• l’année dernière
Transcription
00:00 Omar Zalouri, plus connu sous le nom d'Omar la fraise.
00:04 T'as pris 20 ans ce matin à Paris, par défaut.
00:09 T'as une bonne nouvelle ?
00:10 La patrie de ton père, Djazeir, va te garder ici en sécurité au soleil.
00:15 T'es 100% Djazeir, mais Wallah ça m'émeut.
00:18 Je vais pouvoir crever ici.
00:19 Mahdabik el-Jadayar.
00:21 C'est Omar, il déprime, il veut rentrer en France.
00:26 Mais tu crois que je vais passer ma vie au bord de la piscine où y'a pas d'eau ?
00:29 Il t'a dit quoi l'avocat ?
00:31 Si tu bouges une oreille, tu vas voir, tu vas repartir au placard.
00:34 Omar, Roger, Wallah, vous êtes deux légendes.
00:37 Pourquoi tu me fais des clins d'oeil quand tu me parles ? Tu veux me baiser ?
00:40 Tu veux le baiser ?
00:41 On va devenir des entrepreneurs toi et moi.
00:43 On va faire de l'eau saée.
00:45 Dans ce pays tu veux devenir millionnaire ? Faut commencer milliardaire.
00:48 Je sais ce qu'il est, ça m'appelle quelqu'un.
00:50 Vous êtes des durs.
00:51 Vas-y toi, tu peux rentrer à Paname, t'es libre.
00:57 Omar Zerouki, le nouveau gérant asocial.
01:00 Hé frérot, la vie est la mort.
01:02 Pour moi Omar, c'est quelqu'un qui porte en lui de l'humanisme.
01:07 Sans volonté, chico.
01:09 De la joie de vivre.
01:11 Je veux qu'il jute à plus loin.
01:13 Et ses racines, je veux qu'il remoue avec.
01:15 Santé.
01:25 C'est même pas en bosse ça suffit.
01:27 Yacou, pourquoi on l'appelle Omar la fraise ?
01:35 Parce qu'il opère ta raie d'enfance.
01:37 Zut ! Zut !