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Transcription
00:00 donc je me demande si vous faites une comparaison par rapport à Abdi Diouf ou à Diamano Senghor. Parce que les opposants sont maintenant en train de se battre. C'est ce qu'on entend.
00:09 Non, non, non. Ils sont en train de se battre. Mais pas non plus. Je dis que j'ai déjà battu deux fois. Un a été Djalika Djiwala, l'autre a été Thiers. Mais tout est pourrit.
00:18 Mais pas... Il n'y a pas besoin de tout ça aujourd'hui. Mais ça se comprend. Scientifiquement, je vais vous l'expliquer.
00:25 Parce que à l'époque, c'était l'ignorance qui dominait.
00:32 Tu ne sais pas, tu ne sais pas, tu ne sais pas.
00:35 Tu es un homme, tu es une femme, tu es un homme, tu es une femme.
00:39 De sorte que les gens ne s'intéressaient pas à ce qui était définitif pour leur avenir, la politique.
00:46 La politique, c'est le plus éloquent. La jeunesse s'occupe d'autre chose.
00:53 Et la jeunesse aussi. Parce que dans les régions, dans les villages, il n'y a pas d'école, il n'y a rien pour la jeunesse.
00:59 Donc, c'est ça qui a créé notre époque. Je vais vous l'expliquer.
01:04 On est en train de se battre. Il n'y a pas d'indépendance. On est en train de se battre.
01:07 On est en train de se battre pour ça. On est en train de se battre pour les Aliments, etc.
01:10 C'était ça le Sénégal d'hier.
01:13 Mais le Sénégal d'aujourd'hui est diamétralement opposé.
01:19 Aujourd'hui, c'est le savoir qui règne. C'est la connaissance. C'est l'information qui circule en permanence.
01:27 Qui vient de ton lit. Le matin, quand tu ouvres les yeux, tu prends ton portable, tu as toutes les informations du monde.
01:33 Ce qui n'est pas le cas hier.
01:35 Les enfants de l'Union, ils sont allés se battre, diplômer, brancher.
01:40 Ils connaissent l'admiration, ils connaissent la politique nationale depuis tout à l'heure.
01:46 Ils sont sortis de la même école, la même école de séminarie.
01:53 Donc ils connaissent ce qu'ils connaissent, ce qu'ils doivent connaître.
01:57 Ils expriment ce point de vue, ils vont rentrer dans la prison.
02:03 Ce n'était pas le cas de 35 ans avant.
02:06 On a été élu. Les émigrés comme nous, il y a des gens qui ont fait la prison.
02:10 Mais ce n'était pas ce qu'on avait fait.
02:11 Aujourd'hui, il y a 500 ou 600 jeunes qui sont dans la prison.
02:15 Des jeunes, maintenant, je vais vous dire, on est en train de se battre pour les enfants.
02:22 Les enfants, quand ils vont au sommet du savoir, ils ont 10% des enfants.
02:30 Je sais que c'est un élément qui est très important.
02:34 On a besoin de tout. Et on va se battre, se battre, se battre.
02:39 Mais ça n'a pas empêché qu'on aille prendre le poids en place.
02:49 Parce que les jeunes, les jeunes, les jeunes, les jeunes, ils sont très nombreux.
02:54 Ils ont des connaissances, ils sont nombreux.
02:57 On va les aider, on va les aider à se battre.
03:00 On va aller dans la prison, on va aller se battre.
03:03 Si vous n'avez pas accès au diplôme,
03:06 si vous n'avez pas de pouvoir de prendre le signal, vous allez se battre, vous allez vous faire attaquer.
03:10 Le corruptement ne peut pas continuer.
03:13 C'est pourquoi cette masse de jeunes qui est majeure dans ce pays,
03:18 puisque 73% ont moins de 30 ans,
03:21 maintenant, si on ne sait pas ce qu'il faut gouverner, il faut le faire.
03:25 Car si on ne peut pas gouverner, il faut se battre.
03:30 Ce n'est pas possible de se battre, de se battre, de se battre,
03:34 mais ça ne va pas aboutir à un peuple qui est debout et invincible.
03:44 Est-ce que Ousmane Sonko et les gens qui sont en opposition,
03:48 ils ne devraient pas aller au pays où le chef de l'État vous a invité?
