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Transcription
00:00 - Hein ? - C'est dans quel sens ?
00:02 - Personne. - Bah si, c'est moi.
00:04 - Bah oui, mais ça je regardais pas.
00:06 - Oui, bah oui, moi je le sais, je peux parler de moi.
00:08 - C'est moi. - Ça c'est elle ?
00:17 - Ah oui.
00:19 - Ah bah c'est moi.
00:24 - C'est le plus drôle épisode de Faux-Mérieux.
00:28 - On n'est pas d'accord.
00:30 C'est toi la plus drôle, la plus sympa ?
00:32 - T'es le plus sympa, mais moi je suis la plus drôle.
00:34 - Ah bah c'est nous alors.
00:36 - C'est nous.
00:38 - C'est le binôme.
00:40 - Ah bah ça c'est sur-research.
00:46 - C'est donc qui ? - Je suis pas sportive, donc...
00:48 - Vous vous êtes préparé à autrement.
00:50 Moi je fais le sport, mais...
00:52 On a couru ensemble et tout quand même.
00:54 - Oui bah une fois.
00:57 - Ah, s'alimenter, bah ça c'est moi.
00:59 - Oui c'est elle. - Ouais, c'est moi.
01:03 Sans hésiter, je suis très difficile,
01:05 et c'est ce que j'aurais dû se douter d'ailleurs en allant à Pékin Express.
01:07 - Bon bah la pire nuit c'était moi.
01:13 C'était au Paraguay,
01:15 chez les habitants
01:17 qui avaient beaucoup beaucoup d'argent,
01:19 qui nous ont très mal accueillis,
01:21 et qui nous ont...
01:23 mis dans le garage.
01:26 - C'est moi.
01:28 - Bah oui mais ça je regardais pas hein.
01:30 - Oui bah oui, moi je le sais, je peux parler de moi.
01:32 Je pensais pas que ça allait faire le buzz, l'histoire du caleçon,
01:34 parce que j'étais... On le voyait, je suis naturel, elle est naturelle,
01:36 et c'est difficile, cette première scène
01:38 où on se retrouve...
01:40 Donc on est un peu bébête, c'est vrai,
01:42 on dit des choses, mais...
01:44 On l'a fait naturellement, pour nous,
01:46 on s'en est bien sorti.
01:48 - C'est toi le...
01:52 Je dirais que c'est toi le... - Le plus sage.
01:54 - Oui, oui, oui, je suis moins... - C'est Xavier le grand sage.
01:56 - Je suis moins fleur de peau, c'est normal.
01:58 - En fait, je trouve que...
02:00 L'un et l'autre, on se relevait, quand l'autre...
02:02 Voilà, quand y'en a un qui avait une baisse de morale,
02:04 l'autre le relevait.
02:06 - Ça dépend des scènes. - Ça dépend, ouais,
02:08 mais je pense que c'était vraiment notre force
02:10 d'être vraiment complémentaires tout le temps.
02:12 - Ça c'est Xavier.
02:17 - C'est moi, je l'assume, je parle que français.
02:19 - Il a pas parlé une fois espagnol, même pas un mot.
02:21 - Donc heureusement, j'ai un peu d'origine italienne,
02:23 donc je fais avec...
02:25 Mais effectivement, à part ça,
02:27 j'ai eu ce problème d'arrivée,
02:29 qui n'était pas une barrière, parce que je parlais
02:31 avec les mères, mais bon, elle m'a sauvé des fois.
02:33 - On s'en est toujours sorti.
02:35 - On s'en est sorti.
02:37 - Moi, je pense tout le monde. - Moi, je l'ai eu.
02:42 - Ouais, moi aussi. - Moi, je peux parler de moi,
02:44 après vous, moi, j'ai surmonté des limites,
02:46 ça c'est sûr et certain. - Je pense tous les deux.
02:48 - Je pense souvent le truc, ouais.
02:50 - Je pense qu'on se rend pas compte
02:52 de tout ce qu'on est capable de faire.
02:54 Et c'est vrai qu'en faisant Pékin Express,
02:56 il y a des épreuves comme ça où on se dit, on va pas y arriver.
02:58 Et finalement, on le fait quand même.
03:00 - La force de ce duo, c'est que
03:02 moi, je dépassais mes limites
03:04 pour lui montrer un bel exemple.
03:06 Et elle dépassait ses limites parce qu'elle voulait aussi
03:08 me montrer ce qu'elle savait faire,
03:10 par rapport à ce que je faisais, etc., etc.
03:12 Et donc vraiment, ça, c'était une live motive.
03:14 Vraiment, vraiment, c'était ça qui le motivait.
03:16 Si on nous rappelle, on retente l'aventure
03:20 sans hésitation.
03:22 - Ouais, c'est clair.
03:24 Sous-titrage Société Radio-Canada

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