02:20 connu. Parce que nous ne
02:20 connu. Parce que nous ne sommes pas là. C'est un gars qui a été
02:22 sommes pas là. C'est un gars qui a été
02:22 sommes pas là. C'est un gars qui a été connu. C'est un gars qui a été
02:22 connu. C'est un gars qui a été connu. C'est un gars qui a été
02:22 l'empreinte
02:28 de la vie. Moussou Nulafal Naku.
02:34 Je veux dire que c'est un peu de la vie. Et l'eau, d'adolescence. Fille, y a la de Kévinec. Kéné, Koufi. Am, y a le mouibour. Niaque, y a le mouibour. Amofinon. L'och n'a le coup de Béréla Doit-il président? De l'ébogue d'imbélie. Nakhiaw n'a mené d'imbélie sénégale. Tu y bandes à n'en. D'imbélie-le pour voir n'a que la lègue ou tel lion ne gaine pas la grande porte parce que moi-même c'est cher président. President,
03:04 président, président. Sélection Sénégal. Parce que constitution, l'humour est organisé, élection. Selection il y a fait y a que Yalla mon décide que sélection dirt-il? Mets sa culture au président. M'entendre, président? Je crois que
03:33 je suis pris par mon père. Mais il y a pas de sujet tabou. Comment le sujet tabou? Parce que c'est pas prêt. Mais c'est aussi à Sénégal, il y a pas de niveau. Parce que le Sénégal, le Sénégal, le Sénégal, il y a que des filles. Il y a que des nains. On t'est qu'elle mousse au pouvoir par une violence absolue. Té,
04:02 C'est
04:30 pour souhaiter à la grande muette la bienvenue chez eux, la bienvenue dans leur capitale.
04:34 Les invités à continuer à rester cette armée républicaine exemplaire, aux côtés
04:39 du peuple sénégalais.
04:40 Mais je voulais vous rassurer, vous cette grande muette, que Dieu vous garde et que
04:44 Dieu vous bénisse.
04:45 Nous allons trouver un dénouement heureux à cette situation.
04:49 Nous sommes des acteurs politiques, nous sommes un peuple mûr, que vous puissiez nous accompagner.
04:56 Mais à vous le peuple sénégalais.
05:01 Si on ne s'entend pas que personne vienne dire que
05:06 ou le dégoût
05:10 mangui tous les acteurs politiques de tous bords y compris
05:17 opposition
05:20 et vous êtes des responsables et vous avez une responsabilité à assumer dans ce pays.
05:30 Et vous savez que vous êtes des enfants et vous ne pouvez pas vous enlever.
05:34 Vous ne pouvez pas vouloir un réunion, un réunion où vous ne pouvez pas vous en parler. C'est ce qui ne peut pas se passer.
05:41 Si je suis enceinte, si vous le faites, si vous avez des problèmes, si vous êtes dans un pays comme le Sénégal, vous ne pouvez pas vous en parler.
05:50 Si vous êtes enceinte, si vous voulez vous en parler, vous ne pouvez pas vous en parler.
05:54 Je dis que tous les chefs religieux de ce pays, toutes les religions confondues,
06:02 nous vous enveillons, nous vous soutenons, nous vous soutenons.
06:06 Et je veux dire que tous les chefs religieux sont enceintes et sont enceintes au Sénégal.
06:11 Et si vous voulez vous en parler, vous pouvez vous en parler, mais vous ne pouvez pas vous en parler.
06:17 Il faut que les acteurs fassent preuve de tenue et de retenue.
06:21 Nous pensons que le président va faire un troisième mandat.
06:27 Je suis enceinte et je crois que le troisième mandat sera au Sénégal.
06:31 Mais nous le ferons. Nous allons parler et nous allons laisser les gens qui sont là-bas.
06:38 Je veux dire, je veux se faire peur. Je veux se faire peur.
06:42 Parce que
06:48 commencer mais
06:52 qu'on a
06:56 élection présidentielle février 2024.
07:02 Donc, je vais faire ce dialogue-là parce que je ne peux pas me laisser.
07:06 Je vais vous donner les termes de référence.
07:08 Parce que moi, je ne suis pas là pour dire que je suis enceinte.
