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FAST and FURIOUS X critique post-projection
Transcription
00:00 En réfléchissant à cette saga de films et à ce film précis, donc Fast and Furious 10,
00:04 Fast X, Fast 10, enfin bref voilà,
00:07 j'ai beaucoup réfléchi sur le cinéma d'action, qui est un genre que j'aime bien, comme vous le savez,
00:12 et je suis arrivé à des choses un petit peu particulières,
00:16 mais d'abord on va se remettre un petit peu dans l'ambiance avec deux trois petites images, c'est parti.
00:20 [Musique]
00:21 "La cavalerie s'amène !"
00:22 [Explosions]
00:23 "Santé !"
00:24 "On a besoin de flingues et de voitures."
00:27 [Explosions]
00:29 Réalisé par Louis Letherier, le français Cocorico, qui est sorti donc de l'écurie-baisson,
00:33 c'est clairement pas le pire à être sorti de l'écurie-baisson, alors...
00:36 tous ces films ne sont clairement pas des bons bâtonniques,
00:39 mais c'est quand même un mec qui a sorti quelques films tout à fait honnêtes,
00:42 alors bon, des fois il s'est fait un peu aider par Corey Uyl, par Yuen Woo-Ping, comme vous savez,
00:46 mais je veux dire, c'est pas le mec qui a fait les pires films de l'histoire, je trouve,
00:49 c'était un qui est plutôt correct, alors on va pas dire que le mec a fait des chefs-d'oeuvre,
00:52 mais globalement...
00:54 c'est un type que, si je le vois au générique,
00:56 je vais pas forcément courir dans l'autre sens en mode "ah, c'est dégueulasse",
00:59 je trouve qu'il s'en sort plutôt correctement.
01:02 Surtout que là, en plus, il est dans une saga,
01:05 une saga très marquée avec ses codes, avec tout ce qui va avec,
01:09 à tel point que cette saga, qu'on le veuille ou non, ça a un côté un peu Marvel,
01:13 c'est pas les mêmes codes, mais on a un peu les mêmes trucs,
01:15 il faut que ça revienne, il faut qu'il y ait un peu les mêmes choses, etc., etc.,
01:17 donc il est réalisateur, mais à quel point ce qu'il va pouvoir mettre sa patte, ça c'est compliqué.
01:22 Un truc que j'ai apprécié, c'est que j'ai entendu dire des choses sur la saga Fast & Furious,
01:26 et entre autres, il a dit qu'il trouvait que le 9 était trop exagéré,
01:30 que le 9 allait trop dans l'exagération.
01:32 Alors évidemment, Fast & Furious, c'est une saga d'exagération,
01:35 mais ça me fait plaisir de me dire que "ah ouais",
01:37 parce que moi, le 9 aussi, j'ai eu de la peine,
01:39 de me dire que "ah, il essaie de revenir plus vers celui que j'ai apprécié,
01:42 donc on va dire entre le 5 et le 8,
01:43 même si le 8, pour moi, était déjà un petit peu... un petit peu mou,
01:47 mais bon, le 9, j'ai vraiment eu de la peine, donc voilà.
01:49 Alors maintenant, j'ai essayé de réfléchir quand même.
01:53 Qu'est-ce qui fait que cette saga perdure comme ça à travers le temps ?
01:56 Qu'est-ce qui fait que cette saga perdure à travers le temps ?
01:59 Alors je me suis dit, c'est marrant, parce que, en fait,
02:02 cette saga, c'est peut-être une des dernières sagas
02:05 qui a un petit côté, justement, au film d'action des années 80 et 90,
02:08 c'est un petit côté dans le sens où on a des mecs musclés
02:11 qui s'assument en tant que tels, qui assument leur virilité,
02:13 qui sont trop forts et tout,
02:15 c'est un film dans lequel on va se tirer dessus,
02:18 on va se tuer quand on se tire dessus, enfin...
02:20 C'est une saga qui a un truc un peu à l'ancienne.
