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Transcription
00:00 J'aime bien qu'on mette les choses au clair dans cette émission, c'est bien qu'il soit venu parce qu'il y a cette histoire-là.
00:03 Sandrine Rousseau, ce livre, et Gilles Verdes voulait te répondre parce que t'as été beaucoup attaquée sur ce livre,
00:09 que dans le camp Rousseau surtout, on trouve un petit peu sexiste, on t'a fait beaucoup de reproches dessus.
00:16 Hein ? Qu'est-ce qu'il y a Géraldine ?
00:18 - Radical ? - Voilà, c'est ça, exactement.
00:20 - C'est un panflet.
00:20 - Il compare quand même, Éric Nolot, compare quand même Madame Rousseau à un taliban.
00:25 - Oui.
00:25 - C'est le mot que vous employez.
00:26 - Tout à fait.
00:26 - Bien lu.
00:27 - Tout à fait.
00:27 - Ça, ça me semble extrêmement violent. Ensuite, Cyril, si vous le permettez...
00:30 - Est-ce que c'est juste ou pas ? Parce que la question, ce n'est pas la violence, c'est la justesse.
00:32 - On ne peut pas comparer.
00:33 - Je vais vous dire que si et je vais vous donner un exemple.
00:36 - Ça, c'est pour moi.
00:36 - Les talibans, ils détestent tout ce qu'il y avait avant eux. Donc, ils ont dynamité les bouddhas dans les pays où ils ont pris le pouvoir.
00:43 Et Madame Rousseau, elle pense qu'au nom de la cause écolo, on peut s'en prendre à des œuvres d'art, à des tableaux de Van Gogh.
00:47 C'est la même chose.
00:48 - Moi aussi.
00:48 - C'est exactement... Ah bon ? Vous n'êtes pas une œuvre d'art ?
00:50 - Il est très content quand ils font ça.
00:51 - Oui, voilà. Non mais le problème, c'est très difficile de discuter avec Verdes parce que Verdes représente la gauche totalitaire.
00:57 Ce sont des gauchos staliniens.
01:00 - Merci.
01:00 - C'est-à-dire que vous avez Mélenchon qui dit « abat la République ». Vous avez Verdes qui dit « mais bien sûr qu'il faut détruire les tableaux de Van Gogh au nom de je ne sais quel. »
01:07 Donc ce sont des gens totalitaires qui veulent imposer par la force leur légalité.

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