07:12 Je suis enceinte pour parler au Sénégal.
07:14 Et qu'est-ce qu'on peut faire pour sortir du Sénégal dans le temps qu'il est là.
07:18 On a des gens qui sont sur d'autres bords.
07:22 Ils ne sont pas là pour rien.
07:24 Ils pensent que le mandat de président, on va le proroger.
07:28 Mais il n'est pas là pour rien.
07:32 On est d'accord.
07:36 Boulanger
07:40 excuse ou le prétexte pour
07:44 organiser l'élection.
07:48 Moins de chèque.
07:52 Le président
07:56 une rébellion dans le nord de ce
08:00 pays.
08:04 Parce que
08:08 parce que
08:12 et l'union
08:16 le Sénégal.
08:20 Donc moi qui
08:24 mais au force de défense et de sécurité.
08:28 Nous l'aimons
08:32 que
08:36 nous y saccouchions
08:40 euh,
08:44 que nous devons choisir de faire maintien de l'ordre.
08:48 Maintien de l'ordre
08:52 de l'un des
08:56 l'image du Sénégal.
09:00 Vous exercez certes un droit.
09:04 Mais
09:08 nous sommes des voisins, nous sommes des parents.
09:14 Parce que
09:18 nous
09:22 nous
09:26 parce que
09:30 c'est parce que
09:34 le Sénégal
09:38 le Sénégal
09:42 et
09:46 en tant que maire de Dakar, en tant qu'acteur politique, en tant que jeune frère.
09:54 Moi qui
09:58 de
10:04 Sénégal
10:08 Sénégal
10:12 Bonsoir. Sénégalais d'ici et d'ailleurs. Je viens vers vous
10:18 aujourd'hui pour pouvoir échanger et communiquer sur la gravité de l'heure.
10:24 À l'entente de mon propos, je souhaiterais présenter mes plus sincères condoléances à l'ensemble du peuple sénégalais.
10:32 Mais surtout dire toute la peine qui nous anime en tant qu'acteur politique, mais en tant que citoyen sénégalais lambda.
10:44 Chers concitoyens, l'heure est grave. Mais nous devons faire confiance au génie du peuple sénégalais.
10:54 Nous avons toujours vécu des moments certes incertains, mais nous avons toujours trouvé la force de nous relever.
11:02 Et surtout l'intelligence pour pouvoir dépasser certaines situations.
11:06 Aujourd'hui, je ne souhaiterais pas commenter cette parodie de justice qui a plongé le Sénégal dans cette situation chaotique et malheureusement incertaine.
11:18 Nous avons toujours dit que la justice sénégalaise est à l'origine de quasiment tous les maux dont souffre actuellement le Sénégal.
11:26 Cette justice, je ne parlerai pas de sa condamnation, parce qu'il n'y a pas de condamnation.
11:32 Nous avons assisté à une volonté manifeste de vouloir verser dans une disqualification, voire une élimination d'un acteur politique de premier plan.
11:42 Et je voudrais dire que nous sommes aujourd'hui au troisième, voire au quatrième quart, et ça ne peut plus continuer.
11:50 Et l'objectif recherché dans cette parodie de justice, c'est de trouver les voies et moyens de créer les conditions d'organiser une sélection et non une élection en 2024,
12:05 surtout concernant l'élection présidentielle qui est tant attendue par le peuple sénégalais.
12:11 C'est la raison pour laquelle j'aurais souhaité interpeller directement le Président de la République, M. Makisal.
12:18 Il n'y a pas de problème juridique concernant les hommes politiques.
12:22 Ce qu'il y a aujourd'hui, c'est la volonté d'un homme qui est en train de s'abattre, sous données de citoyens, sur des leaders politiques,
12:31 qui n'ont peut-être commis qu'un seul crime, c'est de nourrir une ambition de servir leur pays.
12:37 Et cela n'est pas honorable dans une démocratie qui se respecte.
12:41 C'est la raison pour laquelle, M. le Président de la République, je prends l'opinion nationale et internationale à témoin.