02:22 Je me suis dit "ah bah tiens, c'est censé être ton genre préféré,
02:25 donc tu dois être hyper content, c'est peut-être ça".
02:29 Mais je suis pas sûr que le succès de la saga vienne juste de vieux comme moi
02:32 qui ont de la nostalgie et que ces films viennent un petit peu
02:35 nous caresser sur un truc qu'on aimait bien.
02:37 Je suis pas totalement sûr.
02:38 Alors j'ai essayé de réfléchir sur ce que nous apportaient
02:41 les films d'action de l'époque,
02:43 et en fait, je suis parti dans un petit délire.
02:46 Vous le savez, j'aime bien la psychologie de comptoir.
02:48 Donc je suis parti un petit peu dans un petit délire
02:50 et je suis retourné en fait à la pyramide de Maslow.
02:52 Qu'est-ce que la pyramide de Maslow nous dit
02:54 par rapport aux besoins primaires, secondaires, etc.
02:57 Alors je vais un petit peu lire.
02:58 Évidemment, c'est schématique ce que je vais dire,
03:00 mais donc la pyramide de Maslow, elle commence par...
03:03 Voilà, ici, il y a plein de choses, manger, avoir un toit, etc.
03:06 Et parmi eux, il y a se reproduire, avoir du sexe.
03:08 Alors évidemment, c'est pas parce qu'il y a un X dans le film
03:12 qu'on va avoir du sexe en allant voir ce film,
03:13 mais c'est vrai que c'était une saga qui était, en tout cas à la base,
03:16 on va voir comment elle a évolué pour ce film,
03:18 mais à la base quand même très sexy
03:19 avec ses filles aux fortes poitrines,
03:22 ses pantalons très courts dans les courses et tout ça,
03:24 qui bougent et compagnie, il y avait un côté sexy.
03:26 Alors évidemment, c'était pour attirer le mal, on va dire.
03:29 C'était surtout ça l'idée globale,
03:32 mais c'est vrai qu'on le veut ou non,
03:33 il y avait ce côté sexy qui venait titiller
03:36 le spectateur classique et jeune de préférence.
03:39 Combien de fois j'ai eu des discussions,
03:40 les gens, quand je discute avec eux, je leur dis
03:43 "Ah, l'actrice, je trouve qu'elle est pas...
03:44 Elle joue pas super bien, ouais, mais elle est trop belle."
03:46 Ouais, je suis d'accord, c'est plaisant, je me dis pas,
03:48 mais c'est pas un argument au même niveau, les gens.
03:51 Alors, évidemment, là, je pars du principe
03:54 que les producteurs visaient des jeunes mâles hétéros,
03:58 évidemment, mais ça ne veut pas non plus dire
04:01 que ça ne pouvait pas viser un autre public,
04:03 que les choses soient bien éclairées,
04:05 c'est un stéréotype, vous comprenez un peu la direction.
04:07 Donc, si vous voulez, il y avait un petit peu cet aspect-là.
04:09 Bon, OK.
04:10 Ensuite, la pyramide de Maslow nous dit l'appartenance.
04:13 Alors l'appartenance, là, il y a deux trucs
04:16 qui peuvent rentrer en ligne de compte.
04:17 Bon, alors évidemment, le fait que ce soit un succès
04:18 et que les gens suivent et donc tu fais partie des fans
04:20 qui adorent et donc tu t'auto-congratules avec d'autres,
04:23 ça, c'est classique dans tous les trucs du genre,
04:26 les potes Red, les femmes de Star Wars, les Trakers,
04:28 on crée même des groupes.
04:30 Mais surtout, surtout, surtout, que fait la saga ?
04:33 Eh bien, elle n'arrête pas de nous parler
04:35 de famille, d'appartenance et tout ça.
04:38 Donc, on fait partie de ce côté où on est...
04:42 Bon, on est...
04:43 Enfin, quand on la regarde,
04:46 c'est pas qu'on fait partie de la famille,
04:47 mais quand on regarde ces groupes d'amis
04:49 qui vivent ensemble, qui se respectent, qui s'apprécient,
04:51 c'est la famille avant tout le monde, etc., etc.
