• l’année dernière

Category

🥇
Sport
Transcription
00:00 Ensuite, troisième victoire, vous l'avez dit, 2-1, sur le même score, un peu le même scénario.
00:08 Il se passe quelque chose à domicile.
00:12 Il y a une alchimie entre l'équipe et son public.
00:18 C'est vraiment beau à voir.
00:19 On est très fiers ce soir d'avoir rendu autant de supporters d'Amoureux du Football heureux.
00:27 La bonne nouvelle, c'est qu'on sort de la zone.
00:32 Après, c'est provisoire.
00:34 Il y a aussi encore un match à jouer.
00:37 Ce soir, on a le droit d'être fiers et satisfaits de notre travail.
00:42 Oui, c'est vrai qu'on a trouvé quelque chose.
00:53 On cherchait depuis un petit moment à comment inverser cette tendance.
00:57 Évidemment, ça demande beaucoup d'énergie.
01:00 Mais on récupère aussi un peu de monde dans l'effectif.
01:06 J'ai plus de solutions.
01:08 Les places sont plus chères.
01:09 Mais j'ai aussi plus de choix pour coacher.
01:12 Ça rend la fin de saison intéressante.
01:18 Il y a ce scénario qui est favorable avec cette équipe de Saint-Etienne qui aurait aimé vous sortir et qui loupe la balle de 1-0 avec Ouagis.
01:27 Ça vous aurait peut-être compliqué à faire ?
01:28 Oui, mais quand je regarde les stats, c'est un match un peu fou.
01:34 Nous, on a 2,47 d'XG.
01:36 Ils ont deux.
01:37 On a 17 tirs, 9 cadrés, 18 tirs.
01:40 Ça aurait pu faire 3-3, 3-2.
01:43 C'est un match où il y a eu beaucoup d'occasion.
01:47 Ils connaissaient le scénario du match.
01:49 Eux aussi, il n'y avait pas de surprise.
01:51 Après, il faut aussi provoquer la réussite de temps en temps.
01:55 Je pense que c'est ce qu'on fait.
01:57 On n'a pas lâché depuis un petit moment.
01:59 Les joueurs, je trouve, sont récompensés de leurs efforts qu'ils produisent quotidiennement.
02:03 Ça, c'est bien.
02:04 Vous avez un plan pour museler Jean-Philippe Frasso qu'on n'a quasiment pas vu.
02:09 C'était de le prendre à l'individuel, un petit peu entre les deux lignes.
02:15 Est-ce que c'est ça qui a fait que ?
02:17 En tout cas, effectivement, il y avait un plan.
02:22 Il n'est pas sur la même ligne que Wajih.
02:25 Wajih prend la profondeur.
02:27 Et lui, entre les lignes, quand on le laisse jouer, il est redoutable.
02:30 On faisait une individuelle dans la zone à chaque fois qu'il touche le ballon.
02:35 Je ne sais pas si on l'a très bien fait, très honnêtement.
02:38 Mais par rapport à Tahitian, il y avait cette consigne-là.
02:40 Il y a eu beaucoup d'arrêts de chaque côté, notamment au premier temps.
02:44 C'était très intense.
02:46 Sur quoi ça se joue, un match comme ça ?
02:48 Est-ce que le public peut faire la différence ?
02:51 Je n'ai pas la réponse, sincèrement.
02:53 C'est vrai qu'ils ont eu des occasions importantes.
02:57 C'est un match un peu fou, finalement.
03:00 Ce n'était pas un match fermé du tout.
03:02 Mais il faut être solide quand même, mentalement,
03:05 parce que c'est quand même une très belle équipe.
03:07 On le voit dans les 30 derniers mètres.
03:09 Il y a quand même une qualité individuelle
03:11 qui leur permet, sur chaque situation, d'être dangereux.
03:15 On a défendu avec beaucoup de solidarité,
03:20 beaucoup de volonté.
03:21 Alex a su être décisif aussi.
03:24 Je trouve que sur ce match,
03:28 on a la réussite qui a tourné en notre faveur.
03:31 Et ça, c'est bien.
03:32 Vous disiez que cette réussite, c'est celle que vous allez chercher.
03:36 Et puis, les tirs, il y a un petit bascule.
03:38 Le pénalty sur Dembou, qu'est-ce qu'il est ?
03:40 Oui, c'est arraché.
03:41 Mais on a traversé une période
03:43 où on avait des très bons contenus,
03:46 parfois même supérieurs à l'adversaire.
03:48 Et finalement, on concédant très peu de choses,
03:50 on était systématiquement sanctionnés.
03:52 Donc, ça a été une très grosse remise en cause.
03:55 Il y a un gros travail qui est fait quotidiennement par les joueurs.
03:58 Quand on dit aux joueurs
04:01 de travailler dur quotidiennement pour être récompensés,
04:04 c'est bien que ce soit le cas.
04:07 ça donne du sens au travail qui est fait.

Recommandations