12:48 Vous avez, lors de l'ouverture du dialogue national, concernant la question du troisième mandat,
12:58 vous avez dit qu'on a qu'à vous le demander en tout respect et en toute courtoisie,
13:04 et qu'il n'est pas question que vous acceptiez que certains vous le demandent par la force.
13:09 M. le Président de la République, pour la paix au Sénégal, nous sommes prêts, nous, à nous mettre à genoux.
13:18 Parce que vous avez la clé aujourd'hui, entre vos mains, de la sortie de crise de ce pays, et personne d'autre.
13:26 C'est vous, M. le Président de la République.
13:28 Alors, comme vous avez demandé à ceux qui vous demandent, s'il vous plaît, de ne pas briguer le troisième mandat,
13:34 je vous demanderai trois fois, s'il vous plaît, M. le Président Makisal, d'évacuer cette question concernant
13:40 cette volonté que vous avez prêtée de vouloir briguer un troisième mandat.
13:43 D'abord, je vous demande, s'il vous plaît, en tant que maire de Dakar,
13:47 je vous demande, s'il vous plaît, en tant qu'acteur politique,
13:50 je vous demande, s'il vous plaît, en tant que jeune frère,
13:53 le Sénégal ne mérite pas ce qu'il est en train de vivre présentement.
13:57 Le Sénégal ne mérite pas, aujourd'hui, de vivre cette souffrance qui nous est imposée au nom de la bêtise politique,
14:06 excusez-moi cette expression.
14:08 Deux jours de manifestation, quinze morts.
14:12 Injustifiable et inacceptable.
14:15 Nous avons été, nous sommes et nous comptons rester ce modèle de démocratie sur le continent africain et à travers le monde.
14:24 Et, Président, Monsieur le Président Makisal, vous avez la responsabilité historique d'accompagner le Sénégal
14:30 à continuer à rester debout, droit dans ses bottes.
14:34 Parce que le peuple sénégalais, en votant pour vous, n'a pas voté pour être massacré, n'a pas voté pour être humilié.
14:42 Le peuple sénégalais a voté pour vous en espérant pouvoir compter sur vous
14:48 pour conduire le Sénégal vers un développement durable et viable.
14:52 C'est la raison pour laquelle, Monsieur le Président de la République, je vous interpelle directement.
14:57 Je vous invite à prendre vos responsabilités et à vous adresser au peuple sénégalais.
15:02 Rassurez le peuple sénégalais.
15:05 Prenez l'engagement de respecter vous-même vos propres engagements envers le peuple sénégalais,
15:11 surtout lors du référendum que vous avez eu à organiser en revisant la constitution du Sénégal,
15:19 comme vous l'avez déjà dit et vous l'avez répété aussi bien au niveau national qu'à l'international,
15:24 ne vous permettez pas de prétendre briguer un troisième mandat.
15:28 Parce que cette question, Monsieur le Président de la République, de votre volonté qui vous est prêtée,
15:33 de vouloir briguer un troisième mandat, est à l'origine de tout ce qui se passe actuellement.
15:38 Monsieur le Président de la République, vous n'avez pas le droit d'éliminer des adversaires politiques.
15:46 C'est ça la vérité. Parce que si le Président Abdoulaye Wad, au passage à qui je rends un vibrant hommage,
15:54 avait décidé d'en faire de même, je ne pense pas qu'aujourd'hui vous serez Président de la République du Sénégal.
16:00 C'est la raison pour laquelle je vous invite respectueusement, je vous invite une fois de plus,
16:06 à revenir à la raison, Monsieur le Chef de l'État.
16:09 Regardez ces enfants. Regardez ces pères et ces mères de famille qui souffrent.
16:15 Regardez ce pays aujourd'hui qui est à genoux. Je vous invite à vous ressaisir.
16:20 Je vous invite à prendre cette main qui ont vous attendu.
16:23 Faites-le pour l'intérêt de ce pays qui vous a vu naître et grandir.
16:27 Mais faites-le surtout pour l'intérêt de ce pays qui vous a donné tous les honneurs.
16:31 Vous avez été dans ce pays ministre d'État, président de l'Assemblée nationale du Sénégal,
16:36 Premier ministre et Chef de l'État. Ce pays ne vous doit plus rien du tout, Monsieur le Chef de l'État.