03:54 En tout cas, si je ne suis pas en réunion avec Ousmane Sonko, je ne vais pas y aller.
04:00 Parce que, il faut qu'on sache la vérité.
04:07 Mais qu'est-ce qu'on négocie?
04:10 Les jeunes qui sont en opposition, on ne sait pas qui les a fait,
04:14 mais on ne sait pas qui les a fait.
04:16 Qu'est-ce qu'on négocie?
04:18 Les gens qui sont en opposition depuis le début du siècle,
04:21 on ne sait pas qui les a fait.
04:23 On ne sait pas qui a fait l'Assemblée Nationale,
04:25 qui a fait le pouvoir judiciaire,
04:27 l'administration territoriale, l'administration centrale,
04:29 l'administration, les forces de défense et de sécurité,
04:31 on ne sait pas qui a fait ça.
04:33 On ne sait pas qui a négocié.
04:35 On ne sait pas qui a fait ça.
04:37 On ne sait pas qui a fait ça.
04:39 On ne sait pas qui a fait ça.
04:41 On ne sait pas qui a fait ça.
04:43 Le président de la République a fait ce qu'il a fait.
04:45 Nous sommes dans une réplique.
04:47 On respecte la Constitution.
04:49 On fait ce qu'on veut.
04:51 On ne sait pas qui a fait ça.
04:53 Mais qu'est-ce qu'on négocie?
04:55 Les fêtes nationales,
04:57 est-ce qu'on ne va pas y aller?
04:59 On va fêter nos propres fêtes.
05:01 On va voir.
05:03 Il y a deux choses.
05:05 Il y a des institutions.
05:07 Si vous êtes maire,
05:09 si vous êtes ministre,
05:11 si vous êtes député,
05:13 vous êtes dans une institution.
05:15 C'est ça, c'est la raison des institutions.
05:17 Mais nous,
05:19 la conférence des heures,
05:21 c'est politique.
05:23 Il y a 600 éléments
05:27 qui sont en prison.
05:29 Il y a des gens qui sont barricadés.
05:31 Ils sont en prison.
05:33 Des soldats sont en prison.
05:35 Des soldats sont en prison.
05:37 Des soldats sont en prison.
05:39 On parle de ça.
05:41 Mais il faut dire.
05:43 On va dans les casernes.
05:45 On va réformer les articles du Cote d'Azur.
05:49 On va y aller.
05:51 Il n'y a rien à négocier.
05:53 Qu'est-ce qu'on veut négocier?
05:55 Je suis contre ça.
05:57 Je défendais cette position-là.
05:59 On n'a rien à négocier.
06:03 On a signé le Couture.
06:05 On a signé le Couture.
06:07 On a signé le Couture.
06:09 On a signé le Couture.
06:11 On a signé le Couture.
06:13 On a signé le Couture.
06:15 On a signé le Couture.
06:17 On a signé le Couture.
06:19 On a signé le Couture.
06:21 On a signé le Couture.
06:23 On a signé le Couture.
06:25 On a signé le Couture.
06:27 On a signé le Couture.
06:29 On a signé le Couture.
06:31 On a signé le Couture.
06:33 On a signé le Couture.
06:35 On n'est dans ce dépli.
06:37 Est-ce que l'autorité a invité Mokotof?
06:39 Mokotof.
06:41 Aujourd'hui,
06:43 les commissions
06:45 mais ils veulent commencer
06:47 en cours de deuxième an.
06:49 De sorte que
06:51 les gens qui comptaient sur les élections,
06:53 ils ont peur des élections maintenant.
06:55 Parce que la jeunesse est consciente
06:57 du fait qu'avec sa carte,
06:59 elle peut développer un pouvoir.
07:01 Les jeunes doivent être élu
07:03 pour mettre fin
07:05 à ce qui se passe.
07:07 Pour qu'enfin, comme le dit la Constitution,
07:09 les ressources naturelles
07:11 appartiennent au peuple.
07:13 Et que le peuple
07:15 puisse accéder à ces ressources naturelles
07:17 pour transformer ses conditions de vie
07:19 et d'existence.
07:21 Est-ce que les gens veulent provoquer
07:23 le gouvernement?

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