04:54 Ça nous séduit un petit peu
04:56 dans un arrière-coin de notre tête.
04:58 Ensuite, qu'est-ce qu'il y a ?
04:59 Il y avait les besoins d'estime.
05:01 Besoin d'estime, donc encore une fois,
05:02 faire partie d'une famille, avoir son rôle.
05:04 Chacun a son rôle, chacun a ses moments forts,
05:06 chacun a sa particularité, etc., etc.
05:09 Donc, on a un peu envie de faire partie de tout ça.
05:11 Et évidemment, il y a aussi, qu'on le veuille ou non,
05:14 tout l'aspect protection,
05:15 parce qu'ils se protègent les uns les autres,
05:16 ils sont super balèzes,
05:17 ils ont des gros bras comme ça.
05:19 Il y a ce côté grand frère.
05:20 J'avais parlé avec Eugene Morgan,
05:23 si vous connaissez sa chaîne,
05:24 qui lui me disait qu'il y avait un côté grand frère.
05:26 Et c'est vrai qu'il y a ce côté grand frère,
05:28 musclé, etc.,
05:29 qui viennent saupoudrer toute cette saga
05:33 et ce côté grand frère invincible même,
05:35 capable de faire des trucs.
05:36 Donc, on est dans une famille qui est là,
05:38 qui nous protège, dans laquelle on aime être.
05:40 Voilà deux, trois bases de pourquoi cette saga perdure,
05:43 parce qu'en fait, elle arrive à nous caresser
05:45 dans certaines choses psychologiques,
05:47 j'ai envie de dire.
05:48 Après, évidemment,
05:50 pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ?
05:52 On va parler de la saga en général.
05:54 Oui, ça permet de faire le point,
05:56 mais aussi parce qu'on est dans le dixième de cette saga
05:58 qui va continuer dans cette lancée.
06:01 Donc en fait, en vous disant tout ça,
06:02 qu'est-ce que je suis en train de vous dire ?
06:03 Je suis déjà en train de vous parler de ce film-là.
06:05 Ça veut dire qu'on va retrouver les ingrédients
06:07 qu'on a déjà vus précédemment dans la saga Fast & Furious.
06:10 Et parmi ces ingrédients,
06:12 il y a des trucs qui font que justement...
06:13 C'est pour ça qu'on se pose la question,
06:15 parce que le scénario,
06:16 les scénarios de la saga,
06:18 très souvent, ils sont un petit peu boitelus,
06:21 pour rester polis.
06:22 C'est-à-dire qu'il y a des trucs qui font "ouais".
06:23 Il y a plein de trucs qui se passent dans le film,
06:25 tu fais "ouais, c'est pas logique",
06:27 ou alors tu prends un raccourci,
06:29 c'est fait pour que ça passe,
06:31 c'est-à-dire que tu te poses pas trop de questions.
06:32 Mais quand même, il y a plein de trucs,
06:34 voilà, tu sais que tu es pas...
06:35 Que tu le veuilles ou non,
06:36 face à du grand cinéma solide,
06:39 bien réalisé absolument, etc.
06:41 Bien réalisé, d'une certaine manière,
06:43 oui, avec beaucoup de CGI et tout,
06:45 mais je veux dire, pas la solidité d'un bon gros film,
06:49 vous voyez ce que je veux dire,
06:50 et qui peuvent être des films d'action.
06:52 Attention, quand je dis ça,
06:53 je suis pas en train de parler de drames polonais,
06:57 en noir et blanc,
06:57 nanana, je suis en train de parler aussi de cinéma d'action.
06:59 Et par rapport justement à ces vieux films que je disais,
07:03 cette saga, un Commando n'était pas plus intelligent,
07:07 c'est un film aussi qui se prenait au second degré,
07:08 qu'il fallait prendre avec du recul,
07:10 donc on est dans la continuité.
07:12 Commando aussi avait des répliques un peu à la con,
07:15 de macho, d'ailleurs le film en rigolait,
07:17 bah là on a ça.
