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Antoine Dupont et Fred Michalak découvrent leur statue de cire au musée Grévin

(Interview de Robin Bernaud et Romain Ambro)

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Transcription
00:00 J'ai essayé de gruger un peu avec les sculpteurs et franchement ils n'étaient pas commode, ils ne voulaient pas nous arranger.
00:04 Ok, on est ici au musée Grévin à Paris pour l'inauguration des statues de Frédéric Michalak et Antoine Dupont.
00:10 C'est vraiment perturbant de se retrouver avec sa statue de cire en face de soi, c'est tellement réaliste, tellement bien fait, jusqu'aux moindres cheveux, moindres poils de barbe, moindres cicatrices, ils vont vraiment très loin dans les détails.
00:22 C'est là qu'on comprend comment ils arrivent à être aussi justes et aussi réalistes. J'avais déjà visité le musée, donc il y a vraiment des statues qui sont troublantes, on se demande à quel moment on se mettra à bouger.
00:30 Quand on est depuis l'intérieur, on voit le temps qu'ils y passent rien que pour les prises de mesures et à régler tous les détails, on comprend mieux la justesse du résultat.
00:39 C'est impressionnant, bluffant, après on ne sait pas via notre regard est-ce que c'est réussi.
00:43 Après moi je m'observe, bien sûr on se trouve toujours des défauts, on se dit on est mal coiffé, on a trop de cheveux.
00:49 Je me connais un peu mon visage, je le vois tous les jours dans la glace et je vois tout ce qui pourrait être mieux fait.
00:56 On a essayé de gruger un peu avec les sculpteurs et franchement ils n'étaient pas commodes, ils ne voulaient pas nous arranger.
01:01 J'ai eu la chance de pouvoir venir avec une quinzaine de mes amis et de partager ces moments, c'est hyper fort.
01:08 C'est vrai que c'est sur des cérémonies, des moments comme ça où on fait un peu la rétrospective de notre parcours.
01:13 Commencer dans un petit village de 500 habitants des Hautes-Pyrénées et finir ici en statue, on n'aurait pas parié dessus.
01:20 Ça donne toujours un côté émotif, mais c'est bien de pouvoir le partager aussi avec ses proches.
01:25 C'est différentes générations, il est bien plus jeune que moi aujourd'hui.
01:28 On a joué l'un contre l'autre, je ne sais pas si tu te souviens, je crois que c'était à Toulon, c'était mon premier match je crois, ou pas loin.
01:35 Je t'avais mis de raffine.
01:37 On retrouvera les images.
01:39 On va retrouver les images.

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