16:41 À ce peuple sénégalais, ce peuple vaillant, je vous réitère mes condoléances.
16:47 Nous avons tous mal. Mais sachez une chose, c'est que les épreuves de la vie sont faites pour renforcer les hommes et les peuples.
16:56 Vous avez rendez-vous avec votre destin. Ne bousillez pas tout.
17:01 Dans quelques mois, vous allez être un pays pétrolier et gazier.
17:05 Beaucoup de choses changeront dans ce pays. Ne marchez pas vers le mur, ce n'est pas votre devoir.
17:11 Faites preuve de tenue et de retenue, mais dans la fermeté et dans la dignité.
17:16 Mais retenez ce que je vous dis, la politique, c'est comme cela.
17:23 Et c'est comme cela malheureusement dans la plupart des républiques bananières.
17:26 Lors de l'ouverture de ce dialogue, certaines personnes, pour ne pas dire certains acteurs,
17:34 leur volonté de voir éventuellement l'actuel président proroger son mandat d'un an ou de deux ans.
17:43 Je vous invite à ne pas leur donner cette possibilité.
17:47 Je répète que dans un pays pas loin du Sénégal, on a vu récemment un président rester au pouvoir pendant plus de dix ans sans organiser aucune élection,
17:57 au prétexte qu'il y avait une rébellion dans le nord de son pays.
18:01 Dans ces conditions, ne donnez pas à certains acteurs politiques le prétexte ou l'excuse de rester encore au pouvoir,
18:11 sachant qu'ils n'ont pas le droit à un troisième mandat.
18:14 Faisons preuve d'intelligence, faisons preuve de responsabilité, faisons preuve de citoyenneté dans la dignité et la fermeté,
18:21 mais n'insultons pas l'avenir.
18:24 Comme je vous l'avais dit, si nous n'arrivons pas à nous entendre, il y a un acteur qui rentrera en jeu.
18:31 Et depuis 48 heures, cet acteur est en ville.
18:34 Vous me permettrez de saluer l'armée sénégalaise, de leur souhaiter la bienvenue dans leur capitale,
18:39 et de prier pour eux, que Dieu les garde, que Dieu les bénisse.
18:43 Je souhaiterais à l'endroit de cette grande muette vous dire que vous avez toujours été la fierté de ce pays, la fierté du continent.
18:51 Je vous invite à rester à la place qu'elle a vôtre.
18:57 Je vous invite à nous faire confiance, et je vous invite au besoin à nous accompagner à trouver des solutions à la sortie de crise.
19:04 Mais je vous invite surtout à rester aux côtés du peuple sénégalais.
19:07 Mais je vous invite, vous, peuple sénégalais,
19:10 sachez que chacun doit rester à sa place,
19:15 et ce pays doit continuer à être dirigé par la grâce de Dieu, par des civils.
19:21 Faisons preuve d'intelligence,
19:24 et je fais partie de ceux qui pensent aujourd'hui que le président de la République du Sénégal comprend la gravité de l'heure,
19:33 et comprend qu'il n'a pas de place éventuellement pour un troisième mandat.
19:36 Ne bousillons pas ce pays, ne détruisons pas ce pays, ne brûlons pas ce pays, il y va de notre responsabilité.
19:43 Je voudrais au passage remercier tous les chefs religieux du Sénégal,
19:47 toutes religions confondues, toutes confrères confondues,
19:50 pour leur engagement, leur posture, leur discours d'apaisement, de paix.
19:56 Je leur invite à discuter, à dialoguer, pour un Sénégal de paix, un Sénégal de stabilité, un Sénégal d'avenir.
20:05 Et je ne terminerai pas mon propos en disant que je n'ai aucun doute
20:11 qu'on saura nous relever le moment venu, sortir de cet impasse,
20:15 et comprendre que nous avons le devoir et la responsabilité historique de marcher vers l'essentiel.
20:23 Sénégalais, Sénégalais, que Dieu vous garde et que Dieu vous bénisse.
20:28 Au revoir.
20:31 Sénégalais, Sénégalais, que Dieu vous garde et que Dieu vous bénisse.
20:34 Nous sommes des gens qui nous battons, nous sommes des gens qui nous soutenons.