07:18 D'ailleurs si vous voulez savoir plus sur Commando,
07:19 j'en ai fait une vidéo,
07:20 allez regarder, comme ça vous aurez tous les détails,
07:22 pour voir comment ça interagit avec ce film par exemple.
07:24 Donc on a encore une fois un scénario qui,
07:28 disons-le,
07:28 il est un peu boiteux du genou,
07:31 il est un peu boiteux du genou,
07:32 mais vraiment,
07:33 dans le sens où il y a des personnages qui disparaissent,
07:36 comme ça,
07:36 regardez le personnage de Scottie Swood.
07:38 A un moment donné, on décide de le mettre sur la touche,
07:41 on va trouver,
07:41 enfin nan, y a même pas d'astuce,
07:43 en fait on va faire "hop, on en parle plus".
07:45 Il est plat.
07:47 Et vous allez voir que, par exemple,
07:49 le film, il y a des personnages qui sont un peu en retrait,
07:52 par rapport à l'action,
07:53 c'est-à-dire là où ça explose,
07:54 et du coup on va un petit peu forcer le ton à des moments,
07:58 pour que tous les personnages aient leur petite scène,
08:01 même si cette scène est totalement gratuite.
08:04 Y a plein de petites scènes dans le film qui sont archi-gratuites.
08:07 Tu te dis "oula, ah ouais, oula, ça sort de nulle part".
08:09 C'est pas déplaisant dans le film,
08:11 il fait 2h20 je crois,
08:12 donc mettre dans un film d'action,
08:15 ça ne me déplait pas du tout.
08:17 Mais dans la construction, tu vois qu'il y a ça, des "oula, oula".
08:19 Et le truc, c'est qu'en effet, le film, comme tous ceux de la saga,
08:23 va encore avoir tous ces moments où la suspension d'incrédulité,
08:26 elle va faire "pouillon", elle va foutre le camp.
08:27 Et ça arrive régulièrement dans le film.
08:29 Régulièrement, poum, la suspension d'incrédulité,
08:32 elle en prend un coup,
08:32 ce qui fait qu'on est quand même conscient de regarder un film.
08:35 Malgré tout, je dis ça, mais je l'ai préféré au numéro 9,
08:39 justement, le loterie et ses déclarations,
08:41 me semblent plutôt correctes.
08:43 Évidemment, il y a toujours des trucs abusés,
08:44 on est dans "Face It's a Fuse", les gens.
08:45 On n'est pas dans un film crédible, on le sait bien.
08:48 Mais globalement, il a mieux fonctionné sur moi que les 2 précédents même,
08:53 que les 2 précédents, donc je suis satisfait à ce niveau-là.
08:56 Petite chose intéressante, c'est qu'on est donc à une époque,
08:59 comme je l'ai dit, où les femmes ont une petite tenue et tout ça,
09:02 juste pour être là, pour attirer le mâle masculin plutôt jeune.
09:06 C'est plus très bien vu, c'est plus très bien vu.
09:08 Alors comment le film gère ça ?
09:10 En fait, si vous regardez le film, vous verrez que la plupart des scènes d'action du film,
09:13 en fait, ce sont des femmes qui les font.
09:15 Et vous savez quoi ?
09:17 C'est fait avec un naturel et une décontraction à toutes épreuves.
09:20 On se pose pas la question.
09:23 Franchement, c'est très bien fait, très fluide.
09:25 Alors, très fluide, très bien fait, avec tous les soucis de scénario,
09:28 il y a des scènes d'action qui sont là, tu dis "elle est là, mais pourquoi cette scène d'action ?"
09:31 Mais au moins, c'est dans la logique du film.
09:34 Ce que je veux dire, c'est que c'est pas au-delà forcé et tout ça,
09:37 c'est d'un naturel dans le film.
09:38 Vous en faites pas, Toretto, ça reste Vin Diesel, c'est bon, elle bosse,
09:43 mais ça permet à ses autres personnages de respirer aussi.
