Les Vérités de Khalifa Sall aux détracteurs "Yewwi Askan Wi dou tass tay dou ......."

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Transcript

00:00 au nom de la conférence des leaders, former des voeux. Nous sortons de deux moments de communion,

00:10 Karem et Ramadan, qui sont des moments pour chacun de nous de procéder à une introspection,

00:21 former des voeux et des prières pour soi, sa famille, ses amis. Donc la conférence des leaders

00:29 se joint à tous ces voeux-là pour un Sénégal de paix, de concorde et de sérénité. Ce pays vit

00:38 aussi une situation particulière qui n'est pas nouvelle. Depuis 2012, ce qui caractérise la vie

00:49 des populations sénégalaises, c'est une pauvreté accrue, c'est un nivellement par le bas, c'est des

00:59 conditions de vie difficiles, mais surtout, dans l'expression des libertés et de la vie quotidienne,

01:07 c'est un harcèlement permanent. Ce harcèlement permanent qui se manifeste par le rapidissement

01:17 de la pratique et de la vie démocratique dans notre pays. Demain, le jour de la mort et de la

01:26 réconciliation, je veux que tous les membres de la conférence des leaders se réunissent,

01:44 que tous les membres de la conférence des leaders se réunissent pour le ramadan et le karim.

01:49 Que tous les membres de la conférence des leaders se réunissent pour la réconciliation.

01:56 Mais ce que vous savez, c'est qu'il y a des problèmes. Vous savez que les problèmes que nous

02:03 vivons ici, c'est que nous vivons en difficulté, nous vivons en difficulté, mais la démocratie

02:11 est très difficile, très difficile, très difficile, et vous savez que le monde sénégalais vit. Vous

02:20 savez que depuis 2012, ce qui s'est passé ici n'a jamais eu lieu. Dans le harcèlement, dans le

02:29 bâtiment, dans le métital, les acteurs politiques dans ce pays, parce que c'est ça le contexte

02:40 actuel. C'est pourquoi aujourd'hui, notre discussion, nous l'avons pris pour dénoncer, pas par

02:48 paroles, mais pour dire que ce que vous savez, c'est Ousmane Sonko et tous les leaders politiques

02:59 et de la société civile qui sont embastillés, parce que c'est ce qu'il y a aujourd'hui.

03:04 Nous sommes tous les deux, tous les deux, tous les deux, tous les deux, tous les deux, tous les deux,

03:11 nous devons nous réunir ici avec vous. Je veux dire que nous, société civile et parti politique,

03:22 nous avons un accord avec F24. F24, nous avons un accord avec M23. Si nous avons un accord avec M23,

03:35 nous sommes rectards. Parce que nous sommes tous réunis, mais surtout nous sommes d'accord.

03:39 Si nous sortons de la guerre contre M23, le Sénégal va se réunir, et ce sera réuni. Des incertitudes

03:48 sur les élections, des incertitudes sur le droit, le respect des élèves et des enfants.

03:56 F24, nous l'avons un accord avec, nous l'avons un accord avec, nous sommes tous d'accord. Il y a une unanimité

04:05 totale de la classe politique et de la société civile combattante pour dire que, si jamais,

04:13 Maki Salle n'a pas sa troisième candidature. Nous avons fait une élection inclusive,

04:22 pour savoir qui est le meilleur candidat. Nous sommes les détenus politiques, les prisonniers politiques,

04:37 nous sommes les détenus politiques. Parce que si on a fait une élection, on ne peut pas avoir sa troisième candidature.

04:44 On a fait une élection inclusive. C'est ce que nous avons fait.

04:49 Nous avons le respect des droits et des libertés. Ce combat du F24, nous l'épousons.

04:59 C'est pourquoi nous vous appelons tous à la manifestation du 12 mai.

05:03 Nous vous appelons tous à la manifestation du 12 mai. Nous vous appelons tous à la manifestation du 12 mai.

05:12 Ce qui se passe, c'est ce que vous savez, ce qui se passe ici.

05:17 Ce qui se passe, c'est ce que vous savez, ce qui se passe ici.

05:24 Nous avons été condamnés, nous avons été condamnés, nous avons été condamnés, nous avons été condamnés,

05:31 nous avons été condamnés, nous avons été condamnés, nous avons été condamnés, nous avons été condamnés,

05:33 et nous l'avons fait.

05:36 C'est cette condamnation lourde qui a été prononcée à l'encontre de Ousmane Sonko.

05:43 C'est cette condamnation lourde qui a été prononcée à l'encontre de Ousmane Sonko.

05:44 Dieu a amené Ousmane Sonko à nous.

05:49 Depuis 2021, nous avons eu des conflits.

05:54 Dans ce conflit, personne ne peut le détruire.

05:56 Il a fait ce qu'il a fait.

05:58 Mais dans ce conflit, il ne faut pas que les gens pensent qu'on personnalise Ousmane Sonko.

06:03 Mais tout le monde le sait, nous sommes dans un cas où nous avons été condamnés à la mort.

06:10 Mais il symbolisait ce combat.

06:12 Et aujourd'hui, ce qui se passe, personne ne peut le détruire.

06:16 Personne ne peut le détruire.

06:19 Personne ne peut le détruire.

06:21 Le président de la conférence et le leader de l'Assemblée, il va nous dire ce qu'il a fait.

06:25 Mais il y a une seule chose.

06:27 C'est que nous devons le détruire.

06:29 Mais nous ne devons pas le détruire.

06:31 Nous devons le détruire.

06:33 Il ne faut pas qu'il y ait une troisième victime de Macky Sall.

06:36 On en a connu deux.

06:39 Nous avons vu deux.

06:41 Mais il faut que le peuple se mobilise pour soutenir vraiment Ousmane Sonko dans ce combat-là.

06:49 Je vais vous dire une chose.

06:51 La démocratie ne peut pas être détruite.

06:53 Il faut que nous nous arrêtions de parler.

06:57 Nous devons nous enlever.

06:59 Pour que véritablement, en 2024, nous ayons une élection inclusive.

07:05 Tout le monde, dans des conditions où chacun peut se protéger, le peuple va décider.

07:15 Voilà ce que je voulais dire.

07:17 Je vous en prie, soyez encore plus forts.

07:24 Dites-leur que nous sommes trop forts dans notre pays.

07:28 Cela signifie que vous devez faire ce que je vous dis.

07:32 Nous sommes une famille. Nous sommes un groupe d'amis.

07:36 Nous avons beaucoup à dire.

07:38 Mais nous devons toujours faire ce que nous avons décidé.

07:43 Si quelqu'un nous a attaqué, nous allons le faire.

07:46 Si quelqu'un nous a attaqué, nous allons le faire.

07:49 Si quelqu'un nous a attaqué, nous allons le faire.

07:53 Il y a toujours des problèmes.

07:55 Mais dans notre pays, nous avons les moyens, les mécanismes, la force.

08:00 Mais surtout, la conviction de faire traverser à Yémi les péripéties auxquelles nous nous sommes confrontés.

08:08 Je vous en prie, soyez encore plus forts.

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