09:46 Et comme je dis, c'est fait avec un naturel,
09:49 que je pense qu'il y a personne qui va se plaindre de cet aspect-là.
09:51 Je pense que beaucoup de gens vont même pas faire attention à cette petite caractéristique.
09:55 Et donc, moi j'ai envie de dire "très bien, bravo, félicitations à ce niveau-là".
09:59 Un petit mot sur le méchant interprété par Jason Momoa dans le film.
10:02 Alors, je me suis posé une question.
10:05 Est-ce que le personnage est juste un personnage trop philatone ?
10:08 Voilà, ça m'entend à la saga.
10:11 Du s'amuse en tout cas.
10:12 Ou est-ce que, vous allez comprendre, est-ce que le personnage est gay dans le film ?
10:16 Y a une scène qui m'a fait dire à un moment donné, peut-être que c'est ça qu'ils veulent dire.
10:19 Alors, pas un problème qu'il soit gay ou ce que vous voulez,
10:23 mais c'est juste que s'ils l'ont fait gay, alors ils ont un petit peu exagéré son côté un peu foufou.
10:28 C'est qu'il n'est pas une image très moderne de la chose.
10:31 Là par contre, là par contre,
10:33 je sais pas où ils veulent en venir, mais là par contre ça risque de gueuler un tout petit peu quand même.
10:37 Ça je tiens à le dire, sur les réseaux sociaux, y en a qui risquent de gueuler là-dessus.
10:40 Euuuh...
10:41 *bruit de bouche*
10:43 J'allais dire, vu le niveau du film d'un point de vue logique du scénario et tout,
10:47 je sais pas si ça en vaut la peine, mais
10:49 ça risque de gueuler et je dirais pas forcément que c'est à tort sur ce coup là.
10:52 À ce niveau là, ouais.
10:54 Par rapport à ses revendications.
10:56 Pour le reste, le film va, comme j'ai dit, mettre des scènes gratuites,
11:00 des choses assez rigolotes, on a des chansons en espagnol qui sont au Brésil,
11:05 c'est logique, n'est-ce pas, ils sont en Amérique Latine, on a des chansons.
11:08 Y a une chanson qu'on l'entend dans le trailer,
11:12 donc qui fait "comme j'aime l'essence".
11:15 Littéralement, évidemment, sous-entendu, l'essence c'est aussi autre chose, vous voyez.
11:20 Enfin voilà.
11:22 Et c'est marrant parce que pendant qu'il roule, on l'entend une chanson où en espagnol ils disent "rapide et furieux".
11:28 Je dis ça, je dis rien.
11:29 *rire*
11:30 Donc tu fais "ah bah tiens, quand même, au moins y a un truc assez rigolo, mais bon, ils sont censés être au Brésil".
11:34 On va entendre plus de portugais, je pense, là-dedans, pourquoi de l'espagnol, je sais pas, faudrait leur demander à eux.
11:39 Et y avait encore un dernier petit truc, oui, la fin, la fin, la fin.
11:43 Vous êtes sans doute au courant, parce que le film ne le dit pas,
11:46 mais on savait que ce dernier film allait être découpé en deux parties.
11:49 J'ai cru voir passer Vin Diesel qui disait que ça allait être en trois, finalement.
11:53 Si je vous le dis, c'est juste parce que, déjà, pas que vous soyez déçus par la fin,
11:58 qui s'arrête quand même un peu en mode *pouf*, voilà, générique.
12:04 C'est pas super bien fait, alors je dis pas qu'il fallait une coupure esthétique et tout ça,
12:08 mais prendre un petit poil plus le temps, pour pas avoir vraiment cette sensation de "allez, vas-y,
12:14 c'est mon logiciel de montage, allez, on coupe là, on met le générique".
12:17 Un petit peu dommage à ce niveau-là, quand même. Voilà, voilà.
12:20 Donc, je récapitule vite fait, j'ai passé un bon petit moment avec toutes les qualités et les défauts de cette saga.
12:26 De toute façon, on sait ce qu'on va voir.

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